Historique

Date du 1er agrément : 06/01/2019
Population de la zone de compétence : 9000

Le territoire sinagot est étendu et fait penser à une « mosaïque » de quartiers et de villages, avec un quartier du Poulfanc jugé peu attrayant. Il s’agit donc de lier le territoire et favoriser une cohésion sociale générale, grâce à des événements et animations sur tout le territoire, en mobilisant les jeunes, afin que tous apprennent à se connaître et à vivre ensemble. La Maison des Habitants – centre social de Séné a ouvert ses portes le 5 juillet 2019. C’est au Poulfanc que la ville de Séné va connaître l’évolution démographique la plus sensible dans les prochaines années. Aussi, pour contribuer à une meilleure répartition des équipements publics sur le territoire communal, ce lieu, tout proche des commerces de la route de Nantes, du groupe scolaire Guyomard et de futures habitations, s’est naturellement imposé. Pour réaliser son diagnostic, la Ville et le CCAS ont été accompagnés par la Caisse d’Allocations Familiales du Morbihan et la Fédération des centres sociaux de Bretagne. Cinq problématiques se sont dégagées : lutter contre une précarité en augmentation, soutenir les familles en mutation, accompagner une population vieillissante, réduire le repli sur soi, améliorer les transports.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Favoriser la prise d'initiatives des habitants
• Axe 2 : Accès aux droits et aux services
• Axe 3 : Agir pour le lien social et les solidarités
• Axe 4 : Accompagner les familles dans toutes les dimensions de leur quotidien
• Axe 5 : Développer les conditions du bien-être des familles

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/2020
Population de la zone de compétence : 0

Axes du projet en cours :

• Axe 1 :
• Axe 2 :
• Axe 3 :
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 09/01/2019
Population de la zone de compétence : 35348

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Faire du CSC la Manu un lieu d'accueil, de rencontre, acteur d'une dynamique de réseau
• Axe 2 : Favoriser le vivre ensemble et les leins d'entraide et de solidarité entre les habitants
• Axe 3 : Créer les conditions de la participation des habitants à la vie du CSC et du quartier
• Axe 4 : Accueillir, écouter et recenser les besoins des familles pour construire avec elles les projets
• Axe 5 : Proposer des actions et des animations de soutien à la parenmtalité avec les familles intéressées

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/1980
Population de la zone de compétence :

1972 : Le premier centre social de Vesoul : l’Espace Villon

Le centre social voit le jour, cours François Villon, par la construction d’un bâtiment de trois niveaux possédant une surface dix fois plus étendue que celle du bâtiment initial. Au-delà des permanences sociales de la CAF – Caisse d’Allocations Familiales, la CPAM – Caisse Primaire d’Assurance Maladie et de la PMI – Protection Maternelle et Infantile.

1980 : Le plan de l’État et de la Région

Un plan État-Région pour une durée de quatre ans est décrété. Dans ce cadre, le quartier peut bénéficier de la procédure DSQ (développement social des quartiers). Il est le seul quartier de Haute Saône à en être bénéficiaire. C’est le début de la Politique de la Ville.

1991 : Un bail symbolique

Le bâtiment est la propriété de la CAF de Haute-Saône, laquelle a donné à la ville de Vesoul la jouissance de l’ensemble par bail emphytéotique pour une durée de 99 années soit du 1er janvier 1992 au 31 décembre 2091.

2005 : Ouverture du foyer

Monsieur le Préfet félicite l’Espace Villon pour l’ouverture du foyer du soir permettant de minimiser les répercussions sur la commune de Vesoul pendant les émeutes de 2005.

2016 : L’engagement et les travaux

La Ville de Vesoul, avec la CAF de Haute-Saône, a décidé de s’engager dans une nouvelle dynamique afin de retrouver son agrément (2016-2020) pour l’Espace & Théâtre François Villon, à savoir :

• Remettre aux normes l’accessibilité de cet établissement,
• Refaire la salle de spectacle,
• Reconfigurer les espaces d’animations,
• Mieux structurer l’Espace Villon (recrutement d’animateurs, de coordinateurs, et d’une secrétaire),
• Conduire une restructuration fonctionnelle dans son ensemble, au fil du temps, différents acteurs du quartier avaient investi les lieux de façons « anarchique ».

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Intervenir au-delà des murs du centre social et du QPV
• Axe 2 : Assurer la prise en compte de tous les publics
• Axe 3 : Dynamiser la vie locale et favoriser le lien social
• Axe 4 : Développer et consolider la fonction « lieu ressources » pour les familles
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/12/2020
Population de la zone de compétence : 7470

En 2016, l’association Espace Bragard était créée par la fusion des associations d’éducation populaire existantes sur le quartier du Vert-Bois : le Centre Social et la Maison des Jeunes et de la Culture (MJC), avec l’objectif d’en mutualiser les moyens et les compétences au sein d’une structure unifiée plus forte, l’Espace Bragard, et d’en rendre ainsi l’action plus lisible auprès de la population. Mais lors de son conseil d’administration du 24 novembre 2018, et de l’assemblée générale extraordinaire qui a suivi, l’association Espace Bragard a décidé de sa dissolution volontaire au 31 mars 2019. En effet, les difficultés structurelles et durables qu’elle a rencontrées, en particulier en termes de gouvernance, de ressources humaines et d’instabilité financière, ne lui permettaient pas de porter un projet associatif à même de répondre aux attentes et besoins des familles du quartier et de la population en général. La Ville de Saint-Dizier se trouvant fort impactée par cette décision de dissolution, qui la privait d’un acteur clé au cœur du quartier de la politique de la ville, a décidé de reprendre en régie directe les activités de l’association à compter du 1er avril 2019. Le but est alors de maintenir l’accompagnement des familles avec l’ambition d’y développer des activités adaptées aux réalités et enjeux de société, tout en amplifiant les connexions avec les différents partenaires des politiques publiques locales, qu’elles soient sociales, éducatives, sportives ou encore culturelles. L’échelon municipal s’avérait par cela le maillon le plus pertinent, à même de jouer le rôle de catalyseur de ces différents acteurs.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : - Positionner le Centre socioculturel comme acteur incontournable du quartier et de la Ville
• Axe 2 : - Définir la stratégie et les objectifs du Centre Socioculturel, par un travail de diagnostic réalisé en profondeur dans le cadre de l’écriture du projet social.
• Axe 3 : - Développer les activités répondant aux besoins et problématiques sociales rencontrés par les habitants du quartier.
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 04/01/2016
Population de la zone de compétence : 10000

Le centre social a ouvert ses portes en octobre 2016 suite à une volonté municipale.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Etre en lien: BIEN VIVRE ENSEMBLE
• Axe 2 : Participation des habitants: AGIR ENSEMBLE
• Axe 3 : Familles & Parentalité
• Axe 4 : Jeunesse
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/2019
Population de la zone de compétence : 2831

L’Association Ferme Beaurepaire se situe au sein du Quartier Beaurepaire, Chemin des Sources à Boulogne sur Mer, dans un  ancien corps de ferme.

