Les actions des centres sociaux
Actions
Troc Ton Temps (TTT) au Village Pierre Rabhi
- Structure organisatrice
- Centre social - Village Pierre Rabhi - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Démocratie & citoyenneté
- vacances / loisirs
- Résumé
Des adolescents organisent ou participent à des actions pour auto financer leurs activités/sorties/séjours organisées dans le cadre du Centre social-CCAS.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Autre
- Précision ( si autre )
Autres :Services municipaux Education , Administration générale, Espaces verts;
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place pour permettre d'une part aux adolescents de participer au financement de leurs vacances, donc d'en réduire le coût et faire en sorte qu'elles soient plus accessibles financièrement pour leurs parents, d'autre part d'être responsabilisés. Le Centre social-CCAS ayant des usagers en situation pour certains de précarité économique, c'est un levier pour leur permettre d'isncrire leurs enfants à certaines activités.
Par ailleurs, ils sont au travers de cette action sensibilisés à la valeur "des choses", à la gestion d'un budget et à la démarche projet.
Enfin cela permet de modifier l'image de la jeunesse, active et collaborative.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Commune
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
L'action a débuté il y a plusieurs années, suite à une réflexion des agents du Pôle Jeunesse pour répondre à ses différents objectifs éducatifs , notamment la responsabilisation et l'accès aux séjours organisés.
Les adolescents, acompagnés par les animateurs, organisent des actions qui leur permettront de récolter de l'argent (lavage de voiture, nettoyage-désherbage, distribution de journaux , service au cours de pots officiels, distribution de thé, vente de croque-monsieurs, préparation de sandwichs...).
Ces actions sont préparées en début d'année par un groupe d'adolescents , qui choisissent les idées d'actions à mener, et un ou des animateurs. Une fiche technique de préparation est élaborée de même qu'une fiche bilan. Les moyens mobilisés sont de différentes natures (matériel, humains,...). Les adolescents s'isncrivent sur un calendrier annuel et réalisent le TTT.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Chaque TTT a un budget différent. Les moyens investis pour l'action (exemple : achat de farine pour faire des crêpes) sont déduits de l'excédent réalisé. La somme des gains est collective, le bénéficie de chaque TTT est divisé par le nombre d'adolescents y ayant participé et proratisé selon l'engagement de l'adolescent dans le TTT, en référence à un barème préalablement expliqué aux adolescents. Un crédit peut être ainsi constitué. En fonction de leur participation, ils cumulent un montant d'argent fictif auprès des animateurs, dont ils peuvent se servir lorqu'ils le veulent.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Un animateur à chaque TTT et plusieurs adolescents selon le TTT de 2 à 8.
L'équipe du Pôle jeunesse en amont et aval, de même que les agents des services municipaux partenaires le cas échéant.
- Résultat sur le territoire
La représentation et la place faite aux "jeunes" par kes adultes, et réciproquement, est perçue à travers les TTT. Cette action illustre ainsi la politique municipale jeunesse et l'image de la Ville.
Intérêt de cohésion intergénarationnelle.
- Résultat pour le centre social
Le Centre social-CCAS travaille en transversalité avec d'autres services, met en avant une démarche responsabilisante qui va à l'encontre des démarches assistancielles. Le centre social est perçu comme porteur de démarches innovantes et ouvert vers l'extérieur, comme un partenaire également.
- Résultat pour les habitants
Les habitants qui bénéficient du TTT sont heureux d'être au contact d'adolescents, qui leur rendent un véritable service parfois, et vont participer davantage (solidarité) dès lors qu'ils savent que l'excédent réalisé va permettre aux adolescents de participer à des activités/séjours;
Les adolescents selon les TTT découvrent également leur ville, leur mairie, s'investissent dans des actions collectives (socialisation, découvertes d'activités), apprécient également d'être au contact d'adultes, ils se sentent valorisés et utiles.
Les parents des adolescents sont satisafaits par la démarche, tant pour la responsabilisation que l'aspect économique.
- Suite de l'action : Limites
Les TTT ne doivent pas donner lieu à un "droit de tirage" pour les autres services municpaux, afin de ne pas instrumentaliser les adolescents.
L'organisation et le déroulement des TTT peuvent être chronophages , donc leur nombre doit être mesuré sur une année.
la présence d'adultes (animateur) est un factuer de réussite.
- Suite de l'action : Perspectives
Progammer les différents TTT de manière équilibrée : à l'initiative des adolescents et sollicités par d'autres services.
Bien identifier, de amnière collective, et au-delà de l'intérêt financier, l'apport de cette action pour les adolescents.
Actions
Minecraft et opération de rénovation urbaine
- Structure organisatrice
- CENTRE JACQUES TATI - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Environnement
- développement durable
- Résumé
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Description générale
- Un usage important des outils numériques
100 % des 12 – 17 ans sont internautes (CREDOC 2013) !! Cette statistique démontre l'omniprésence des outils numériques dans la vie quotidienne des jeunes. Les usages sont multiples et variés : communiquer, jouer, s'informer, regarder des vidéos ou encore écouter de la musique. Les postures des jeunes vont du simple consommateur à producteurs de contenus (vidéos, audios, écrits, photos ou tout à la fois ce qu'on appelle le transmedia). Chaque jeune développe son propre rapport aux outils numériques qu'il convient de repérer, alimenter, nourrir.
- Des usages différents et porteurs de sens
Tous les jeunes ont des rapports différents aux outils numériques et médiatiques que ce soit en terme de temps passé, de postures (consommateur, consommateur-critique, producteurs), d'outils utilisés. Ainsi se sont des cultures numériques qui se construisent et se recomposent dans un temps très restreint.
Ceci vient questionner tous les éléments de la vie des jeunes. Tout d'abord le rapport des jeunes au monde extérieur : comment on se représente le monde ? Quels modes de relations sociales ? Ces outils viennent aussi dire des choses sur ce que sont les jeunes : Quelles identités sont incarnées (un moi commercial, un moi affectifs pour exemples) ? Qu'est ce que les jeunes disent d'eux sur l'espace numérique ? Les jeunes sont ainsi acteurs de leur image.
- Des usages circonscrits
Beaucoup de jeunes utilisent les outils numériques de manière très restreintes. Ce sont surtout quelques sites internet qui sont utilisés (Youtube, Google, Facebook) avec des connaissances très techniques mais peu critiques. De la même manière les outils numériques ont un potentiel énorme de création et de valorisation de nouvelles pratiques qui sont peu utilisées par les jeunes.
Le rôle des médiateurs numériques est donc double : apporter une culture numérique critique qui permette la compréhension des enjeux des outils numériques et accompagner ces pratiques numériques pour que les jeunes soient acteurs de l'espace numérique et qu'ils deviennent des citoyens 2.0.
- Une dynamique autour des jeux vidéo
Les jeunes du quartier utilisent la salle informatique pour jouer. Il s'agit du jeu Minedraft qui est beaucoup utilisé. En 2015, nous avons installé un serveur Minecraft pour que les jeunes aient leurs propres cartes (map) pour y construire ce qu'ils souhaitent.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Public
Rappel des public(s) cible(s) à l’origine de l’action :
Quelle est l’origine géographique du public bénéficiaire (quartiers CUCS et hors CUCS)
Si significatifs expliquez les écarts entre public(s) cible(s) et public(s) bénéficiaire(s)
Au total, 17 jeunes ont participé à la réalisation de cette carte virtuelle du quartier. 15 jeunes faisaient partis du territoire CUCS.
- Résultat sur le territoire
Objectifs :
1) Permettre aux jeunes de développer leur créativité à travers les jeux vidéo
2) Valoriser cette créativité en leur proposant de reconstruire leur quartier en jeux vidéo
3) Sensibiliser les jeunes aux règles dans un espace public numérique
Les objectifs ont-ils été atteints?
Les jeunes ont créé une première zone du quartier en jeux vidéos. Celle-ci correspond à la zone autour du centre Jacques Tati (le premier défi proposé étant la construction du centre Jacques Tati). Petit à petit les rues Eugénie Mansion, Henri Hamelin, la place Dauversière, la rue Boisramé ont été construit soit lors des ateliers à Tati soit chez eux. Pour réaliser nous avons pris des photos du quartier, nous avons utilisé aussi Earth pour avoir des plans. Pour prendre des décisions, nous faisions des points réguliers pour revenir sur les constructions faîtes et celle à faire. Ces réunions servaient aux jeunes à se répartir les constructions. C’est donc à travers une dynamique collective que nous avons avancé sur ce projet.
Les jeunes ont souhaité avoir des retours des habitants rapidement. Dans ce cadre, nous l’avons valorisé auprès de 3 publics :
- Les habitants du quartier (Faîtes l’Hiver 2015)
- Les jeunes d’autres quartiers (Jidéogames 1 avril 2016)
- La maison du projet (février 2016)
Les premiers retours étaient positifs sur la possibilité de refaire son quartier comme on a envie. Ceci a poussé les jeunes, avec mon soutien, à proposer cet outil à la maison des projets. Nous l’avons fait devant le directeur du pôle territorial Belle-Beille et l’urbaniste en charge de la rénovation du quartier. Les retours ont été positifs. En revanche les changements de direction de la Maison du Projet a freiné sa valorisation dans la mesure ou les référents changeaient. Une rencontre aura lieu prochainement pour envisager un stand « Minecraft » dans la maison du projet.
- Résultat pour le centre social
Objectifs :
1) Permettre aux jeunes de développer leur créativité à travers les jeux vidéo
2) Valoriser cette créativité en leur proposant de reconstruire leur quartier en jeux vidéo
3) Sensibiliser les jeunes aux règles dans un espace public numérique
Les objectifs ont-ils été atteints?
Les jeunes ont créé une première zone du quartier en jeux vidéos. Celle-ci correspond à la zone autour du centre Jacques Tati (le premier défi proposé étant la construction du centre Jacques Tati). Petit à petit les rues Eugénie Mansion, Henri Hamelin, la place Dauversière, la rue Boisramé ont été construit soit lors des ateliers à Tati soit chez eux. Pour réaliser nous avons pris des photos du quartier, nous avons utilisé aussi Earth pour avoir des plans. Pour prendre des décisions, nous faisions des points réguliers pour revenir sur les constructions faîtes et celle à faire. Ces réunions servaient aux jeunes à se répartir les constructions. C’est donc à travers une dynamique collective que nous avons avancé sur ce projet.
Les jeunes ont souhaité avoir des retours des habitants rapidement. Dans ce cadre, nous l’avons valorisé auprès de 3 publics :
- Les habitants du quartier (Faîtes l’Hiver 2015)
- Les jeunes d’autres quartiers (Jidéogames 1 avril 2016)
- La maison du projet (février 2016)
Les premiers retours étaient positifs sur la possibilité de refaire son quartier comme on a envie. Ceci a poussé les jeunes, avec mon soutien, à proposer cet outil à la maison des projets. Nous l’avons fait devant le directeur du pôle territorial Belle-Beille et l’urbaniste en charge de la rénovation du quartier. Les retours ont été positifs. En revanche les changements de direction de la Maison du Projet a freiné sa valorisation dans la mesure ou les référents changeaient. Une rencontre aura lieu prochainement pour envisager un stand « Minecraft » dans la maison du projet.
- Résultat pour les habitants
Objectifs :
1) Permettre aux jeunes de développer leur créativité à travers les jeux vidéo
2) Valoriser cette créativité en leur proposant de reconstruire leur quartier en jeux vidéo
3) Sensibiliser les jeunes aux règles dans un espace public numérique
Les objectifs ont-ils été atteints?
Les jeunes ont créé une première zone du quartier en jeux vidéos. Celle-ci correspond à la zone autour du centre Jacques Tati (le premier défi proposé étant la construction du centre Jacques Tati). Petit à petit les rues Eugénie Mansion, Henri Hamelin, la place Dauversière, la rue Boisramé ont été construit soit lors des ateliers à Tati soit chez eux. Pour réaliser nous avons pris des photos du quartier, nous avons utilisé aussi Earth pour avoir des plans. Pour prendre des décisions, nous faisions des points réguliers pour revenir sur les constructions faîtes et celle à faire. Ces réunions servaient aux jeunes à se répartir les constructions. C’est donc à travers une dynamique collective que nous avons avancé sur ce projet.
Les jeunes ont souhaité avoir des retours des habitants rapidement. Dans ce cadre, nous l’avons valorisé auprès de 3 publics :
- Les habitants du quartier (Faîtes l’Hiver 2015)
- Les jeunes d’autres quartiers (Jidéogames 1 avril 2016)
- La maison du projet (février 2016)
Les premiers retours étaient positifs sur la possibilité de refaire son quartier comme on a envie. Ceci a poussé les jeunes, avec mon soutien, à proposer cet outil à la maison des projets. Nous l’avons fait devant le directeur du pôle territorial Belle-Beille et l’urbaniste en charge de la rénovation du quartier. Les retours ont été positifs. En revanche les changements de direction de la Maison du Projet a freiné sa valorisation dans la mesure ou les référents changeaient. Une rencontre aura lieu prochainement pour envisager un stand « Minecraft » dans la maison du projet.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
"Le Trois-Mâts accoste"
- Structure organisatrice
- MAISON DE QUARTIER LE TROIS MATS - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Démocratie & citoyenneté
- vacances / loisirs
- Résumé
Animations de proximité en pied de batiment, sur des ilôts d'habitat social.
installation d'un espace de vie
Pour les autres périodes, l’utilisation des espaces sportifs identifiés sur le quartier comme ceux de la Baraterie et Villoutreys permettra à l’équipe de mettre en place des
animations sportives avec le soutien des associations telles que le Sporting Club angevin et autres associations sportives ainsi que le Service des Sports de la Ville
d’Angers. Ces actions permettront d’entrer en relation avec les jeunes éloignés de nos propositions, considérant que les pratiques sportives sont des supports adaptés pour
une grande majorité des jeunes. Elles seront néanmoins compléter par des temps de proximité plus déambulatoire pour capter les jeunes là où ils se trouvent.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La constructiuon sociologique fait souvent référence à une "mixité" de l'hébiatnt et la population. Des îlots font apparaitre des signes d'appauvrissement e tde précarisation, nécessitant une attention toute particulière, notamment en période estivale. Le départ en vacances n'est pas une évidence pour tout le monde.
L'enjeu de cette démarche de proximité est de s'adresser vers des ilôts ou secteurs encore éloignés de nos propositions plus traditionnelles. Faire du hors les murs s'inscrit dans l'idée d'aller vers, de s'immiscer dans des espaces informels de lieux de vie public, en période estivale pour capter l'attention, la prole et l'engagement des jeunes et de tous les publics plus largement...
