Les personnes usagers d'espaces publics(parents, nounous) se retrouvent et se reconnaissent

facilité de mise en oeuvre pour les partenaires pour le gain pour les usagers

beaucoup d'exterieur temps incertain

transport public

a reconduire en fonction des moyens humains.

Implication d'autres organismes dans le projet (ESAT, foyer,...)

Engagement d'habitants dans le projet.

Repérage du centre social comme acteur central dans les projets liés à la protection de l'environnement et du jardinage.

mise en place d'actions avec d'autres partenaires (association de jardiniers avec le centre de loisirs, association d'insertion, ...)

Mobilité des habitants pour se rendre sur le lieu.

développement d'actions autour de l'espace jardin avec des partenaires du territoire.

Accueil de nouveaux jardiniers sur les parcelles disponibles.

Organisation de sénces techniques liées au jardinage.

Séances conviviales d'échanges de savoirs et de partage des produits du jardin.

Organisation de séances de cuisine à partir des produits locaux des parcelles.

Engouement de la part du public, la fréquentation est en hausse au fur et à mesure des séances.

Réponse à un besoin de loisirs et de mode de garde de la part des familles.

Fréquentation à la hausse, on relève l’augmentation des adhésions, l’amélioration des propositions d’activités et du cadre d’accueil. Les enfants sont accueillis dans des salles aménagées et rénovées par des collectifs de travail parents-enfants.

Evolution de la fréquentation des mercredis de loisirs par tranche d’âge :

Quartier prioritaire, peu de moyen des habitants et faible participation financière, ce qui est un frein dans la proposition de certaines activités de découvertes nécessitant une participation financière plus conséquente.

Propositions d’activités en lien avec la programmation bimensuelle du CSC Pax qui prend en compte les souhaits du public.

Poursuite de la formation de l’équipe d’animation.

• Proposition d’événements culturels et de temps de convivialité dans le quartier.

• Création de lien social et intergénérationnel

• Accompagnement à la scolarité

• Lutte contre l’isolement des personnes en précarité

• Accès à la culture pour les écoles en proposant des ateliers accessibles à tous et gratuits.

• Accroitre la fréquentation

• Plus de visibilité dans les écoles

• Valoriser le pouvoir d’agir, d’action et de décision des bénévoles

• Valoriser l’intergénérationnel et lutter contre l’isolement des seniors

Certaines thématiques n’ont pas été abordées comme souhaité par manque de moyens (humains, financiers et matériel). De plus certains partenariats n’ont pas été aussi constructifs qu’espérés.

Impliquer encore plus les habitants afin de leur donner d’avantage de pouvoir d’agir.

Accroitre les propositions d’ateliers et leur qualité.

Au quotidien, à Bourtzwiller, il nous semble important de poursuivre ce travail de prévention, d’information, de conseil et d’échange dans le quartier car  nous constatons :

• une méconnaissance de principes alimentaires de base,

• et une méconnaissance de l’importance de la pratique d’une activité physique régulière par des gestes ou des actes simples.

Afin de faire évoluer les comportements et changer les habitudes alimentaires, de telles actions de prévention et d’information nécessitent du temps et ne demandent qu’à être pérennisées. Il s’agit donc d’un travail à long terme pour une réelle prise de conscience et une aide à de meilleurs repères face à l’ampleur de l’offre alimentaire. C’est une véritable éducation nutritionnelle qui doit être constamment rappelée aux habitants du quartier de Bourtzwiller.

La posture et la sensibilité du centre face à la notion de l’alimentation équilibré en lien avec les différentes actions : confection de repas équilibré et en lien avec les saisons, prioriser les fruits pour les goûter, être attentive à la lecture des étiquettes alimentaires, etc.