Le quartier Beaurepaire fait partie d'un ensemble de six cités réparties sur un plateau de 56ha au Nord de Boulogne-sur-Mer. Ce quartier jouxte celui plus important du Chemin Vert et celui limitrophe de Saint Martin Boulogne, Malborough.

 Avec ces deux quartiers, il fait partie de la Zone de Sécurité Prioritaire* et est classé prioritaire dans le cadre de la politique de la Ville**.

 Au vu du nombre d'habitants, le quartier Beaurepaire est le deuxième quartier de Boulogne-sur-Mer derrière celui du Chemin vert.

* Zone de Sécurité Prioritaire : Quartier bénéficiant d’un renforcement des dispositifs de sécurité. Les zones de sécurité prioritaires ont été définies par l’État sur des critères relatifs à l’insécurité et aux déséquilibres socio-économiques constatés.

** Politique de la Ville : La politique de la ville est une politique de cohésion urbaine et de solidarité, nationale et locale, envers les quartiers défavorisés et leurs habitants. Elle se déploie sur des territoires infra-urbains appelés « quartiers prioritaires de la politique de la ville », caractérisés par un écart de développement économique et social important avec le reste des agglomérations dans lesquelles ils sont situés.

Le quartier Beaurepaire est un quartier dont les débuts de construction datent de la fin des années 70. Le Quartier Beaurepaire est constitué en majorité d’un habitat collectif à vocation sociale.

Le quartier Beaurepaire compte 2831 habitants et représente 6.9% de la population Boulonnaise.

La Ferme Beaurepaire est quelque peu excentrée du centre du quartier, un écrin de verdure appelé «  Vallon Beaurepaire » la sépare de la zone d’habitation.

Ce bâtiment quelque peu atypique était une ferme maraichère. Les derniers propriétaires ayant perdu leur seul fils à la guerre, à leur décès le bâtiment a été mis en vente.

Début  des années 80, la ville de Boulogne sur Mer rachète la Ferme maraichère laissée à l’abandon et dans un état de délabrement avancé, restaure le bâtiment pour donner la possibilité à une association d’insertion, dénommée Alpha, de pouvoir s’y installer.

Suite aux besoins de la population du quartier, une volonté politique a fait émerger un lieu d’accueil pour enfants et adolescents. D’où la création en 1985, de l’Association Ferme Beaurepaire.

            En 1988, la ville réalise une extension du bâtiment avec la création d’une salle de 130m², ce qui lui donne la possibilité d’un accueil de 280 m² au total.

En 1991, l’association devient locataire auprès du bailleur social d’un local situé au cœur du quartier, avenue de Normandie d’une superficie de 100 m², ce qui lui permet d’y installer le club pour les ados, l’aide aux devoirs pour les enfants  et promouvoir des activités supplémentaires pour les adultes.

En 1993, Jean-Claude LIBERT est recruté en tant que Directeur de l’Association Ferme Beaurepaire.

 Il restructure l’organisation, contribue à une gestion financière saine et développe les activités pour tous les publics pour répondre au mieux aux besoins des habitants du quartier.

En juin 2014, Pierre-André RAGONS, après avoir été membre du Conseil d’Administration durant de nombreuses années, Trésorier puis Vice-Président est élu Président de l’Association. Il fait part aussitôt d’une volonté de travailler pour un conventionnement avec  la CAF dans le but essentiel de répondre encore davantage aux besoins des habitants, en y apportant entre autre une dimension professionnelle aux services rendus à la population.

En janvier 2019, l’association obtient un agrément de préfiguration Centre Social ; puis en 2020 un agrément Centre social pour la période 2020-2021.

4 axes guident le travail des équipes :

•  Accompagner la parentalité
•  Prendre en compte les questions relatives à l’éducation et à la formation
•  Contribuer à un mieux être
•  Favoriser l’accès à la culture

Pour répondre aux attentes de la Caisse d’allocation Familiale, ces 3 années sont marquées par un renforcement de l’implication et de la présence sur le quartier Beaurepaire pour que le projet touche de manière plus marquée, les habitants de la zone d’influence du centre Social.

Les années 2020 et 2021 ont été particulièrement difficiles à vivre pour les habitants du quartier et ont eu un impact considérable sur les populations quelles soient jeunes ou adultes. L’épidémie liée au coronavirus et le confinement ont eu un impact indéniable sur notre vie quotidienne, notre santé physique et mentale.

Les familles ont également beaucoup souffert du confinement car confinés en nombre dans de petits appartements avec restrictions de sortie.

Lors des différents confinements, le Centre Social a continué son action en particulier au moyen des outils multimédia. C’est ainsi qu’ont été mis en place différentes actions en visio (Cours de sport, yoga, cuisine, initiation à l’informatique) et des kits d’activités ont été créés, des livres et des jeux de société mis à disposition des familles du territoire.

C’est ainsi qu’un lien avec le public a pu être maintenu.

Au printemps 2021, la vie reprend doucement son cours et le Centre Social remet en place progressivement ses activités en présentiel.

Force est de constater que la reprise est difficile pour les habitants qui pour certains ont du mal à nouveau sortir librement de chez eux et à franchir les portes du Centre Social.

Le Centre Social multiplie donc les actions en milieu ouvert afin d’aller à la rencontre des habitants.

Au vu de ce constat, afin d’être davantage en proximité de la population, le Centre Social négocie auprès du bailleur la mise à disposition d’un nouveau local en pied d’immeuble. Des travaux de grande ampleur sont entrepris grâce au soutien financier de la CAF et de l’Etat. Ce local inauguré en novembre 2022 sera un point d’ancrage pour les familles et permettra de diversifier l’offre de services liée à l’enfance et à la parentalité.