« Aller vers » les habitants implique la mise en oeuvre des moyens nécessaires facilitant :
- ... l’interconnaissance et la convivialité.
- ... l’accès des habitants aux outils de droit commun.
- ... leur implication dans la vie de leur quartier.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Association locale
- Bailleur social
- Commune
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Mobilité et identification de l’équipe :
- .... Choix d’un espace sur chaque quartier repérable et adapté.
- .... Véhicule permettant l’installation d’un espace convivial et attrayant.
® ......Supports d’animation et d’information favorisant la rencontre et le lien avec les
habitants :
- .... Prise en compte de leur parole par le biais des supports audiovisuels : micro trottoirs, photo, vidéo, radio.
- .... Animation ludique : jeux de plein air / jeux de plateau.
- .... Temps d’information spécifiques dédiés à des thématiques liées à la recherche d’emploi, la santé, les vacances, l’éducation et la scolarité avec la
présence 1 fois par mois du coordinateur parentalité de la maison de quartier.
- .... Temps festifs sur les grandes vacances favorisant l’implication des habitants en soirée.- utilisation des espaces sportifs identifiés sur le quartier et déambulation pour capter les jeunes là où ils se trouvent
un outil de terrain pertinent et facile d'accès et d'appropriation :INSIDE OUT, projet photographique participatif : ou comment valoriser la diversité de portraits qui compose notre quartier
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Appui sur les ressources spécifiques des animateurs de la maiso nde quartier + temps de coordination
charges de fonctionnement hors salaires : 3200 € (fournitures, impression photos, locations jeux et strcutures, droit de films projection et location écran)
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
120 portraits d'habitants + équipe d'une 30e de colleurs d'affiche + 12 photographes
Présents sur les temps d'animations : 180 enfants, 90 ados, 105 adultes
5 animateurs professionnels en continu
- Résultat sur le territoire
Valorisation du quartier à l'échelle de la ville et bien plus par un projet photographique de renommée international (Inside Out, proté parl'artiste JR)
Mise en scène et valorisation de portraits d'habitants tout âge, hors cadre associatif, institutionnel,...
- Résultat pour le centre social
Mise en réseau d'habitants sur un engagement à plus long terme au dynamisme du projet social. formulation de problématique sur lesquelles travailler toute l'année par la suite...
- Résultat pour les habitants
Alternative appréciée et attendue au départ en vacances, en complément des sorties mer à la journée en famille et offre de séjours enfance/ jeunesse
Réappropriation de l'espace public différent du quotidien. comment revisiter des lieux vers plus de convivialité, de lien social?
- Suite de l'action : Limites
Manque de partenaires près à s'investir sur des actions de proximité sur un quartier non prioritaire. difficulté à déployer des moyens humains et financiers supplémentaires
Manque d'implication des habitants dans la constructiuon de ces temps d'animation
- Suite de l'action : Perspectives
Dès le printemps, organisation d'animation "fete de quartier " en appui sur des habitants relais pour mobilisation de voisins, collectifs,... pour ajuster les propositions et s'appuyer sur des initiatives
organisation d'un vote des habitants sur le choix du ciné de plein air dans chaque ilôt
Coorganisation du dispositif avec les acteurs de l'aide à domicile pour mieux identifier les personnes isolées, en perte de mobilité...
Actions
Local jeunes 16/25 ans : un lieu de sociabilité pour tous les jeunes adultes
- Structure organisatrice
- MAISON POUR TOUS MONPLAISIR - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Démocratie & citoyenneté
- Intégration
- Résumé
Le local jeunes est un espace implanté en dehors de toute institution pour accueillir les jeunes adultes de 16 à 25 ans dans un quartier populaire où un tiers de la population vit sous le seuil de pauvreté. Il est ouvert du mardi au samedi en périodes scolaires et du lundi au vendredi en périodes de vacances scolaires de 17h00 à 22h00. Le local jeunes est un espace aménagé pour bien accueillir les jeunes (bar, canapé, baby-foot, jeux de société) qui s'adapte au temps des jeunes (ouverture encore plus tardive en fonction des demandes).
L'équipe d'animation composée de trois professionnels met en place un service d’aide : documentation, mise en relation avec des institutions et des partenaires, aide à la recherche d’emploi, de stage, de formation, ou d’orientation.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Autre
- Précision ( si autre )
Suite à des demandes récurrentes de jeunes qui lui étaient formulées en vue de bénéficier d’un lieu dédié dans le quartier de Monplaisir, la Ville d’Angers s’est engagée à créer un espace pour les 16/25 ans dans ce quartier en 2008.
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le projet du Local jeunes s'inscrit dans un projet de développement local, complémentaire et cohérent avec l’offre existante :
- Favoriser la mixité entre jeunes (sociale et de genre)
- Promouvoir la participation des jeunes
- Capter des publics « NEET »/«hors-circuit » dans le but de les inscrire dans des parcours d’insertion sociale et professionnelle en lien avec les différents acteurs jeunesse
La commande de la Ville exprime, dans le cahier des charges, cet objectif d’accueil en lui attribuant trois modalités opérationnelles :
- « Être ouvert aux différentes jeunesses du quartier.
- Leur permettre de se rencontrer de façon informelle.
- Être adapté aux temps des jeunes. L’accueil doit être souple, sans inscription obligatoire, il doit être organisé en fonction des besoins et réalités locales. »
A ces trois modalités de mise en œuvre du local jeunes, s’ajoute la recherche de visibilité dans la mesure où il s’agit aussi de remettre les jeunes au cœur du quartier. Le Local jeunes a ainsi été implanté le long d'une artère de communication importante. Le lieu a vocation à accueillir tous les jeunes du quartier, sans exception, dans une optique d’« espace de sociabilité ».
- Public
- Jeunes adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Association locale
- Caf
- Commune
- Conseil départemental
- Préfecture
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Suite à des demandes récurrentes de jeunes qui lui étaient formulées en vue de bénéficier d’un lieu dédié dans le quartier de Monplaisir, la Ville d’Angers s’est engagée à créer un espace pour les 16/25 ans dans ce quartier en 2008.
A l’été 2009, un appel à projet dans le cadre d’un marché public à procédure adapté (MAPA) a été lancé par la Municipalité en vue d’en confier la gestion et l’animation à un opérateur. La Maison pour tous de Monplaisir (MPTM) a répondu à l'appel à projet et s’est vue confier la gestion et l’animation de ce nouveau lieu.
Le local jeunes a officiellement ouvert ses portes en novembre 2010 pour une expérimentation d’un an. Il a ensuite été reconduit dans sa phase expérimentale. En 2016, à la fin de la phase expérimentale, la gestion du local jeunes a été intégré à la Covention Pluriannuelle d'Objectifs de la Maison pour tous.
Le local jeunes est doté de deux instances de gouvernance : l’une chargé du pilotage du projet et l’autre du suivi de sa mise en œuvre. Le comité de pilotage réunit les élus de la Ville et de la Maison pour tous. Il a pour a pour objectif de faire le bilan de l’activité du local, prendre des décisions quant à ses orientations et son financement et opérer, le cas échéant, des arbitrages. Le comité technique représente l’instance opérationnelle de la mise en œuvre du projet du local jeunes. Il a pour objectif le suivi et la régulation des activités qui y sont menées. Le comité technique réunit les acteurs suivants : Maison pour tous, Direction jeunesse de la Ville, Association pour la Sauvegarde de l’enfance et l’Adolescence (ASEA), le chef de projet du pôle de territoire de la Ville, la Mission Locale Angevine (MLA). Dans cette instance, les animateurs proposent un retour de leur activité et de leur expérience, présentent ce qui pose question ou problème et le mettent en débat.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
100.200 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 professionnels (Conseiller ESF, Moniteur-éducateur, animateur socio-culturel)
- Résultat sur le territoire
Les 180 jeunes qui fréquentent le local durant l'année sont majoritairement des garçons âgés de 16 à 22 ans. Près d'un tiers de ces jeunes sont des jeunes "hors-circuit". Les filles sont très marginales. Nombreux sont les témoignages recueillies au niveau de l’évaluation pour faire part de la baisse des tensions dans les espaces publics, aujourd’hui plus apaisé grâce au local jeunes.
- Résultat pour le centre social
Le local jeunes a permi à la Maison pour tous d'élargir son offre et de retisser du lien avec un public de jeunes adultes. Elle peut désormais intégrer des jeunes adultes aux activités intergénérationnelles qu'elle mène sur le territoire.
- Résultat pour les habitants
Les jeunes qui le fréquentent l’apprécient avant tout en tant que lieu de sociabilité avec différents « services » : café, baby foot, télé, presse. La présence des animateurs leur offre un repère et donne parfois du sens à leur présence :
« C’est comme un petit café où on est posé. On peut discuter, s’amuser, c’est une zone de rencontre. Ici, ce qu’il y a de plus, c’est le dialogue avec les animateurs, on peut même échanger entre nous, on fait des débats. Ici, on a l’esprit ouvert : on discute, on échange des idées. » (Jeune de 22 ans).
Les jeunes utilisent également l'appui des animateurs pour un soutien dans leurs parcours scolaires ou professionnels.
- Suite de l'action : Limites
Depuis plusieurs années, aux côtés des formes traditionnelles d’accueil (dans le cadre d’actions programmées), on constate une montée en charge progressive de nouveaux modes d’accueil : non formels, informels. Aujourd'hui, le non formel est quasi intégré comme un mode d'intervention au cœur des pratiques du Local jeunes mais le projet éducatif dans lequel il s'inscrit est encore à faire évoluer.
- Suite de l'action : Perspectives
La configuration des locaux pose quelques problèmes et ne facilite pas toujours la tâche des animateurs au quotidien. Dans cette perspective, et en s'appuyant sur l'expertise d'usage de la Maison pour tous, un nouveau lieu d'accueil est envisagé dans le cadre de la rénovation urbaine du quartier.
Actions
La violence non merci !
- Structure organisatrice
- Centre Marcelle Menet - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Cette action était prévue pour durée un mois. Toutefois aujourd'hui nous continuons à travailler sur les questions de violence avec les jeunes du quartier
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Démocratie & citoyenneté
- discriminations
- Résumé
Tout au long du mois d'octobre, l'ensemble des partenaires associatifs et institutionnels du territoire se sont mobilisés pour proposer des temps d'ateliers, des rencontres, des visites ou des évènements amenant à réfléchir aux causes et aux conséquences de la violence : Des ateliers slam et poésie / des lectures à haute voix du roman de Rachel Corenblit, 146 298 / une appoche artistique de l'exode au collège / des ateliers "lache la violence" avec les enfants de l'école du secteur / des collectes de paroles paret avec les jeunes du quartier "faut-il être un guerrier pour vivre dans un quartier?" / la réalisation par les jeunes d'un court métrage "violence(s)" / une formation à la médiation par la pairs / Des conférences :" l'éducation dans les cultures d'afrique" , "la place de la violence à l'adolescence", "accompagner le parentalité dans un contexte interculturel" / des témoignages : "les camps de la seconde guerre mondiale", le "harcelement scolaire", des débats blabla pizza "la violence si on en parlait" / des visites : le site de la "mémoire" à Oradour-sur-glane / des projections suivis de débats "l'Odyssée de l'Empathie", l'éducation dans le cultures d'Afrqiue" "Kirikou et la sorcière pour les plus petits / des spectacles "ma vie en jeu" / des ateliers et lecture de conte / des soirées jeux / un flash mob.
Nous avons comptabilisé plus de 2 000 participations à ces évènements.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Nous constatons fréquemment les difficultés que rencontrent certains enfants et/ou jeunes du territoire à accepter les codes qui font références dans notre organisation sociétale. Le manque de respect envers l’adulte, la violence verbale, l’incapacité à accepter la frustration, le refus de la règle, sont autant de symptômes de ce que nous considérons comme une socialisation inachevée pour certains des enfants et/ou jeunes que nous rencontrons sur le quartier.
Lorsque nous rencontrons les familles, certaines expliquent se sentir en difficulté. Progressivement, quelques enfants prennent le dessus sur l’autorité des parents. N’acceptant plus la frustration, ils contrôlent de moins en moins leurs émotions et se placent régulièrement dans des situations difficiles. Un rappel à la loi est malheureusement souvent nécessaire pour aider ces jeunes à se replacer dans des comportements socialement acceptables.
Progressivement, les phénomènes de violence entre jeunes ou à l’encontre d’adultes se renforcent de manière préoccupante sur le territoire. Les jeunes y fonctionnent en groupe. Ils communiquent entre eux par sms et donnent rendez-vous aux jeunes des autres quartiers sur les réseaux sociaux. Nous constatons que les bagarres organisées avec les jeunes des autres quartiers de la ville sont de plus en plus fréquentes. Nous assistons régulièrement à des regroupements d’une cinquantaine de jeunes qui souhaitent en découdre avec d’autres groupes. Bien qu’ils se mettent en danger, ils semblent s’en amuser et abordent les combats à "la manière de sportifs".
A la violence physique s’ajoute la violence morale. Les agressions verbales sont fréquentes. Dans cette étrange atmosphère, faire sa place parmi les jeunes du quartier oblige malheureusement à se protéger derrière des comportements violents. Ainsi, acteurs, témoins ou cibles de la violence, les jeunes du quartier en sont généralement les premières victimes.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- ACSE
- Association locale
- Bailleur social
- Commune
- Conseil départemental
- Etat
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Cette action a été pensé au sein le la commission continuité éducative animée par le centre social. Dans un premier temps un comité de pilotage constitué du centre social, du Collège Montaigne, de l'Ecole Fratellini, des éducateurs de prévention spécialisée et et des médiateurs sportifs a commencé définir les objectifs et les contours de ce projet.Tres vite l'ensemble des partenaires associatifs et institutionnels du territoire se sont joints au porjet. Il s'agit par exemple de la Régie de quartier, la bibliothèque, la ludothèque, l'Association Trait d'Union, l'Association AIFA, le REDA, la MDS, le Pôle territorial, le service éducation enfance, les écoles Isoret et Larevallière etc.
De nombreux temps de travail et de coordination ont été nécessaire pour mener à bien cette action. Le centre social en a assuré l'animation.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
15 000 euros ont été nécessaire pour financer le coût des intervenants, spectacles, des expositions, des projections des voyages et des visites.
5 700 euros ont été pris en charge dans le cadre du Contrat de Ville Unique.
