Un livre d’habitant sur la période de la Résistance - « Ils se souviennent »…

Une spécificité « Centre Social » : placer les aînés en dynamique de projet !

C’est quoi ?

Après avoir récolté les souvenirs de près de 60 personnes. Après avoir organisé une exposition et des soirées débats sur le sujet à Pont du Fossé en 2015 qui a déplacé un millier de visiteurs en 5 jours…

L’aventure humaine de ce groupe de 11 habitants âgés de 67 à 87 ans se poursuit en 2018 avec un projet fou commencé en 2016 : réaliser un véritable livre !

Un livre qui recense les souvenirs des habitants sur la période de la Résistance dans le Champsaur Valgaudemar.

2018 fût l’année de la sortie du livre qui a connu un grand succès puisqu’il s’en est vendu environ 800 exemplaires !

Ils ont travaillé avec une éditrice professionnelle dans une démarche participative.

Pour réaliser le livre, ils ont participé à un atelier hebdomadaire, tous les Lundis matins animés par Géraldine DISS, l'animatrice du projet de 2016 à 2018. Avec un gros travail en dehors de l'atelier (relecture, corrections, écriture d'articles, recueil de photos, etc.).

Une action de transmission car ils sont intervenus en classe au lycée Poutrain et au Collège de St Bonnet pour aider les élèves dans leu travail sur la Résistance.

Une action de lien social, de valorisation, d'estime de soi. Une activité régulière pour maintenir un certain rythme de vie sociale dans la semaine, un projet faisant travailler le cognitif et la mémoire, bref tout pour travailler les fondamentaux du "bien vieillir".

Une action qui a provoqué le partenariat avec d'autres activités du centre social comme par exemple le PhotoLab (atelier photo numérique pour les retraités) dont les membres ont photographier les portraits présents dans le livre.

Distribution de colis alimentaires (partenariat avec La Banque Alimentaire de l'Aude), une fois par mois à Mouthoumet, avec accompagnement social, notamment sur l'amélioration du budget familial. Service accessible pour les résidants de 17 communes des Hautes-Corbières.

Création d'un Conseil de quartier ouvert à tous les habitants résidant aux Blagis/Paradis.

Description du projet

1. Les jeunes seront sollicités en amont afin de réfléchir à la notion de « République ». Pour cela, nous prévoyons de les réunir sur deux séances avant le séjour afin de définir les thèmes qu’ils souhaitent approfondir dans le support vidéo.

Séance 1 : Introduction du projet par Gilles EPALE (Président de l’Amicale Laïque Michelet et Grégory BONNEFOND, La Comédie.

Séance 2 : Choix et approfondissement des sujets, travail thématique en petits groupes. Distribution d’un carnet de bord permettant de susciter la curiosité des jeunes et d’évaluer leur intérêt pour le projet. Rencontre avec l’intervenant technique qui sera chargé de recueillir les témoignages avant, pendant et après le séjour.

2. Lors d'un séjour à Paris (du 29 octobre au 2 novembre), nous ciblons 3 lieux sur lesquels appuyer notre réflexion : le château de Versailles, l’Assemblée Nationale et le Panthéon.

3. Un autre axe sera également traité dans ce projet : le rapport au numérique (internet, vidéos…) Les jeunes découvriront les métiers du cinéma à travers les échanges avec l’intervenant, une visite du cinéma le Méliès est aussi prévue ainsi que la participation aux séances de montage du documentaire. La parentalité sera aussi abordée en associant les parents notamment à la visite de l’Assemblée Nationale. 3 parents par structure seront invités et accompagnés par les Référents. Une soirée sera organisée en février 2019 associant un maximum de structures pour une soirée débat sur la base du support vidéo qui sera produit.

Le public : (Quelle plus-value éducative ? Quelle implication des jeunes dans le projet ? Quelles mixités ?...)
Les jeunes (10 de chaque structure), âgés entre 14 et 17 ans, devront participer aux deux séances de préparation avant le séjour, ils choisiront les sujets à aborder dans le documentaire. Durant ces séances de travail, il y aura une animation participative pour faciliter le débat entre les jeunes qui voteront pour les thèmes et les activités durant le séjour. Chaque jeune se verra remettre un carnet de bord dont il sera responsable pour sa tenue.
Après le séjour, les jeunes se retrouveront pour participer au montage vidéo et au choix du type de documentaire.
Ce projet permet d’aborder un sujet complexe pour les adolescents, le séjour et la création d’un documentaire vidéo s’inscrivent dans une méthode d’animation de pédagogie active.

