Dans le cadre de nos accompagnement d'initiative, deux habitants nous ont sollicité pour creer un groupe d'échange autour des situations de vie quand on est en longue maladie. Nous les avons accompagné autour de leur projet et maintenant, ils se sont identifiés comme groupe projet du Centre Social nommé "Entre Nous". Ils se réunissent 1 fois tous les 15 jours pour échanger sur leur expérience de vie en tant que malade... Et ils envisagent de formaliser un temps d'échange pour les aidants. 

Dans le cadre de nos accompagnement d'initiative, deux habitants nous ont sollicité pour creer un groupe d'échange autour des situations de vie quand on est en longue maladie. Nous les avons accompagné autour de leur projet et maintenant, ils se sont identifiés comme groupe projet du Centre Social nommé "Entre Nous". Ils se réunissent 1 fois tous les 15 jours pour échanger sur leur expérience de vie en tant que malade... Et ils envisagent de formaliser un temps d'échange pour les aidants. 

Dans le cadre de nos accompagnement d'initiative, deux habitants nous ont sollicité pour creer un groupe d'échange autour des situations de vie quand on est en longue maladie. Nous les avons accompagné autour de leur projet et maintenant, ils se sont identifiés comme groupe projet du Centre Social nommé "Entre Nous". Ils se réunissent 1 fois tous les 15 jours pour échanger sur leur expérience de vie en tant que malade... Et ils envisagent de formaliser un temps d'échange pour les aidants. 

Dans le cadre de nos accompagnement d'initiative, deux habitants nous ont sollicité pour creer un groupe d'échange autour des situations de vie quand on est en longue maladie. Nous les avons accompagné autour de leur projet et maintenant, ils se sont identifiés comme groupe projet du Centre Social nommé "Entre Nous". Ils se réunissent 1 fois tous les 15 jours pour échanger sur leur expérience de vie en tant que malade... Et ils envisagent de formaliser un temps d'échange pour les aidants. 

Dans le cadre de nos accompagnement d'initiative, deux habitants nous ont sollicité pour creer un groupe d'échange autour des situations de vie quand on est en longue maladie. Nous les avons accompagné autour de leur projet et maintenant, ils se sont identifiés comme groupe projet du Centre Social nommé "Entre Nous". Ils se réunissent 1 fois tous les 15 jours pour échanger sur leur expérience de vie en tant que malade... Et ils envisagent de formaliser un temps d'échange pour les aidants. 

Dans le cadre de nos accompagnement d'initiative, deux habitants nous ont sollicité pour creer un groupe d'échange autour des situations de vie quand on est en longue maladie. Nous les avons accompagné autour de leur projet et maintenant, ils se sont identifiés comme groupe projet du Centre Social nommé "Entre Nous". Ils se réunissent 1 fois tous les 15 jours pour échanger sur leur expérience de vie en tant que malade... Et ils envisagent de formaliser un temps d'échange pour les aidants. 

Dans le cadre de nos accompagnement d'initiative, deux habitants nous ont sollicité pour creer un groupe d'échange autour des situations de vie quand on est en longue maladie. Nous les avons accompagné autour de leur projet et maintenant, ils se sont identifiés comme groupe projet du Centre Social nommé "Entre Nous". Ils se réunissent 1 fois tous les 15 jours pour échanger sur leur expérience de vie en tant que malade... Et ils envisagent de formaliser un temps d'échange pour les aidants. 

Dans le cadre de nos accompagnement d'initiative, deux habitants nous ont sollicité pour creer un groupe d'échange autour des situations de vie quand on est en longue maladie. Nous les avons accompagné autour de leur projet et maintenant, ils se sont identifiés comme groupe projet du Centre Social nommé "Entre Nous". Ils se réunissent 1 fois tous les 15 jours pour échanger sur leur expérience de vie en tant que malade... Et ils envisagent de formaliser un temps d'échange pour les aidants. 

La réalisation de ce projet en 2018 sera donc la 6ème édition de ce temps fort autour de la toute petite enfance (0 à 4 ans). Le travail effectué cette année a donc été la prolongation des objectifs de l’année passée.