4 000 euros dans le cadre d'une aide parlementaire
3 000 dans au titre des animations de proximité du centre social
1 300 par les collèges de secteur pour leur participation au spectacle "Ma vie en jeu"
1 000 euros sur les fonds propres du centre social
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Nous avons comptabilisé plus de 2 137 participations aux différents temps pour environ 1 000 habitants concernés
- Résultat sur le territoire
Cette mobilisation massive des acteurs socio-éducatifs du territoire contre la violence a permis l'affirmation d'un message "anti-violence"; il semble que ce message ait été écouté,entendu et réfléchit par de nombreux jeunes. Pour autant nous assistons toujours à des phénomènes de violence entre jeunes des quartiers.
- Résultat pour le centre social
Ce travail partenarial a relancé la dynamique de coopération autour du centre social. aujourd'hui l'ensemble des acteurs se remobilise pour travailler à la mise en place d'une année de l'interculturalité "tous différents".
- Résultat pour les habitants
Comme pour les jeunes, il semble que le message ait été entendu et réfléchit par les adultes du quartier. Il semble aussi qu'un travail d'affirmation de la non violence redonne de la légitimité aux adultes pour se positionner lors des phénomènes de violence des jeunes.
- Suite de l'action : Limites
Malheuresement nous constatons toujours des phénomènes de violence sur le territoire. L'action a été un lancement d'un travail de fond qu'il appartient aux acteurs de conduire au quotidien
- Suite de l'action : Perspectives
Le travail de réalisation d'un court métrage a fortement mobilisé une vingtaine de jeunes; Ils souhaitent continuer ce travail et organiser des actions de sensibilisation dans d'autres quartiers de la Ville. Un atelier vient d'être créé au centre social pour accompagner cette démarche.
Actions
action passerelle
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIOCULTUREL DES COTEAUX DU LAYON - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- vacances / loisirs
- Résumé
Action passerelle entre les secteurs enfance et jeunesse.
Le Centre Socioculturel gère l'animation enfance et jeunesse sur une grande partie du territoire.
il s'agit de créer des ponts entre les différentes structures pour les enfants, les familles, les animateurs
les actions mise en place se déroulent pendant les vacances mais également durant les TAP
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
plusieurs objectifs :
faciliter les transition entre les différents secteurs pour les enfants, les parents, les animateurs
donner une cohérence éducative à l'ensemble des secteurs
faciliter la création d'une équipe pluridisciplinaire enfance-jeunesse
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Commune
- DDCS
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
les actions passerelles se déreoulent toutes l'année :
pendant les vacances, des temps d'animation en commun sont proposés aux enfants de l'accueil de loisirs et du secteur jeunesse (sortie, activités, salle d'activité en commun)
toujours pendant les vacances, nous proposons des stages thématiques (sport, culture) ouverts aux enfants et aux jeunes du territoire
pendant les périodes scolaires, les deux animateurs jeunesses interviennent auprès de l'ensemble des CM2 dans le cadre des TAP, ce premier contact dans un cadre formel facile les relations lors du passage des jeunes vers le secteur jeunesse.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
le budget est intégré dans les budgets des secteurs enfance et jeunesse
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
l'ensemble de l'équipe enfance-jeunesse
le coordinateur enfance-jeunesse
2 animateurs jeunesse
5 animateurs enfance
- Résultat sur le territoire
transition faciliter entre les différents secteurs
cohérence éducative entre les secteurs
cohésion équipe enfance-jeunesse
- Résultat pour le centre social
transition faciliter entre les différents secteurs
cohérence éducative entre les secteurs
cohésion équipe enfance-jeunesse
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
poursuivre et intensifier les actions passerelles et les relations au sein de l'équipe enfance-jeunesse
Actions
JOB JEUNESSE FORMATION BABY SITTING
- Structure organisatrice
- L'ARCHIPEL ESPACE D'ANIMATION - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Emploi, économie
- Résumé
Le babysitting est une activité très plébiscitée par les jeunes de 16/25 ans car elle leur permet de se faire rapidement un peu d’argent de poche. En revanche la plupart de ces jeunes ne sont pas formés pour s’occuper d’enfants particulièrement les plus petits. Ils leur manquent donc souvent des connaissances autour du public qu’ils gardent, des gestes d’urgence ou bien de la législation qui entoure ce travail. Cette formation leur permet également de mieux s’organiser dans leur démarche et de faire appel à des structures ressources.
De plus, pour les jeunes inscrits à la mission locale angevine, nous appliquons une gratuité afin d’inciter les jeunes à participer à cette action en lien avec le référent MLA (remobilisation, mise en projet).
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
-
Rencontrer des professionnels (insertion, petite enfance, secours…) et aussi comprendre le fonctionnement des structures ressources.
-
Permettre l’apport de connaissances théoriques et pratiques sur le public jeune.
-
Permettre à n’importe quel jeune de participer à la formation et valoriser ses compétences et/ou connaissances.
-
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
sous la forme d'un stage de 3 jours - pendant les vacances scolaires - l'animateur jeunesse organise - avec l'implication d'autres partenaires : la référente familles pour les apports autour de la connaissance de l'enfant et de la petite enfance, la Croix Rouge pour connaitre les premiers secours, la direction du Centre de Loisirs maternel du quartier pour une première mise en situation des jeunes avec les enfants autour d'une activité basique encadré, des organismes de formation BAFA et des apports sur le contrat de travail et la législation, les relations avec les parents...
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Nombre de jeunes accueillis de 8 à 12 en fonction des périodes
Nombre de personnes participant en tant qu'encadrant : 3 à 4 personnes selon les compétences sollicités
La mise en oeuvre de cette action est concertée avec les chargés d'insertion de la Mission locale et le Centre d'Information Jeunesse de la commune
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Cette action permet de contacter de nouveaux jeunes résidant sur le territoire et de mobiliser des partenariats de proximité.
- Résultat pour les habitants
- C'est une première réponse pour les jeunes en recherche de devenir - soit professionnel - soit dans la perspective d'un job d'été et d'avoir une première approche en lien avec la notion de travail - Le centre social propose également de mettre les jeunes en relation avec des parents en demande de baby-sitting. Des jeunes font le choix de s'engager vers une formation BAFA en ayant une meilleur perception des possibilités offertes par le brevet.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
C'est une action qui est renouvelée une à deux fois par an - les demandes de participation augmentent tous les ans -
Actions
Rencontres Espace Jeunesse
- Structure organisatrice
- Maison des Habitants - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Action mise en place dans le cadre du renouvellement de l'agrément du Centre Social
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Dans le cadre du renouvellement de l'agrément, le Centre Social a été à la rencontres des jeunes de l'espace jeunesse afin d'identifier leurs préoccupations et les sensibiliser au Centre Social. Le Centre Social n'ayant pas de secteur jeunesse, aucune action n'est directement proposée aux jeunes. Ce temps de rencontre a permis d'être au fait des préoccupations des jeunes sur la ville et d'échanger avec eux sur la réalité du territoire et comment leur participation peut se faire. Cette action a pu se mettre en place en collaboration avec l'association enfance et jeunesse qui porte l'espace jeunesse.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place pour échanger directement avec les jeunes et tenir compte de leurs préoccupations dans le nouveau projet social. L'enjeu était de connaître les préoccupations des jeunes et leur vision du territoire. Des échanges ont pu se faire autour du Centre Social et de la question du vivre ensemble et de la participation. Ce temps a également permis de partager le diagnostic et de l'enrichir.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Un groupe d'habitants a élaboré des outils dans le cadre du renouvellement d'agrément: un panneau pour partager le diagnostic (décris-moi Montreuil-Juigné) reprenant les chiffres symboliques du territoire et les éléments d'analyse apportés par les partenaires et les habitants rencontrés tout au long de la démarche de renouvellement, un panneau permettant de recueillir les souhaits pour les années à venir (quelles actions pour Montreuil-Juigné demain?). Un questionnaire a été élaboré pour connaître les habitants, leur connaissance du Centre Social, leurs préoccupations. Une rencontre s'est déroulée à l'espace jeunesse (une demie-journée) à l'aide de ces outils et du film "la fabrique des possibles" de la Fédération des Centres Sociaux.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Pas de budget particulier
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Un groupe d'habitants (8 personnes), 1 professionnel du Centre Social, 1 professionnel de l'association
- Résultat sur le territoire
Cette action a permis une rencontre avec les jeunes qui ne connaissent pas et ne fréquentent pas le Centre Social. Cela a permis de développer des liens nouveaux et de les intégrer au projet social.
- Résultat pour le centre social
Cela a permis d'enrichir le diagnostic et les besoins sur le territoire. Cela a permis un lien avec un public qui n'est pas le public cible du Centre Social mais concerné par les problématiques identifiées.
- Résultat pour les habitants
Intérêt des jeunes pour échanger sur leurs préoccupations et les questions autour du vivre ensemble
- Suite de l'action : Limites
Cette initiative nécessite d'autres temps d'échanges et d'autres temps de rencontres.
- Suite de l'action : Perspectives
Des liens sur d'autres temps doivent se poursuivre. La question de la jeunesse doit être envisagée dans les différents groupes thématiques du Centre Social.
Actions
CHANTIER JEUNES : RESTAURATION DU LAVOIR DE LOURESSE-ROCHEMENIER
- Structure organisatrice
- Centre Socioculturel du Douessin - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Le chantier jeunes est terminé
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- éducation / scolarité
- Culture
- Résumé
Des jeunes, accompagnés de professionnels, ont restauré un élément du patrimoine Douessin : un ancien lavoir.
Cela a consisté à la réfection d'un mur de 6 m de long sur 1m80 de haut.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Les animateurs jeunesse ont sollicité les communes pour établir un partenariat pour l'accueil d'un chantier jeunes et une commune a répondu favorablement.
Objectifs :
- dynamiser des territoires ruraux
- changer la représentation sur les jeunes en leur permettant de s'impliquer dans leur commune
- faire découvrir des savoir-faire aux jeunes pouvant contribuer à leur orientation professionnelle
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Commune
- DDCS
- Entreprise privée
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
1. Concertation autour du projet avec les différents partenaires pour étudier la mise en oeuvre : plan, matériel, organisation, accompagnement, rôle de chaque partenaire, moyens financiers et humains, calendrier, place des parents
2. Mobilisation des jeunes
3. Apprentissage par la pratique : les jeunes ont coulé les fondations, monté les murs avec parpaing et ciment, taillé des pierres de grison pour habiller les murs.
4. Inauguration avec élus, partenaires, jeunes et familles.
L'action a débuté en été 2014 et l'inauguration a eu lieu en octobre 2015
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Pour le Centre Socioculturel : temps passé par les animateurs
Entreprise privée : temps passé et fournitures
Commune : mise à disposition d'un employé communal pour participer au chantier et frais d'inauguration
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Entreprise : 2
Salarié mis à disposition par la commune : 1
Salarié du CSC : 1 principalement, 1 en appui ponctuel
Parents bénévoles : 4
- Résultat sur le territoire
Réfection du patrimoine
- Résultat pour le centre social
Valorisation, reconnaissance de notre capacité à conduire un projet et à le mener jusqu'au bout
- Résultat pour les habitants
Valorisation des jeunes filles et garçons au sein de leur famille, des élus et habitants de la commune
Interrogation des habitants et partenaires sur les stéréotypes liés aux genres
- Suite de l'action : Limites
Le chantier était très important pour la capacité physique des jeunes et leur rythme, les adultes ont dû assurer des temps de réalisation supplémentaires sans les jeunes.
Les jeunes auraient pu être impliqués dès le début lors de la première concertation.
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
ESPACE D’ACCUEIL ENFANT-PARENT
- Structure organisatrice
- MJC Saumur - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- Culture
- Résumé
Construire un projet Famille en cohérence avec les besoins et ressources du territoire
Développer le pouvoir d’agir des familles
Favoriser la relation parents/enfants et la cohésion familiale
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Accueillir les familles, accompagnés d'un adulte de la famille, de prendre part à une activité pédagogique et/ou éducative, sécurisante, adaptée à leur tranche d'âge.
Permettre aux enfants, accompagnés d’un adulte de la famille, de prendre part à une activité pédagogique/éducative, sécurisante, adaptée à leur tranche d’âge
Sensibiliser les familles au projet et aux activités de la MJC.
Favoriser le lien social entre les familles, et le lien enfant-parent.
Aménager un espace chaleureux, sécurisant, délimité, ouvert à la vue des parents.
Proposer des objets de qualité, attractifs et en cohérence avec les valeurs de la MJC (entraide, cohésion, vivre-ensemble, autonomisation, respect de l’autre et de l’environnement,…)
Adapter les outils au contexte (attente/passage/âges divers)
- Public
- Petite enfance
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Commune
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Subvention CAF – Equipement et aménagement du lieu
Fonds propres MJC
Emprunt de jeux auprès de la ludothèque
Emprunt de livres auprès de la médiathèque
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 professionnelles.
- Résultat sur le territoire
L’Espace enfant-parent est un lieu d’accueil ouvert, sans horaires ni nécessité d’accompagnement par un professionnel. La présence des animateurs se fera en fonction de leur emploi du temps, et des besoins des familles présentes. Cependant, le mercredi après-midi est particulièrement adapté à l’installation de l’Espace enfant-parent, de nombreuses familles venant participer aux activités hebdomadaires. La présence d’un animateur, au moins, est nécessaire au lancement de l’utilisation de l’espace par les familles.
- Résultat pour le centre social
Fidélisation des usagers de l'Espace Parents-Enfants
Développement des relations entre usagers du centre social
Accroissement de l'intérêt bénévole pour la gestion de la structure
- Résultat pour les habitants
Implication dans le centre social, soit pour les projets, soit pour la gestion du lieu, soit les deux
Faire de nouvelles connaissances, développer ses relations personnelles
Développer ses compétences.
- Suite de l'action : Limites
L'action doit permettre à chaque famille d'améliorer, d'amplifier les relations intra-familiales à partir d'activités partagées. Cependant, la limite principale est le nombre de familles ayant accès à l'Espace Parents-Enfants au vu des temps et des moyens pouvant être consacrés à cette action.
- Suite de l'action : Perspectives
La possibilité de passer de l'Espace Parents-Enfants à la MJC à des espaces de partage à la maison.
Améliorer l'accueil et le développer pour plus de familles.
Actions
Formation baby sitting
- Structure organisatrice
- Espace Baugeois - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Emploi, économie
- Résumé
Une dizaine de jeunes suivent une "foramtion" préparatoire au baby sitting.