En parallèle, l’accueil de Loisirs accueillant les enfants de 6 à 14 ans se développe. La stabilisation de l’équipe d’animation (2 animateurs en contrat d’apprentissage et un directeur adjoint), la mise en œuvre de nombreux séjours pour les enfants ainsi que l’organisation de sorties, de spectacles, vacances et soirées à thème pour les familles contribuent au développement de l’accueil et à une meilleure connaissance du public.

L’articulation activités et actions en lien avec l’implication des habitants est repensée ; des outils et des indicateurs sont mis en place pour mesurer l’impact des actions proposées aux habitants du quartier.

L’année 2021 est également marquée par la mise en œuvre de la transition de Direction  Jean Claude LIBERT, Directeur de l’Association Ferme Beaurepaire depuis 1993 ayant annoncé son souhait de faire valoir ses droits à la retraite, le Conseil d’Administration propose à Madame Stéphanie HUMETZ, salariée de l’Association depuis 2000 et Directrice Adjointe de l’Association d’en prendre les rênes à compter du 3 janvier 2022.

Titulaire d’une Maîtrise de Droit des Affaires qui ne répond pas aux critères d’agrément pour la fonction de directeur de Centre Social, Madame Humetz engage une Validation des Acquis de l’Expérience et obtient en juillet 2021 une « Licence professionnelle de Sciences Humaines et Sociales, mention Métiers de l’Animation Sociale, Socio-éducative et Socioculturelle » délivrée par l’Université de Rennes 1.

En parallèle, afin de faciliter la transition de Direction, un Diagnostic Local d’accompagnement est opéré par le Cabinet AEGIST.

Le départ du Directeur et la transition de Direction conduit le Conseil d’Administration à solliciter auprès de la  Caisse d’Allocation Familiale un prolongement de l’agrément pour l’année 2022.

En janvier 2022, le Centre Social engage une rénovation des locaux de la Ferme Beaurepaire et y associe les usagers (choix des couleurs, mise en peinture, réfection du mobilier) ; c’est le point de départ d’une plus grande participation des usagers qui non seulement participent au chantier de rénovation, aux différents comités de pilotage, sont source de proposition et pour certains animent des ateliers bénévolement

.

A l’interne, le Centre Social se structure et tend à améliorer des points organisationnels :

• La communication
• L’amélioration de la visibilité de l’association à la fois pour les adhérents, les habitants et de manière générale les Boulonnais
• La création d’espaces de travail pour chaque salarié
• L’aménagement des locaux

Une chargée de communication est recrutée en Contrat d’apprentissage ; les locaux ayant été réaménagés, chaque salarié dispose d’un espace de travail dédié et un plan de formation a été mis en place afin de favoriser la montée en compétence des collaborateurs.

Les activités et les projets se diversifient et le travail partenarial se développe. Les différents services de la ville de Boulogne sur Mer, la Communauté d’Agglomération du Boulonnais, l’Education Nationale, les structures enfances de la CAB, les Centres Sociaux du Boulonnais, les associations du territoire, les professionnels de l’éducation, de l’action sociale deviennent des partenaires réguliers du Centre Social.

Différents dispositifs tels que le Contrat Local d’Accompagnement à la Scolarité, le Réseau d’écoute, d’aide et d’appui à la parentalité, les Colos apprenantes, les vacances en famille, participent au développement des projets mis en œuvre.

Enfin, le Centre Social développe et renforce ses partenariats en proposant des temps de rencontre réguliers et développe sa communication autour du projet social.

Ainsi, le Centre Social devient un lieu identifié de l’ensemble des acteurs du territoire et un lieu ressource pour l’ensemble des habitants du quartier.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Un Centre Social proche des habitants
• Axe 2 : Soutenir la parentalité
• Axe 3 : Ouvrir le champ des possibles
• Axe 4 : Accompagner le vieillissement de la population
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/05/2020
Population de la zone de compétence : 9901

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Ouvrir davantage le centre social et le rendre plus visible
• Axe 2 : Encourager le vivre et faire ensemble
• Axe 3 : Développer la démarche de soutien à la fonction parentale
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/2019
Population de la zone de compétence : 9300

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : PRESENCE SUR LE TERRITOIRE COMMUNAL
• Axe 2 : FAMILLE PARENTALITE SANTE
• Axe 3 : LIEN SOCIAL
• Axe 4 : ENFANCE JEUNESSE
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 02/05/2020
Population de la zone de compétence : 8000

Depuis plus de 20 ans, l'association Sports Loisirs Jeunesse de Mauriac oeuvre dans l'animation de la vie sociale sur le territoire et auprès de tous les publics. L'association s'est transformée en Société Coopérative d'Interêt Collectif le 1er janvier 2020 avec comme objectif de renforcer le volet social de la structure. Au même moment, fin 2019, après plusieurs rencontres avec la CAF du Cantal, DDCSPP du Cantal, MSA AURA, Fédération Déparementale des Centres Sociaux du Cantal, Mairie de Mauriac, Communauté de Communes du Pays de MAuriac, la SCIC ASLJ se porte candidat afin de proposer un projet social pour le territoire, en y associant l'ensemble des acteurs locaux. Le 2 mai 2020, la CAF du Cantal valide le projet social, la SCIC ASLJ obtient un agrément pour une durée de 3 ans jusqu'à la fin de l'année 2022.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Positionner le centre social comme acteur central de l’animation de la vie sociale, au service de tous
• Axe 2 : Favoriser les rencontres, le lien social, lutter contre l’isolement
• Axe 3 : Développer le maillage du territoire, renforcer le « Aller-vers »
• Axe 4 : Favoriser le bien vivre sur le territoire
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/2020
Population de la zone de compétence : 8000

Création d'un centre social municipal mutli sites sur le QPV Nord avec 3 équipements en réseau. Date d'agrément  : 1er janvier 2020.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 :
• Axe 2 :
• Axe 3 :
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 09/01/2019
Population de la zone de compétence : 5800

La naissance de l’idée de l’ouverture d’un Centre social et culturel s’appuie sur une volonté de Monsieur le Maire d’offrir aux habitants des quartiers de l’Argentière, de la Croix Buard et du Vieux Pays une structure de proximité.

Ces quartiers historiques, dont le Vieux Pays en pleine mutation du fait de nouvelles constructions, ne sont pas assez couverts par des structures à la fois familiales et symbolisant une représentation municipale au sein du territoire concerné.

À la suite des discussions entre les différents acteurs, s’est donc constitué un comité technique chargé de travailler sur une étude de faisabilité quant à la potentielle ouverture d’un Centre social et culturel.