Dans un premier temps il faut repérer le public auprès des partenaires sociaux. Nous solliciterons dès septembre Marie José Boivin du Secours Catholique, Domisol, Jean Pierre Muller du Secours Populaire, la Navette (EIAS), la Boutique Alimentaire, le SAMSAH, les Assistantes Sociales, Evelyne de la Famille Gueugnonnaise. 

Le comité a validé les points suivants :

• Le repas a eu lieu le jeudi 27  décembre 2018

• Il sera préparé par des participants volontaires et sensibilisés en amont. D’autres prépareront la salle et la déco.

• Nous prévoirons des inscriptions au préalable pour le repas et à sa préparation.

• Le tarif sera de 5 euros pour le repas avec un prix de revient de15euros (recherche de financement pour le différentiel)

Suite à l'aménagement d'une cuisine semi-professionnelle au sein du centre social, des parents se sont investis sur le projet "vacances familles" en préparant des repas. Les bénéfices des ventes leur permettront de partir e, vacances en famille.

Réponses aux besoins des familles en difficulté ou traversant une période de précarité, ce projet a pour objectif l’accompagnement à l’autonomie et au développement personnel des habitants, la création ou la consolidation du lien social et l’appui à la parentalité et au renforcement identitaire des familles … L’accompagnement est assuré par la référente famille du centre social.

Micheline est une ancienne habitante du quartier et une ancienne utilisatrice régulière du centre social. Elle vit désormais dans un EHPAD à Lainsecq et a donc quitté son environnement urbain de la ville d'Auxerre.

Elle garde le contact avec ses amies du quartier et téléphone également au centre social. Lors d'un "coin café" est née l'envie de lui rendre visite dans sa maison de retraite. Peu de ses amies ont le permis de conduire ou la voiture et la demande a émergé d'être accompagnées dans ce projet de visite par le centre social.

Le centre social et ce groupe projet se sont engagé afin de maintenir le lien social avec Micheline et de réaliser ce projet avec d'autres usagers ne connaissant pas Micheline.

Une action très simple suggéré par un bénévole, financé dans le cadre de la conférence des financeurs, dont nous sommes très fiers. Il s'agit d'inviter des personnes âgées isolées à rompre l'isolement un mercredi après-midi sur deux, juste pour "paopoter" et ne pas être seul au moins le temps de l'après-midi. Les personnes âgées à mobolité réduite sont récupérées chez elle et ramenées après la séance par des bénévoles. Une intervenante spécilaisée les aide à libérer la parole et à s'exprimer. Une dizaine de personnes âgées y participent, pas toujours en même temps car leur santé est fragile. Ils adorent ces rencontres et ont même demandé un repas de Noël car ils n'en auraient pas fait sans celà. La solidarité, le soutient et le réconfort sont des valeurs qui se sont installées naturellement entre eux.  Les participants ne paient rien, ils ne sont pas adhérents pour que l'argent ne soit pas un frein. Les rencontres se font dans le Cercle de l'Amicale pour qu'ils rencontrent d'autres personnes et n'aient pas le sentiment de l'entre-soi mais bien de faire parti d'un quartier et de la société. Les enfants du centre de loisirs organisent des rencontres avec eux parfois autour d'une activité manuelle ce qui enchante les personnes âgées. Un bout d'un an et demi, ils ont effectué leur première sortie collective pour un spectacle offert par la ville. 

Pour lutter contre l’isolement de toutes les personnes qui se disent :  « J’irais bien au ciné.... mais pas tout seul. J’irais bien me balader ...mais pas toute seule. Sans parler du spectacle, de la visite au musée, ….. »

Appel à tous les habitants désireux de partager des balades, sorties culturelles, … de diffuser une proposition via le programme des Patous, coordonné par la coordinatrice salariée.

En 2018, nous avons poursuivi la mise en place de nombreux ateliers autour du numérique et des médias à destination des collégiens et des lycéens. Tels que:

- un atelier hebdomadaire web-série

- un atelier "web-radio"

- un atelier hebdomadaire autour du jeu vidéo « Minecraft »

- des stages « geeks » pendant les vacances scolaires

- des semaines d’accueil de loisirs autour de la création de courts-métrages

Ces actions ont porté leurs fruits : fortement et régulièrement fréquentées, elles nous ont permis de renouer contact avec le public adolescent, et de vivre avec ces jeunes des réflexions riches, des rapports bienveillants et des expériences fortes. Avec certains d’entre eux même, ces activités ont été des entrées vers une relation de confiance, de conseil et d’écoute, et nous avons pu alors parfois devenir les soutiens dont il avaient besoin face à leurs difficultés.

Evenement regroupant l'ensemble des services du centre social; 

Journée gratuite ouverte à tous les âges ou des ateliers, des spectacles sont proposé

Sortie famille à la montagne chaque année, proposée à des tarifs gradués selon les revenus (tout petit prix pour les familles modestes).