Ce temps fort se déroulera du 14 mai au 29 mai 2018.

Le montage du projet et la communication ont bien sûr été réalisés en relation étroite avec le public ciblé : parents d’enfants de 0 à  4 ans (parents de la Pause-Café, adultes usagers du secteur Famille) et assistantes maternelles (groupe des P’tits Copains des Banchais, Multi accueil). Les rencontres et les échanges avec ces habitants ont été réguliers tout au long de la construction du projet.

Semaine de réflexion avec les habitants autour de ce qu'est un centre socio-culturel, (représentatoin de chacun pour aboutir à une représentation partagée), ses valeurs, ce que l'on souhaite y trouver, comment il est possible de s'impliquer, de développer des projets etc...

Manifestoi constitue le projet de référence pour répondre à cet enjeu déterminant de développement du lien social.

Ainsi, il est envisagé de « faire » de Manifestoi le « fil rouge » de notre action de développement social en lien avec l’animation de proximité.

Très concrètement, nous développerons ce projet tout au long de l’année autour de différents types d’intervention :

. des animations régulières sur l’espace public de mai à juillet : 6 samedi après-midi avec les différents Pôles du centre (Familles/Adultes – Enfance – Jeunesse) autour de l’expression et de l’engagement citoyens qui se matérialiseront par des activités éducatives, sportives, artistiques et culturelles – 4 vendredi soir autour de l’échange et du développement durable accompagnées d’activités artistiques ;

. des évènements  en utilisant notamment la Maison de Quartier : 2 après-midi découverte du monde autour de la cuisine et de la musique ;

Pour que cela soit accessible, ces activités seront gratuites et ouvertes à tous.

Mettre en place un projet solidaire autour du jardin et de la production potagère - Constitution d'un groupe de jardiniers sur une parcelle des jardins familiaux louée par la maison de quartier -

Un livre et des productions artistiques qui ont permis des echnages sur :

• Expression sur les histoires (point forts point faibles) des parents, grands-parents (restés au pays)
• Expression sur son propre parcours (parent)
• Expression sur la représentation par les jeunes
• Expression sur une qualité ou défaut du parent/de l’adolescent
• Expression sur les temps partagés (parent/grand parent/enfant).
• Représentation de la notion de famille par chacun.

Porteur de paroles est une méthode d'animation de débat sur l’espace public. Le dispositif permet d’aller à la rencontre des gens là où ils sont, les écouter, débattre avec eux et «porter» leurs paroles.

L’action a réunie un groupe d’élèves du collège Jacques Prévert de Meythet en Haute-Savoie (décrocheurs scolaire), accompagnés par une éductrice de prévention de l'association PASSAGE et par deux animateurs jeunesse de la MJC Centre Social Victor Hugo.

Le projet s’est déroulé en 4 étapes:

1) Présentation du dispositif au groupe d'élèves

2) Séances "d'émergence d'idées", de séléction des thèmes et de préparation des panneaux.

3) Séance d'enregistrement et de confrontation publique.

4) Séances d'écoute, de séléction et de montage.

Le porteur de parole est un dispositif de rue visant à recueillir des témoignages sur une question donnée (« Vous êtes précaires, quelles sont vos galères ? »; « Vous sentez-vous en crise ? », « Pouvez-vous imaginer d'autres façons de faire de la politique ? », « Il est plus facile de parler du peuple que de parler avec lui, qu'en pensez-vous ? »).
A partir d'une question rendue publique et affichée sur un panneau, les porteurs de parole suscitent les questionnements parmi les passants, les interrogent, débattent et recueillent leurs propos.
La question ou l'affirmation doit être simple dans sa formulation et permettre des réponses polémiques.
Le lieu doit être un lieu de passage plus ou moins important en fonction du territoire (rural vs urbain).
Les porteurs de parole peuvent être mobiles (ils portent leurs panneaux sur eux) ou fixes sur une place commerçante, à la sortie d'un marché...

