Notre centre social rayonne sur un quartier dit sensible de la Ville de Pontarlier. Nos actions du quotidien (CLAS, ALSH...) fonctionnent bien et nous communiquons donc très peu sur l'extérieur pour en faire la promotion. Nous manquons de mixité sociale sur notre centre social et cet événement nous en amène et nous rend plus visible à l'échelle de la Ville.

Naissance du projet : En 1999, la Ville de Pontarlier sollicitait l'ensemble des associations de secteur afin qu'elles lui proposent des manifestations originales pour fêter le passage à l'an 2000. Notre structure avait déjà travaillé avec Nasser Omar, réfugié Afghan basé sur Dijon, autour d'atelier de cerfs-volant. Pour les raisons citées plus haut nous avons décidé de proposer un temps fort autour du vent à toutes les écoles maternelles et primaires de la Ville. Nous sommes intervenus dans les classes pour travailler sur cette thématique et construire 1 500 cerfs-volants. Exposition, vol au centre ville, vol de nuit, la formule de départ est toujours la même.

Cette action qui devait être éphémère a remporté un vif succès et en partenariat avec la Mairie de Pontarlier nous avons décidé de la proposer chaque année.

Dans une ville réputée être un "dortoir" ou "personne ne se connaît et s'investit"  ,par des actions à l'initiative d'habitants, dans le cadre du développement durable sur la commune , favoriser la participation et l'investissement de ceux ci dans la vie locale, au niveau global ou dans leurs quartiers.

Favoriser l'émergence d'initiatives d’habitant en lien avec les enjeux du développement durable;

Par l'animation et la coordination d'actions, être l'interface et porter une dynamique de partenariat, favoriser l'émancipation de la personne, créer sur la commune des lieux d'échanges interculturels et intergénérationnels, accueillir et intégrer les primo arrivants,

Favoriser le vivre ensemble.
Initier  des actions contre l’isolement.
Renforcer la mobilisation des différents acteurs sociaux du quartier.
Travailler en proximité à la lutte contre toute forme d’exclusion.

Il répond à divers besoins :
Besoin lié à la nécessité de rompre l’isolement de diverses catégories d’habitants du quartier.
Besoin de redonner une place aux publics en situation d’exclusion.
Besoin de créer une synergie, sur une action donnée, entre les divers acteurs sociaux du quartier.

Diagnostic partagé par les partenaires du territoire

L'action a été mise en place à partir d'une volontyé de quelques habitants et d'élus moteurs. De plus, cette action a permis d'asseoir le poste de référent famille au sein du Centre social. Les agents issues des 4 Maisons de services au public contribuent également à la réussite de cette action. 

De plus, il s'agit à terme de sortir les personnes aidées (au sein des réseaux Banque alimentaire et Resto du coeur) d'une certaine forme d'assistance (sans être péjoratif) pour les faire contribuer à la réussite du projet (à l'instar de ce que propose un réseau comme ATD Quart-Monde.

• Favoriser le lien parents-enfants,
• Donner le goût des mots, de la pratiques artistiques
• Donner aux enfants ou parents la possibilité d’amener leurs propres ouvrages à la lecture
• Amener le livre dans les familles, la pratique artistique accessible pour tus
• Répondre aux questionnements des parents sur différentes thématiques autour de moments informels
• Mettre à disposition des livres thématiques, des ateliers artistiques et des pratiques artistiques accéssibles à tous

Pour valoriser les capacités créatrices des enfants auprès de leur entourage, leur donner confiance en leurs aptitudes, rendre l'univers de l'entreprise plus familier.