Pédagogie, connaissance des bébés et enfants, stage pratique à la halte garderie.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Précision ( si autre )
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Pour rassurer les jeunes et les parents concernés.
Pour permettre aux parents de trouver un baby sitter
Pour permettre aux jeunes de trouver un petit boulot.
Pour améliorer les conditions danslesquelles s'orgnise le baby sitting
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Association nationale
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Sollicitation de l'animatrice jeunesse par quelques jeunes filles
Contact avec la mission locale te la Halte garderie.
Approfondissement des attentes des jeunes.
Proposition d'un programme de "formation".
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Pas de budget spécifique
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Une dizaine jeunes de 15 à 20 ans, essentiellement jeunes filles.
- Résultat sur le territoire
En cours
- Résultat pour le centre social
En cours
- Résultat pour les habitants
En cours
- Suite de l'action : Limites
En cours
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
CCopérative jeunesse de services
- Structure organisatrice
- LEO LAGRANGE OUEST- Ginette Leroux TRELAZE - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Emploi, économie
- Résumé
La coopérative jeunesse de services est un apprentissage de l’entreprenariat, dans la coopération au travail, pendant deux mois.
En amont, une démarche d'informations, de mobilisation et de recrutement est organisée dès le mois de mars, lors du forum job d'été, en direction des jeunes. Les animateurs sont formés au fonctionnement et à la gestion de la CJS (une semaine en juin).
Concrètement, ce sont des jeunes Trélazéen (-ne)s, accompagnés par deux animateurs, qui apprennent à conduire une entreprise coopérative :
- Proposer des services à la population du territoire,
- Prendre des décisions collectivement, définir une stratégie de commercialisation,
- Décider de l'affectation des résultats.
Pour les jeunes, la CJS répond au besoin de trouver un emploi d'été rémunéré, mais son impact et ses retombées ne se limitent pas à cela. La coopérative initie les jeunes au fonctionnement démocratique d'une entreprise, à l'organisation collective du travail, à la gestion coopérative et au fonctionnement du marché.
Un projet de prise en charge par les jeunes…
La volonté première du projet CJS est d'offrir aux jeunes coopérants un milieu propice aux apprentissages relatifs, entre autre, à l'exercice du pouvoir démocratique, à la gestion d'entreprise collective et à la réalité du travail.
La qualité de ces apprentissages est grandement influencée par l'approche pédagogique coopérative mise en place au sein du projet.
Les principes pédagogiques appliqués développent chez les jeunes, la responsabilisation personnelle et mutuelle, la solidarité, la motivation ainsi que la compréhension réelle de l'utilité des apprentissages.
Ainsi, les coopérants en viennent graduellement à piloter leur projet. Cette prise en charge de la CJS se fait en fonction du rythme, de l'intérêt et de la capacité d'apprentissage de chacune et de chacun des jeunes, et du groupe lui-même.
L'idée est de mobiliser pour l'été, un groupe hétérogène (garçons, filles, étudiants, demandeurs d'emploi... de 16 à 25 ans), de les former sur les notions entreprenariat et les faire "monter une entreprise de services le temps d'un été".
Les services seront divers et variés (jardinage, baby sitting, nettoyage de chariots, de vitrines...) et seront proposés aux habitants et aux entreprises du territoire.
Le groupe sera suivi par un animateur LLO (éducation populaire), et un animateur recruté par Coup de Pouce 49 (avec un profil économique, social et solidaire).
De juin à septembre 2015 et 2016, la coopérative jeunesse de service a trouvé toute sa place au sein du centre social Ginette Leroux.
En 2015, c’est :
- Un nom : « Trélaz’& vous »,
- Deux animateurs formés : un de l’éducation populaire et un du pôle économie sociale et solidaire,
- 21 jeunes candidats, 15 participants (5 filles et 10 garçons), 14 qui sont allés jusqu’au bout de l’aventure,
- 6 jeunes issus de quartiers prioritaires, 7 demandeurs d’emploi, tous entre 16 et 20 ans,
- 4 179 € de chiffres d’affaire,
- 300 heures de contrat,
- 36 contrats (29 particuliers et 7 pour des entreprises, collectivités et associations),
- 389 heures par coopérant de travail effectif, 65 heures de formation,
- Une entraide et solidarité au quotidien,
- Une organisation en comité (ressources humaines, finances marketing…).
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Permettre aux jeunes d'avoir une première expérience dans l'entrepreunariat
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Commune
- Entreprise privée
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
un comité de piloate et de suivi par les partenaires 4 fois par an.
une formation pour les jeunes et les animateurs sur le travail coopératif en entreprise
Création d'une entre^prise sur 2 mois avec un CA
- Ressources financières mobilisées pour cette action
12500 euros
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
10 personnes
- Résultat sur le territoire
revalorisation des 14 jeunes au regard des habitants
- Résultat pour le centre social
ouverture du partenariat vers les entreprises locales
- Résultat pour les habitants
regard solidaire et admiratif vers les jeunes coopérants
- Suite de l'action : Limites
le financement des salaires des 2 animateurs encadrants
- Suite de l'action : Perspectives
reconduction de l'action tous les étés.
Actions
Découverte, pratique et partage de la culture Hip Hop
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIOCULTUREL LE VERGER - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Le projet présenté par les jeunes :
Il commence par un atelier de breakdance avec un intervenant de l'association hip hop Choletaise afin d'acquérir de la technique, pouvoir partager des pas entre nous et créer plusieurs chorégraphies collectives.
Nous voudrions que ces entraînements aboutissent à l'organisation et l'implication d'événements autour du hip-hop au sein de la ville et du quartier du Verger. Il y en a déjà un d'organisé fin septembre avec des jeunes d'Evron que nous avons rencontré cette année. En effet nous voudrions rencontrer d'autres jeunes dans d'autres structures.
Nous voulons aussi participer ou assister à des battles, événements et spectacles dans Cholet au Théatre Saint Louis puis au Jardin de Verre, mais également dans d'autres villes.
Découvrir et aller danser dans des lieux culturels de la ville de Cholet nous parait important dans notre projet. Nous aimerions bénéficier de stages vacances pour s'imprégner de la danse de manière plus intensive, puis faire un voyage pour découvrir des lieux emblématiques de la culture hip hop et ses acteurs pour partager, s'imprégner davantage du hip hop et s'impliquer encore plus.
Cette implication nous voulons également qu'elle parvienne des parents en les associant à nous pour qu'ils nous aident. Nous avons également en tête l'idée de dessiner, créer une tenue de battle, avec une marque , un logo. Celle-ci nous distinguera des autres et sera un signe de notre groupe, une implication supplémentaire, une signature.
Nous pensons enfin, à créer une junior'asso qui serait le début d'une prise en charge de diverses responsabilités mais qui nous ouvrirait de nombreuses portes.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Par les jeunes : Cette idée est née de notre pratique du hip-hop depuis quatre ans pour certains, et plus récemment pour d'autres. C'est une passion pour tous, qui éveille en nous une envie de découverte grandissante, d'où sont nées plusieurs discussions, qui ont abouties à ce projet. Nous ressentons beaucoup de motivation, et l'envie mais aussi le besoin de se prendre en main. Le Centre Social du Verger nous appuie dans nos idées en nous proposons d'être autonomes et actifs dans notre projet et nos envies. Un échange avec des élèves pratiquants du dancehall nous a ouvert et fait découvrir d'autres horizons, et nous a conforté dans notre envie de réaliser nos projets .
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Accompagnement du groupe de jeunes pour déterminer le projet puis rechercher salles et matériels nécessaires, partenariat pour l'intervenant Hip Hop, et mobiliser les familles (aide aux transports, aux actions d'auto-financement, soutien dans le projet).
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Intervenant Hip Hop (36 séances) : 2160€
Spectacles : 450€
Tenues : 525€
Frais réception Battle : 100€
Achat matériels : 540€
Transport : 225€
Accompagnement par l'animateur du CS : 1790€
Hébergement : 200€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
15 jeunes + leurs parents
1 intervenant technique
1 animateur
- Résultat sur le territoire
Valoriser l'image des jeunes
Promouvoir la culture Hip Hop
- Résultat pour le centre social
Mobilisation des jeunes et leurs familles sur un projet
- Résultat pour les habitants
Valorisation de l'image des jeunes
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Poursuite du projet autour de la pratique et du partage de la pratique Hip Hop
Actions
l'école une affaire de famille
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL PASTEUR - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Résumé
Le projet « L’école, une affaire de famille » s’appuie sur trois actions, avec chacune comme enjeux de préparer, anticiper et permettre une plus grande sérénité lors des périodes de transition CM2 -6ème, Collège-Post Collège. Elles sont destinées à un public repéré comme en besoin d’accompagnement, soutien dans ces périodes de transition.Pour chacune des actions, l’association Centre Social Pasteur réalisera un repérage des familles, enfants et jeunes concernés par l’action. Ce temps permettra aux professionnels de présenter de manière individuelle la démarche et le contenu de l’action aux familles.
« Mon entrée en 6ème »
En amont de l’entrée en 6ème , l’association Centre Social Pasteur en lien avec les écoles du territoire et associations de parents proposera deux temps animés par l’Ecole des Parents :
Deux ateliers sur les périodes de Vacances scolaires d’Avril et début Septembre « Comment préparer mon enfant à l’entrée en 6ème ? »
Pour favoriser une participation forte des familles, nous nous appuierons sur les partenaires socio-éducatifs (écoles, prévention spécialisée, associations de parents, Maison des Solidarités).
De même, une garderie avec repas sera proposée aux familles, encadrées par des animateurs salariés.
« Mon orientation et la découverte des métiers »
A travers les expériences, échanges avec les parents, jeunes et membres de la communauté éducative, nous observons qu’une majorité des familles, jeunes du quartier prioritaire subissent leur scolarité, leur orientation.
Les parents ne réussissent pas à appréhender les différentes filières, les différentes échéances et obligations, accompagnant « de loin » leur enfant, non pas par démission mais méconnaissance.
A titre d’exemple,
De nombreux jeunes s’orientent vers un apprentissage en alternance mais réalisent les différentes démarches avec un tel retard que la majorité des lieux d’apprentissage en entreprises sont déjà pourvus.
Les stages 3ème « Découverte métiers », une majorité des jeunes du quartier prioritaire, par manque de réseau et d’anticipation, ils se retrouvent sur des commerces du quartier, à attendre une proposition du collège (cuisine, entretien)…les lieux de stage sont très pauvres en découverte d’un métier et peu représentatif du monde du travail.
Ainsi à travers cette action « Mon orientation… » Il s’agit pour les familles et les jeunes d’agir « sereinement » sur leur orientation, d’anticiper en connaissant les différentes filières, voies possibles et en ayant une idée « concrètes » des métiers.
Pour cela l’association Centre Social Pasteur mettra en place des temps d’information simples en amonts des échéances clefs repérées et transmises par nos partenaires qui seront également acteur de ces temps. Ces rdv thématiques, appuyés de temps d’échanges et soutenus par des supports-mémo écrit se déclineront autour des temps suivant :
-
Orientations – Les dates importantes, les appuis existants
-
Demande de stage, les échéances, les prés requis, comment accompagner mon enfant, quels appuis sur le territoire ( co animation CS et ASEA – en attente de validation) Juin 2015
En parallèle le centre social s’appuiera sur son travail de réseau en lien avec les actions job d’été pour présenter cette démarche aux acteurs économiques du territoire sur l action d’appui au demande de stage.
Dossiers bourses
En parallèle un temps specifiques sera organisé autour des démarches administratives liées aux demandes de bourses autour d’un constat partagé par l’ensemble des établissements du territoire de dossier n’aboutissant pas pour de nombreuses familles ayant droits par
-
Des difficultés administratives a remplir ces dossiers
-
Des échéances non respectées
-
Une orientation par défaut replaçant les jeunes en situation de lycéen quand un apprentissage était souhaité. Le dossier n’ayant été anticipés, aucunes bourses n’est attribuée.
Il ne s’agit pas sur cette action de se substituer aux travailleurs sociaux des établissements mais d’œuvrer en proximité et en complémentarité sur le volet administratif, en s’appuyant sur la connaissance des familles, en levant les barrières de la langue, frein aux relations directes avec les établissements.
Aussi, un document simple sera réalisé par le CS et la MDS et un temps sera organisé sur la thématique suivante ou il s’agira de présenter aux familles les appuis possibles sur le territoire. Nous constatons par une analyse croisée que le travail mené par les acteurs du quartier ( CS ; MDS, Travailleuse sociale CAF) sur les séjours été ,ou le besoin de document administratif est identique est mené a terme. Dans certains cas, il s’agit paradoxalement des mêmes familles.
-
Demande de bourses- quelles échéances, quelles aides administratives possibles.( co animation collège- lycée-CS-MDS)- Septembre 2015
« Formation e-lyco»
Dans la continuité des actions engagées l’année passée et au regard des éléments de bilan de l’action écoulé et d’un constat toujours prégnant d’un éloignement des parents des établissements scolaires et d’un déficit de maitrise de l’outil informatique , l’association proposera deux nouveaux temps de formation davantage ciblés à destination des parents de collégiens , nouveaux entrants en 6em ou déjà au collège et visant particulièrement :
-
Les parents n’ayant pu participer aux cessions précédentes mais déjà sensibilisés à la démarche
-
Aux parents concernés par l’action « mon enfant entre en 6em »
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A l’ensemble des parents souhaitant inscrire son enfant au CLAS : ce temps de création de l’espace e-lyco , d’évaluation, et de formation sera un pré requis à toute inscription au CLAS.
Ces temps seront animés par un animateur technique et chaque famille non équipée pourra bénéficier d’un ordinateur qui sera cédé par l’association Calis, association solidaire proposant des ordinateurs reconditionnés.
-
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Objectifs de l’action :
Favoriser les liens entre familles et institutions et renforcer la coopération entre les parents et l’école,
Valoriser la place des parents dans le choix de l’orientation de leurs enfants,
Renforcer l’accompagnement des jeunes sur les périodes de transition (relai partenaires, lien avec les établissements scolaires )
-
A quel(s) besoin(s) cela répond-il ?
Besoin de repères, de soutien pour les familles, lors des périodes de transition (passage CM2-6ème, passage Collège-Lycée, Collège-apprentissage),
Besoin de soutien, d’explication pour les jeunes,
Besoin de reconnaissance de la place des parents,
Besoin de connaissance des différents parcours scolaire, d’apprentissage,
Besoin d’être rassurer lors de ces périodes source parfois de tension enfants-parents,
Besoin de lever les freins liés à la recherche de stage, de choix d’orientation,
-
Qui a identifié ce besoin (l’association, les usagers, etc.) ?