Cette structure aura pour territoire d’intervention les quartiers du Vieux Pays, actuellement dévolu au Centre social et culturel Dulcie September, de la Croix Buard et de l’Argentière.

Le but de la démarche a été de mesurer la faisabilité d’un projet d’ouverture d’un Centre social et culturel sur ce territoire dans des locaux existant, préfigurant la potentielle construction future d’un 4ème Centre social et culturel municipal.

Les objectifs en découlant ont été d’/de :

• Analyser le contexte socio-démographique.
• Esquisser les enjeux de l’implantation d’une telle structure.
• Préciser les potentialités et les freins du projet.
• Prédéfinir des éléments de fonctionnement du Centre Social et Culturel.

Une réunion de présentation de l’étude de faisabilité s’est déroulée le 12 septembre 2018 en présence de Monsieur le Maire, de Monsieur l’Adjoint au Maire, de la Direction Générale, des services techniques et de la Direction de la Cohésion Sociale.

Cette rencontre s’est soldée par la validation de la démarche d’ouverture d’un nouvel équipement socioculturel sur la ville au niveau des instances politiques.

Fort de cette étape, le projet a été présenté aux instances décisionnelles et accompagnantes le 15 mars 2019 lors d’un Comité de pilotage réunissant la CAF, la Fédération des Centres Sociaux du Val d’Oise ainsi que la ville représentée par Monsieur l’Adjoint au Maire et la Direction de la Cohésion Sociale.

Pour donner suite à la validation du principe de l’ouverture d’une telle structure par les décideurs, et en parallèle du retour de la CAF d’un potentiel accord de subventionnement, la démarche d’écriture du présent Projet social a été lancée fin mars 2019.

La finalité de ce travail, réalisé sur le printemps et le début d'été 2019, a été entériné par le Copil en juillet 2019, voté au Conseil municipal du 18 septembre et validé par la C.A.S. du 19 septembre.

La structure a ouvert ses portes au public le 11 septembre et a été inauguré le 17 septembre.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Développer la participation et le pouvoir d'agir des habitants
• Axe 2 : Promouvoir le bien-être global et la justice sociale pour les habitants
• Axe 3 : Consolider l'offre socioculturelle en direction de tous les publics
• Axe 4 : Intensifier le partenariat et la mobilisation des acteurs sur le territoire
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/2020
Population de la zone de compétence : 22655

Le territoire intercommunal de la Communauté de Communes Sud Sarthe a connu depuis la loi NOTRe, plusieurs changements :

- Trois communautés de communes ont fusionné au 1er janvier 2017.

- Départ de trois communes au 1er janvier 2018 : La Fontaine-Saint-Martin et Oizé rejoignent La CC du Pays Fléchois; Cérans-Foulletourte rejoint la CC du Val de Sarthe.

- Création d’une commune nouvelle : fusion entre Dissé-sous-le-Lude et Le Lude, au 1er janvier 2018.

La création du centre social intercommunal Equip'Ages a été initiée dans le cadre de la convention territoriale globale 2019/2023 afin de créer du lien social et intergénérationnel, de favoriser l’entraide et l’implication des habitants dans la vie locale.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Faciliter l'épanouissement et l'implication des familles
• Axe 2 : Accompagner les mutations de notre société
• Axe 3 : Faire réseau entre les acteurs
• Axe 4 : Rompre l'isolement et favoriser le lien social, etre en proximité des publics
• Axe 5 : Soutenir un réseau de partenaires

Historique

Date du 1er agrément : 01/06/2020
Population de la zone de compétence :

Axes du projet en cours :

• Axe 1 :
• Axe 2 :
• Axe 3 :
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 06/01/2020
Population de la zone de compétence : 6000

Ces cinq dernières années, des faits divers ont ébranlé fortement le quartier du Plateau (IRIS Moulin Neuf, Colonel Fabien, Dalou), et plus particulièrement le quartier politique de la ville du Colonel Fabien.

Ces faits divers incluent des phénomènes d’incivilités récurrents, d’incendies, de violences, d’agressions. Deux décès ont eu lieu dont un décès par balle suite à une altercation en septembre 2017. Les habitants vivent difficilement ces faits qui ont eu pour conséquence d’accentuer le clivage entre la « cité » et la zone pavillonnaire. La municipalité a réagi en organisant une première réunion publique (le 30 septembre 2017) qui a mis en lumière la colère et les maux des habitants.  Par la suite, une série de rencontres entre septembre et décembre 2017 (marche exploratoire avec les habitants, réunion de l’ensemble des agents des différents services de la ville travaillant dans les équipements de proximité de ce secteur, ateliers participatifs sur le thème « que construire ensemble pour bien vivre sur le Plateau ? » dans le cadre du conseil de quartier) a été organisé.

Un diagnostic de février 2019 à juin 2020. 

Le renouvellement du projet social a été validé par la CAF. Un nouvel agrément est attribué de janvier 2022 à 2025.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : renforcer le pouvoir d'agir de la jeunesse
• Axe 2 : tisser du lien social pour plus de solidarité
• Axe 3 : le citoyen3.0
• Axe 4 : pour qu'un enfant grandisse, il faut tout un village
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/2021
Population de la zone de compétence : 15000

L’historique de l’Espace Mouloudji

Le positionnement de cette structure a été voulu et réfléchi par la municipalité. En effet l’Espace Mouloudji fait partie du projet de la zone d’aménagement « Brossolette » située avenue d’Alfortville.

Décidée en 1987 par le conseil municipal et en partenariat avec l’OPAC, cette opération comporte 204 logements de type PLA, près de 500 m2 de commerces et une maison de quartier, le Parc Brossolette et ses équipements de loisirs de proximité, l’Espace Mouloudji.

Cette dernière est destinée à accueillir des cours « décentralisés » du conservatoire municipal de musique et de danse (la Tannerie), la gymnastique harmonique et un club d’activités pour les retraités.                  

Une salle de réunion est prévue et destinée à être mise à disposition des associations et notamment de l’amicale des locataires du nouvel ensemble de logement.

Ainsi terminée, cette zone devait proposer une « harmonieuse » combinaison de différents types d’habitats (logements privés et sociaux) avec des équipements et des activités commerciales.

L’aménagement intérieur a été réalisé par les ateliers municipaux et financé par la ville. L’Espace Mouloudji a été inauguré le 8 octobre 1994.