Demandes des établissement scolaires, des assistantes socials, du club de prevention. Nous constations que pendant les vacances les enfants sont livrés à eux même et ne fréquentent pas les structures d'accueil de loisirs , sportives ou culturelles

Pour permettre aux publics des Ateliers Sociolinguistiques des Centres Sociaux Municipaux de se

• Familiariser avec l’outil informatique pour un accès au numérique en autonomie,

• Favoriser l’accompagnement à la navigation sur Internet, à la réalisation des démarches en ligne et à l’utilisation de bornes automatiques,

Cette action d’envergure majeure s’inscrit dans le pilier n°4 du Contrat de Ville de Meaux - Valeurs de la République et citoyenneté - en référence à l’une des grandes orientations "Favoriser l’intégration sociale des populations immigrées".    

L'action a été mise en place pour développer le lien social entre les habitants. Le jardin est un support à la rencontre, à l'échange et à la solidarité.

Il a également pour objectif d'apporter des connaissances à la population sur les aspects du jardinage et de sensibiliser au développement durable, à l'agriculture zéro pesticide et à la permaculture.

La ville a profité de ce jardin pour mettre en place le compostage dans le quartier sur lequel il est situé (centre ville).

• Découverte de pratiques artistiques et de lieux culturels
• Rencontre et échanges entre des jeunes (richesse de la mixité des jeunes)
• Découverte des quartiers et villes locales
• Valoriser les jeunes auprès des familles

Ce projet, développé en lien avec les habitants, le tissu institutionnel et associatif du quartier  a commencé en 2016 à prendre une dimension différente que celle des années passées. En 2017 et dans les années à venir en lien avec le programme de rénovation urbaine les principaux enjeux seront de :

• Favoriser l’appropriation des espaces publics par les habitants (anciens et nouveaux) en renforçant leur pouvoir d’agir au sein de ces derniers.
• Mettre en œuvre un processus de co-construction du  Vivre Ensemble qui permette également de mieux identifier la place qu’ils prennent sur la place publique.
• Reprendre contact avec des habitants que l’on ne voit plus et éloignés des dispositifs de droit commun.

Ce projet  visera à la mise en œuvre  d’animations  de rue, en priorité sur le nord du quartier, sans pourtant occulter le centre et le sud de ce dernier. Ces animations seront autant de prétextes à la rencontre avec l’ensemble des habitants mais seront tout autant des moyens qui nous permettront  d’entrer en relation avec des habitants enfants, jeunes, adultes, éloignés des structures car n’en possédant pas le mode d’emploi ou les codes et clefs  pour y entrer ou, tout simplement, comme cela est de plus en plus fréquent, en situation de pauvreté qui, car ne voulant pas s’endetter, ayant honte de cette situation, ne voulant pas demander l’aumône, fait barrage à l’accès aux services existants sur le quartier.

Il s’agira dans ce cadre de redonner   la possibilité aux habitants pour qui cela ne va pas de soi, en ayant des lieux pour dire et faire, d’agir au sein et sur la vie du quartier.       

Dans ce cadre il s’agira de :

• Générer des dynamiques collectives par la mise en place de temps d’animation permettant aux habitants, en s’appuyant sur les pratiques sociales et culturelles de ces derniers, de prendre une place publique sur l’espace public.
• Créer des temps d’échange, de rencontre, d’observation et des lieux  permettant d’identifier les usages propres à chaque groupe des espaces publics.
• Mettre en place des temps de confrontation avec les groupes favorisant la  co-construction  d’une "charte" d’utilisation commune des espaces publics. 
• Permettre aux habitants de s’approprier de façon éphémère ou pérenne les espaces publics.
• Favoriser la mise en scène des savoirs et la transmission adultes/enfants/jeunes de ces derniers afin de créer des relations de confiance. 
• Prêter une attention particulière à la participation des jeunes filles.
• Développer notre projet éducatif hors les murs auprès des enfants et jeunes éloignés de nos structures d’accueil se retrouvant régulièrement sur les espaces publics au bas des immeubles et étant parfois en conflit avec le voisinage. 