Depuis de nombreuses années les cours d’alphabétisation/FLE ont lieux 2 fois/semaine au centre social. Depuis janvier 2018 ces ateliers sont  animés et coordonnés par la Responsable de la structure avec une équipe de 4 bénévoles.

Dans le cadre de l'objectif du Projet Social, "Economie Sociale et Solidaires", une nouvelle activité participative et fédératrice a vu le jour courant premier trimestre 2018. Pour complèter la "Bourdonneuse" et donner de la cohérence avec les actions conjointement organisées avec l'association DLC ( Détournement Libre de Consommables), a été initié par un groupe d'habitants et une association conventionnée du CSC des Bourderies, la fabrication et l'installation de boites à dons alimentaire. Un premier temps fut nécessaire pour refléchir ensemble (association Mobicréa spécialisée dans le bois de récupération, le collectif d'habitants et les professionnels), aux objectifs d'un tel projet et mesurer les effets attendus. Une fois les orientations partagées de tous...début de l'action. La première rencontre consiste à réaliser des plans avec l'aide de Mobicréa et sur support informatique. Dans un second temps, un samedi matin par un beau soleil au pied des tours d'habitations, installation de l'atelier participatif pour la  réalisation des deux boites. Le groupe de départ était constitué de 4 habitants, 2 professionnels et 3 intervenants de Mobicréa. Au fur et à mesure, 2 autres habitants se sont joint à nous ainsi que 3 jeunes 12-15 ans et 2 enfants de moins de 12 ans. Cette atelier a permis un apport de connaissances et de savoirs faire. De plus, il a permis sur un labs de temps, de favoriser les échanges intergénérationnels - bien que peut représentatif par rapport au nombre d'habitants sur le quartier - cet atelier représente un tramplin pour les actions à venir sur le thème de la solidarité et de l'interconnaissance. Actuellement exposées dans le hall du CSC, quelques habitants les utilise déjà. j'attends maintenant qu'elles soient toutes les deux fixées à l'extérieur pour complèter le coin de la "Bourdonneuse".

Nous avons organisé des soirées ciné-débat mensuelles intitulées «Ça se discute à Malakoff» (visionnages de films + débat).

Nous avons proposé 4 temps de « Ciné-Débat » (Février, Mars, Mai et Juin) « Ça se discute à Malakoff » encouragés par le PIA (Programme d'Investissements d'Avenir) avec un financement "Contrat de Ville" . Les objectifs de ces temps furent de co-construire des animations avec les acteurs « acteurs jeunesse locaux » (Service Jeunesse Ville de Nantes, Préfecture, Prévention spécialisée, associations locales...), de favoriser l’apprentissage de la prise de parole (oralité), la défense son point de vue, etc., et amener le débat sur des sujets d’actualité qui doivent permettre l’ouverture, la découverte d’autres opinions et permettre de déconstruire certaines représentations sociales.

Cette année nous avons programmé 7 spectacles à la Machine à bulles.
Augustin sans nom (théâtre pour tous )
Jazz musette swing of France
Conte écolo pour enfants, mon grand père et la mer
Music berbere izumal
13
Omar meffta spectacle humour
Cendrillon et ma soeur (spectacle musical piano et chant Folle journée)
30 ans du rap français dans le cadre de projection concert de RAP
- Ces spectacles sont le fruit d’une commission d’habitants qui donne les orientations pour la saison
avec des thématiques précises.
Le choix des spectacles par les habitants permet une meilleure communication de leurs parts auprès
des autres, une meilleure participation. Cela permet également de se rendent compte des contraintes
liées à la diffusion la comunication . (Réglementation, budget…).
Ainsi, cette année nous avons proposé des spectacles variés avec comme nouveautés des spectacles
en semaine et le samedi après-midi ou le dimanche en lien avec la ludothèque. Ceci en reponse a une
demande des habitants du quartier.
Les soirées projections débats pilotées par l’ASC Culture et Vie de quartier, en lien avec les 16-25 ans,
ont permis de proposer tout au long de l’année des films sur des sujets choisis en amont par l’équipe
et les jeunes et à destination de tous les publics. 4

Mobilisation de l'équipe d'animation de l'association auprès des jeunes et des enfants d'une cité en grande précarité

A l'initiative d'un habitant le centre social en partenariat avec l'école et une association du territoire nous avons pu organisé les journées de sensibilisation au handicap.