Dès l’ouverture les élus ont affirmé la volonté qu’il soit un lieu ouvert à tous les habitants favorisant les rencontres et le lien social.

En effet, son implantation lui permet d’être d’une part à proximité de logements tout en étant proche de quartiers pavillonnaires et du Parc Brossolette.

Cette implantation incite à la rencontre de différents publics et s’inscrit donc dans une logique de mixité sociale, en travaillant sur le respect de la diversité sociale et culturelle des habitants.

Au cours des années, sans oublier cette vocation originelle, le centre Mouloudji a été amené à recevoir de nombreux partenaires très différents et a  accueilli une annexe du service municipal de la jeunesse dans ses murs pendant plusieurs années.

L’équipement était géré par le service des relations publiques en coordination avec le service Développement Local et Citoyenneté et les services utilisateurs.

Depuis l’engagement de la démarche d’agrément, cela a évolué  et a amené l’Espace Mouloudji en tant que centre social à intervenir dans la gestion des salles de façon à ce que cela se fasse en toute intelligence par rapport aux activités proposées.

L’espace Mouloudji a été inauguré centre social municipal le 25 juin 2019. C’est le deuxième centre social de la ville de Choisy le roi.

Aujourd’hui, doté d’une équipe indépendante, les locaux sont totalement gérés par le centre social.

L’espace Mouloudji permet donc est lieu ressource qui permet aux habitants et aux associations locales ainsi qu’aux autres services municipaux de bénéficier d’un lieu d’accueil, d’écoute, de rencontre et d’échange adapté.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Cohésion sociale
• Axe 2 : Soutien à la parentalité
• Axe 3 : accès au droit
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 09/01/2020
Population de la zone de compétence : 5601

L’idée de l’émergence d’un Centre Social à Port-Louis date de la fin 2019. En effet c’est lors d’une rencontre entre la Caf de Guadeloupe, la municipalité de Port-Louis et l’UDAF que l’idée d’une demande de labélisation d’un équipement à vocation d’animation de la vie sociale a émergé.

En effet les locaux occupés par le Village de La Famille et de l’Enfant permettait cette réflexion ; à cette époque, il s’agissait d’une réflexion soit sur un équipement de type EVS ou de type Centre Social.

C’est dans un contexte de crise sanitaire mondiale et d’élection municipale que la réflexion a continué à murir au sein de l’association gestionnaire UDAF.

La convergence des volontés de l’équipe dirigeante de l’UDAF, de la Caf, alliée à la conviction de l’équipe municipale en place de l’époque nous a amené à demander à la CAF, l’entrée en préfiguration « Centre social ».

Le concept de « Centre social » et particulièrement d’animation de la vie sociale semble répondre à la problématique à laquelle est confrontée notre territoire et sa population.

Il manque en effet sur notre territoire, un lieu de vie et de rencontre privilégiant la mixité des publics, la prise d’initiatives et les actions intergénérationnelles.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Œuvrer pour l’autonomie des habitants en permettant à tous l’accès aux droits. Prendre en compte les publics fragilisés
• Axe 2 : Répondre aux besoins des habitants en adaptant les actions du centre social et en développant les partenariats
• Axe 3 : Citoyenneté : contribuer au mieux vivre ensemble
• Axe 4 : La participation des habitants et l'engagement des habitants
• Axe 5 : Prévention santé

Historique

Date du 1er agrément : 01/09/2020
Population de la zone de compétence : 9779

L’association La Belle Créole a été créée le 26 mai 2006, elle avait, à l’époque, pour objet l’embellissement de la cité et l’épanouissement des résidents.

Au départ, simple association des locataires de la résidence La Belle Créole, elle est devenue, de par ses actions et l’élargissement de ses champs de compétences, une association de quartiers.

Les missions de l’association « LA BELLE CREOLE » étaient alors orientées principalement sur l’accompagnement administratif et social des usagers.

Le lien social a ensuite été développé à travers des ateliers et des projets d’animations dans les résidences et les quartiers de Basse-Terre et de ses environs.

Remarquant que :

D’une part, « LA BELLE CREOLE » était fréquemment sollicitée par des associations dépassées par leurs obligations et en quête d’un soutien solide pour les accompagner dans leurs démarches administratives et leur gestion courante. Elles lui faisaient remonter leurs difficultés dues au manque d’informations, aux fonctions d’administrateur souvent occupées par des personnes sans emploi et peu formées sur leurs obligations et responsabilités, aux lourdeurs administratives qui freinaient leurs actions.

D’autre part, les partenaires institutionnels et privés lui exprimaient leur souhait de disposer d’un interlocuteur représentatif et fiable car les lignes budgétaires étant de plus en plus serrées, seules les structures les plus crédibles et les plus pertinentes pourraient prétendre à leur soutien.

La pression conjointe des associations, des partenaires, des politiques, de la SEMSAMAR ainsi que des autres bailleurs sociaux a conduit l’association de quartiers que nous étions à devenir une Fédération.

« LA BELLE CREOLE » Fédération du Lien Économique Social et Solidaire a ainsi été inaugurée le 1er février 2017 en présence de ses partenaires (Etat, collectivités, bailleurs sociaux et associations).

Elle assure des missions et met en place des actions selon 4 axes :

• l'accompagnement et la médiation sociale
• le conseil en insertion professionnelle
• l'accompagnement des associations
• la formation en médiation sociale, des responsables associatifs et de publics particuliers (étrangers, illetrés...)

La Fédération la Belle Créole œuvrait ainsi à travers des actions et missions déjà en adéquation avec celles d’un centre socio-culturel.  C’est ainsi que nous nous sommes, dès que l’opportunité s’est présentée, orientés dans la démarche de demande d’agrément pour une transformation partielle en centre Socio-Culturel.

La Fédération doit être plus que jamais aux côtés des habitants afin de mieux : les soutenir et répondre à leurs attentes.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : COHESION SOCIALE
• Axe 2 : AMENAGEMENT DU CADRE DE VIE
• Axe 3 : INSERTION SOCIALE
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/09/2020
Population de la zone de compétence : 7850

L’association est née suite au constat suivant fait par un groupe de Gourbeyriens :

• Une multitude d’acteurs sociaux
• Une absence de synergie
• Difficulté à s’orienter, à se faire aider, accompagner de manière simple et efficace
• Une absence de proximité dans les prises en charge.

Elle est née le 03/10/1997.