D’un point de vue plus opérationnel seront mis en place :

• Des animations collectives co-construites sur les espaces publics en bas des habitations qui permettent de créer des contacts avec l’ensemble de la population (Enfants, jeunes, adultes).
• Des temps de rencontre qui permettent aux enfants, jeunes et adultes d’identifier les problématiques inhérentes à chaque tranche d’âge et de la sorte favoriser une meilleure intercompréhension des générations.
• Des temps de concertation qui, en partant des observations faites lors des temps d’animation, des paroles tenues par la population quant à l’appropriation des espaces  permettent aux participants  de se construire un socle commun de connaissance et   définir le minimum de valeurs et de normes à partager pour vivre ensemble sur ces espaces.

Pour au final :

• Contribuer à la co-construction et à la co-production d’un Mieux Vivre Ensemble sur les espaces publics du quartier et au sein de ce dernier de façon plus globale.  

Des exemples d’animations :   
 

• Jeux de société géants
• Jardin de Jean
• Grands jeux dans le quartier
• Spectacle de rue 
• Barbecues, pique-nique…
• Sorties intergénérationnelles des groupes  contactés
• Débats
• Hall café
• …

Ces propositions sont les contenus "de base". Les ateliers pourront s'enrichir et se diversifier au fil du temps, selon les enfants, les jeunes, les adultes contactés (âge, sexe, centres d'intérêts), et selon leurs propositions  en prenant appui sur leurs pratiques sociales et culturelles, leurs savoir-faire. Les ateliers seront itinérants. 

Ce projet, développé en lien avec les habitants, le tissu institutionnel et associatif du quartier  a commencé en 2016 à prendre une dimension différente que celle des années passées. En 2017 et dans les années à venir en lien avec le programme de rénovation urbaine les principaux enjeux seront de :

• Favoriser l’appropriation des espaces publics par les habitants (anciens et nouveaux) en renforçant leur pouvoir d’agir au sein de ces derniers.
• Mettre en œuvre un processus de co-construction du  Vivre Ensemble qui permette également de mieux identifier la place qu’ils prennent sur la place publique.
• Reprendre contact avec des habitants que l’on ne voit plus et éloignés des dispositifs de droit commun.

Ce projet  visera à la mise en œuvre  d’animations  de rue, en priorité sur le nord du quartier, sans pourtant occulter le centre et le sud de ce dernier. Ces animations seront autant de prétextes à la rencontre avec l’ensemble des habitants mais seront tout autant des moyens qui nous permettront  d’entrer en relation avec des habitants enfants, jeunes, adultes, éloignés des structures car n’en possédant pas le mode d’emploi ou les codes et clefs  pour y entrer ou, tout simplement, comme cela est de plus en plus fréquent, en situation de pauvreté qui, car ne voulant pas s’endetter, ayant honte de cette situation, ne voulant pas demander l’aumône, fait barrage à l’accès aux services existants sur le quartier.

Il s’agira dans ce cadre de redonner   la possibilité aux habitants pour qui cela ne va pas de soi, en ayant des lieux pour dire et faire, d’agir au sein et sur la vie du quartier.       

Dans ce cadre il s’agira de :

• Générer des dynamiques collectives par la mise en place de temps d’animation permettant aux habitants, en s’appuyant sur les pratiques sociales et culturelles de ces derniers, de prendre une place publique sur l’espace public.
• Créer des temps d’échange, de rencontre, d’observation et des lieux  permettant d’identifier les usages propres à chaque groupe des espaces publics.
• Mettre en place des temps de confrontation avec les groupes favorisant la  co-construction  d’une "charte" d’utilisation commune des espaces publics. 
• Permettre aux habitants de s’approprier de façon éphémère ou pérenne les espaces publics.
• Favoriser la mise en scène des savoirs et la transmission adultes/enfants/jeunes de ces derniers afin de créer des relations de confiance. 
• Prêter une attention particulière à la participation des jeunes filles.
• Développer notre projet éducatif hors les murs auprès des enfants et jeunes éloignés de nos structures d’accueil se retrouvant régulièrement sur les espaces publics au bas des immeubles et étant parfois en conflit avec le voisinage. 