Le 15 et 16 Mai 2019 se sont déroulés les journées « et si on changions de regard face au handicap ? »

Plusieurs temps ont été proposés aux enfants de l’école élémentaire Pierre CHEVALLIER. Tout d’abord le témoignage de Cédric FEVRE, champion paralympique et recordman du monde à Londres en 2012 de tir à la carabine. En Parallèle, plusieurs ateliers divers et variés étaient proposés aux enfants, initiation basket fauteuil proposée par la section handisport de la JDA, un atelier tennis de table handisport dispensé par L’association des paralysés de France (APF) et une initiation au tir au laser CDH 21.

Les enfants du relais petite enfance ont pu participer à un spectacle musical « je signe avec bébé » programmé au bistrot de la scène à Dijon.

Le mercredi 15 mai en après-midi, dans les locaux du centre social ainsi que dans la cour de l’école maternelle des ateliers sur cette thématique ont étés proposé, dans le cadre de l’action « handicap’ ou pas cap ».

Une grand parcours fauteuil a été organisé dans la cour de l’école maternelle. Avec plusieurs ateliers, un atelier basket fauteuil, un atelier handi tennis de table et un parcours à l’aveugle, dans les locaux de l’espace Germaine TILLION s’est tenu des ateliers autour des sens par l’ADAPT et pour les plus petits des ateliers de communication gestuelle.

Permettre des temps de jeux en famille en soirée ou les mercredis après-midi.

Un groupe d'habitants a émis le souhait de pouvoir avoir des temps de jeux invoquant le repli sur soi, le fait . Nous avons commencé par des soirées en famille puis développé cette action en après-midi et dans divers lieux afin d'être au plus proche des habitants.

Certains apportent leurs jeux pour pouvoir les faire partager à d'autres.

L'équipe de salarié axe son travail autour de la parentalité et du lien social et les habitants qui étaient à l'initiative de ce projet sont devenus pour certains des bénévoles. Ils sont en charge d'expliquer les règles de jeux, de donner envie de jouer...

Un groupe d'adhérentes seniors sont parties à la découverte des lavoirs de Bagnols sur Cèze et de ses environs.

Devant la richesse de leurs découvertes, elles ont décidé de partager leurs découvertes en les regroupant et les valorisant grâce à l'édition d'un livret.

Accompagnées d'une professionnelle en communication et graphime, elles ont réalisé un très gros travail de sélection des photos, écrits les textes les accompagnant, réfléchi à la mise en page...etc

Le livret a été édité, présenté publiquement à la médiathèque de Bagnols sur Cèze.

L'office du tourisme de l'agglomération du Gard Rhodanien est partenaire pour la vente de celui-ci à un prix très modique.

Les « ateliers cuisine en famille » s’adressent aux enfants âgés de 4 à 12 ans accompagnés d’un parent (fonctionnement par binôme : 1 parent/1 enfant). Ils sont animés par Lou Magaud, naturopathe. L’objectif est de cuisiner des aliments sains, de saisons, locaux, tout en veillant au bon équilibre et à la diversification des menus. L’animation des ateliers  par une naturopathe permet de faire du lien entre alimentation et santé. Il a été proposé 6 ateliers pour cuisiner ensemble puis emporter et 4 pour cuisiner et manger ensemble, afin de créer du lien entre les différentes familles.

Bilan sur le projet « Renov’mon quartier + séjour» par Y. Nlandu - Animateur référent insertion

Suite au projet insertion pour 7 jeunes adultes très carencés et ou souffrant de troubles psychiques, nous avons mis en place (en partenariat avec Alliance prévention et le bailleur) un projet de rénovation de l’espace de proximité Bièvre/Poterne. Ce projet se divisait en 2 étapes aussi importantes l’une que l’autre.

En première partie : rénovation du bâtiment du centre social bièvre poterne (préparation du mur et peinture).