L’objet de l’association est d’assurer un accompagnement vers l’insertion sociale et professionnelle à tous ceux qui en expriment le besoin.

Le dispositif mis en place se veut être un outil de proximité au service de tout un chacun.

Cette proximité constitue la pierre angulaire d’un système d’accompagnement ou les interactions entre institutions (publiques ou privées) sont indispensables.

L’association agit selon le concept suivant :

« FAIRE DE LA PROXIMITE UN OUTIL D’INSERTION »

Evoluer vers un centre social nous permet de renforcer nos actions transversales et pluri générationnelles et ainsi mieux répondre aux attentes de la population dans une logique de co-construction faisant appel à la participation et à l’implication de tous. Aussi bien pour l'élaboration du projet que pour la conduite des activités.

Notre action s’articule autour d’axes comme La démocratie, la solidarité, l’équité, la et le respect de l’être humain..

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Favoriser le développement des personnes en contribuant à leur insertion sociale et professionnelle
• Axe 2 : Développer l’accompagnement de la famille et de la fonction parentale
• Axe 3 : Renforcer le soutien à la vie associative pilier du lien social et ainsi favoriser la participation et l’implication des habitants
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/09/2020
Population de la zone de compétence : 2000

L'Amical Club Darboussier (ACD) est initialement une association sportive et culturelle dont la pratique est le Basket Ball. Elle est située au cœur de la sortie Sud Est de Pointe à Pitre (quartiers Raspail-Carénage-Chemin neuf), zone classée Quartier Prioritaire de la Ville (QPV). Par son implantation et la socio-démographie du public qu’elle touche, l’association se doit d’avoir d'autres missions que celles purement sportives. Les composantes sociales et culturelles des actions du club se sont renforcées ces derniers temps pour répondre aux besoins du territoire. Après plusieurs années d’actions en faveur des jeunes, la réalité du terrain nous pousse à des projets transversaux, mobilisant les familles et toutes les générations autour de ces jeunes. La création d’un lieu commun, ancré dans le quartier, nous a apparu important dans ce contexte. Après l’agrément « Espace de vie social » obtenu en 2018, l’Amical Club Darboussier a souhaité devenir Centre Social pour étendre son champ d’action et ainsi coller aux besoins du QPV. C’est chose faite depuis le 1er septembre 2020.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Médiation en milieu scolaire : espaces parents et médiateurs à l'école
• Axe 2 : animation jeunesse
• Axe 3 : appui global à la population (accompagnement, assistance, solidarité)
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 09/01/2020
Population de la zone de compétence :

Le centre social de Moudong vient remplacer une strucutre communale: Maison de quartier (MDQ). Moudong est une zone divisée en trois parties: Nord, Centre et Sud. La MDQ compataie trois salariés (1 agent d'entretien, 2 animatrices). Les activités diverses répondaient principalement aux besoins liés au diagnostic réalisé dans le cadre de la politique de la ville (Contrat de ville). La zone géographique est classée en Quartier de veille active (QVA).

La concentration des entreprises industrielles et commerciales donne un caractère particulier à ce bassin de population. il faut compter près de 4 000 entreprises ce qui engendre une circulation très dense. Cette zone appelée Jarry est le quasiment le poumon économique de l'île. Pourtant il est a constaté que le taux du chômage des jeunes reste très élevé.

Depuis la création du centre social, l'équipe s'étoffe. Plusieurs rencontres avec les principales associations du quartier ont été tenues. Les habitants commencent à être informés sur les prérogatives de cette nouvelle entité administrative socioculturelle.

Il est à noter que la crise sanitaire, la réorganisation des services municipaux et un nouvement social qui paralyse  la ville depuis plus de 3 mois occasionnent des préjudices au fonctionnement du centre social.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : renforcer les liens existants
• Axe 2 : Développer une offre de service adaptée aux différents besoins
• Axe 3 : impliquer les habitants dans l'instance de gouvernance
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/2021
Population de la zone de compétence : 4432