D’un point de vue plus opérationnel seront mis en place :

• Des animations collectives co-construites sur les espaces publics en bas des habitations qui permettent de créer des contacts avec l’ensemble de la population (Enfants, jeunes, adultes).
• Des temps de rencontre qui permettent aux enfants, jeunes et adultes d’identifier les problématiques inhérentes à chaque tranche d’âge et de la sorte favoriser une meilleure intercompréhension des générations.
• Des temps de concertation qui, en partant des observations faites lors des temps d’animation, des paroles tenues par la population quant à l’appropriation des espaces  permettent aux participants  de se construire un socle commun de connaissance et   définir le minimum de valeurs et de normes à partager pour vivre ensemble sur ces espaces.

Pour au final :

• Contribuer à la co-construction et à la co-production d’un Mieux Vivre Ensemble sur les espaces publics du quartier et au sein de ce dernier de façon plus globale.  

Des exemples d’animations :   
 

• Jeux de société géants
• Jardin de Jean
• Grands jeux dans le quartier
• Spectacle de rue 
• Barbecues, pique-nique…
• Sorties intergénérationnelles des groupes  contactés
• Débats
• Hall café
• …

Ces propositions sont les contenus "de base". Les ateliers pourront s'enrichir et se diversifier au fil du temps, selon les enfants, les jeunes, les adultes contactés (âge, sexe, centres d'intérêts), et selon leurs propositions  en prenant appui sur leurs pratiques sociales et culturelles, leurs savoir-faire. Les ateliers seront itinérants. 

Ce projet, développé en lien avec les habitants, le tissu institutionnel et associatif du quartier  a commencé en 2016 à prendre une dimension différente que celle des années passées. En 2017 et dans les années à venir en lien avec le programme de rénovation urbaine les principaux enjeux seront de :

• Favoriser l’appropriation des espaces publics par les habitants (anciens et nouveaux) en renforçant leur pouvoir d’agir au sein de ces derniers.
• Mettre en œuvre un processus de co-construction du  Vivre Ensemble qui permette également de mieux identifier la place qu’ils prennent sur la place publique.
• Reprendre contact avec des habitants que l’on ne voit plus et éloignés des dispositifs de droit commun.

Ce projet  visera à la mise en œuvre  d’animations  de rue, en priorité sur le nord du quartier, sans pourtant occulter le centre et le sud de ce dernier. Ces animations seront autant de prétextes à la rencontre avec l’ensemble des habitants mais seront tout autant des moyens qui nous permettront  d’entrer en relation avec des habitants enfants, jeunes, adultes, éloignés des structures car n’en possédant pas le mode d’emploi ou les codes et clefs  pour y entrer ou, tout simplement, comme cela est de plus en plus fréquent, en situation de pauvreté qui, car ne voulant pas s’endetter, ayant honte de cette situation, ne voulant pas demander l’aumône, fait barrage à l’accès aux services existants sur le quartier.

Il s’agira dans ce cadre de redonner   la possibilité aux habitants pour qui cela ne va pas de soi, en ayant des lieux pour dire et faire, d’agir au sein et sur la vie du quartier.       

Dans ce cadre il s’agira de :

• Générer des dynamiques collectives par la mise en place de temps d’animation permettant aux habitants, en s’appuyant sur les pratiques sociales et culturelles de ces derniers, de prendre une place publique sur l’espace public.
• Créer des temps d’échange, de rencontre, d’observation et des lieux  permettant d’identifier les usages propres à chaque groupe des espaces publics.
• Mettre en place des temps de confrontation avec les groupes favorisant la  co-construction  d’une "charte" d’utilisation commune des espaces publics. 
• Permettre aux habitants de s’approprier de façon éphémère ou pérenne les espaces publics.
• Favoriser la mise en scène des savoirs et la transmission adultes/enfants/jeunes de ces derniers afin de créer des relations de confiance. 
• Prêter une attention particulière à la participation des jeunes filles.
• Développer notre projet éducatif hors les murs auprès des enfants et jeunes éloignés de nos structures d’accueil se retrouvant régulièrement sur les espaces publics au bas des immeubles et étant parfois en conflit avec le voisinage. 