Les établissements scolaires accueillant les jeunes et familles du quartier Bretagne-Bostangis (Ecole Jules Verne, Marie Curie, Collège Colbert),
L’association Centre Social Pasteur, à travers ses actions « Parentalité », « Accompagnement à la scolarité », « Jeunesse »,
Les sollicitations des familles et jeunes concernant ses différents temps de transition (questionnements)
-
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Entreprise privée
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Description de l’action (voir également page suivante) :
Le projet « L’école, une affaire de famille » s’appuie sur trois actions, avec chacune comme enjeux de préparer, anticiper et permettre une plus grande sérénité lors des périodes de transition CM2 -6ème, Collège-Post Collège. Elles sont destinées à un public repéré comme en besoin d’accompagnement, soutien dans ces périodes de transition.
Pour chacune des actions, l’association Centre Social Pasteur réalisera un repérage des familles, enfants et jeunes concernés par l’action. Ce temps permettra aux professionnels de présenter de manière individuelle la démarche et le contenu de l’action aux familles.
« Mon entrée en 6ème »
En amont de l’entrée en 6ème , l’association Centre Social Pasteur en lien avec les écoles du territoire et associations de parents proposera deux temps animés par l’Ecole des Parents :
Deux ateliers sur les périodes de Vacances scolaires d’Avril et début Septembre « Comment préparer mon enfant à l’entrée en 6ème ? »
Pour favoriser une participation forte des familles, nous nous appuierons sur les partenaires socio-éducatifs (écoles, prévention spécialisée, associations de parents, Maison des Solidarités).
De même, une garderie avec repas sera proposée aux familles, encadrées par des animateurs salariés.
« Mon orientation et la découverte des métiers »
A travers les expériences, échanges avec les parents, jeunes et membres de la communauté éducative, nous observons qu’une majorité des familles, jeunes du quartier prioritaire subissent leur scolarité, leur orientation.
Les parents ne réussissent pas à appréhender les différentes filières, les différentes échéances et obligations, accompagnant « de loin » leur enfant, non pas par démission mais méconnaissance.
A titre d’exemple,
De nombreux jeunes s’orientent vers un apprentissage en alternance mais réalisent les différentes démarches avec un tel retard que la majorité des lieux d’apprentissage en entreprises sont déjà pourvus.
Les stages 3ème « Découverte métiers », une majorité des jeunes du quartier prioritaire, par manque de réseau et d’anticipation, ils se retrouvent sur des commerces du quartier, à attendre une proposition du collège (cuisine, entretien)…les lieux de stage sont très pauvres en découverte d’un métier et peu représentatif du monde du travail.
Ainsi à travers cette action « Mon orientation… » Il s’agit pour les familles et les jeunes d’agir « sereinement » sur leur orientation, d’anticiper en connaissant les différentes filières, voies possibles et en ayant une idée « concrètes » des métiers.
Pour cela l’association Centre Social Pasteur mettra en place des temps d’information simples en amonts des échéances clefs repérées et transmises par nos partenaires qui seront également acteur de ces temps. Ces rdv thématiques, appuyés de temps d’échanges et soutenus par des supports-mémo écrit se déclineront autour des temps suivant :
-
Orientations – Les dates importantes, les appuis existants
-
Demande de stage, les échéances, les prés requis, comment accompagner mon enfant, quels appuis sur le territoire ( co animation CS et ASEA – en attente de validation) Juin 2015
En parallèle le centre social s’appuiera sur son travail de réseau en lien avec les actions job d’été pour présenter cette démarche aux acteurs économiques du territoire sur l action d’appui au demande de stage.
Dossiers bourses
En parallèle un temps specifiques sera organisé autour des démarches administratives liées aux demandes de bourses autour d’un constat partagé par l’ensemble des établissements du territoire de dossier n’aboutissant pas pour de nombreuses familles ayant droits par
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Des difficultés administratives a remplir ces dossiers
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Des échéances non respectées
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Une orientation par défaut replaçant les jeunes en situation de lycéen quand un apprentissage était souhaité. Le dossier n’ayant été anticipés, aucunes bourses n’est attribuée.
Il ne s’agit pas sur cette action de se substituer aux travailleurs sociaux des établissements mais d’œuvrer en proximité et en complémentarité sur le volet administratif, en s’appuyant sur la connaissance des familles, en levant les barrières de la langue, frein aux relations directes avec les établissements.
Aussi, un document simple sera réalisé par le CS et la MDS et un temps sera organisé sur la thématique suivante ou il s’agira de présenter aux familles les appuis possibles sur le territoire. Nous constatons par une analyse croisée que le travail mené par les acteurs du quartier ( CS ; MDS, Travailleuse sociale CAF) sur les séjours été ,ou le besoin de document administratif est identique est mené a terme. Dans certains cas, il s’agit paradoxalement des mêmes familles.
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Demande de bourses- quelles échéances, quelles aides administratives possibles.( co animation collège- lycée-CS-MDS)- Septembre 2015
« Formation e-lyco»
Dans la continuité des actions engagées l’année passée et au regard des éléments de bilan de l’action écoulé et d’un constat toujours prégnant d’un éloignement des parents des établissements scolaires et d’un déficit de maitrise de l’outil informatique , l’association proposera deux nouveaux temps de formation davantage ciblés à destination des parents de collégiens , nouveaux entrants en 6em ou déjà au collège et visant particulièrement :
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Les parents n’ayant pu participer aux cessions précédentes mais déjà sensibilisés à la démarche
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Aux parents concernés par l’action « mon enfant entre en 6em »
-
A l’ensemble des parents souhaitant inscrire son enfant au CLAS : ce temps de création de l’espace e-lyco , d’évaluation, et de formation sera un pré requis à toute inscription au CLAS.
Ces temps seront animés par un animateur technique et chaque famille non équipée pourra bénéficier d’un ordinateur qui sera cédé par l’association Calis, association solidaire proposant des ordinateurs reconditionnés.
-
- Ressources financières mobilisées pour cette action
CHARGES
Montant [1]
PRODUITS
Montant
CHARGES DIRECTES
RESSOURCES DIRECTES
60 - Achats
70 – Vente de produits finis, de marchandises, prestations de services
Prestations de services
Achats matières et fournitures
500
74- Subventions d’exploitation[2]
Autres fournitures
200
Etat : précisez le(s) ministère(s) sollicité(s)
61 - Services extérieurs
- Contrat Ville
1 637
Locations
-
Entretien et réparation
100
Région(s) :
Assurance
-
Documentation
250
Département(s) :
62 - Autres services extérieurs
-
Rémunérations intermédiaires et honoraires
1250
Intercommunalité(s) : EPCI [3]
2000
Publicité, publication
100
-
Déplacements, missions
50
Commune(s) :
Services bancaires, autres
-
63 - Impôts et taxes
Organismes sociaux (détailler) :
1250
Impôts et taxes sur rémunération,
-
Autres impôts et taxes
-
64- Charges de personnel
Fonds européens
Rémunération des personnels,
2 700
L’agence de services et de paiement (ex CNASEA, emploi aidés)
Charges sociales,
900
Autres établissements publics
Autres charges de personnel
Autres privées
65- Autres charges de gestion courante
75 - Autres produits de gestion courante
66- Charges financières
Dont cotisations, dons manuels ou legs
67- Charges exceptionnelles
76 - Produits financiers
68- Dotation aux amortissements
78 - Reports ressources non utilisées d’opérations antérieures
1163
CHARGES INDIRECTES
Charges fixes de fonctionnement
Frais financiers
Autres
TOTAL DES CHARGES
6 050
TOTAL DES PRODUITS
6 050
CONTRIBUTIONS VOLONTAIRES [4]
86- Emplois des contributions volontaires en nature
87 - Contributions volontaires en nature
Secours en nature
Bénévolat
300
Mise à disposition gratuite de biens et prestations
Prestations en nature
Personnel bénévole
300
Dons en nature
TOTAL
6 350
TOTAL
6 350
[1] Ne pas indiquer les centimes d’euros.
[2] L’attention du demandeur est appelée sur le fait que les indications sur les financements demandés auprès d’autres financeurs publics valent déclaration sur l’honneur et tiennent lieu de justificatifs. Aucun document complémentaire ne sera demandé si cette partie est complétée en indiquant les autres services et collectivités sollicitées.
[3] Catégories d’établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre : communauté de communes, communauté d’agglomération, communauté urbaine.
[4] Le plan comptable des associations, issu du règlement CRC n°99-01, prévoit a minima une information (quantitative ou, à défaut, qualitative) dans l’annexe et une possibilité d’inscription en comptabilité, mais en engagements « hors bilan » et « au pied » du compte de résultat.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Détail des dépenses « Quartier d’été »
P / V
Poste
Qualification
Nbre heures sur projet
Financement poste
P
Directeur
Licence
Pilotage 10h
CAC/CAF 100%
P
Enfance Famille
Licence animation
20 h animation
CAC/CAF 100%
P
Jeunesse
Dejeps
20 h mobilisation-animation
CAC 50%
P
Jeunesse
Dejeps
Pilotage / animation 90 h
CAC/CAF 100%
I
Intervenant
Formateur Ecole des Parents
15 h
Prestataire
1
Intervenant
Nouvelle technologie
30h
Prestataire
- Résultat sur le territoire
Lien consolidé entre les acteurs socio éducatifs du territoire et le collége.
Lien avec les familles dévelloppés.
Le cs davantage identifié comme lieu ressource dans les démarches administratives pour les familles et d'appui sur les questions scolaires.
- Résultat pour le centre social
Remise en lien avec les 16-25 ans et reconaissance mutuelle sur les actions socio écucatives avec les partenaires du territoires.
- Résultat pour les habitants
Facilitation des démarches administratives
identification du centre social comme un lieu ressource , aussi pour les parents
Mise en réseau avec des partenaires du territoire , orientation vers les services ad-hoc ( CD49, education nationale)
- Suite de l'action : Limites
0
- Suite de l'action : Perspectives
Poursuite du travail autour notamment des démarches de recherche de stage college et lycée , creation d'un reseau local d'acteur économique partenaires. Action dévelloppée en lien avec le college et le lycée en direction des jeunes et des parents.
Actions
DECLIC "Dire ECrire LIre Compter" atelier de lutte contre l'illettrisme
- Structure organisatrice
- Centre d'animation sociale de Beaufort en Anjou - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Résumé
Cette action permet aux apprenants d'acquérir ou de renforcer leurs compétences en lecture, écriture et calcul.
Elle favorise les relations sociales entre apprenants et bénévoles
Cet accompagnement doit aider l'apprenant à réaliser des actes dans sa vie quotidienne, sociale voire professionnelle
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un habitant
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place à la demande d'un habitant inséré professionnellement. Il a exprimé le besoin d'acquérir les bases fondamentales pour évoluer sur son poste.
Une association qui avait cette mission a transféré cet atelier au centre social.
Après quelques années d'apprentissage les apprenants acquièrent une meilleure confiance en eux et ils trouvent un emploi.
Les enjeux de cet atelier c'est l'exercice de la citoyenneté par la compréhension des informations qui auparavant était impossible.
Un enjeu pour la personne c'est la reconnaissance de la personnes dans son environnement social et familial
Le dernier enjeu est l'employabilité des personnes qui possèdent les bases fondamentales de lecture et d'écriture.
- Public
- Jeunes adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Action qui a été mise en place fin 2015. Sa pérennité est liée à la fréquentation régulière (1 à 3 ans) et renouvelée des apprenants.
Suite au diagnostic social, une commission insertion sociale, composée de partenaires (MDS, Resto du Coeur, association intermédiaire, mission locale) s'est réunie 3 fois dans l'année pour la mise en place de l'action.
L'action a mobilisé des bénévoles, des professionnels qui ont orienté le public.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le budget mobilise 1000 € pour la formation des bénévoles.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
La directrice du centre social et un agent d'accueil organisent et assurent un suivi de l'action.
10 bénévoles accompagnent les apprenants chaque semaine.
- Résultat sur le territoire
Sur le territoire, les élus ont pris conscience des difficultés d'insertion de certains habitants liée à l'illettrisme.
L'existence d'un atelier au centre social pour répondre au besoin d'appentissage de certains habitants
- Résultat pour le centre social
Pour le centre social c'est démontrer la capacité à répondre au besoin des habitants et à mettre en oeuvre des moyens pour suppléer à ce défaut d'apprentissage.
C'est légitimer l'utilité de la structure centre social sur le territoire
- Résultat pour les habitants
Pour les habitants, la reconnaissance par les autres est le principal bénéfice qu'ils en retirent.
C'est l'acquisition d'un nouvel outil qui va permettre de mieux comprendre leur environnement et de favorsier leur autonomie dans la vie quotidienne et dans un emploi.
C'est acquérir un esprit d'ouverture en ayant accès à la culture de la société dans laquelle ils vivent
- Suite de l'action : Limites
Les limites sont budgétaires : le coût des formations pour les bénévoles est un frein
Pour certains apprenants la fréquentation régulière est fragilisée
- Suite de l'action : Perspectives
Perspectives : la continuité de l'atelier pour d'autres habitants dont les gens du voyage
Mettre en place les ateliers sur toutes les communes du territoire
Actions
CAP J : Cellule d'Appui aux Projets de Jeunes
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL JEAN VILAR ANGERS - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Fin de conventionnement avec la collecivité
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- mobilité / transport
- vacances / loisirs
- Résumé
Afin d’accompagner les idées de projets de jeunes, une cellule d’accompagnement aux projets, labellisée en 2013, est animée les mardis, mercredis, jeudis, vendredis et samedis, par deux animateurs accompagnateurs de projets référents, à destination des publics jeunes 16/25 ans.
Elle permet d’offrir un espace dédié aux initiatives jeunes, et d’apporter une aide, technique, pédagogique et financière aux projets à dominante associative, récréative, et culturelle.
Pour l’année 2015, ce sont 139 jeunes qui ont pu être reçus et accompagnés dans leurs projets, initiatives ou démarches quotidiennes.
Le nouvel espace dédié à cet accueil a permis de travailler davantage sur la dimension collective.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Autre
- Précision ( si autre )
La Fédération Léo Lagrange
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
En réponse à un besoin ressenti sur le territoire et à une politique associative de dévellopement de l'engagement avec et pour la jeunesse.