Les quartiers de Bonan, Vassor et Sergent se sont constitués dans les années 50. A l’origine, ces quartiers étaient dépourvus d’équipements et de réseaux d’assainissement. L’eau étant essentielle à la vie, les mares jouaient un rôle important dans la structuration de ces quartiers. Trois principales mares étaient dispersées sur le quartier : la mare de Calebassier, la mare de Bonan et la mare de Vassor.Suite au cyclone Hugo en 1989, un large effort de reconstruction et de rénovation a été entrepris par la commune du Moule. Lors de la Rénovation d'Habitat Insalubre (RHI) des quartiers de Bonan / Vassor / Sergent, l’espace a été réaménagé et la mare comblée, car perçue comme un symbole d’insalubrité. Bien qu’il ne reste plus de marques de cette histoire, le lieu reste un espace identifié aux yeux des habitants de ces quartiers, porteur d’histoires et d’anecdotes en tout genre. Peu après le cyclone ont été érigés les premiers programmes de logements sociaux. A cette époque, le principe retenu était le suivant : réaliser en simultané les programmes de logements et les équipements permettant un accompagnement social de la population. La mare avait été comblée afin de permettre la réalisation de diverses pratiques sportives (football, basket,…). Cet espace a rapidement fait l’objet de conflits de générations, les « grands » venant chasser les « petits » en fin de journée. La commune a donc décidé de repenser cet espace, en construisant une maison de quartier . Elle a certes été réalisée en chantier d’insertion, mais n’a pas fait l’objet d’une concertation accrue avec la population, ni d’une programmation approfondie, en effet, l’animation quotidienne et évènementielle de l’espace n’avaient pas été suffisamment pensée, l’espace de Vassor a petit à petit été abandonné et s’est au fil du temps dégradé. Faute d’une utilisation suffisante, la collectivité décidé de démolir la maison de quartier. En 2015 l'équipe projet du Contrat de Ville ( CDV) réalise un dignostic partagé qui fait émergé un cumul de problématiques, ainsi qu'un nouveau mode d'habiter donnant place à certaines ruptures . En effet La RHI a engendré des ruptures et modifié considérablement les solidarités de proximité qui était inscrite au cœur de l’habiter populaire. Pour beaucoup, on est passé de la sociologie du lakou à la sociologie « des cités ». Aujourd’hui bien que qualifiés et rénovés, ces quartiers inscrits à la géographie prioritaire de la politique de la ville n’en demeurent pas moins confrontés à de multiples défis, dont celui de la cohésion sociale. Nous sommes passés durant les trente dernières années d’une organisation et d’une dynamique sociale marquée par des mécanismes de solidarité de proximité à une modernisation de l’habiter populaire. Le constat est le suivant : cette démarche a généré une libération du temps social. Le temps social des quartiers était structuré autour de la corvée d’eau, les mares jouaient un rôle important en matière de cohésion sociale sur la zone. La mare de Vassor, en particulier, qui était la plus vaste et la plus importante de ces mares, jouait une fonction importante à l’échelle des quartiers. Celle-ci tenait à la fois une fonction de lavoir, de réserve d’eau pour les commodités ou encore de jeux pour les enfants .Dès lors, on parlera de sociologie de l’eau où on est passé de la mare au robinet. Les corvées d’eau qui étaient souvent réservée aux enfants n’existent plus. La RHI a libéré du temps social qui en contrepartie n’a pas été structuré. Inévitablement, a émergé un besoin de structuration du temps libre. On peut observer l’apparition d’une pluralité d’effets pervers dont la distanciation sociale. En effet auparavant des réseaux de solidarités se créait naturellement;. la RHI a rapproché physiquement dans les logements sociaux mais paradoxalement les personnes se sont éloignées socialement. En opposition au mode d’habiter horizontal, le mode d’habiter vertical a cloisonné voire isolé un bon nombre de familles. Le type de constructions des logements sociaux a indéniablement impacté la culture de solidarité qui existait au sein de ces quartiers. On assiste, à travers le processus de décohabitation à un éparpillement des cellules familiales traditionnelles. Ce processus a eu pour conséquence l’isolement familial et l’affaiblissement des solidarités de voisinage Fort de ces constats, en 2017 dans le cadre du CDV une collaboration s'est mis en place avec la CAF de la Guadeloupe. Le travail de diagnostic a très tôt fait émerger la nécessité de l’implantation d’un Centre social au sein des quartiers prioritaires. Dans cette continuité plusieurs temps de concertation ont eu lieu avec la population, les associations, les services municipaux et des acteurs partenaires, parallélement quatre scénarios d'espace public ont été pensés et présentés à la population. Dans sa démarche d'implantation d'un Centre social, La collectivité s'est voulue innovante et cohérente quant à ce nouvel outil.La commune a fait le choix d'axer son approche sur le développement humain afin de favoriser l'implication de la population tant dans une dynamique de croissance individuelle et également pour une approche collective et cela dans tous les domaines possibles ( social, économique, culturel...) Dès lors, le Moule a fait le choix d'ajouter à son écosystème " un révélateur de potentiels" visant une contribution forte de la population dans la résolution de leur propre problème. Autrement dit, il s'agit de permettre la conception d'animations et de prestations de services qui serait accompagnés par le Centre de Développement Humain ( CDH) et mis en oeuvre par les habitants.De surcroît, il est à noter qu'à travers le CDV plusieurs services municipaux et des associations proposaient dèja de l'animation vie sociale qui nécéssitait tout de même un cadre d'intervention; C'est ainsi qu'en 2021 nous obtenons un agrément . Actuellement,les animations sont faites hors les murs. Le CDH intégrera bientôt le Local Commun Résidentiel de Bonan (convention avec la SEMSAMAR) dans l'attente de s'installer dans la structure définitive qui est actuellement en chantier. L'équipe est composé pour l'instant d'une Responsable Carole CABARRUS ANNICETTE, d'une Référente Famille nommée en le 1er Juin 2023 et très bientôt d'un Médiateur en faveur de la mobilisation des habitants et d'un Agent d'accueil. L'instance décisionnel est le Conseil Municipal, notre Maire est Madame Gabrielle LOUIS CARABIN. Le CDH poursuit son travail de structuration ( animations, site internet, développement de ses axes stratégiques, volet participatif et d'insertion)

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Accompagner les enfants et les jeunes dans la réussite éducative
• Axe 2 : Favoriser l’implication des familles en les accompagnant dans l’exercice parental
• Axe 3 : Accompagner la participation citoyenne et favoriser les initiatives populaires
• Axe 4 : Promouvoir le développement des associations et de l’Economie Sociale et Solidaire (ESS)
• Axe 5 : Promouvoir une culture de la santé et du bien-être dans les quartiers prioritaires - Axe 6:Accompagner les séniors dans leur quotidien -

Historique

Date du 1er agrément : 26/10/2021
Population de la zone de compétence : 6000

L’EAB a ouvert ses portes en 1995 sous la forme d’un accueil de loisirs enfants et adolescents et quelques propositions socio-culturelles à destination des familles. Rattaché au projet social de la Maison de Quartier de l’île, l’EAB était donc un lieu d’animation globale, dépendant des moyens de la Maison de quartier de l’île avec des ateliers, de l’offre associative et quelques temps fort de types fête du jeu et fête de quartier.
Selon les habitants, il y avait un véritable lieu de vie pour la jeunesse, quelques adultes venaient même s’initier aux ateliers proposés.
En 2015, La restructuration de l’offres éducative en direction des adolescents s’est organisée sur une dimension territoriale à partir de du studio 11/15.
Malgré les actions d’accompagnement des ados de Beaulieu vers les propositions du studio, cette nouvelle organisation a été vécue comme une forme d’abandon.
Les actions socio-éducatives en direction des adolescents se sont donc progressivement amoindries sur l’EAB au profit de l’accueil de loisirs enfants et d’une offre d’ateliers ainsi que quelques actions parentalité et de loisirs en famille.
Une certaine résignation s’est progressivement installée de la part des habitants. Certains ont le sentiment que ce lieu ne s’adresse pas, plus ou insuffisamment à eux, et beaucoup évoquent le besoin d’avoir une espace de proximité ouvert plus largement sur le quartier et pour les habitants de tout âge.
L’EAB ne demande donc qu’à être repensé avec les habitants, et les partenaires locaux pour vivre en prise avec les attentes du quartier.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Renforcer le lien social et les relations intergénérationnelles et interculturelles
• Axe 2 : Animer la vie sociale du quartier en lien avec les acteurs locaux
• Axe 3 : Aller de la participation vers l’appropriation du CSC par et pour les habitants
• Axe 4 : Accompagner la relation Parents/Enfants
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 09/01/2020
Population de la zone de compétence :

Notre histoire  commence avec le rassemblement d' une bande de jeunes sur la petite place publique du bourg de la ville des Abymes .Jeux ,blagues ,commentaires de faits d'actualités sportifs, culturels, et politiques y allaient de bon train .De ces rencontres quotidiennes nait l'idée de doter la jeunesse Abymienne d'une structure éducative et en particulier d'une bibliothèque à l'instar de ce qui se réalisait à l'extérieur de la Guadeloupe.