En seconde partie : le séjour d’animation à La Rochelle (préparation des activités et  des règlements de vies en communauté).

Ce dessein avait pour but de :

• Conférer une expérience professionnelle aux jeunes (sans bagage professionnel) ;
• Découvrir un métier et apprendre des professionnels ;
• Rénover l’espace de proximité ;
• Recréer une dynamique attractive à l’espace de proximité /donner une nouvelle vie ;
• Permettre un séjour d’animation pour ces jeunes ;
• Ouvrir l’esprit des jeunes du quartier ;
• Sortir ces usagers de leur quotidien ;
• Travailler en partenariat avec les acteurs actifs locaux (éducateurs/bailleurs).

1. La rénovation :

Pour ce faire, les peintres de la ville ont été mis en lien avec notre espace de proximité pour superviser le travail des jeunes et leur apporter une expertise sur le métier de peintre. Ils nous ont accompagnés tout au long de ce projet et ils ont été réactifs aux problèmes survenus pendant le projet (pluie/finitions et détails/patience avec les jeunes etc.). Pendant le temps de travail, un éducateur était présent et une représentante des bailleurs passait pour voir l’avancé du travail. La tâche qui devait prendre 1 semaine a finalement pris 2 semaines à cause des soucis météorologiques. Mais, dans l’ensemble, nous avons pu tenir le planning prévu par les bailleurs et la Ville. L’ouvrage avait lieu le matin de 9h à 12h puis l’après-midi nous avions mis en place un atelier d’entretien sur les perspectives professionnelles des jeunes.

Durée de l’entretien : 2h. Par la suite, un lien était fait avec les partenaires qui proposaient des offres concrètes d’emplois.

2. Le Séjour  :

Suite à la rénovation, un séjour d’une semaine était prévu à la Rochelle dans une auberge de jeunesse. Ce séjour servait de récompense pour les participants du projet et avait pour objectif de sortir ces jeunes du quartier et les ouvrir à d’autres perspectives. Nous avons demandé aux jeunes de faire un planning des activités sur la semaine en leur proposant un budget limité. Nous avons mis en place une réunion entre les jeunes et les partenaires afin de discuter de la faisabilité de leurs envies. Après avoir validé le budget, nous avons pu parler des modalités du séjour et des règlements de vies en communauté dans l’auberge et à l’extérieur. Une semaine type a été planifiée afin d’organiser au mieux nos journées. Suite à quelques soucis, nous n’avons pas pu faire toutes les activités prévues mais, nous avons pu trouver une alternative.

3. Les problématiques rencontrées

En amont, plusieurs difficultés ont compliqué le séjour et toute la logistique environnante.

2 jours avant le départ (le vendredi 17 aout 2018), Alliance Prévention a constaté que le véhicule prévu par eux était en panne. 

2 jeunes du projet se sont désistés du séjour pour des motifs légitimes (déménagement pour l’un et emploi pour le second). Afin de combler ce vide, j’ai complété avec 2 jeunes avec qui j’avais créé un dialogue sur leurs perspectives futures. Le premier n’était plus scolarisé et le second travaillait mais gagnait trop peu pour se payer des vacances (il était l’élément positif pour rehausser le niveau du groupe). Indépendant, travailleur et respectueux, il était le modèle positif en contraste avec le reste mais néanmoins dans le groupe. Ce jeune était relai pour moi surtout parce qu’il est de la même génération et qu’il assimile rapidement les règles de vie.

L’auberge de jeunesse nous proposait un service demi-pension mais à l'arrivée la nourriture n’était vraiment pas fameuse et en quantité très insuffisante.

Le budget dont je disposais était moindre que celui que nous avions négocié au départ. Donc après avoir donné les devis chiffrés de toutes les activités, nous avons reçu une enveloppe moins conséquente mais grâce à une enveloppe plus fournie pour les éducateurs dAlliance Prévention, j’ai finalement pu équilibrer les dépenses.

Malgré tous les difficultées rencontrés cette opération fut un succès et les jeunes sont aujourd'hui en cours d'insertion.