L'objectif est de sortir d'une vision collective d'une jeunesse des quartiers populaire attentiste, oisive et consommatrice et de lui permettre de faire valoir ses envies et ses potentiels
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- ANCV
- Association locale
- Association nationale
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Diagnostique territorial
Appui par une reflexion nationale de la fédération Léo Lagrange sur de nouveaux outils à destination des jeunesses
Confrontation et partage de ces différents constats avec le tissu local, les élus de référence, le public
Début en 2013 des permanences hebdomadaires sur le centre social
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 référents jeunesse
La coordinatrice du secteur
le directeur du centre social
- Résultat sur le territoire
Cercle vertueux du dispositif : l'écho des premières réussites de projets de jeunes permet à de nouveaux jeunes de venir se lancer.
Population jeunes s'implique sur son territoire
Autre regard de la population adulte
- Résultat pour le centre social
Structuration de la présence et de la participation des 16/25 ans sur le centre social
Nouveau public
- Résultat pour les habitants
Nouveau "service" proposé à un public volatile et peu captif sur le quartier
Esapce ressources permettant de réaliser un projet mais aussi de rentrer en contact avec l'équipe du centre social : traitement et orientation d'autres problématiques que celle de l'accompagnment de projet (santé, emploi...)
- Suite de l'action : Limites
Le contenu initial des projets plutôt consuméristes
La reproduction de projets déjà portés par des paires,
Le suivi et engagement notamment sur la dimmension collective.
- Suite de l'action : Perspectives
La fin du conventionnement avec la collectivité ne permet pas de dresser de perspectives.
Actions
les hauts parleurs
- Structure organisatrice
- LEO LAGRANGE ANIMATION – HAUTS DE ST AUBIN (ANGERS-49) - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Les hauts parleurs est un groupe composée de 6 à 8 jeunes agés de 12 à 16 ans qui réflechissent sur des sujets liés à la vie des jeunes sur le quartier et plus généralement à l'avis des jeunes sur des sujets d'actualité du quartier. Soit ils sont saisis par les partenaires ( élus/ techniciens divers ) en tant que jeunes de sujets portés par les partenaires ( par exemple sur l'idée de la mise en place d'un parcours santé dans le quartier , ou sur l'aménagement de la place centrale d'un futur ilot ) soit ils se saissent de sujets qui les intéressent pour interpeller les usagers de la maison de quartier ou les pouvoirs publics ( ce qu'il me faudrait pour réussir ma scolarité par exemple ) ou sur le manque de proprété et/ou d'entretein des espaces publics . Leur parole et avis est systematiquement mis en valeur dans le hall de la maison de quartier.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Nous tentons d'impliquer depuis plusieurs années les jeunes dans l'organisation de leur loisirs et de les impliquer dans la vie du quartier . Ce groupe a pour vocation de faire entendre et de faire prendre en compte davantage la parole des jeunes dans la vie de l'équipement et du quartier . Pour plusieurs raisons les jeunes ne sont pas présents dans les instances de participation /consultation ouvertes ou sein du centre social ou sur le quartier ( notament toutes celles liées à l'aménagement du quartier ). les modalités de fonctionement du groupe sont définis avec eux( la fréquences des rencontres , la nature des sujets ) et leur correspond ( il est plus facile de s'exprimer entre pairs , de se construire un avis ou opinion qui est ensuite portés collectivement ).
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
C'est l'équipe jeunesse qui propose à certains jeunes de s'investir dans le groupe . Le groupe est composé suivant plusieurs critères pour representer au mieux les jeunes fréquentant la structure (fille/ garçon/ age/ investissement dans le vie de l'accueil de jeunes). Le groupe fonctionne depuis quelques années et sa composition évolue au fil des ans.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
250 euros ( frais de convivialité / déplacement/ impression )
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
le groupe est accompagné par deux membres de l'équipe jeunesse. le groupe est composé d'au minimum 6 jeunes
- Résultat sur le territoire
La parole et l'avis des jeunes a été pris en compte dans certains projets ( projet parcours santé ). Ils ont pu rencontré l'adjoint et la conseillère municipale du quartier , le chef de projet , le service de santé publique , les habitants membre du comité de rédaction du journal de quartier.... Le groupe est désormais reperé comme potentiel interlocuteur "jeune" ( par les aménageurs/ sociologue/architecte urbaniste ). Il n'existe plus de pretexte qu'il constitue un public difficile à mobiliser/rencontrer.
Les jeunes du groupe s'investissent facilement dans les actions se déroulant sur le quartier .
Le groupe fait naître de la curiosité et l'envie auprès des autres jeunes qui fréquente la structure. Cela créer une émulation positive.
Les membres du groupes Haut parleurs viennent de rejoindre le comité d'organisation de la fête de quartier et pas uniquement pour y faire valoir "une dimension /espace lié à la jeunesse"
- Résultat pour le centre social
Quelques jeunes qui s'impliquent plus facilement dans les actions tout public. Qui s'investisse au même titre que les adultes en tant que bénévole.
Les membres du groupe donnent facilement leur avis /opinion sur le quartier , les actions du centre social , ils se sentent concernés / investie et reconnus , ils sont présents et n'hésite plus à prendre la parole lors de réunion type assemblée. Ils seront etroitement associé à la prochaine démarche de renouvellement.
- Résultat pour les habitants
Le groupe contribue à donner une image positive de la jeunesse et l'image d'une jeunesse qui peut être citoyenne et engagée dans la vie de son quartier.
- Suite de l'action : Limites
Les limites est lié au statut même qui fondent le groupe (ne reste pas jeunes éternellement ) donc le groupe est en renouvellement au grès des ages et de l'évolution de la situation de chacun , de sa motivaiton et centre d'interêts.
- Suite de l'action : Perspectives
le groupe Haut Parleur souhaiterait faire tache d'huile et qu'il existe des groupes identiques sur d'autres quartiers et villes et que cela soit pretexte aux rencontres et aux échanges.
Actions
"faire une place à la jeunesse "
- Structure organisatrice
- LEO LAGRANGE OUEST – Jean Gueguen TRELAZE - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Résumé
Une des difficultés rencontrées pour Le centre Jean Gueguen, c'est l'image « enfance » qui est fortement marquée par la présence d'un accueil de loisirs 6-12 ans au sein des locaux. D'autre part, des lieux spécifiques pour les jeunes existent sur le territoire (un accueil 11-15 ans et le terminal J 16-25 ans). Les jeunes n’y trouvent donc pas leur place ou n'ont pas connaissance de la possibilité de mener des actions dans le cadre du centre social.
Différentes actions sont donc menées pour que la jeunesse soit une prise en compte dans les actions du projet social, avec les partenaires associatifs et avec les ressources internes, à savoir :
- Des Animations de proximité hors les murs sur le Quartier Quantinière ( avec la Mission sportive Léo Lagrange)
- Une Fête du printemps/ temps festif et convivial organisé un un collectif d'associations (présence d’un groupe musique de jeunes Trélazéen, stand d’autofinancement des jeunes du Rep’R)
- Un Rallye Quantinière dans le cadre de la fête de quartier Quantinière (en partenariat avec le Rep’R et Vivre Ensemble)
- Des Soirées d’été dans le cadre des animations saisonnières du Centre Social
- La Préparation de soirée d’échanges sur la thématique des ados dans le cadre du REAAP « si on en parlait » (soirées d’échanges sur les problématiques liés à la parentalité)
- Et la Mise en place d’une permanence MLA
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place afin de :
- Favoriser les projets de jeunes au sein du projet social
- Permettre aux jeunes d’être informé des différents dispositifs à leur disposition sur le territoire
- Permettre la rencontre entre génération
- Imaginer des outils, chantiers, expérimentations permettant aux seniors et aux jeunes de se retrouver dans l’action (ex. : construction de décors pour la Fête du Printemps…)
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Association locale
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Il s'agit d'organiser des temps d'animation pour favoriser la participation des jeunes avec les acteurs locaux (associations, collège, Rep'R et Animations sportives LLO).
- Des Animations de proximité sont organisées à chaque vacances scolaires à raison de 2 demi-journées par semaine. L'équipe du centre social s'associe à la mission sportive qui est inititrice du projet.
- La Fête du printemps sollicite des acteurs locaux et les ressources internes LLO. Le Hub Rep'R accompagne ainsi des groupe de jeunes afin de favoriser leur implication et leur participation (présence d’un groupe musique Trélazéen Catalyst, stand d’autofinancement des jeunes du Rep’R), L' association La 3ieme Métamorphose participe également à la mobilisation des jeunes dans ce cadre festif. cette action a lieu 1 fois par an et nécessite environ 10 réunions de préparation.
- Le Rallye Quantinière /fête du quartier Quantinière est organisé conjointement avec des associations du quartier (Rep’R LLO , association des habitants de la quantinière, APE et Association Vivre ensemble). Un collectif se réunit à raison de 3-4 réunions et l'action se renouvelle 1 fois par an .
-Les animations saisonnières (et plus particiulièrement les soirées d’été) sont favorable à la participation des jeunes. le site/ l parc Jean gueguen se prête volontier aux soirées et est très convoité pour des moments conviviaux : deux fois par an.
- Une Préparation soirée d’échanges sur la thématique des ados ( 3 réunions de préparations réalisées en 2016, avec le collège Jean Rostand, le rep’R, l’association Vivre Ensemble et le Centre Social en vue de l’écriture d’un projet REAAP 2017) permet de mobiliser des acteurs de la jeunesse et de toucher des parents d'ados (qui fréquentent peu la structure. Il s'agit essentiellement de parents avec des enfants âgés entre 0 et 8 ans).
- Mise en place d’une permanence MLA 1 fois par semaine (a pris fin en septembre 2016) afin de faciliter la venue des jeunes dans le centre Jean Gueguen.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Pas de financement spécifique à la jeunesse
Les actions menées en partenariat avec la jeunesse étant transversales avec plusieurs axes du projet social
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Des Animations de proximité : 3 professionnels
- La Fête du printemps : 4 professionnels et 2 associations
- Le Rallye Quantinière /fête du quartier Quantinière : 2 professionnels et 3 associations.
-Les animations saisonnières: 4 professionnels et 1 association
- Une Préparation soirée d’échanges sur la thématique des ados: 4 professionnels et 1 association.
- Mise en place d’une permanence MLA : 2 professionnelles
- Résultat sur le territoire
Un des leviers actuellement utilisés pour mobiliser les jeunes dans les projets du centre social, c’est le lien avec les partenaires.
Cette action a le mérite de poser la question de la place des jeunes dans les projets et de réfléchir aux moyens que l'on se donne pour favoriser la participation des jeunes.
- Résultat pour le centre social
La transversalité entre les secteurs (avec le Hub’Rep’R) et le partenariat avec l’association Vivre ensemble sur les soirées d’été et la fête du printemps facilite et favorise les projets de jeunes. En effet, ils mobilisent le public jeune et facilite la participation des jeunes.
La permanence MLA invite également les jeunes de 16 à 25 ans à entrer dans cet espace et permet de communiquer sur les actions du centre social à destination de tous les publics et ôter l’image « enfance ».
Progressivement, le centre social se fait une autre image de part la communication et les animations de proximité.
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
- Une soirée d’échanges sur la thématique des adolescents est en cours de réflexion avec un collectif composé du collège, de l’association Vivre ensemble et du hub’rep’R.
L’organisation d’une fête de la musique pourrait être un bon levier pour travailler avec le public jeune.
- En ce qui concerne la poursuite du travail avec la MLA : peu de jeunes utilise cette permanence de proximité. Ils se déplacent vers la permanence déjà existante depuis de nombreuses années. Donc la proposition pour l'année 2017, à titre expérimental, est de poursuivre un affichage de proximité MLA à jean Gueguen, en adaptant notre formule d'accueil en modifiant la notion de permanence par un service de proximité 'à la demande': les jeunes accueillis à jean Gueguen souhaitant un entretien MLA se verraient proposés un RV sur place par le conseiller MLA dans les meilleurs délais, suite à une information et un recueil de coordonnées effectués par l'accueil du centre social; par ailleurs, des actions ponctuelles mises en place par le centre social auprès des publics 16/25 ans pourraient bénéficier du partenariat MLA, selon besoins et conditions à convenir.
Ceci qui implique une sensibilisation du personnel d'accueil léo lagrange sera mise en place début 2017, afin d'orienter et d'informer au mieux le public cible potentiel MLA
Actions
CHANTIER DE JEUNES INTERNATIONAL
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ET SOCIOCULTUREL DU CHEMILLOIS - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Résumé
Les chantiers de jeunes internationaux se posent comme un moyen d'action pour la mise en oeuvre de 3 objectifs éducatifs définis par notre structure :
. Encourager et valoriser l'intérêt des jeunes, leurs actions et leur implication dans l'animation de la vie locale
. Proposer des activités et des modalités d'animation qui permettent aux jeunes participants de se découvrir, de se dépasser, de développer des compétences personnelles. Proposer des activités et des modalités d'animation qui permettent aux jeunes participants d'apprendre des autres, d'être enrichis par de nouvelles expériences, de développer des compétences relationnelles
Les jeunes seront amenés à participer à la réalisation de travaux sur la commune d'accueil déléguée. Nous veillerons à inciter les communes à exploiter la créativité des jeunes : fresque, sculpture... ou à faire découvrir un lieu inédit de la commune (lavoir, fontaine...).
L'accueil de jeunes internationaux sur les chantiers pemet de travailler sur le regard qu'ont les jeunes locaux sur leur territoire. Ils sont amenés à accueillir les jeunes étrangers en prenant en compte les ressources de leurs lieux de vie.
Une attention particulière est portée à l'apprentissage de techniques de travail, notamment autour du travail manuel. La valorisation des réalisations des jeunes est un axe important du projet.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place pour :
. répondre à la diminution des travaux estivaux proposés aux jeunes du Chemillois
. développer la participation des jeunes à la vie locale
. impliquer des habitants dans une relation d'accompagnement avec des jeunes
Nous souhaitons modifier le regard des habitants autour de la jeunesse et favoriser la cohésion sociale.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Association nationale
- Commune
- Conseil régional
- Etat
- Regroupement de communes
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
L'action a été réfléchie au sein de la commission jeunesse du Centre Social. Pour chaque chantier, un groupe de travail se met en place et réfléchit à l'organisation du chantier de jeunes. Cinq à dix personnes font partie de la commission.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Un chantier de jeunes bénévoles représente un budget d'environ 10 000 €.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Chaque chantier mobilise une vingtaine de personnes pour sa mise en oeuvre.