D’un point de vue plus opérationnel seront mis en place :

• Des animations collectives co-construites sur les espaces publics en bas des habitations qui permettent de créer des contacts avec l’ensemble de la population (Enfants, jeunes, adultes).
• Des temps de rencontre qui permettent aux enfants, jeunes et adultes d’identifier les problématiques inhérentes à chaque tranche d’âge et de la sorte favoriser une meilleure intercompréhension des générations.
• Des temps de concertation qui, en partant des observations faites lors des temps d’animation, des paroles tenues par la population quant à l’appropriation des espaces  permettent aux participants  de se construire un socle commun de connaissance et   définir le minimum de valeurs et de normes à partager pour vivre ensemble sur ces espaces.

Pour au final :

• Contribuer à la co-construction et à la co-production d’un Mieux Vivre Ensemble sur les espaces publics du quartier et au sein de ce dernier de façon plus globale.  

Des exemples d’animations :   
 

• Jeux de société géants
• Jardin de Jean
• Grands jeux dans le quartier
• Spectacle de rue 
• Barbecues, pique-nique…
• Sorties intergénérationnelles des groupes  contactés
• Débats
• Hall café
• …

Ces propositions sont les contenus "de base". Les ateliers pourront s'enrichir et se diversifier au fil du temps, selon les enfants, les jeunes, les adultes contactés (âge, sexe, centres d'intérêts), et selon leurs propositions  en prenant appui sur leurs pratiques sociales et culturelles, leurs savoir-faire. Les ateliers seront itinérants. 

Ce projet, développé en lien avec les habitants, le tissu institutionnel et associatif du quartier  a commencé en 2016 à prendre une dimension différente que celle des années passées. En 2017 et dans les années à venir en lien avec le programme de rénovation urbaine les principaux enjeux seront de :

• Favoriser l’appropriation des espaces publics par les habitants (anciens et nouveaux) en renforçant leur pouvoir d’agir au sein de ces derniers.
• Mettre en œuvre un processus de co-construction du  Vivre Ensemble qui permette également de mieux identifier la place qu’ils prennent sur la place publique.
• Reprendre contact avec des habitants que l’on ne voit plus et éloignés des dispositifs de droit commun.

Ce projet  visera à la mise en œuvre  d’animations  de rue, en priorité sur le nord du quartier, sans pourtant occulter le centre et le sud de ce dernier. Ces animations seront autant de prétextes à la rencontre avec l’ensemble des habitants mais seront tout autant des moyens qui nous permettront  d’entrer en relation avec des habitants enfants, jeunes, adultes, éloignés des structures car n’en possédant pas le mode d’emploi ou les codes et clefs  pour y entrer ou, tout simplement, comme cela est de plus en plus fréquent, en situation de pauvreté qui, car ne voulant pas s’endetter, ayant honte de cette situation, ne voulant pas demander l’aumône, fait barrage à l’accès aux services existants sur le quartier.

Il s’agira dans ce cadre de redonner   la possibilité aux habitants pour qui cela ne va pas de soi, en ayant des lieux pour dire et faire, d’agir au sein et sur la vie du quartier.       