Diffusion d'une news letter "Bons plans parents" rescnesant des informations sur les vacances, les dispositifs d’aide sur projets pour les + de 16 ans, les événements parentalité, les loisirs enfance jeunesse sur le territoire.

- Accompagnement des publics à l'utilisation du numérique

- ateliers sociolinguistiques, Français Langue Professionnelle

- accompagnement des publics auprès des institutions, aider dans leurs démarches administratives, financières, facilitant le repérage des administrations et organismes sociaux

- permanences de professionels pour une connaissances et suivi des droits fondamentaux des publics (logement, santé, justice...)

Organisation durant l'année 2018, de plusieurs temps d'échanges autour des questions de laïcité, des faits religieux, des préjugés et des discriminations. Avec 2 étapes principales :

1ère étape : animation avec différents publics (adultes, jeunes) du jeu  l'Arbre à défis conçu par l'Association "Enquête". Cet outil ludo-éducatif, en partant de questions traitant du quotidien, tout en incluant tant le cadre laïque que les préjugés et stéréotypes, articule l’éducation à la laïcité à l’enseignement des faits religieux. Il a permis une première découverte des faits religieux en éveillant au respect, sous un angle laïque et non confessionnel.

2ème étape : organisation d'une journée interculturelle autour d'une rencontre-échange avec Eric Vinçon de l'Association "Enquête" et d'un repas partagé avec les spécialités culinaires apportées par chacun. Cette rencontre  a réuni plus d'une quarantaine de personnes, de cultures, de confessions et de milieux sociaux différents, a été riche d'enseignement et d'échanges. Plusieurs grands sujets ont été abordés : la considération de la langue dans chaque religion ; l’imbrication entre politique et religieux ; l'identité culturelle de la France construite sur plusieurs siècles et la transformation du pays en profondeur depuis peu… Un élément primordial a été mentionné : l’importance du regard porté sur ces questions. Il y a une immense variété d’opinions, de façons de croire très différentes d’un individu à l’autre. La laïcité, bien sûr, n'a pas été exlue du débat. Ses visées ont été rappelées : elle est là pour protéger les croyants et les incroyants. Elle permet la liberté de conscience, de religion et de culte. Pour conclure, il a été précisé que la connaissance peut aider à la tolérance et qu’il est important d’identifier les causes qui nous amènent au rejet. « Les religions sont humaines, elles ont toute une histoire. On a plus en commun que de choses qui nous séparent. Il faut rechercher ensemble une sagesse commune. Il ne faut pas traiter les complexités par des idées trop simples ou se cantonner au silence. Il faut aujourd’hui accepter de regarder la complexité en face. » L'intervenant est resté échanger avec les adhérents sur le temps du repas.

En parallèle, différents repas ont été programmés avec l'implication des adhérents dans une logique de découverte et de partage.

• L'association diffuse via une news letter et des affiches papier dans les village, plusieurs outils d'information:

Une Lettre d’information mensuelle qui synthétise programmation culturelle, animations de la vie sociale, services sociaux, et propose des liens vers des sites ressources.

Une Lettre de rentrée qui synthétise activités sportives et culturelles, à l’année, équipements enfance et petite enfance

Plaquette "L'Alimentation locale : Consommer en circuits courts" qui rescense tous les producteurs locaux (viande, pain, confiture, miel, laitages, plantes, légumes et fruits, vins...)

• Elle est également relais d’information de l’association de lutte contre les violences faites aux femmes "Paroles de femmes"

Organisation d’une présentation de cette association auprès des secrétaires de mairie, agents de la MSAP du Causse, professeurs des écoles, infirmières.

Cet atelier de découverte a proposé une introduction à l’autodéfense féministe qui a été poursuivi, pour celles qui le souhaitaient, par un week-end d’approfondissement.

Pourquoi cet atelier ?
Les violences sexistes prennent différentes formes : physique, sexuelle, verbale, psychologique, économique, culturelle ou spirituelle. Ce sont des violences ordinaires, plus ou moins graves, qui interviennent régulièrement dans la famille, au travail, dans la rue… L’autodéfense féministe est une méthode qui a pour objectif de transmettre à des femmes, des filles ou des personnes minorisées par leur genre ou leur sexualité, des outils pour prévenir ces différentes agressions.
Cette pratique comporte des enjeux bien différents que le self-defense : briser les stéréotypes sur les agresseurs ; faire reprendre confiance en la capacité des femmes à agir de manière autonome et à écouter leurs intuitions ; poser ses limites ; se persuader soi-même de sa propre force.