Nous sommes au début des années 60,la Guadeloupe s'ouvre progressivement au monde .Des informations extérieures arrivent plus régulièrement à notre porte ,le mouvement d'Education populaire et les Maisons des jeunes et de la Culture entre autres sont en plein essor sur le territoire français. Les premières  MJC ont vu le jour dans le Département . Les jeunes  du bourg des Abymes revendiquent alors leurs droits de posséder aussi une " Mézon dè,jenn " ou ils pourront venir se divertir.

Ces aspirations furent l'objet de virulents échanges entre les jeunes revendicatifs et les représentants politiques communaux de l' époque qui ne l'entendaient  pas de la même oreille.

Des revendications menées par les TAFIAL ET LECONTE entre autres ,et le soutien appuyé de Monsieur Frédéric JALTON conseiller général et le futur maire de la ville des Abymes naîtra la MJC DES ABYMES. 

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Développer les liens sociaux
• Axe 2 : favoriser l'épanouissement de l'humain à tout âge
• Axe 3 : contribuer à la vie citoyenne sur le territoire
• Axe 4 : Permettre la culture de masse avec des thématiques
• Axe 5 : Aider à la création de projets innovants dans le domaine de la transition écologique

Historique

Date du 1er agrément : 10/01/2019
Population de la zone de compétence : 398

L’Association départementale(s) pour la promotion et l’accès aux droits des Tsiganes / Gens du voyage (ADEPT) est une association loi 1901 qui a vu le jour en 1969 à l’initiative de plusieurs militants bénévoles. L’association a pour principal objet de développer la connaissance et la reconnaissance sociale, économique, culturelle ainsi que les modes d’habitat des familles Tsiganes/Gens du voyage. Dans ce but elle agit pour promouvoir leurs accès au droit, les accompagner afin de favoriser l’émergence et la réalisation de projets adaptés d’habitat, d’activité économique et autres améliorations des conditions de vie. En conséquence l’association lutte contre les discriminations que les Tsiganes / Gens du voyage peuvent subir et engage toute médiation et collaboration nécessaire. L’association agit également pour la résolution de toutes situations indignes d’habitat ou autres formes d’exclusion subies par tous publics autres que les Tsiganes/Gens du voyage, quelles que soient leurs situations administratives ou leur titre d’occupation.

Dans le cadre de l’ouverture de deux aires d’accueil des Gens du Voyage en 2017 et 2018, la ville de Paris a souhaité réaliser un diagnostic du fonctionnement de l’AAGV Vincennes. Cette étude de diagnostic social du fonctionnement de l’aire d’accueil des Gens du voyage du bois de Vincennes a été réalisé par Tsigane Habitat de novembre 2018 à mars 2019. Cette étude a permis, sur la base d’une meilleure connaissance des éléments de contexte régionaux concernant la situation d’implantation des Gens du voyage en Ile de France, de l’analyse de la conception, de la gestion, de l’accompagnement socio-éducatif de l’aire et surtout de la situation des ménages occupants l’aire, de dresser des perspectives en termes de fonctionnement.

Le scénario retenu par la Ville de Paris a été le suivant : 

• Maintien d’une aire d’accueil sur le site du Bois de Vincennes
• Simplification du projet initial, tout en maintenant des emplacements dédiés aux aidants et personnes hospitalisées sur Paris
• Accompagnement de cette nouvelle démarche par un projet social ambitieux et adapté aux besoins constatés sur l’aire d’accueil
• Mise en place d’un protocole de scolarisation
• Création d’un centre social itinérant pour favoriser l’inclusion des familles et animer ce lieu de vie isolé.

La ville s’est donc orientée vers une évolution de la destination de l’aire avec une volonté de favoriser l’ancrage des ménages, notamment pour les personnes les plus vulnérables, impliquant une évolution du règlement intérieur et du projet social. Cette évolution de la vocation de l’aire d’accueil du bois de Vincennes, adossée à un nouveau règlement intérieur, le renforcement de la gouvernance et du projet social, sera également appliquée à l’aire d’accueil du Bois de Boulogne.

Tsigane Habitat préconisait par ailleurs à l’occasion de ce diagnostic la mise en place d’une médiation en direction des familles occupant l’aire du bois de Vincennes, médiation visant à créer du lien avec les personnes, à faciliter la gestion et la gouvernance, et accompagner les évolutions à venir sur l’aire (fermeture et réouverture).

Cette mission a été confiée à l’ADEPT en avril 2019, avec celle de rédiger un projet social en vue de la réouverture des aires en septembre 2019. La mission de médiation a permis de tisser et surtout de renouer des liens avec des familles bien connues de l’association. Si la mission n’a pas permis un départ du groupe en amont de la procédure contentieuse, elle a donné une fluidité dans la circulation de l’information entre les parties en présence et la mise en place d’une veille sociale par rapport à des situations particulièrement vulnérables identifiées.

Ce travail a surtout permis de préciser le diagnostic initié par Tsigane Habitat sur les particularités de ce groupe de familles et de définir les grands axes de travail à développer auprès des voyageurs à la réouverture des aires dans le cadre de la création d’un centre social itinérant.

L’ADEPT a ainsi obtenu fin 2019 deux agréements (Animation collective Familles et Action globale Coordination) au titre du centre social itinérant, par la Caisse d’Allocations familiales de Paris pour intervenir sur les aires d’accueil des Gens du Voyage de Paris jusqu’à décembre 2020. La mise en oeuvre du centre social itinérant en 2020 a permis la réalisation d’un diagnostic approfondi et partagé sur les deux aires d’accueil et de co-construire un projet social au plus proche des réalités en présence, avec la ville de Paris et la CAF de Paris. L’ADEPT a ainsi obtenu début 2021 ses deux agréements au titre du centre social itinérant allant jusqu’à décembre 2022.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Affirmer le rôle du centre social au service d’un public spécifique
• Axe 2 : Encourager l’inclusion sociale dans le territoire et l’ouverture vers l’extérieur de la communauté
• Axe 3 : Soutenir la parentalité
• Axe 4 : Favoriser la scolarisation des enfants et l’accès aux sports, aux loisirs et à la culture pour les familles
• Axe 5 :