Dans ce cadre il s’agira de :

• Générer des dynamiques collectives par la mise en place de temps d’animation permettant aux habitants, en s’appuyant sur les pratiques sociales et culturelles de ces derniers, de prendre une place publique sur l’espace public.
• Créer des temps d’échange, de rencontre, d’observation et des lieux  permettant d’identifier les usages propres à chaque groupe des espaces publics.
• Mettre en place des temps de confrontation avec les groupes favorisant la  co-construction  d’une "charte" d’utilisation commune des espaces publics. 
• Permettre aux habitants de s’approprier de façon éphémère ou pérenne les espaces publics.
• Favoriser la mise en scène des savoirs et la transmission adultes/enfants/jeunes de ces derniers afin de créer des relations de confiance. 
• Prêter une attention particulière à la participation des jeunes filles.
• Développer notre projet éducatif hors les murs auprès des enfants et jeunes éloignés de nos structures d’accueil se retrouvant régulièrement sur les espaces publics au bas des immeubles et étant parfois en conflit avec le voisinage. 

D’un point de vue plus opérationnel seront mis en place :

• Des animations collectives co-construites sur les espaces publics en bas des habitations qui permettent de créer des contacts avec l’ensemble de la population (Enfants, jeunes, adultes).
• Des temps de rencontre qui permettent aux enfants, jeunes et adultes d’identifier les problématiques inhérentes à chaque tranche d’âge et de la sorte favoriser une meilleure intercompréhension des générations.
• Des temps de concertation qui, en partant des observations faites lors des temps d’animation, des paroles tenues par la population quant à l’appropriation des espaces  permettent aux participants  de se construire un socle commun de connaissance et   définir le minimum de valeurs et de normes à partager pour vivre ensemble sur ces espaces.

Pour au final :

• Contribuer à la co-construction et à la co-production d’un Mieux Vivre Ensemble sur les espaces publics du quartier et au sein de ce dernier de façon plus globale.  

Des exemples d’animations :   
 

• Jeux de société géants
• Jardin de Jean
• Grands jeux dans le quartier
• Spectacle de rue 
• Barbecues, pique-nique…
• Sorties intergénérationnelles des groupes  contactés
• Débats
• Hall café
• …

Ces propositions sont les contenus "de base". Les ateliers pourront s'enrichir et se diversifier au fil du temps, selon les enfants, les jeunes, les adultes contactés (âge, sexe, centres d'intérêts), et selon leurs propositions  en prenant appui sur leurs pratiques sociales et culturelles, leurs savoir-faire. Les ateliers seront itinérants. 

Projet qui s'est développé en actions proposées et publics "couverts"

A l'orgine il s'agisait de répondre aux objectifs du projet social de l'époque autour de l'interculturalité, isolement, culture, discrimination ... et également autour d'une priorité du Centre qu'est la famille.

Nous disposions de matériel : locaux, grand écran, projecteur vidéo et d'un fournisseur (ADAV) nous garantissant les droits de diffusion.

Un animateur particulièrement féru de cinéma et investi dans ces actions les mène en lien avec une autre partie de son profil d'animateur à la ludothèque lui permettant un contact direct avec les familles du territoire. Dans le cadre des débats il est médiateur et contribue à ce que la parole soit partagée.

Le choix des films se fait en fonction de  leur qualité cinématographique, de leur sujet et des avis partagés avec le public.

Le public est constitué de famille du quartier et de la ville (ainsi que des villes voisines) : d'enfants, d'adultes (parents et grands-parents) ; pour Cinématernelle l'action est menée avec 1 école du quartier de 5 classes de petite à grande section de maternelle. 

Pour notre nouveau projet social 2018/2021 les axes de travail pour ce projet sont :

. Favoriser le vivre ensemble ;

. Favoriser et soutenir la fonction parentale.

afin de favoriser les rencontres, la prise de parole, les relations parents-enfants comme l'accès à la culture, aux cultures, etc.

En 2015, l'équipe de l'école maternelle Vaillant Couturier, avec laquelle le centre social avait déjà travaillé sur différents projets, a fait remonter un double constat :  les instituteurs et/ou parents ont repéré certains parents en difficulté avec leurs enfants pour diverses raisons (familles nombreuses, monoparentales, isolement,...) et les familles en difficulté ne connaissent pas ou peu les acteurs principaux du quartier.