- Résultat sur le territoire
- Amélioration des lieux de vie des habitants
- Développement du lien entre les générations
- Valorisation des jeunes au sein des communes
- Résultat pour le centre social
- Valorisation des jeunes au sein de la commune déléguée
- Développement de la participation des jeunes au sein de la structure
- Valorisation de l'image de l'association Centre Social auprès des habitants
- Résultat pour les habitants
- Temps fort au cours de la période estivale "il se passe quelque chose"
- Création de liens avec des jeunes
- Valorisation de son lieu de vie dans la presse locale, le bulletin communal
- Suite de l'action : Limites
- Poursuite des financements par les pouvoirs publics ? Les négociations sont en cours mais la part de participation du Conseil Régional et de la Direction Régionale de la Jeunesse et des Sports se réduisent très progressivement.
- Capacité des élus locaux à trouver des idées innovantes de chantiers de jeunes bénévoles
- Suite de l'action : Perspectives
- Développement de 2 à 3 chantiers de jeunes internationaux par an au sein des communes déléguées de Chemillé-en-Anjou
- Inscripption des chantiers de jeunes dans une logique de participation citoyenne des jeunes au sein des communes
Actions
création Point Information Jeunesse (PIJ)
- Structure organisatrice
- Espace Socioculturel du Candéen (ESC) - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Démocratie & citoyenneté
- mobilité / transport
- vacances / loisirs
- Résumé
Le PIJ est un lieu d'information gratuit et ouvert à tous les publics avec un accueil privilégié pour les jeunes 16-30 ans. Le but est d'avoir un lieu d'information pour les jeunes en milieu rural. L'animateur-informateur jeunesse accompagne les demandes et les éventuels projets des jeunes sut les 6 communes.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
cette action avu le jour pour avoir un accueil visible et gratuit sur le territoire ceci afin de faciliter l'accès à l'information et l'accompagnement des initiatives jeunes.
Le résultat c'est l'accueil d'un nouveau public jeune et l'accompagnement de nouveaux projets
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Etat
- Autre
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Mission locale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
4091
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
10
- Résultat sur le territoire
nouveaux porjets émergeants
- Résultat pour le centre social
implication de nouveaux jeunes
- Résultat pour les habitants
Lieu d'information en local
- Suite de l'action : Limites
Manque d'implication des partenaires scolaires
- Suite de l'action : Perspectives
Proposer des actions sur des thématiques demandées par les jeunes
Actions
Les jeunes ont la parole
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIOCULTUREL COIN DE LA RUE - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Mise en place d'un diagnostic complémentaire et participatif autour de la jeunesse en vue de définir les actions pour et par la jeunesse.
Durant l'année la commission jeunesse (composée d'élus-de parents- d'associations et professionnels de l'animation) est allée à la rencontre des jeunes du territoire pour comprendre et entendre qui ils sont et ceux qu''ils font.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a permis de redéfinir le projet jeunesse et d' apporter des réponses adaptées sur le territoire.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Association locale
- Commune
- Regroupement de communes
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Plusieurs étapes :
- Mobilisation et élargissement de la commission jeunesse à d'autres acteurs
- Rencontres de jeunes pour comprendre et entendre ce qu'ils font et sont à travers divers supports:
Emploi du temps afin de repérer le rythme des jeunes
Exposition "Ils l'ont fait pourquoi pas nous" : valorisation de parcours de jeunes
Radio itinérante à bord d'une caravane : recueillir la parole des jeunes autour de thématiques (ler territoire- leurs passions- le collège- les amis- les réseaux sociaux- l'animation jeunesse...)
- Restitution lors de l'assemblée générale du Centre Socioculturel
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
10 élu-es à la jeunesse
6 associations locales
18 parcours de jeunes valorisés
40 jeunes interviewés
30 retours des emplois du temps
Soit:
80 jeunes de mobilisés sur cette action
2 professionnels
16 bénévoles
- Résultat sur le territoire
Cette action a permis d'alimenter le diagnostic jeunesse, d'avoir une vision plus juste de la jeunesse et une meilleure connaissance des acteurs du territoire. A ce jour une dynamique est impulsée, elle va permettre de poursuivre le travail en réseau et ainsi amorcer un politique globale de la jeunesse.
- Résultat pour le centre social
Redéfinir les axes pour le nouveau projet social....
Répondre aux attentes et besoins des jeunes
Permettre aux jeunes de prendre leurs places
- Résultat pour les habitants
Une dynamique locale...
Des échanges riches entres les adultes et les jeunes.
Une volonté des habitants d'entendre la jeunesse et de travailler autour d'un lieu ressource
- Suite de l'action : Limites
financières et humaines
- Suite de l'action : Perspectives
Le territoire étant isolé, une reflexion est engagé sur la création d'un espace - lieu "ressource"-" repère" pour les jeunes et leurs familles.
Un lieu :
- d'information (orientation-emploi- santé-sortie ..)
- d'écoute pour les jeunes et les familles
- d'accompagnement- de soutien- de coup de pouce pour les 14 -20 ans (emploi- école- SVE ..)
- d'accompagnement et d'encadrement pour les 11-14 ans sur les mercredis- samedi - soir après l'écoles
- d'animation durant les vacances scolaires
- culturels (radio- musique..)
- d'innovation - de création
Prochainement il est prévu une rencontre avec les élus, les professionels de la jeunesse et les bénévoles du CSC pour évaluer les possibilités
Actions
Compétences psychosociales (CPS) des jeunes
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIO-CULTUREL RIVES DE LOIRE - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- discriminations
- Résumé
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Quels furent les éléments de diagnostic à l’origine de l’expérience ?
- Incivilités répétées
- Harcèlement constaté dans les établissements scolaires
Cette action s’articule autour des Compétences Psychosociales. Les CPS sont la capacité d'une personne à répondre avec efficacité aux exigences et aux épreuves de la vie quotidienne. C'est l'aptitude d'une personne à maintenir un état de bien-être mental, en adoptant un comportement approprié et positif à l'occasion des relations entretenues avec les autres, sa propre culture et son environnement
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
- Description de l’expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases
Objectifs : Permettre aux jeunes un meilleur accès à la vie en collectivité et à l’autonomie, Favoriser la conscience et la connaissance de soi, favoriser durablement les liens dans et hors des établissements scolaires.
Action menée conjointement avec l’infirmière du collège public.
Phase 1 : Nous travaillons sur les CPS auprès des 6ème et des 4ème par demi-groupe en temps de classe à raison de 3h par an (2 séances d’1h30). Les thématiques choisies dépendent des constats effectués par les professionnels travaillant auprès de la jeunesse sur le territoire.
Phase 2 : les élèves se verront proposer la participation à un atelier théâtre pour expérimenter les CPS vues en classe.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Tous les collégiens des classes de 6ème et 4ème du collège public
- Résultat sur le territoire
Ce travail a permis à une partie des jeunes participants de sentir mieux dans leur peau, compris, de réfléchir à leur comportement et celui des autres faces aux actes qu’on pose. Ils sont dans l’ensemble plus confiants dans le partage de leurs émotions et difficultés avec des adultes et des jeunes de leur âge.
- Résultat pour le centre social
Les phases dans le collège sont des étapes intermédiaires pour amener les jeunes à venir nous rencontrer hors cadre institutionnel dans la caravane de l’information jeunesse (PIJ « ambulant ») ou dans les locaux du centre socioculturel. Cette action a permis de créer un lien de confiance durable avec les jeunes rencontrés du fait des sujets abordés.
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Le temps alloué est certainement insuffisant mais il est difficile de trouver des créneaux dans les emplois du temps des élèves.
- Il serait nécessaire de former également les professeurs pour que cette action soit réellement efficace (ce qui n’est pas à l’ordre du jour)
- Suite de l'action : Perspectives
Essayer de développer cette action également dans le collège privé et dans les lycées.
Actions
100% femmes
- Structure organisatrice
- EspaceJacques Percereau - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Solidarité
- Résumé
Certaines femmes des quartiers, mamans ou non, expriment le besoin de se retrouver lors d’activités manuelles. Elles souhaitent réaliser des choses pour elles-mêmes.
Des femmes, des mamans ont souvent des rythmes de vie soutenus et doivent concilier l’éducation des enfants et les tâches du quotidien. Elles ont peu de temps à s’accorder, peu de lien avec l’extérieur ce qui engendre un repli sur elles-mêmes. Ces femmes ont besoin de prendre du temps pour elles afin de vivre leur vie et répondre à leurs envies.
Les professionnels du Centre Jacques PERCEREAU observent des répercussions positives sur les relations familiales et personnelles lorsque la femme prend du temps pour elle.
Les objectifs :
- Favoriser les rencontres et la création de lien entre les femmes des quartiers.
- Lutter contre l’isolement des femmes.
- Favoriser leur autonomie en les rendant actrices de leur vie
Organiser un temps le matin toutes les 2 semaines à destination des femmes désireuses de prendre du temps pour elles et de rencontrer d’autres personnes autour d’activités conviviales grâce à des supports tels que :
-
Corps / Sport / Santé : piscine, gym, marche,…
-
Le bien-être : soin du visage, manucure, relaxation …
-
Activités manuelles : cuisine, créations manuelles,
-
Ouverture/découverte : Visite extérieure en lien avec le besoin du groupe.
-
Communication /quotidien : la communication respectueuse
Le contenu des temps de rencontre sera défini en lien avec les besoins et attentes du groupe. Les participantes pourront aussi animer un atelier en fonction de leurs savoirs faire.
Afin d’offrir un cadre sécurisant propice à l’épanouissement de chacune, des outils seront crées afin de permettre le respect commun et l’accueil de nouvelles participantes.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un habitant
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Caf
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
L'action est récente. Des modifications vont certainement être apportées en fonction du groupe de femmes constitué.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
250 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 professionnels en alternance
- Résultat sur le territoire
Non mesurables à ce jour
- Résultat pour le centre social
Non mesurables à ce jour
- Résultat pour les habitants
Non mesurables à l'heure actuelle
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Chantier jeunes "handicap"
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL EVRE ET MAUGES - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- discriminations
- Résumé
Pendant les péridoe de vacances scolaires d'été, des chantiers jeunes sont proposés et permettent à des jeunes de participer à une action dans une des communes déléguées de notre territoire d'intervention.
Afin d'alimenter un site internet réalisé par une association locale qui s'est mobilisé pour mettre en valeurs les lieux adaptés à l'accueil des personnes à mobilité réduite, les jeunes ont :
Découvert les difficultés de mobilité rencontrées par les personnes concernées en se déplaçant en fauteuille roulant dans leur commune.
Discuté avec les responsables de l'association pour connaître les lois et les obligations des architectes pour que l'accès soit faisable
sollicité la mairie pour pouvoir accéder aux lieux publics, prendre des mesures, des photos, évaluer si réellement l'accès est possible.
Mis ces informations sur le site "les pages bleues.org"
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Précision ( si autre )
Les bénévoles de l'association "les roues libres" et les élus de la collectivité
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Les chantiers jeunes ont été mis en place car certains jeunes nous expliquaient qu'il n'arrivaient pas à trouver de petits boulots l'été.
Et sur les communes, certains chantiers pouvaient être réalisés par des groupes de jeunes accompagnés par un employé communal et un animateur du Centre Social.
En participant à cette action, les jeunes obtiennent des tickets loisirs qu'ils peuvent dépenser chez des commerçants locaux ou des associations.
Les tickets loisirs financés par la commune.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Commune
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Plusieurs temps ont été nécessaire à la mise en oeuvre de l'action.
Réflexion interne au centre pour envisager un chantier jeune pouvant ce rapprocher des valeurs du Centre, de notre interconnaissance avec des acteurs associatifs, des potentiels de coopération, des envies des jeunes !
Sollicitation des jeunes pour visualiser si l'idée leur semble être pertinente
Proposition et définition de la thématique du Chantier avec les élus de la Mairie et le coordinateur.
Travail avec la Mairie, l'association, le CS pour visualiser la faisabilité du projet...
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le salaire de l'animateur accompagnant et les tickets loisirs données aux jeunes à la fin du projet
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 élus - 3 bénévoles de l'associations les roues libres - le coordinateur jeunesse et 1 animateur - 12 jeunes
- Résultat sur le territoire
Les jeunes ont trouvé l'action très intéressante et apprenante : "découverte de difficultés de mobilité simple de la vie de tous les jours en fauteuil roulant", le site internet, les échanges avec les bénévoles de l'association et le décallage entre les lois et la vrai vie...
Les élus ont apprécié l'investissement des jeunes et des bénévoles. Habituellement, les propositions pour les chantiers de jeunes s'orientaient plus sur des travaux dans l'espace de la commune comme par exemple "repeindre les poteaux qui entoure le stade de foot, déserber les sentiers ou faire des fresques sur les mur". Ce projet à permis d'ouvrir des perspectives sur de nouvelles idées... peut-être un peu plus apprennante pour les jeunes...
L'association a complété leur site grace à cette action des jeunes, 2 d'entres eux ont souhaité devenir bénévoles de l'association.
- Résultat pour le centre social
Une reconnaissance autour de l'aspect éducatif, participation citoyen de l'action.
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Le même projet doit se réalisé sur l'été 2017 mais sur une autre commune déléguée de Beaupréau en Mauges
Actions
Citoyenneté 2016/2017
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL LE PLANTY - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- Solidarité
- Démocratie & citoyenneté
- discriminations
- Mixité sociale
- Résumé
1. Favoriser la mixité, le dialogue et l’égalité entre garçons et filles
2. Prévenir les discriminations et notamment l’égalité femmes/hommes
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
• Offrir un espace et un moment de paroles afin de permettre de faire émerger et discuter des heurts, des conflits, des plaintes, des demandes et des questions des enfants
• Parler collectivement des problèmes rencontrés, échanger et confronter les points de vue
• se repérer dans le groupe et peu à peu y trouver sa place avant d'en comprendre et de s'en approprier les règles
Le centre social accueille sur différentes actions (accompagnement à la scolarité, animations familles) des enfants d’âges primaires. Les encadrants : animateurs et bénévoles ont constatés des difficultés relationnelles entre certains enfants. Des remarques sexistes, racistes ont été prononcées « je ne parle pas avec toi, tu es une fille », « tu ne t’assoies pas à côté de moi, je n’aime pas les noirs »…Ces comportements se retrouvent également au sein de l’école primaire Buffon située à côté du centre social. Le directeur de cet établissement faisait part lors du dernier groupe-pro du quartier de ses observations et inquiétudes quant aux relations développées entre les élèves. Les cris, les coups semblent être leurs modes de communication privilégiés. Nous sommes également de plus en plus sollicités par des familles déstabilisées par les relations entre les enfants de la fratrie ou les enfants habitants le quartier. Certains parents ont également des problèmes de voisinage du au comportement de leur enfant. Nous sollicitons de plus en plus le dispositif de réussite éducative ou la permanence éducative de la maison des solidarités.