Afin de faire évoluer les comportements et changer les habitudes alimentaires, de telles actions de prévention et d’information nécessitent du temps et ne demandent qu’à être pérennisées. Il s’agit donc d’un travail à long terme pour une réelle prise de conscience et une aide à de meilleurs repères face à l’ampleur de l’offre alimentaire. C’est une véritable éducation nutritionnelle qui doit être constamment rappelée aux habitants du quartier de Bourtzwiller.

Notre volonté en tant que centre socio-culturel est donc de poursuivre et pérenniser diverses actions autour de l’alimentation et de l’activité physique régulière, auprès des habitants du quartier. Il est nécessaire de rappeler que nous sommes des vecteurs privilégiés en matière de sensibilisation, d’information et de prévention au niveau de la santé.

Offrir la possibilité aux personnes âgées un lieu de rencontre identifié et convivial avec une proposition d’activités.Offrir la possibilité aux personnes âgées un lieu de rencontre identifié et convivial avec une proposition d’activités.

Être en adéquation avec l’un des axes forts du contrat projet du centre.

Nos limites se situent principalement dans notre capacité à mobiliser les personnes âgées très précaires et isolées ainsi que les séniors issus de l’immigration.

Notre volonté est de renouveler et de faire perdurer un tel projet et surtout de poursuivre ces rencontres afin de lutter contre l’isolement des personnes âgées. Pour cela, il serait nécessaire de nouer des contacts avec l’assistante sociale du Conseil Départemental, référente du quartier de Bourtzwiller.

Il serait également judicieux de s’appuyer sur les habitants du quartier, qui peuvent être des relais, pour nous faire part des personnes vivant en situation d’isolement.

Il est à noter que le prix de participation au repas, du montant de 13.50€, est un frein pour les personnes en situation de précarité. Une réflexion devrait être menée quant à la participation financière des personnes vraiment précaires.

Le Pax souhaite également s’engager dans la démarche du projet « Ville Amie des Ainés » mise en œuvre par la Ville de Mulhouse. Cette démarche s’attache à être attentive au vieillissement de la population afin de mieux répondre aux défis de la transition démographique et du mieux vivre dans son quartier, dans sa ville.

En 2016, nous souhaitons lutter contre la fracture numérique qui s’avère être un facteur supplémentaire d’isolement et mettre en place une formation autour des nouvelles technologies. Il s’agit d’un souhait exprimé par les personnes du groupe.

Sur le territoire, l’impact fut positif car le retour des jeunes sur leur projet et ce qu’ils y ont vécu, génère l’envie chez d’autres groupes de se former et ainsi de travailler sur un projet ensemble pour, à leur tour, vivre une expérience hors du quartier.

Le centre social met en place des projets de séjour afin d’insister sur un travail éducatif sur le long terme. Mais également pour permettre aux jeunes de vivre une expérience hors du quartier et loin de leurs parents, et ainsi découvrir d’autres horizons géographiques et culturels.

Il n’est pas toujours évident de former un groupe afin d’entamer des projets avec certains jeunes car il y a un grand nombre de familles en situation de grande précarité qui ne peuvent financer la part de celui-ci.

Nous persévérons dans la formation de différents groupes afin de continuer notre mission auprès des jeunes pour ainsi leur permettre de construire leur propre projet de vacances tout au long de l’année. Plusieurs projets sont en cours, cela facilite l’échange et les relations des jeunes au sein du quartier. Un projet de voyage à l’étranger est souhaité de la part des jeunes plus âgés. Il s’agirait de faire du camping itinérant et/ou du camping au sein d’une écurie pour avoir une autre approche du contact avec l’animal et de la nature. Nous allons tout mettre en œuvre afin de réaliser leurs ambitions en 2016.

Ce projet ambitieux s’est avéré très fédérateur pour les familles engagées dans la démarche et a impulsé une excellente dynamique au sein du LAEP. L’ensemble du projet a pu être valorisé auprès des autres parents qui n’ont pas pris part au projet, mais également auprès des autres partenaires du territoire :

• De la Protection Maternelle et Infantile

• Des parents du Foyer Espoir

• Des écoles maternelles du quartier

• De la classe passerelle Victor Hugo et Brossolette

• Du Multi-Accueil Couleurs de Vie.