Une pratique adaptée aux situations
L’autodéfense féministe se pratique sous plusieurs aspects : émotionnelle, verbale et physique. Les émotions sont considérées comme ayant pour fonction de déterminer nos propres limites. Elles sont donc indispensables pour se défendre efficacement. L’autodéfense féministe propose des techniques dans lesquelles exprimer ses émotions fait partie intégrante de la confrontation verbale. C’est une part importante de l’autodéfense féministe, car elle permet de poser clairement ses limites et d’empêcher qu’une agression verbale évolue vers une agression physique ou sexuelle.
La méthode enseignée est basée sur la répétition de mouvements simples et efficaces. D’autres stratégies pour se protéger sont explorées de la fuite (quitter une situation violente ou potentiellement violente) à la désescalade (calmer le jeu). En partant du vécu des femmes, l’atelier s’appuie en partie sur l’expérience des participantes.

Le stage a été animé par Robine Anders, formatrice formée par Garance, selon la méthode Seito Boei.

Un partenariat a été réalisé avec le Collège du secteur et principalement auprès des élèves de 4° et des classes ULIS et SEGPA.

Suite à une présentation de saynètes devant tous les élèves de 4°, par une compagnie de professionnels pour faire découvrir le principe du théâtre forum, il est mis en place un atelier de 5 fois 2h sur le temps scolaire pour une douzaine de jeunes. Ce projet est accompagné par des enseignants référents qui, dans le cadre des EPI, prolongent en classe les échanges sur le sujet choisi : lutte contre les diverses formes de discriminations.

Les 12 élèves retenus pour l'atelier travaillent des saynètes avec un comédien professionnel à partir de leurs expériences et sur les sujets qui leur tiennent à coeur dans le thème défini. A l'issue de leur apprentissage, ces élèves vont réaliser 2 représentations devant leurs pairs, et une représentation devant leurs parents et autres adultes.

proposer aux enfants des spectacles d'art vivant (danse, théâtre...)

former à l'esprit crtique (construction d'une grille de lecture)

rencontrer des professionnles du spectacle

faire participer les parents à cette démarche 

proposer aux enfants des spectacles d'art vivant (danse, théâtre...)

former à l'esprit crtique (construction d'une grille de lecture)

rencontrer des professionnles du spectacle

faire participer les parents à cette démarche 

A travers des actions pérennes l’association mobilise un public de retraités bénévoles, participant au profit du soutien scolaire et de l’aide aux familles.

Dans ses projets elle prévoit  des ateliers qui vont favoriser la mixité intergénérationnelle

L’autodéfense féministe permet aux participantes d'appréhender la violence de manière réaliste, telles qu'elles la vivent au quotidien. Les stages d'autodéfense prennent en compte les différents types de violences : verbale, physique, psychologique, sexuelle. De la même manière l'ensemble des cadres pouvant donner lieu à des violences sont abordées que ce soit au travail, en famille, à l’école ou dans les espaces publics et privés.

Ces stages ont lieu en non-mixité afin de favoriser la confiance, la confidentialité et la libération de la parole. Les femmes acquièrent des techniques, se place dans une démarche bienveillante entre participantes, travaillent sur la confiance en elles-mêmes et prennent conscience de leurs forces.

Aucune condition physique particulière n'est requise pour les participantes. Les stages peuvent s'adapter aux personnes à mobilité réduite et aux différents types de handicaps.

Le Nautilus - Centre Socio-Culturel de Boulogne-sur-Mer a fait appel à l'association LORELEI pour mettre en place ces stages. L'animation de ces stage demande une formation spécifique dispensée notamment par l'association belge GARANCE.

cf.fiches actions-2019-2022

3 friperies qui proposent :

Un lieu convivial de proximité, où échanger infos et bons plans, autour d'un café.

Des vêtements femme, homme et enfant, du linge de maison, des chaussures et des accessoires de mode, sélectionnés avec soin, à tout petits prix (de 0,20 à 5 euros).

Une démarche de développement durable de consommation recyclée en circuit court.

Une activité génératrice d'emploi sur le territoire.

La friperie fonctionne grâce aux dons effectués par les habitants et à l'engagement des bénévoles qui donnent de leur temps pour trier, mettre en rayon et accueillir chaleureusement le public. Chacun peut trouver sa place dans les friperies : bénévoles occasionnels ou bénévoles assidus, expérimentés en vente textile ou débutants, francophones ou anglophones… le seul point incontournable est l'envie de rencontre.

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Ecouter les parents dans leurs difficultés.
Les actions ont pour but de valoriser les capacités parentales de maintenir et parfois rétablir le lien parent/enfant. De créer des rencontres et encourager les échanges entre parents, partager les difficultés, les expériences et favoriser l’entraide entre les familles, susciter des réflexions communes autour de la parentalité.