Suite aux constat du vieillissement de la population et de la fracture numérique pour les séniors cette action à été mise en place pour :

lutter contre la fracture numérique et  l'isolement des séniors (outils de communication numérique)

Favoriser l'accès aux droits 

Cette action répond à l'orientation de notre projet social de développer des actions en direction des séniors

En 2014, dans le cadre du renouvellement de notre agrément « Centre social », un sondage est réalisé par la MJC/CS en concertation avec les habitants du territoire. Parmi les projets évoqués, des habitants de Rambouillet souhaitent un lieu consacré aux jeux et aux échanges parent-enfant. La MJC/CS choisit d’inscrire cette problématique au nouveau projet social de la structure, validé par le comité de pilotage (Usine à Chapeaux, Mairie de Rambouillet, CAF, Conseil Départemental). Début 2016, la commune propose à l’Usine à Chapeaux l’ancien local de « La Sarrigue »  pour y maintenir une vie de quartier, suite à la fermeture programmée de cet espace de lecture. Fin 2016, la CAF octroie à la MJC/CS une subvention « Fonds publics et Territoires » de 23 000€ en investissement et de 18 000€ en fonctionnement pour concrétiser ce projet.

Le jeu est une activité essentielle pour le développement de l’enfant et du lien familial. Il constitue un outil d’apprentissage, de transmission de savoirs et d’éducation pour tous et contribue à tisser du lien social, à favoriser la communication. La pratique du jeu, sous toutes ses formes, favorise les rencontres interculturelles et intergénérationnelles tout en restant une occupation de loisir et une source de plaisir considérable, à tous les âges de la vie. Les ludothèques se positionnent comme des éléments moteurs en faveur de la socialisation, la communication, la prévention, l’apprentissage, l’intégration et l’éducation.

De répondre à une demande de parents et de jeunes du territoire ainsi qu'au constat d'une forte présence de jeunes lors du diagnostic du territoire. Cela permet aux jeunes de sortir de leur quotidien.

Pour présenter la commune et son fonctionnement aux nouveaux arrivants.

Pour créer du lien entre les habitants et donner une dimension plus importante et plus festive à une fête que l'on faisait généralement à l'intérieur du centre social 

Suite à une forte demande des parents de jeunes enfants, c'est relayé également par les partenaires sociaux de secteur notament la PMI. 

Via le CLAS, les ASL et certaines demandes d’habitants, nous pouvons constater que certains parents sont confrontés à diverses situations difficiles à surmonter seuls, ils désirent pouvoir être accompagnés et soutenus dans leur fonction parentale, générant de l’angoisse et des questionnements.

Par conséquent, le Centre Social a choisi de  mettre en place des temps de  rencontres, d’échange et d’information pour et  entre parents. Chaque rencontre mensuelle est  animée par un professionnel institutionnel ou associatif et la référente adultes et familles du Centre Social.

Ces temps d’échange ont lieu en soirée, dans une salle conviviale du Centre Social. Les thématiques abordées sont décidées en amont, et communiquées aux familles via divers supports communication.

Cette action repose sur l’écoute, la confiance,  le libre-échange et l’information, aucun jugement ne doit être posé. Une orientation vers un autre partenaire peut être envisagée à la demande du parent

Elle a pour but de cibler des parents présentant des signes de fragilités sur le plan social ou éducatif cherchant des actions visant à les  accompagner dans leur rôle de parent, à échanger avec d’autres et à être orienter vers des institutions adéquates selon la nécessité

Elle est déclinée à travers le volet Animation Collective Famille du projet social, dont les différents axes de développements abordés sont :

- Soutenir la fonction parentale

- Valoriser et renforcer les liens familiaux

- Lutter contre l’isolement des familles

- Favoriser les échanges d’expériences.