Le projet initial Dis maman, tu m’emmènes au Pestakl a été déterminant dans la confiance apportée aux parents à s’investir dans une création artistique collective avec leurs enfants.

A Bourtzwiller, il reste difficile pour les familles du quartier, de franchir seules le pas, d'aller au spectacle, pour des raisons variées:

• Peu de familles qui fréquentent La Souricette se déplacent hors du quartier pour des activités culturelles où artistiques avec leurs jeunes enfants.

• Certaines familles connaissent des situations économiques précaires (couples sans emploi, personnes inscrites au RSA,…).

• Des mamans issues de l'immigration connaissent un isolement dû notamment à la barrière de la langue, d’où une difficulté à tisser des liens dans le quartier de Bourtzwiller, mais aussi à oser aller vers les offres culturelles de l’agglomération.

• Au niveau du développement de l’enfant, l'ouverture culturelle est parfois reléguée au second plan en raison d'un quotidien lourd à porter : ce n'est pas une priorité pour ces familles qui ont bien des difficultés à gérer.

Malgré plusieurs devis chez différents imprimeurs nous nous somme heurtés au coût élevé pour l’impression de notre conte en format livre. Nous avons donc décidé de l’éditer sous forme de brochure pour diminuer les frais d’impression.

Offrir la possibilité aux familles du LAEP, d’assister au moins une fois par an à un spectacle jeune public de qualité.

Le projet a pu être valorisé auprès des autres partenaires du territoire par la distribution de flyers et d’affiches de l’action : 

• La Protection Maternelle et Infantile

• Les parents du Foyer Espoir

• Les écoles maternelles et classes passerelle du quartier

• Le Multi-Accueil Couleurs de Vie.

• Les pédiatres du quartier

• Les pharmacies du quartier

Il s’agit d’une nouvelle activité au Pax plus spécifique pour les mamans de bébés, voire de nourrissons car les massages sont proposés pour les 0 à 10 mois.

Nous soulignons la difficulté à mobiliser les mamans de bébés qui ont souvent d’autres priorités en tant que jeune maman. En effet, l’arrivée d’un bébé demande beaucoup d’adaptation et d’apprivoisement de la maman car celui-ci bouscule les modes de vie. C’est sans doute pour cela que certaines mamans ne trouvent pas le temps pour une activité de loisirs avec leur bébé.

Offrir la possibilité à d’autres familles du LAEP de participer aux ateliers Massages bébé en planifiant un nouveau cycle de 5 séances pour l’année 2016.

Un nouveau service en faveur des familles et un lieu de rencontres et d'échanges pour elles

Le centre social est reconnu comme accompagnateur de projets avec une mission d'expertise de la vie associative, et a pu développer une action "hors les murs"

Maintenir  l'implication des familles. Contineuer à mobiliser.
 

En fonction des demandes exprimées par les familles, il est envisagé d’autres animations, informations collectives avec la présence d’intervenants qualifiés. Les familles seraient impliquées dans le montage des actions qui pourraient être décentralisées sur d'autres communes avoisinantes.

Appréciation des parents sur ces temps passerelles qui permettent une meilleure intégration des enfants à l'école ou d'échanger plus facilement avec le parent si l'enfant n'est pas encore prêt( un sentiment d'échec moins ressenti par les parents car l'explication de la maturité est faite )

choix de certaines familles d'inscrire leurs enfants dans cette école plutot que dans celle plus proche de leur domicile

familles concernés par ce projet font le choix également d'inscrire leurs enfants au multi-accauil du CS, car le projet passerelle permet de faciliter l'entrée à l'école de l'enfant.

pour les familles, c'est aussi répondre à une continuité de  service de garde d'enfants en conjuguant , temps scolaire, repas au multi-accueil et accueil l'après-midi au multi-accueil

certaines des famills concernées par la passerelle sont dans une situation économique précaire avec des périodes de travail très vraiables (stage, intérim, horaire atypiques...) et l'accueil partagé sur la journée est une réponse satisfaistae pour elles car elles sont soucieuses de la réussite scolaire et notamment de la maitrise du français .

l'action ne doit pas se cantonner à deux temps dans l'année (avant l'été et à la rentrée des classes); il nous a semblé important avec l'école de travailler sur toute l'année aux cotés des familles et notament sur la compréhension de l'école, sur le besoin de rythmes réguliers de l'enfant dans la semaine.et d'avoir des actions de sensibilisation sur ces sujets .

les contats partagés : certains enfants ne viennent pas régulièrement à l'école ou sont en retard car les parents ne se sont pas levés.

l'enfant est souvent accueilli aucours de l'année dans des accauils collectifs ( école, centre de loisirs) et a besoin de souffler à la maison
pour les parents qui ne travaillent pas, avoir  les enfants au quotidien à la maison peut devenir lourd dans des hbitations exigues.

cette réflexion partenraile avec l'école, les parents et le CS va s'élargir aux partenaires de la petite enfance (LAPE, PMI? AS ) pour essayer d'avoir une démarche cohérente

continuer la passerelle multi-accueil/école maternelle pour les enfants de deux ans

associer des actions reflexions, échanges de pratique avec les familles

Suite au travail mené en 2016 sur les valeurs et symboles de la république nous mènerons en 2017 une continuité de ce projet autour du "vivre ensemble" .

Nous nous situons sur le champ du socioculturel, et nous avons été obligés de travailler en complément sur la partie culturelle pour mettre en avant la singularité de nos pratiques. Cela nous a permis d’établir des liens ou de créer des passerelles entre le socioculturel et la culture. Cette recherche d’actions qui a permis de développer la relation entre les artistes, les compagnies et l’œuvre offre plusieurs types d’émotion pour le participant. Cela influe sur la vision que nous pouvons porter sur autrui et sur la culture dont chacun est porteur. Bien qu’elles aient un intérêt dans l’objet artistique, nous avons fait le constat que les personnes sont éloignées du monde de l’art et de la culture aussi bien dans la pratique que dans la compréhension des autres. C’est pourquoi nous développons une stratégie de médiation et une stratégie d’éducation à la culture. En se positionnant sur le levier de l’éducation à la culture, nous pouvons faire le lien entre le culturel et le socioculturel tout en faisant référence aux valeurs de l’éducation populaire. C'est pourquoi aujourd'hui l'implication des habitants dans  ce processus est importante pour que l'art et la culture ne soient pas que l'affaire de professionnels. 

La Maison de quartier a accompagné autant les bénévoles dans le rôle qu’ils occupent que les publics participant à ces  actions et aux projets proposés. Dans cet accompagnement, elle a mis en permanence l’accent sur la formation des personnes pour permettre une implication et un engagement de qualité de tous les protagonistes. En effet, le rôle du professionnel a été d’épauler les initiatives portées par les usagers. L’équipe de la Maison de quartier a écouté et orienté les personnes . Les initiatives dans cette action ont été nombreuses et de qualité, le lien social à bien fonctionné.

Continuer à créer des commissions dans chaque projets et actions afin que les habitants trouvent  leurs places dans le centre socioculturel, ainsi répondre à leurs attentes et favoriser les initiatives, il faudra cependant faire attention que les élus associatifs confirmés laissent un place importante aux autres habitants

Faire évoluer la médiation culturel entre artistes et habitants pour que l’art et la culture ne soit pas que l’histoire de professionnels de la culture et afin d’investir des habitants qui le souhaitent de rentrer dans ce débats pour plus de démocratie participative

projet en démarrage : impacts à évaluer ! 

nouveaux adhérents, et investissement sur l'extérieur de l'ensemble des secteurs (politique du "hors les murs") 

budgets pour les années à venir ??? 

CELA INTERESSE ET INTERROGE LES JEUNES DU QUARTIER QUI ONT CONNAISSANCE DE CE PROJET.

LES JEUNES ONT PARTICIPE A UNE FETE DE QUARTIER ET ONT REALISE DES INTERVIEWS.

CELA PERMET D'AVOIR UN PROJET JEUNE DANS NOS LOCAUX ET DE MOBILISER CES JEUNES SUR D'AUTRES PROJETS QUI DEPASSENT LA RADIO (EX : IMPLICATION SUR LA FETE DE QUARTIER).

LES JEUNES VONT POURSUIVRE LA WEB RADIO. NOUS ALLONS TRAVAILLER MAINTENANT SUR L'AUTONOMIE DU GROUPE EN LES LAISSANT SEULS SUR CES CRENEAUX. POUR CE FAIRE UNE JUNIOR ASSOCIATION SERA CREEE. NOUS POURRONS PASSER AVEC EUC UNE CONVENTION COMME TOUTES LES ASSOCIATIONS QUE NOUS ACCUEILLONS.

PRESENTER L'ACTIVITE WEB RADIO DANS LES ECOLES ET COLLEGES DU QUARTIER POUR MONTER D'AUTRES EMISSIONS.
 

Reconnaissance des J.A. sur la commune nouvelle ;

Mutualisation d'actions et projets communs entre J.A. ;

Création d'animations sur les communes déléguées ;

Développement de la vie locale

Reconnaissance du travail fait en direction des jeunes sur le territoire par les parents et les élus ;

Améliorer la cohésion de l'équipe

Le temps que cela demande et le coût financier (encadremement - coût demandé aux J.A. faible... c'est le Centre Social qui finance une grande partie)

Mise en oeuvre de ce rassemblement tous les ans à la même période (vacances d'octobre pour préparer l'année scolaire à venir)

valoriser l'image des jeunes   à l'initiative de ce projet sur le quartier

partager un moment festif convivial avec les habitants  évenement créer" par et pour et avec "

que le CSCsoit reconnu comme facilitateur d'accompagnement de projet!

conforter le conseil d'administration dans son choix d'embauche d'un animateur jeunesse  de proximité ,capable de travailler en complemetarité avec le service jeunsse ville.

-à ce jour pas de suite dans l'élaboration d'un deuxieme évenement ! mais  continuons à accompagner les jeunes sur des temps d'accueil , des activites ponctuelles en lien avec le service jeunesse, et travaillons sur la mise en place d'une commission jeunesse

Des habitants hors du quartier sont venus au CSC.

Mobilisation de nouveaux bénévoles.

Ouverture du centre sur une nouvelle plage horaire.

De nouveaux habitants qui découcrent le CSC

Le dévoleppement sur  d'autres repair café sur d'aures quartiers de la commune.

Création de nouvelles activités sur la passe de la coopération et du savoir faire  entre les habitants (FAB LAB...)

L'action permet aux publics précaires d'accéder à des vêtements et articles de puériculture à très bas coût. Elle renforce par ailleurs la dynamique d'engagement des bénévoles et leur participation.

Action repérée par les habitants qu touche une large part de la population et permet de communiquer au mieux. C'est un moyen assez aisé d'impliquer les habitants et de leur donner envie de participer plus globalement à d'autres actions de la structure. C'est une porte d'entrée privilégiée.

Action plutôt répétitive mais qui n'efface pas son dynamisme

l'organisation de ces soirées culturelles au sein de la MDH, repérées par des habitants hors territoire, a contribué au changement d'image du quartier par les Grenoblois, les habitants du quartier et les structures culturelles.

Ces soirées ont été des temps conviviaux riches de rencontres, source de meilleure connaissance et reconnaissance mutuelle et de valorisation des participants.

La mise en place de ces temps forts culturels a contribué au changement d'image de la Maison des Habitants, permettant qu'elle soit plus identifiée comme un lieu ouvert à tous -et non aux seules personnes rencontrant des difficultés, en situation de précarité-, et comme un lieu d'initiatives.

l'action a fortement contribué à la création d'une dynamique de la commission animation et a soutenu les liens partenariaux avec les structures et évènements culturels nombreux sur le territoire d'une part, avec les associations locales d'autre part.

les démarches pour aller à la rencontre du public isolé, le plus éloigné de la Maison des Habitants, de la culture doivent être renforcés pour qu'il bénéficie bien de cette action. cela implique de prendre appui sur le partenariat local, de mettre cette action au coeur du projet de la Maison des Habitants, en impliquant tous les professionnels (écrivaine publique, accueil, référente familles) afin qu'ils sensibilisent et orientent leur public vers cette démarche culturelle difficile d'accès pour une partie des habitants.

Maintien et développement de cette action en articulant offres culturelles au sein de la MDH impliquant une position de spectateur; ateliers permettant d'expérimenter la pratique et déplacement collectif vers une structure dédiée à la culture. Favoriser la rencontre, les échanges, la réflexion collective en prenant appui sur des évènements culturels (par exemple, pièce de théâtre sur les relations familles-école pour engager une réflexion entre habitants sur cette relation et le rôle des parents dans ce cadre).

Elargir le cadre d'élaboration des propositions culturelles à d'autres instances ou groupes que la seule commission animation : commission familles, commission ateliers, groupe d'apprentissage du français, groupe d'activités.

Pas d'impact concret, le chantier initialement prévu par des élus a trouvé des freins techniques. Ce qui a modifié le contenu donc l'issu du projet..

Une sensibilisation des administrateurs aux problèmes des jeunes, notamment sur le volet de l'insertion professionnelle.

Action qui a besoin de financement. La DDCS n'a pas reconduit son aide.

Sensibiliser le tissu local, artisans, commerçants et entreprise locale sur les problèmes que rencontrent notre jeunesse. L'objectif étant de trouver des réponses rapides à nos jeunes.

• les jeunes ont été très présents sur les soirées, et ont même participés pour certain à l’organisation les jours J.
• des adultes (hommes et femmes) ont également assistés à certaines soirées d’où des croisements et des contacts entre les publics
• les habitants du quartier portent grâce à ces soirées un autre regard sur les jeunes et sur leur capacité à s’organiser

• les jeunes porteurs de projets perçoivent la Maison de quartier, comme un réel soutien à leurs projets
• respect encore  plus prononcé  des jeunes  vis-à-vis de la structure. Reconnaissance
• la confiance entre les jeunes et la Maison de quartier encore plus affirmée

Pour asseoir et permettre encore plus la réalisation des initiatives des jeunes et des habitants il faudrait un relais et un soutien plus important des associations et partenaires, dans l’accompagnement afin que la Maison de quartier ne soit pas la seule à porter  l’accompagnement du projet.

La Maison de quartier sera toujours présente et à l’écoute des projets et initiatives des jeunes et des habitants, et les accompagnera dans leurs organisations.

Pas mesurable , car pas encore réalisé

idem

 - Valoriser cette experience dans le parcours des jeunes .

Un film sera réalisé durant le sejour , et projeté de retour en France.

- inciter d'autres jeunes a poursuivre ce type de projet d' engagement citoyen .

Les jeunes se sentent davantage responsabilisés ; ils sont les acteurs de leurs loisirs et de l’animation de leur ville.

Satisfaction des bénéficiaires grâce à la réalisation de projets collectifs ou individuels

-L’engagement dans la durée pour les membres du directoire.

- Le public bénéficiaire à des difficultés à faire partager leur expérience à d’autres jeunes.

-Pérenniser ce dispositif avec le soutien des partenaires,  ou le cas échéant, développer des actions d’autofinancement pour constituer le fonds d’une bourse coopérative.