Des problèmes de comportement se posent. Nous souhaitons améliorer cette situation.
Le centre social du planty a pour but d'amener chaque enfant à devenir un citoyen responsable. Dans cette optique, plusieurs activités seront menées afin d'éveiller et de sensibiliser chaque enfant à la démocratie, la solidarité, la tolérance.
Le but de ce projet est de favoriser le vivre ensemble : « C’est faire partie d’un groupe ou d’une société qui partage les mêmes valeurs, dans le respect de la singularité de chacun. C’est permettre l’épanouissement de l’enfant au sein du groupe, dans le respect et la tolérance. C’est construire une relation aux autres qui permet à l’enfant de grandir. »
A l’heure où l’accent mis sur la responsabilité de l’individu montre ses limites face à des situations de plus en plus difficiles, nous sommes convaincus qu’il est plus que jamais nécessaire de replacer la solidarité comme une valeur centrale de notre société et une possibilité de réponse collective aux crises contemporaines. La solidarité dans son sens 1er est une valeur sociale qui reconnait un destin commun à tous les hommes : une dépendance mutuelle. Cette valeur humaniste inscrit l’ensemble des hommes dans une même communauté d’intérêt.
La solidarité est liée à la valeur de la fraternité et aux concepts d’équité et de dignité de la personne. Elle permet de remédier à certaines inégalités de fortune, d’état de santé, de capacité physique ou intellectuelle de lieu d’habitation…. Etre solidaire, c’est reconnaitre à ses pairs les mêmes droits et devoirs que pour nous-mêmes. La solidarité, peut exister à différents échelles : nous sommes solidaires avec notre famille, avec notre ville mais aussi avec d’autres pays et de manière plus globale avec l’ensemble des êtres vivants, sans aucune distinction : à l’échelle de la planète.
Si nous souhaitons réduire les actes d’incivilité, recréer du lien entre les citoyens et restaurer le respect entre les individus, il faut que chacun puisse découvrir « l’autre » et, au-delà de ses différences, comprendre que nous avons des points communs et des intérêts collectifs. Il est également nécessaire de connaitre les institutions françaises et leur fonctionnement.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- ACSE
- Caf
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Ce projet permettra de donner la parole aux enfants, aux adolescents, aux parents, aux habitants du territoire sur les enjeux de la solidarité, d’approfondir leur réflexion sur ce thème et de les inciter à l’action. Il entend contribuer à ouvrir les questions d’éducation citoyenne au grand public. Le centre social veut ainsi ouvrir un lieu d’échange sur les notions de solidarité, de responsabilité, d’ouverture au monde ou encore, de respect de la diversité. Ainsi le centre social utilisera des outils pédagogiques, des pratiques d’éducation citoyenne, qui rendent l’enfant, l’adolescent, le parent, l’habitant acteur de son apprentissage et favorise l’émergence de citoyen à même d’exercer pleinement leurs droits et devoirs, d’être impliqués dans la vie sociale, économique et politique de leur pays. Nous nous appuierons sur la vision de Jean Marie Montel (via le site « citoyendedemain.net » pour qui une éducation à la citoyenneté est indispensable. «Elle concerne chacun dans sa capacité à connaitre l’autre, à être par lui-même, et dans sa relation avec les autres. Dans l’éducation à la citoyenneté deux éléments complémentaires s’enrichissent l’une de l’autre : une formation à la civilité, une éducation à vivre les relations interpersonnelles dans la vie quotidienne. Parler de citoyenneté, c’est parler de respect des autres, de politesse, de liberté individuelle, de respect de l’environnement… Le deuxième volet est celui de l’éducation à l’intérêt général. Une société est un groupe dont l’intérêt général est supérieur à la somme des intérêts particuliers. Cet intérêt général donne à une société une dimension nouvelle, collective, et aux individus qui la composent une valeur supplémentaire ».
La démarche pédagogique du centre social abordera les thèmes de l’identité, de la laïcité, de la solidarité, de respect….et proposera des actions visant trois étapes : l’expression, la sensibilisation et l’action.
- L’expression : faire émerger les opinions, points de vue et expériences
- La sensibilisation : poursuivre la réflexion et sensibiliser aux questions de citoyenneté
- L’action : mettre en place sur le long terme des actions et pratiques pédagogiques
Les espaces éducatifs doivent être pour tous des espaces de justice et d’équité, favorisant ainsi une période de construction personnelle et collective sereine. Il s’agit de développer tous les espaces et toutes les situations qui peuvent favoriser l’expression et la participation des enfants, des adolescents, des parents, des habitants, donner à vivre la conflictualité si besoin et apprendre à la gérer pour favoriser le vivre-ensemble.
Cependant, une éducation relative à la citoyenneté, la laïcité interroge le rôle et la posture des intervenants de l’action éducative. Elle questionne leur capacité à écouter, à prendre en compte la différence, à animer des temps de dialogue, à se positionner sur des situations concrètes qui peut questionner le caractère laïque de la structure. L’intervenant qu’il soit professionnel de la structure ou bénévole, doit en maitriser le sens pour développer une posture et proposer des situations et démarches pédagogiques adaptées. La question de la formation des intervenants sera primordiale pour le bon déroulement du projet.
Les objectifs
Favoriser la rencontre et l’échange
Offrir un espace et un moment de paroles afin de permettre de faire émerger et discuter des heurts, des conflits, des plaintes, des demandes et des questions des enfants
• Parler collectivement des problèmes rencontrés, échanger et confronter les points de vue
• se repérer dans le groupe et peu à peu y trouve sa place avant d'en comprendre et de s'en approprier les règles
Favoriser le sens civique
Les actions
1er semestre
2 journées de formation dans le cadre du plan national de la formation à la laïcité
12 bénévoles et 6 animateurs
Formation « laïcité et valeur de la République » en direction des encadrants bénévoles et animateurs de la structure.
Objectifs Plan national de la formation:
-Mieux appréhender le principe de laïcité dans ses aspects juridiques et historiques
-Adopter un positionnement adapté à sa situation professionnelle et au statut de sa structure employeuse
-Apporter des réponses aux demandes et situations rencontrées dans l’exercice de ses fonctions, fondées sur le droit et dans une logique de dialogue
½ journée de module de spécialisation : « Laïcité et relation socioéducative» ou « Laïcité et espace public »
+ transmission outils pédagogiques Jeu « La Ï Cité » de Graine de Citoyen
2ème semestre
4 interventions afin d’aborder différentes notions
Intervention de 2 heures de formation pour les encadrants suivi de 2 heures d’intervention pour chaque groupe de 10 à 12 enfants ou pré-adolescents:
Les histoires interactives : de grandes affiches, des accessoires pour faire jouer les enfants, les adolescents, des livrets pour en reparler en famille.
les pingouins
Thèmes abordés: les rites d’entrée dans le groupe, l’exclusion et l’acceptation, l’individu dans le groupe, la différence, le chef, la pression du groupe, les responsabilités, les conduites à risque, le bouc émissaire, la richesse du groupe et la solidarité
2 versions : 1 pour les enfants d’âge primaire et 1 pour les collégiens1 journée de formation à la malle pour 12 personnes animateurs et bénévoles
Utilisation de la malle ensuite
Concerne environ 50 enfants et adolescents et leurs parents
La valise pédagogique « si mes droits m’étaient contés » :
La valise est composée de romans, d’album jeunesse, de documentaires, de jeux de société. Il s’agit d’un outil pédagogique pour sensibiliser à la convention internationale des droits de l’enfant et favoriser le débat et la prise de parole.
Une journée de formation est nécessaire en amont de l’utilisation de la mallette.
Finalité : Former les animateurs et bénévoles à l’utilisation de la malle pour encadrer des séances sur le thème de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant.
Public : enfant, adolescent et famille
1 journée de représentations,
Spectacle ouvert aux partenaires éducatifs (accueils de loisirs ou écoles en fonction de la programmation), aux familles
Le spectacle « le chat bleu » de la compagnie acteurs en herbe
Par le jeu théâtral, le chat bleu va amener les enfants à exprimer leurs différences et à regarder le monde qui les entourent avec toutes ses diversités.
Ce spectacle et interactif et le public est mis à contribution.
Un dossier pédagogique sera donné en amont afin d’aborder ces notions par le jeu.
Une exposition interactive sur la paix, les conflits, les préjugés à destination des adolescents, des parents, des habitants
Invitation des élèves de CM2 et des collèges de notre territoire, ouverture également à l’ensemble des établissements scolaires de la ville de Cholet, des structures éducatives (secteur jeunesse des centres sociaux, accueils de loisirs, association d’aide sociale à l’enfance, CADA, CHRS…)
Exposition « la fabrique de la paix » par la ligue de l’enseignement
Une cinquantaine d’activités variées proposant de réagir à des situations quotidiennes, pour évaluer eux-mêmes leurs préjugés et les effets de leurs comportements. L’approche consiste à remonter aux origines du préjugé, à aider les enfants à identifier son impact dans leur vie et à le démasquer lorsqu’ils y sont confrontés.
Tout au long de l’année
Fil rouge conduit par le centre social
En direction des enfants, des adolescents, des parents, des habitants lors des temps fort du centre social (fête du quartier, portes ouvertes) ou d’animations pendant les vacances scolaires
Jeux coopératifs, activités artistiques et éducative abordant les différents lieux de citoyenneté : à l’école, l’Europe, dans la cité en utilisant différentes ressources provenant :
- Cidem
- Collection « repères pour éduquer : les droits de l’enfant avec Fetitsa »
- Citoyen de demain « d’ici et de là : sous un autre toit, l’autre c’est toi »
- « vinz et lou » livret pédagogique
2 fois dans l’année à destination des familles (enfants, parents)
Animation au relais lecture du centre social à partir du livret pédagogique « conte moi l’interculturel » pour aborder l’interculturel autour des contes : fiches et activités pédagogiques, film d’animation « Conte-moi »
Actions
Poste de dépenses
financement
Formation « laïcité et valeurs de la République »
Matériel pédagogique consommable
Existant au centre social
Animateurs centre social
Droit commun
Prestataires extérieurs, intervenant : graine de citoyens
Contrat ville
Les histoires interactives : Les pingouins
Matériel pédagogique consommable
Existant au centre social
Animateurs centre social
Droit commun
Prestataires extérieurs, intervenant : graine de citoyens
Contrat ville
La valise pédagogique « si mes droits m’étaient contés »
Animateurs centre social
Droit commun
Prestataires extérieurs, intervenant : graine de citoyens
Contrat ville
Le spectacle « le chat bleu »
Animateurs centre social
Droit commun
Prestataires extérieurs, intervenant : acteurs en herbe
Contrat ville
Exposition « la fabrique de la paix »
Matériel pédagogique consommable
Existant au centre social
Animateurs centre social
Droit commun
Prestataires extérieurs, intervenant : la ligue de l’enseignement
Contrat ville
Jeux coopératifs, activités artistiques et éducative
Acquisition des ressources documentaires
Contrat ville
Matériel pédagogique consommable
Existant au centre social
Animateurs centre social
Droit commun
Livres et jeux
Existant au centre social
- Ressources financières mobilisées pour cette action
2017 Citoyenneté
CHARGES
Montant [1]
PRODUITS
Montant
CHARGES DIRECTES
RESSOURCES DIRECTES
60 - Achats
70 – Vente de produits finis, de marchandises, prestations de services
Prestations de services
Achats matières et fournitures
350
74- Subventions d’exploitation[2]
Autres fournitures
100
Etat : précisez le(s) ministère(s) sollicité(s)
61 - Services extérieurs
- CUCS
5 070
Locations
-
Entretien et réparation
Région(s) :
Assurance
-
Documentation
Département(s) :
62 - Autres services extérieurs
-
Rémunérations intermédiaires et honoraires
4620
Intercommunalité(s) : EPCI [3]
Publicité, publication
-
Déplacements, missions
Commune(s) :
Services bancaires, autres
-
63 - Impôts et taxes
Organismes sociaux (détailler) :
Impôts et taxes sur rémunération,
- CAC Référent Famille
804
Autres impôts et taxes
- CAF Référent Famille
127
64- Charges de personnel
CAC Jeunesse
992
Rémunération des personnels,
3 530
L’agence de services et de paiement (ex CNASEA, emploi aidés)
1 296
Charges sociales,
1 103
Autres établissements publics
Autres charges de personnel
Autres part centre social
1 899
65- Autres charges de gestion courante
75 - Autres produits de gestion courante
66- Charges financières
Dont cotisations, dons manuels ou legs
67- Charges exceptionnelles
76 - Produits financiers
68- Dotation aux amortissements
78 - Reprises sur amortissements et provisions
Charges fixes de fonctionnement
485
Frais financiers
Autres
TOTAL DES CHARGES
10 188
TOTAL DES PRODUITS
10 188
CONTRIBUTIONS VOLONTAIRES [4]
86- Emplois des contributions volontaires en nature
87 - Contributions volontaires en nature
Secours en nature
Bénévolat
Mise à disposition gratuite de biens et prestations
Prestations en nature
Personnel bénévole
Dons en nature
TOTAL
10 188
TOTAL
10 188
[1] Ne pas indiquer les centimes d’euros.
[2] L’attention du demandeur est appelée sur le fait que les indications sur les financements demandés auprès d’autres financeurs publics valent déclaration sur l’honneur et tiennent lieu de justificatifs. Aucun document complémentaire ne sera demandé si cette partie est complétée en indiquant les autres services et collectivités sollicitées.
[3] Catégories d’établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre : communauté de communes, communauté d’agglomération, communauté urbaine.
[4] Le plan comptable des associations, issu du règlement CRC n°99-01, prévoit a minima une information (quantitative ou, à défaut, qualitative) dans l’annexe et une possibilité d’inscription en comptabilité, mais en engagements « hors bilan » et « au pied » du compte de résultat.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Ce projet se veut être un projet transversal à l’ensemble de la structure.
è enfants, adolescents, parents, habitants de la zone d’intervention du centre social et plus particulièrement la zone prioritaire
Hommes
femmes
Total
0-10 ans
25
25
50
10-14 ans
15
15
30
15-18 ans
5
5
10
19-25 ans
5
5
10
26-50 ans
10
30
40
+50 ans
5
10
15
Total
65
90
155
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives