Les actions des centres sociaux
Actions
Espace Ressources jeunes (ERJ)
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL BERCK-SUR-MER - Pas-de-Calais
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Démocratie & citoyenneté
- vacances / loisirs
- Résumé
L'Espace Ressources Jeunesse est un lieu ouvert chaque jour sous forme de "mode"
Les modes sont construits avce les jeunes et mis en place avec un fort partenariat.
Les modes possibles sont : La mobilité, les loisirs, le handicap, la culture, la scolarité, les études supérieures, Les filles (pour la problématique liée au genre), les nouvelles technologies, la prévention des risques (sur-poids, consommations diverses, informatique, contraception), le logement, ect.
Chaque ouverture s'effectue selon un mode précis et avec des partenaires, les autres jours l'accueil se fait en mode "libre" et permet la mise en place de nouveau modes selon les demandes des jeunes.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place suite au diagnostic partagé du centre Social. L'enjeu est d'animer un réseau jeunesse sur le territoire et surtout de prendre en compte la parole des jeunes sur les décisions de du territoire.
En effet de nombreux partenaires oeuvrent vers la jeunesse, cependant les actions sont peu connues, peu partagées, il n'y a pas de réelle coordination de l'ensemble.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
L'action a débuté en janvier 2018 avec l'ouverture d'un Esapce dédié au coeur d'une nouvelle structure : La maison de la petite Enfance, de l'Enfance, de la Jeunesse, de la famille, de la parentalité et de l'accés aux droits.
Suite à diféfrentes rencontre avce les partenaires et les jeunes de 11 à 25 ans, un comité technique a été mis en place au démarrage et à amené également la création d'un Comité de pilotage
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le budget de l'action est de 65 000 € annuels en fonctionnement
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
5 animateurs du centre Social sont mobilisé sur cette action
une trentaine de partenaires sont associés
- Résultat sur le territoire
Le réseau se structure, les partenaires s'associent, les actions montent en qualité, les jeunes sont plus mobilisés, plus informés.
Lancé en janvier 2018, le smodes se créés doucement, un gros travail de rencontres partenariales a été mis en place, la mobilisation des jeunes progresse bien.
- Résultat pour le centre social
Le centre Social grâce à cette action a pu s'investir autrement sur la problématique jeunesse, avoir une place prépondérante sur cette axe.
Les nombreuses rencontres avec les partenaires ont amené une plus value supérieure aux attentes et sur des domaines diféfrents.
- Résultat pour les habitants
La jeunes et les familles des jeunes peuvent désormais être entendus. c'est une vraie participation à la vie de la cité de cette partie de la population qui s'organise.
Dans cette commune de 15000 habitants l'hiver, du lieu où les établissements scolaires de l'agglomération sont regroupés et d'une vie touristique qui monte à 80 000 personnes l'été, la parole des jeunes était peu ou pas entendue.
- Suite de l'action : Limites
L'action n'a pas vocation à s'arréter, son devellopement va se continuer sur les années à venir.
C'est l'investissement des partenaires, l'engagement des politiques en faveur de la jeunesse qui fera sont avenir.
- Suite de l'action : Perspectives
Un rythme de croisière devrait être pris en 2019 et se poursuivre.
Véritable labaratoire à l'écoute des jeunes, cette action se poursuivra à leurs initiatives.
Actions
L’heure des petits lus
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL MAISON JACQUES PREVERT - Seine-Maritime
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Culture
- Résumé
Partant du principe que l'enfant entre dans l'apprentissage par le lien affectif et l’identification, nous soutenons que la qualité des échanges sociaux et culturels entre parents et enfants influence l'appétence de l'enfant pour la découverte du monde et des liens sociaux. La présence des parents au sein même des classes dans le cadre d’une action de transmission familiale peut être un levier contre les échecs sociaux et scolaires.
Le mardi et vendredi de 8h30 à 9h30 au sein des deux classes spécifiquement aménagées, les parents s’installent pour découvrir – partager - avec leurs enfants des interactions avec les jeux et avec les livres, albums, comptines, documentaires infantiles. Les parents en présence de l’enseignante et de deux accueillantes parentalité au sein d’une ambiance sécurisante soutiennent et accompagnent leur enfant dans ces moments de jeux et de découverte.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Autre
- Précision ( si autre )
Partenaires mobilisés : Enseignant de l’école maternelle Valentin Feldmann - Centre Social
Acteurs associés : PMI
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Les acteurs et partenaires du territoire de Janval : l'école maternelle, la PMI, le C.M.S. le multi-accueil municipal et le centre social de Janval constatent que les difficultés familiales et éducatives perdurent sur ce quartier. Le diagnostic réalisé dans le cadre du contrat de ville confirme fortement la présence de situations familiales et sociales vulnérables sur le territoire de Janval. L’intégration et la socialisation des enfants au sein de l’école restent fragiles. Parallèlement au sein du LAEP Tactil’lou Fable développé par la Maison Jacques Prévert, les familles expriment leur besoin d’être soutenues, entendues dans leur démarche éducative et culturelle. Dans le cadre de la mise en œuvre du dispositif d’accueil des enfants de moins de 3 ans à l’école maternelle Feldmann en 2015, les enseignants sont amenés à approfondir leur réflexion sur la place et l’intégration des parents dans l’école. En découle la volonté de promouvoir et de conforter une démarche d’implication des parents au sein même des classes.
Le travail en réseau professionnel est un enjeu d’ordre social éducatif culturel et de prévention sur notre territoire. Il y a nécessité de mobiliser l’entreprise collective face à des situations familiales - sociales de plus en plus complexes. De même que l’éveil culturel ne prend sens que s’il s’appuie sur de véritables partenariats ancrés dans la vie quotidienne DES FAMILLES ainsi que sur une dynamique de réseau.
En interpellant plusieurs champs disciplinaires, différentes institutions et secteurs professionnels, ce maillage nous conduit à l’élaboration d’une dynamique : interinstitutionnelle, interprofessionnelle et aussi, interfamiliale. La place du LAEP et des actions parentalité de la MJP a démontré qu’elles sont des leviers pour l’implication parentale.
Il nous a semblé nécessaire de créer une transversalité entre l’école et les actions LAEP - TACTIL’LOU FABLE pour générer des flux de rencontres entre les acteurs et les parents. Par ce biais, nous souhaitons sensibiliser les parents à l'importance des outils jeux et du livre pour le développement de l'enfant vers la réussite scolaire
- Public
- Petite enfance
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Modalités de participation et ou d’association des parents
Invitation à tous les parents des deux classes de toute petite section et grande section maternelle ;
Libre adhésion et libre accès des parents aux séances.
Parent – grand-parent - référent titulaire de l’enfant scolarisé.
Familles élargies : nourrisson, sœur ou frère en bas âge de l’enfant concerné.
Points forts
Articulation et cohérence d’intervention sur le quartier entre l’action LAEP TACTIL’LOU FABLE, l’heure des petits lus et les interactions en PMI.
Mobilisations des familles autour de la création collective parents-enfants de deux albums littéraires : « les comptines de TACTIl’LOU » en 2015 et « Le voyage de mes rêves » en 2017
Valorisation des potentialités parentales et familiales.
Partenariat actif - fort école- Centre social -PMI permettant d’être force de proposition pour le développement – culturel et social des enfants ainsi du rôle éducatif des parents sur le territoire de Janval.
Nous sommes convaincus que L’ETRE et LE FAIRE ENSEMBLE permet une réelle transmission entre l’enfant et son parent, entre les parents eux-mêmes, entre les parents et les professionnels. Pour chacun s’est voir les enfants évoluer, agir et grandir entre eux.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
7935,51 € pour 2017
Financements (Caf + cofinancements pour chaque partenaire financeur) : Subvention reçue 2500 € REAAP
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
5 dont 2 enseigantes, et 3 acceuillantes petite-enfance -Maison Jacques Prévert
- Résultat sur le territoire
2015 : Une classe concernée : un rendez-vous hebdomadaire ;
2016 et 2017 : Deux classes concernées amènent à 2 rendez-vous hebdomadaires ;
Evolution du regard et du rapport des parents à l’école notamment pour l’entrée en maternelle ;
Cohérence de soutien à la parentalité entre le LAEP et L’heure des petits lus ;
Meilleurs rapports des parents pour les actions sociales et culturelles - Implication des parents dans les activités de créativité : création des 2 albums de TACTIl’LOU.
Réseau d’intervention autour du développement et de l’épanouissement de l’enfant et de ses parents PMI - CS - Crèche - Ecole
Nouvelle identification des lieux de soins et de socialisation des jeunes enfants du quartier.
- Résultat pour le centre social
Meilleurs rapports des parents pour les actions sociales et culturelles - Implication des parents dans les activités de créativité : création des 2 albums de TACTIl’LOU.
Transversalité entre les actions petite enfance-parentalité et l’école du quartier.
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
Financiers : Diminution des séances en 2018 un seul rendez-vous hebdomadaire au lieu de 2 à partir de février
Manque de moyens pédagogiques : peu de renouvellement des outils livres et jeux ;
Difficulté d’agenda : manque de temps pour les concertations synthèses entre les acteurs et avec les parents ;
Pas d’analyse de la pratique ou de temps de concertation-formation indispensable pour travailler et prendre du recul sur les situations complexes.
Difficulté de trouver des soutiens financiers auprès des autres partenaires Ville - Education Nationale.
- Suite de l'action : Perspectives
continuité de l'action.
Actions
"De la terre à l'assiette" - jardin partagé
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ETIENNE PERNET - Seine-Maritime
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Démocratie & citoyenneté
- Environnement
- Résumé
L'animation des jardins partagés des Hauts de Rouen est un projet de cohésion sociale dont la coordination porté par le centre social Pernet depuis janvier 2018. Véritable outil pédagogique et éducatif, il permet de créer des liens sur le quartier et d'éduquer un public mixte à l'environnement et à la santé. L'enjeu premier du projet "de la terre à l'assiette" consiste à développer une démarche globale autour d'actions écocitoyennes; depuis des activités de jardinage respectueuses de l'environnement, à des temps de sensibilisation à l'alimentation, la création d'outils d'information pour promouvoir la santé au naturel, des ateliers de fabrication de produits d'hygiène à partir de végétaux, des accompagnements familiaux sur des sorties "nature", l'animation d'ateliers "cuisines du monde" pour valoriser les pratiques culturelles, des travaux manuels collaboratifs autour du jardin (création de carrés potagers, de semis, d'une serre,...), puis des portes ouvertes avec des marches contées et musicales autour de ses jardins. Pour y parvenir, le centre social s'appuiera sur les compétences d'un collectif associatif et institutionnel. Le centre Pernet va donc "faire réseau" en s'associant aux partenaires locaux : les usagers des jardins partagés (AREJ, le CPJ de la ville de Rouen, les associations Respire, AMAP des Sapins-Bihorel, Fraternité Banlieue, comité coordination de la Gd Mare, mer et campagne, ...) puis les acteurs institutionnels comme l'IREPS, l'atelier santé ville, la bibliothèque du Châtelet, ... puis les voisins solidaires du quartier des Sapins, le réseau des AMAP normands, ... Les usagers et les habitants seront au centre des actions proposées et leur implication sera favorisée. Les professionnels participeront, entre autres, à des temps de formations sur "l'hygiène corporelle et l'hygiène de l'habitat", "l'alimentation et la précarité", ... initiés par l'atelier santé ville de Rouen et l'IREPS.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Créer un environnement favorable à une meilleure hygiène de vie en sensibilisant tous les publics au "bien manger"
- Renforcer les liens entre les habitants en menant des animations écocitoyennes et solidaires
- Faire réseau autour d'un projet écocitoyen pour permettre aux habitants de découvrir leur environnement
- Participer à l'amélioration de l'image des quartiers des Hauts de Rouen
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Mensuellement, avec un groupe de travail composé de professionnels et d'usagers du jardin partagé :
- Animations à l'école des Sapins et au centre social avec la création d'un jardin pédagogique (tous publics)
- Animations au jardin partagé de la Lombardie pour les interventions avec les enfants de l'école Debussy (X100)
- Ateliers culinaires (comment préparer ses légumes et conseils en nutrition) + ateliers création de produits naturels (hygiène corporelle et de l'habitat)
- Création de semis, potagers partagés, légumes oubliés, ... participation collective à l'entretien des parcelles et des espaces communs
- Organisations d'événements et de sorties autour de l'écocitoyenneté (apiculture, ferme amapienne, ...)
- Participations aux projets transversaux du centre et aux projets partenariaux
- ...
- Ressources financières mobilisées pour cette action
60750€ dont 43830€ de charges de personnel. Des ressources provenants des subventions de fonctionnement "villes", du contrat de ville (CGET), de l'ARS et de la CAF seine-maritime
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 professionnels dont un poste adulte relais pour un mi-temps
- Résultat sur le territoire
- Animation de l'espace public
- Amélioration du cadre de vie du quartier (aménagement urbain)
- Résultat pour le centre social
- Nouvelle action favorisant le vivre ensemble et permettant de cibler un nouveau public
- Nouveaux partenariats autour du projet (contrat partenaires jeunes, écoles, ...)
- Résultat pour les habitants
- Mobilisation des habitants autour d'un projet commun favorisant le "vivre ensemble" (rencontres entre voisins, ...)
- Valorisation des actions menées par les habitants (portes ouvertes, communiqués de presse, ...)
- Suite de l'action : Limites
Action pérenne dans le temps selon les financements mobilisés
- Suite de l'action : Perspectives
Intégrer le réseau des "jardins partagés" et développer les partenariats pour la mise en place d'actions spécifiques (diététicien, naturothérapie, aromathérapie, ...)
Actions
"Fête de l'été du quartier: remettre au goût du jour une fête familiale et populaire avec les habitant(e)s"
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ET CULTUREL DU GRAND GARROS - Gers
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Mixité sociale
- Résumé
A l'automne 2017, certaines structures du quartier du Grand Garros à Auch faisaient état du constat de bon nombre d'habitants qui déploraient la disparition depuis une quinzaine d'années de la fête de quartier à l'occasion de la St Jean.
Autrefois, cette fête donnait lieu à un véritable moment de convivialité sur le quartier, la possibilité offerte aux habitants de se retrouver en famille, de se rencontrer au sein même de leur environnement quotidien. Cette fête offrait également la possibilité de faire connaître différemment le quartier puisque la population du reste de la ville fréquantait largement cette manifestation.
Dès le début, les partenaires se sont accordés sur l'importance et la volonté affichée d'associer le plus tôt possible les habitant(e)s du quartier à la programmation, la conception et l'organisation de cette fête. Il s'agit bien d'un projet participatif, d'une manifestation inter-culturelle co-construite avec les habitant(e)s volontaires.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Les occasions de se retrouver sur le quartier, à l'occasion d'un moment festif partagé, se sont raréfiées depuis plusieurs années.
Le passage du quartier en quartier prioritaire politique de la Ville a redynamisé institutions, associations et habitant(e)s.
De surcroît, certain(e)s habitant(e)s constataient également qu'au sein d'un même immeuble, les gens se croisaient sans mieux chercher à se connaître. La population du quartier ayant beaucoup bougé au fil des années (des anciens sont partis, de nouvelles familles sont arrivées), il semblait opportun de provoquer à nouveau des occasions de rencontre, de partage, de vivre ensemble.
Le quartier est riche de sa diversité culturelle. Ce type de manifestation a également pour effet de permettre aux gens de se côtoyer dans un autre contexte, apprendre à mieux se connaître, faire tomber les idées reçues ou les à prioris.
Cette fête a aussi pour vocation d'ouvrir le quartier vers l'extérieur, de modifier son image, de donner à toute personne l'envie de le découvrir.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Au dernier trimestre 2017, plusieurs acteurs et partenaires du territoire se sont réunis mensuellement pour poser les bases de la réorganisation de cette fête. un collectif s'est donc créé, composé d'une douzaine de partenaires.
Une réunion publique de présentation du projet, de son intention s'est tenue en février 2018.
Quatre commissions ont été mises en place: Programmation, communication, restauration et coordinnation au sein desquelles les habitant(e)s se sont inscrit(e)s pour réfléchir, proposer, concevoir l'ensemble de cette fête.
Les partenaires étaient présents en qualité de "personnes-ressources" pour animer ces commissions.
Un calendrier de rencontres a été établi et les commissions se sont réunies toutes les trois semaines, de façon autonome. Entre chaque rencontre de ces commissions, une réunion de synthèse avec les animateurs de chaque groupe orchestrait l'avancée des travaux.
Ce processus d'élaboration se poursuite encore aujourd'hui.
Une seconde réunion publique s'est tenu début mai pour présenter officiellement l'avancée du projet et commencer l'appel aux bénévoles.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le budget est d'environ 9000 euros.
Il est actuellement assuré par trois partenaires, pour un tiers chacun: l'agglomération, la CAF et le Conseil Départemental.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
A ce jour, le projet mobilise une douzaine de partenaires soit environ une quinzaine de professionnels.
Une vingtaine d'habitants participe à son élaboration au travers les commissions.
Une liste de bénévoles est en cours. Elle regroupe une dizaine de personnes pour le moment.
- Résultat sur le territoire
Générer l'envie de participer à des projets communs.
Amener des occasions réussies de vivre ensemble, de moments de partage sur le quartier.
Montrer au reste de la ville et aux communes environnantes une autre image du quartier et faire tomber les préjugés.
- Résultat pour le centre social
Le Centre Social repéré comme un acteur majeur dans l'animation du territoire et dans sa volonté de créer du lien entre tous.
Etre en capacité de susciter des projets collaboratifs, d'impliquer les habitant(e)s dans l'animation de leur lieu de vie, d'accompagner les projets.
- Résultat pour les habitants
Se sentir impliqué au sein de son quartier, dans les projets d'animation .
Percevoir la possibilité d'agir, de créer, de donner son avis. La possibilité d'initiatives citoyennes.
De créer des espaces de partage et d'échange.
- Suite de l'action : Limites
La complexité de la mise en oeuvre, de susciter la mobilisation des habitants.
La nécessité d'être parfaitement coordonné, d'accompagner au plus près.
Les autorisations importantes à obtenir sur ce type d'événement.
- Suite de l'action : Perspectives
La reconduite de cette fête. Un seconde édition l'an prochain.
La mobilisation de plus en plus importantes des habitants dans son organisation et le retrait progressif des partenaires engagés pour laisser place.
Actions
Graine de culture
- Structure organisatrice
- LE COLIBRI CSCS LA COURONNE - Charente
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Culture
- Environnement
- Résumé
Ateliers artistiques proposés à des enfants, des jeunes sur la thématique des jardins. Réalisation d’œuvres communes et valorisation des travaux réalisés lors d’une manifestation culturelle publique dans un quartier classé en zone prioritaire et au jardin de la biodiversité.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Quel est le territoire du projet ? Dans quel contexte local s’inscrit-il (préciser si besoin le type de territoire) ?
Le territoire dans lequel s’inscrit ce projet est une commune de 8000 habitants comprenant notamment deux écoles maternelles totalisant 200 enfants, une école élémentaire regroupant 350 élèves, le plus gros collège du département de La Charente, un lycée agricole. Depuis 2015, il existe un quartier classé en zone prioritaire.
Quels sont les besoins auxquels votre projet entend répondre ?
Ce projet vise à contribuer à l’éveil culturel par l’ouverture d’espaces dédiés à la création. Il contribuera à l’appropriation et à la valorisation de l’espace urbain et du jardin de la biodiversité.
Ce projet pourra encourager les échanges autour des pratiques culturelles et permettra de fédérer des publics divers sur un projet artistique commun sur un territoire donné.
D’autres organismes se sont-ils impliqués localement sur cette même problématique ? Lesquels ?
Poursuivent-ils toujours leur action en ce sens ? Si non, pourquoi ?
Si oui, en quoi votre intervention est-elle complémentaire ?
Les établissements scolaires à travers différents projets ont intégré l’action culturelle comme un élément essentiel dans le parcours de l’enfant et du jeune. L’action que nous souhaitons mettre en place permettra de fédérer les acteurs du champ socioéducatif sur un projet culturel et s’adressant à un très large public. L’intervention d’artistes et Cie professionnelles apportera une dimension plus affirmée de faire de la culture un axe fort dans les projets des structures socioéducatives du territoire.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
2.1 Objectifs du projet
Précisez concrètement le ou les objectifs du projet (3 ou 4 au maximum)
- Permettre à des enfants et des jeunes de découvrir et de s’initier à différentes formes artistiques, de développer leur sens critique et leur ouverture culturelle,
- Faire émerger et valoriser les potentiels artistiques et la créativité de chacun et les mettre au service d’œuvres collectives,
- Au travers de ces propositions artistiques, poursuivre le travail de sensibilisation à l’environnement et de promotion du jardin partagé.
2.2 Actions mises en œuvre
Présentez concrètement toutes les actions qui seront réalisées.
Toutes les actions artistiques seront encadrées et animés par des artistes professionnels. Pour donner une cohérence à ce projet, nous ferons appel à Johanna Perdu, artiste plasticienne chargée de réaliser la scénographie du projet dans sa globalité, qui fera le lien entre les différents intervenants. Par ailleurs, Johanna « formera » les différents professionnels animateurs, enseignants, bénévoles à des techniques pour qu’ils soient en capacité de de retransmette un savoir-faire éclairé par une approche artistique.
Actions en direction des enfants, jeunes, adolescents ; familles, adultes et seniors :
Johanna PERDU https://www.facebook.com/pg/La-DJo-243268387369
Scénographie générale + Ateliers arts plastiques
- Conception de volumes
- Fabrication de mobiles
- Peinture sur les bancs publics
- Graff sur bitume
- Mosaïque
- Street Bombing
- Travail sur l’affiche de la manifestation
Fabrice PRESSIGOUT, artiste plasticien http://www.fabrice-pressigout.fr/
Atelier réalisation de bancs publics
- Sculptures sur bois
- Customisation
Cie L’Impromptu https://cielimpromptu.jimdo.com/
Ateliers sonores,
- Captation des sons du jardin (naturels et ceux produits par les outils de jardinage) et des paroles et ressentis des jardiniers.
La matière recueillie servira à alimenter deux formes sonores :
- la première sera une nappe pouvant être diffusée en boucle lors de la manifestation
-la deuxième sera un set DJ joué en direct le soir de la restitution publique
Ateliers visuels
- Réalisation de visuels animés et d’images fixes pour créer une végétation virtuelle qui envahira les murs du quartier.
Nino COSTRINI http://www.nomad-diffusion.fr/el-mundo-costrini/87-the-crazy-mozarts
Ateliers clown + spectacle de rue
Manifestation et restitution publique
Soirée dans le quartier
- Hip Hop et /ou batucada
- Repas partagé
- Spectacle de rue
- Projection visuelle + restitution sonore
- Set DJ
- Performance in situ
Après-midi dans le jardin
- Ateliers sur la nature
- Installation Land Art
- Ateliers jeux géants
- Spectacle arts vivants « jeune public »
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Classe compta.
Dépenses
(à détailler : ne pas hésiter à insérer des lignes)
Type d’unité
Nombre unités
Coût unitaire
Coût total
(Toutes années)
2017
2018
60
Achats (matières et fournitures)
Frais techniques ateliers sonores et visuelles
Matériel pour les ateliers
800 €
2 000 €
1 000 €
800€
1 000 €
61
Services extérieurs (locations, assurances, documentations…)
Location matériel pour la manifestation
2 000 €
2000€
62
Autres services extérieurs (honoraires, missions et réceptions…)
Artiste plasticienne
Artiste plasticien
Cie Impromptu (salaire et charges administrative +ateliers en amont)
Cie Nino Costrini
(ateliers +spectacle)
Autres spectacles
arts vivant (en cours)
régie technique
Catering
Communication
5 500€
2 500 €
6 500€
2 600€
6 000€
700€
1 000€
1 200€
2 500 €
2 500 €
3 000 €
6 500 €
2 600 €
6 000 €
700 €
1 000 €
1 200 €
64
Ressources humaines dédiées au projet (salaires et charges, à détailler par fonction)
190 heures pour moi
ALSH 30 h X 3 animateurs,
Laetitia ?
Factotum ?
Valia ?
Toi ?
Anthony ?
+ DU TEMPS POUR TOUS POUR LE WEEK-END du 1 ET 2 JUIN
9 700 €
2 500 €
7 200 €
65
Autres coûts (à préciser)
Déplacements + Hébergement
800 €
800 €
6
Sous-total des coûts de fonctionnement directs
41 300 €
8 500 €
32 800 €
2
Equipements nécessaires pour le projet (investissements à lister)
2
Sous-total des investissements pour le projet
Frais administratifs (somme forfaitaire intégrant la quote-part des frais de gestion de l’organisme affectée à ce projet)
TOTAL dépenses du projet (fonctionnement, investissement, frais admin.)
41 300 €
8 500 €
32 800 €
Plan de financement
Acquis
Demandé
(ou à solliciter)
% du total
Montant
(Toutes années)
2017
2018
74
Subvention demandée à la Fondation de France
(pour toutes les années du projet)
X
48 %
20 000€
20 000 €
75
Fonds propres apportés par le porteur du projet, ou participation des usagers (à préciser)
Fonds propre CSCS pour nos salaires
2017+2018
23 %
9 700 €
2 500 €
7 200 €
70
Ventes de biens ou services (à expliquer infra)
74
Autre subvention (préciser le bailleur et le dispositif, et cocher acquis ou demandé)
Education nationale /dispositif éclore
acquis
5 %
2 000 €
2 000 €
74
Autre subvention (préciser le bailleur et le dispositif, et cocher acquis ou demandé)
COMMUNE : à calculer :
TAPS (2017 )+
Subvention culturelle (ce qui reste sur 2017)
COMMUNE :
TAPS 2018 +
Subvention culturelle 2018
Département
DRAC
GRAND ANGOULEME
Politique de la ville
8 %
5 %
4 %
5 %
2 %
3 500
2 000
1 500
2 000
600
2 000 €
2 000 €
3 500 €
1 500 €
600 €
Autres produits (à préciser)
TOTAL des ressources pour le projet
100 %
41 300 €
8 500 €
32 800 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
Animation de territoire mélant toutes les tranches d'âge depuis l'école primaire.
- Résultat pour le centre social
Une visibilité du projet culturel du CSCS
Une reconnaissance de son savoir-faire en matière d'animation de territoire.
- Résultat pour les habitants
Un ouverture d'esprit sur le champ culturel accompagnée par des artistes
- Suite de l'action : Limites
Les ressources humaines limitées sur ce type de projet. L'engagement des bénévoles pour la pérénnisation de projet de cette ampleur.
- Suite de l'action : Perspectives
Nouveau projet 2018-2019 avec le FRAC, l'Artothèque et d'autre centres sociaux du territoire.
Actions
Printemps des familles : handicap invisible
- Structure organisatrice
- "ESPACE QUINIERE ROSA PARKS" - Loir-et-Cher
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Intégration
- Résumé
Le centre socioculturel Quinière est un lieu d'accueil, de soutien et
d'accompagnement pour les familles. Celles-ci échangent régulièrement avec
tous les professionnels de la structure sur les questions autour de la parentalité.
Les conversations sur la vie au quotidien des familles dont l'un des membres est
porteur de handicap invisible sont à l'origine de ce projet :
Handicap: visible ou invisible
Les difficultés rencontrées :
- accéder aux biens essentiels que sont la santé, le sport, le logement, les loisirs
ainsi qu'à l'emploi avec un parcours scolaire parfois compliqué
- à se faire reconnaître par les autres comme handicapées dans leur quotidien
Constat
Le handicap change profondément la vie de toute la famille.
Le handicap invisible touche près de 80% des personnes en situation de
handicap et pourtant, il est rarement abordé car c'est un sujet souvent tabou.Par
méconnaissance le handicap invisible est souvent considéré comme étant un
trait de caractère ou un défaut: l'impulsivité, la paresse, la nonchalance...
Ainsi, les personnes handicapées et leurs familles peuvent parfois se sentir
exclues de la société.
Objectifs
1. Sensibiliser au handicap dès le plus jeune âge
2. Favoriser le vivre ensemble et lutter contre les stéréotypes
3. Lutter contre l'isolement de la personne porteuse de handicap et de sa famille
4. Informer et orienter les familles dans le domaine des associations, des
structures d'accueil, d'éducation, de thérapie et de travail
Moyens
- Lecture d'albums jeunesse, spectacle jeune public sur le thème de la différence
et jeux collectifs adaptés à différents handicaps
- Présence d'associations/ institutions/ collectivités
- Exposition de témoignages
- Projection d'un film autour de l'autisme suivi d'un échange avec un professionnel
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Action qui se déroulera le samedi 2 juin 2018
En amont, plusieurs réunions ont été mises en place avec les familles, bénévoles puis avec l'ensemble des partenaires
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Entre 1000 à 1500 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Professionnels du Centre : 6
Partenaires : 10
- Résultat sur le territoire
1. Sensibiliser au handicap dès le plus jeune âge
2. Favoriser le vivre ensemble et lutter contre les stéréotypes
- Résultat pour le centre social
Informer et orienter les familles (associations, des structures d'accueil, d'éducation, de thérapie et de travail)
Lutter contre l'isolement de la personne porteuse de handicap et de sa famille
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
Action à ce jour non réalisée
- Suite de l'action : Perspectives
Action à ce jour non réalisée
Actions
Printemps des familles : handicap invisible
- Structure organisatrice
- "ESPACE QUINIERE ROSA PARKS" - Loir-et-Cher
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Intégration
- Résumé
Le centre socioculturel Quinière est un lieu d'accueil, de soutien et
d'accompagnement pour les familles. Celles-ci échangent régulièrement avec
tous les professionnels de la structure sur les questions autour de la parentalité.
Les conversations sur la vie au quotidien des familles dont l'un des membres est
porteur de handicap invisible sont à l'origine de ce projet :
Handicap: visible ou invisible
Les difficultés rencontrées :
- accéder aux biens essentiels que sont la santé, le sport, le logement, les loisirs
ainsi qu'à l'emploi avec un parcours scolaire parfois compliqué
- à se faire reconnaître par les autres comme handicapées dans leur quotidien
Constat
Le handicap change profondément la vie de toute la famille.
Le handicap invisible touche près de 80% des personnes en situation de
handicap et pourtant, il est rarement abordé car c'est un sujet souvent tabou.Par
méconnaissance le handicap invisible est souvent considéré comme étant un
trait de caractère ou un défaut: l'impulsivité, la paresse, la nonchalance...
Ainsi, les personnes handicapées et leurs familles peuvent parfois se sentir
exclues de la société.
Objectifs
1. Sensibiliser au handicap dès le plus jeune âge
2. Favoriser le vivre ensemble et lutter contre les stéréotypes
3. Lutter contre l'isolement de la personne porteuse de handicap et de sa famille
4. Informer et orienter les familles dans le domaine des associations, des
structures d'accueil, d'éducation, de thérapie et de travail
Moyens
- Lecture d'albums jeunesse, spectacle jeune public sur le thème de la différence
et jeux collectifs adaptés à différents handicaps
- Présence d'associations/ institutions/ collectivités
- Exposition de témoignages
- Projection d'un film autour de l'autisme suivi d'un échange avec un professionnel
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Action qui se déroulera le samedi 2 juin 2018
En amont, plusieurs réunions ont été mises en place avec les familles, bénévoles puis avec l'ensemble des partenaires
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Entre 1000 à 1500 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Professionnels du Centre : 6
Partenaires : 10
- Résultat sur le territoire
1. Sensibiliser au handicap dès le plus jeune âge
2. Favoriser le vivre ensemble et lutter contre les stéréotypes
- Résultat pour le centre social
Informer et orienter les familles (associations, des structures d'accueil, d'éducation, de thérapie et de travail)
Lutter contre l'isolement de la personne porteuse de handicap et de sa famille
- Résultat pour les habitants
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Action à ce jour non réalisée
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Action à ce jour non réalisée
Actions
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- En cours
- Dimension
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- Mots clés associés à l'action
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- Parentalité
- éducation / scolarité
- Intégration
- Résumé
Le centre socioculturel Quinière est un lieu d'accueil, de soutien et
d'accompagnement pour les familles. Celles-ci échangent régulièrement avec
tous les professionnels de la structure sur les questions autour de la parentalité.
Les conversations sur la vie au quotidien des familles dont l'un des membres est
porteur de handicap invisible sont à l'origine de ce projet :
Handicap: visible ou invisible
Les difficultés rencontrées :
- accéder aux biens essentiels que sont la santé, le sport, le logement, les loisirs
ainsi qu'à l'emploi avec un parcours scolaire parfois compliqué
- à se faire reconnaître par les autres comme handicapées dans leur quotidien
Constat
Le handicap change profondément la vie de toute la famille.
Le handicap invisible touche près de 80% des personnes en situation de
handicap et pourtant, il est rarement abordé car c'est un sujet souvent tabou.Par
méconnaissance le handicap invisible est souvent considéré comme étant un
trait de caractère ou un défaut: l'impulsivité, la paresse, la nonchalance...
Ainsi, les personnes handicapées et leurs familles peuvent parfois se sentir
exclues de la société.
Objectifs
1. Sensibiliser au handicap dès le plus jeune âge
2. Favoriser le vivre ensemble et lutter contre les stéréotypes
3. Lutter contre l'isolement de la personne porteuse de handicap et de sa famille
4. Informer et orienter les familles dans le domaine des associations, des
structures d'accueil, d'éducation, de thérapie et de travail
Moyens
- Lecture d'albums jeunesse, spectacle jeune public sur le thème de la différence
et jeux collectifs adaptés à différents handicaps
- Présence d'associations/ institutions/ collectivités
- Exposition de témoignages
- Projection d'un film autour de l'autisme suivi d'un échange avec un professionnel
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
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- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
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Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
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- Une commune
- Description générale
Action qui se déroulera le samedi 2 juin 2018
En amont, plusieurs réunions ont été mises en place avec les familles, bénévoles puis avec l'ensemble des partenaires
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Entre 1000 à 1500 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Professionnels du Centre : 6
Partenaires : 10
- Résultat sur le territoire
1. Sensibiliser au handicap dès le plus jeune âge
2. Favoriser le vivre ensemble et lutter contre les stéréotypes
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Informer et orienter les familles (associations, des structures d'accueil, d'éducation, de thérapie et de travail)
Lutter contre l'isolement de la personne porteuse de handicap et de sa famille
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
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Actions
Printemps des familles : handicap invisible
- Structure organisatrice
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- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Intégration
- Résumé
Le centre socioculturel Quinière est un lieu d'accueil, de soutien et
d'accompagnement pour les familles. Celles-ci échangent régulièrement avec
tous les professionnels de la structure sur les questions autour de la parentalité.
Les conversations sur la vie au quotidien des familles dont l'un des membres est
porteur de handicap invisible sont à l'origine de ce projet :
Handicap: visible ou invisible
Les difficultés rencontrées :
- accéder aux biens essentiels que sont la santé, le sport, le logement, les loisirs
ainsi qu'à l'emploi avec un parcours scolaire parfois compliqué
- à se faire reconnaître par les autres comme handicapées dans leur quotidien
Constat
Le handicap change profondément la vie de toute la famille.
Le handicap invisible touche près de 80% des personnes en situation de
handicap et pourtant, il est rarement abordé car c'est un sujet souvent tabou.Par
méconnaissance le handicap invisible est souvent considéré comme étant un
trait de caractère ou un défaut: l'impulsivité, la paresse, la nonchalance...
Ainsi, les personnes handicapées et leurs familles peuvent parfois se sentir
exclues de la société.
Objectifs
1. Sensibiliser au handicap dès le plus jeune âge
2. Favoriser le vivre ensemble et lutter contre les stéréotypes
3. Lutter contre l'isolement de la personne porteuse de handicap et de sa famille
4. Informer et orienter les familles dans le domaine des associations, des
structures d'accueil, d'éducation, de thérapie et de travail
Moyens
- Lecture d'albums jeunesse, spectacle jeune public sur le thème de la différence
et jeux collectifs adaptés à différents handicaps
- Présence d'associations/ institutions/ collectivités
- Exposition de témoignages
- Projection d'un film autour de l'autisme suivi d'un échange avec un professionnel
- Qui est à l'initiative de l'action ?
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- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- familles
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Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Action qui se déroulera le samedi 2 juin 2018
En amont, plusieurs réunions ont été mises en place avec les familles, bénévoles puis avec l'ensemble des partenaires
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Entre 1000 à 1500 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Professionnels du Centre : 6
Partenaires : 10
- Résultat sur le territoire
1. Sensibiliser au handicap dès le plus jeune âge
2. Favoriser le vivre ensemble et lutter contre les stéréotypes
- Résultat pour le centre social
Informer et orienter les familles (associations, des structures d'accueil, d'éducation, de thérapie et de travail)
Lutter contre l'isolement de la personne porteuse de handicap et de sa famille
- Résultat pour les habitants
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Actions
Printemps des familles : handicap invisible
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- Statut de l'action
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- Dimension
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- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Intégration
- Résumé
Le centre socioculturel Quinière est un lieu d'accueil, de soutien et
d'accompagnement pour les familles. Celles-ci échangent régulièrement avec
tous les professionnels de la structure sur les questions autour de la parentalité.
Les conversations sur la vie au quotidien des familles dont l'un des membres est
porteur de handicap invisible sont à l'origine de ce projet :
Handicap: visible ou invisible
Les difficultés rencontrées :
- accéder aux biens essentiels que sont la santé, le sport, le logement, les loisirs
ainsi qu'à l'emploi avec un parcours scolaire parfois compliqué
- à se faire reconnaître par les autres comme handicapées dans leur quotidien
Constat
Le handicap change profondément la vie de toute la famille.
Le handicap invisible touche près de 80% des personnes en situation de
handicap et pourtant, il est rarement abordé car c'est un sujet souvent tabou.Par
méconnaissance le handicap invisible est souvent considéré comme étant un
trait de caractère ou un défaut: l'impulsivité, la paresse, la nonchalance...
Ainsi, les personnes handicapées et leurs familles peuvent parfois se sentir
exclues de la société.
Objectifs
1. Sensibiliser au handicap dès le plus jeune âge
2. Favoriser le vivre ensemble et lutter contre les stéréotypes
3. Lutter contre l'isolement de la personne porteuse de handicap et de sa famille
4. Informer et orienter les familles dans le domaine des associations, des
structures d'accueil, d'éducation, de thérapie et de travail
Moyens
- Lecture d'albums jeunesse, spectacle jeune public sur le thème de la différence
et jeux collectifs adaptés à différents handicaps
- Présence d'associations/ institutions/ collectivités
- Exposition de témoignages
- Projection d'un film autour de l'autisme suivi d'un échange avec un professionnel
- Qui est à l'initiative de l'action ?
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- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- familles
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Partenaires d'action:
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- Une commune
- Description générale
Action qui se déroulera le samedi 2 juin 2018
En amont, plusieurs réunions ont été mises en place avec les familles, bénévoles puis avec l'ensemble des partenaires
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Entre 1000 à 1500 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Professionnels du Centre : 6
Partenaires : 10
- Résultat sur le territoire
1. Sensibiliser au handicap dès le plus jeune âge
2. Favoriser le vivre ensemble et lutter contre les stéréotypes
- Résultat pour le centre social
Informer et orienter les familles (associations, des structures d'accueil, d'éducation, de thérapie et de travail)
Lutter contre l'isolement de la personne porteuse de handicap et de sa famille
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
Action à ce jour non réalisée
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Action à ce jour non réalisée
Actions
Printemps des familles : handicap invisible
- Structure organisatrice
- "ESPACE QUINIERE ROSA PARKS" - Loir-et-Cher
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Intégration
- Résumé
Le centre socioculturel Quinière est un lieu d'accueil, de soutien et
d'accompagnement pour les familles. Celles-ci échangent régulièrement avec
tous les professionnels de la structure sur les questions autour de la parentalité.
Les conversations sur la vie au quotidien des familles dont l'un des membres est
porteur de handicap invisible sont à l'origine de ce projet :
Handicap: visible ou invisible
Les difficultés rencontrées :
- accéder aux biens essentiels que sont la santé, le sport, le logement, les loisirs
ainsi qu'à l'emploi avec un parcours scolaire parfois compliqué
- à se faire reconnaître par les autres comme handicapées dans leur quotidien
Constat
Le handicap change profondément la vie de toute la famille.
Le handicap invisible touche près de 80% des personnes en situation de
handicap et pourtant, il est rarement abordé car c'est un sujet souvent tabou.Par
méconnaissance le handicap invisible est souvent considéré comme étant un
trait de caractère ou un défaut: l'impulsivité, la paresse, la nonchalance...
Ainsi, les personnes handicapées et leurs familles peuvent parfois se sentir
exclues de la société.
Objectifs
1. Sensibiliser au handicap dès le plus jeune âge
2. Favoriser le vivre ensemble et lutter contre les stéréotypes
3. Lutter contre l'isolement de la personne porteuse de handicap et de sa famille
4. Informer et orienter les familles dans le domaine des associations, des
structures d'accueil, d'éducation, de thérapie et de travail
Moyens
- Lecture d'albums jeunesse, spectacle jeune public sur le thème de la différence
et jeux collectifs adaptés à différents handicaps
- Présence d'associations/ institutions/ collectivités
- Exposition de témoignages
- Projection d'un film autour de l'autisme suivi d'un échange avec un professionnel
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Action qui se déroulera le samedi 2 juin 2018
En amont, plusieurs réunions ont été mises en place avec les familles, bénévoles puis avec l'ensemble des partenaires
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Entre 1000 à 1500 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Professionnels du Centre : 6
Partenaires : 10
- Résultat sur le territoire
1. Sensibiliser au handicap dès le plus jeune âge
2. Favoriser le vivre ensemble et lutter contre les stéréotypes
- Résultat pour le centre social
Informer et orienter les familles (associations, des structures d'accueil, d'éducation, de thérapie et de travail)
Lutter contre l'isolement de la personne porteuse de handicap et de sa famille
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
Action à ce jour non réalisée
- Suite de l'action : Perspectives
Action à ce jour non réalisée
Actions
Veille éducative
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL D'OREL - Vaucluse
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Résumé
En lien avec les Conseillers principaux d'éducation des deux collèges de référence du territoire, un signalement d'élèves en rupture scolaire est transmis au centre social dont le rôle sera de rentrer en contact physiquement avec la personne et ses parents afin de comprendre et de dénouer la situation d'absentéisme.
Un état des lieux de la situation sera transmis au CPE de référence et il sera proposé à la famille une mise en liaison (avec un accompagnement possible) entre elle et l'établissement scolaire. Selon les situations, le centre social mettra en place des ateliers d'accompagnement avec l'élève. Tout en jaugeant, via une cellule de veille éducative ad hoc la pertinence et la possibilité d'une mise en lien avec des services spécialisés (PRE - Planning familiale/PRODAS - prévention spécialisée, CLSPD...).
En concomitance, le Centre social serait signataire d'une convention de partenariat avec le CCAS d'Avignon dans le cadre du dispositif "exclusion/inclusion" coordonné par le PRE. Le centre social par cet engagement s'inscrirait dans l'accueil d'un élève en situation d'exclusion temporaire. La prise en charge d'un élève exclu engagerait le référent insertion/prévention du Centre social dans un processus de prise en charge de l'élève lors de son intégration temporaire (entretien préalable - insertion et suivi de la personne dans les activités du centre social-programme établi avec le Référent parcours du collège).
Pour compléter l'ensemble des actions "veille éducative" le centre social s'engagerait à trouver des adultes "parrains" bénévoles pour un accompagnement d'un jeune dans la durée.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
les relations tissés notamment avec les collèges du territoire nous ont permis de prendre la mesure de situations d'absentéisme, perlées mais surtout de longues durées, sans que l'institution scolaire concernée puisse entrer en contact avec les familles concernées. Par voie de conséquences, ces situations, sans être majoritaires mais loin d'être isolées ou marginales cooroboraient le volet "scolarisation" du portrait de quartier élaboré par le COMPAS, qui mentionne un taux de population non scolarisé avec un bas niveau de formation chez les 16/24 ans.
Par son statut et ses liens de proximité avec les habitants ; dans son rôle éducatif notamment concernant le soutien à la parentalité ; le centre social propose de tenter de comprendre les causes de la situation d'absentéisme et de trouver des solutions avec l'ensemble des protagonistes.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
l'action a débuté à l'automne 2017 et est toujours en cours.
A parti d'un Conseil des partenaires (tous les acteurs du territoire) mise en place par les coordonnateurs REP+, des échanges se sont affirmés entre les CPE des collèges de référence et le Centre socialet le PRE. Quelques réunions ad hoc ont été formalisées afin de lancer l'action d'intégration des élèves exclus et concernant le signalement et l'approche des familles des enfants déscolarisés.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
11234 € de budget concernant essentiellement les ressources humaines.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
A ce stade, 2 CPE + 2 intervenants PRE du territoire + 2 intervenants du centre social.
- Résultat sur le territoire
action récente en cours
- Résultat pour le centre social
action récente en cours
- Résultat pour les habitants
action récente en cours
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Groupe de paroles de parents au sein d'une école
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL DU CLOS DE L'ARCHE - Loiret
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Résumé
Groupes de parole de parents d'élèves, animés par une psychologue, en présence d'une animatrice "accueillante", au sein d'une école, sur la thématique "mes préoccupations de parents"
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Autre
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
SOUTIEN A LA FONCTION PARENTALE
Témoins de difficultés de certains parents dans leur rôle et en réponse à certaines demandes, les groupes de parole ont pour objectifs de :
- Positionner les parents comme experts : leur faire prendre conscience de leur capacité à remplir leur rôle en facilitant leur expression, en valorisant leurs apports, en favorisant l'échange d'expériences et la réflexion collégiale
- Porter une attention particulière aux parents fragilisés dans leur rôle parental
- Informer les parents sur des questions liées à la santé, l’hygiène de vie, le développement de l’enfant et de ses besoins
Depuis 2009, des groupes de parole de parents sont mis en place dans les centres sociaux de l'ASCA, animés par une psychologue. Ils concernent entre 3 et 12 personnes selon les séances, d'1h30 environ. Diverses modalités ont été testées : en journée, en soirée, avec ou sans la présence d'un professionnel de l'équipe, avec une thématique précise ou plus générale : "préoccupations de parents". Jusqu'à 2016/2017, ils avaient toujours lieu dans les centres sociaux dans le prolongement d'une des pauses café hebdomadaires, environ 2 fois/trimestre hors été.
L'une des limites de ces groupes de parole est qu'ils sont fréquentés par les seuls adhérents ou usagers des centres sociaux et non par un public plus large, malgré une large communication.
Dans le but d'aller vers d'autres parents et de rendre plus visible l'action des centres, et grâce au partenariat étroit établi avec certaines écoles (dans le cadre des actions CLAS), 4 groupes de parole ont été organisés en 2017/2018 au sein de 2 écoles élémentaires du territoire.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Territoire concerné
- Autre
- Description générale
En amont :
Pour que des groupes de parole puissent avoir lieu au sein d'une école, obtenir l'aval des équipes enseignantes concernées, convaincre que la teneur des échanges ne dériverait pas vers une critique de l'école ou de son équipe, une rencontre avec l'inspectrice de circonscription de l'EN a eu lieu en amont mais cela n'a pas en réalité apporté le soutien espéré : l'essentiel est que l'équipe (ou la direction) soit convaincue de l'intérêt de l'action.
En novembre 2017, sur les 6 écoles élémentaires ou primaires de la commune avec lesquelles nous travaillons, 2 ont donné leur accord, les autres évoquant des problèmes de sécurité, d'organisation, de temps... Pour l'une des 2 écoles mobilisées, une rencontre préalable avait eu lieu avec l'ensemble de l'équipe enseignante. Pour l'autre, il a eu juste une rencontre avec la direction. La confiance établie au préalable dans le cadre du CLAS a beaucoup facilité les échanges.
Le cadre de ces groupes, programmés en décembre 2017 et mars/avril 2018, est défini comme suit :
Mise à disposition d'une salle propice à la convivialité (bibliothèque, salle de réunion, autour d'une boisson chaude), en présence de la psychologue et d'une animatrice de l'ASCA, et en l'absence d'enseignant ou de la direction (pour ne pas bloquer la parole). Les groupes se sont déroulés à l'heure de la rentrée des classes, de 8h45 à 10h30, de sorte que les parents n'aient pas à retourner chez eux pour y participer.
En début de séance, le cadre a été précisé et notamment la condidentialité des échanges durant la séance.
Communication :
Des affiches avaient été apposées dans les écoles concernées et des mots collés dans les cahiers des élèves avec coupon réponse (cf pièces jointes). Mais le plus efficace est encore de mobiliser les parents la veille ou le matin même (animatrice CS + direction de l'école ou enseignant).
Présence de 7 et 8 parents pour les 2 groupes de parole dans une école, la moitié d'entre eux ne connaissant l'action des CS au départ
Présence de 1 et 3 parents pour les 2 groupes de parole dans l'autre école, aucun ne connaissant l'action des CS au départ
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Interventions de la psychologue pour la conduite des groupes de parole d'1h30 environ : 100€/séance
Heures coordinatrice du centre et animatrice référente familles : 2h/séance + temps de prise de contact, réunion avec chaque école et réalisation de la communication : environ 15h/école
Une partie des dépenses (correspondant au montant de la prestation du psychologue, prise en charge par le REAAP.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 professionnels (2 de l'animation + 1 psychologue)
- Résultat sur le territoire
Offre hors centre social de soutien à la parentalité, en cohérence avec des écoles du territoire
- Résultat pour le centre social
Prise de contact avec 12 familles du territoire jusqu'alors inconnues et promotion de nos actions
Renforcement du partenariat avec certaines écoles
Visibilité des actions du centre social
- Résultat pour les habitants
Les parents ayant participé aux différents groupes de parole se sont dits satisfait de l'action d'avoir pu exprimer et échanger sur leurs préoccupations de parents.
- Suite de l'action : Limites
- A ce jour aucun nouveau parent n'est venu au centre social pour le connaître davantage. Pour autant nous ne pouvons mesurer si cela leur a donné plus d'assurance pour prendre part à des actions extérieures menées par celui-ci (Fête du Jeu, animations de quartier...)
- Un réel investissement de l'équipe enseignante est indispensable pour informer et mobiliser les parents d'élèves, ce qui demande temps et énergie, dont il faut s'assurer avant la mise en oeuvre de l'action, sans pour autant décourager les enseignants !
- Suite de l'action : Perspectives
Reconduite de l'action prévue dans l'une des 2 écoles, et suspension de celle-ci dans l'autre, vu le trop petit nombre de participants aux 2 séances.
Contact en cours avec une école maternelle dans la perspective d'y organiser 1 groupe de parole.
Les liens continus avec les autres écoles - et l'expérience positive de l'action en 2017 permettront peut-être de convaincre les équipes enseignantes...
Actions
Handicap ou pas cap ?
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIOCULTUREL LA HAUTE SAVOUREUSE - Territoire de Belfort
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Projet sur l'année 2017
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Culture
- Intégration
- Résumé
En fil rouge : les valeurs de l'éducation populaire :
-
Sensibiliser les ados aux différents handicaps et à la problématique de l'insertion des personnes en situation de handicap ;
-
Développer l'éducation au respect de la différence : le handicap au quotidien, la législation...
-
Permettre de rencontrer des personnes ayant un handicap : apprendre à dépasser plutôt que craindre ;
-
Acquérir et échanger sur de nouvelles techniques (exemple : manipulation d'un fauteuil roulant) ;
-
Passer des moments agréables ;
-
Valoriser les savoirs et les transmettre ;
-
Montrer différents métiers qui ont un lien avec le handicap.
-
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Précision ( si autre )
Sensibiliation des jeunes aux situations de handicap
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Pour répondre à l'un des objectifs du projet éducatif : valoriser les différences.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
L'action s'est déroulée sur l'année 2017 car un jeune, atteint de cécité, est arrivé au collège. Afin de l'aider à s'intégrer, l'animateur jeunes a souhaité mettre en place plusieurs actions autour du handicap au sens large. Ainsi, avec l'aide de la MDPH et en collaboration avec le collège, il a organisé des rencontres avec des personnes en situation de handicap, plusieurs séances de "LDS" (langue des signes) qui ont remporté un franc succès auprès des jeunes, des manifestations handisports (basket, torball, boccia, tir à la sarbacane), une rencontre avec une personne qui éduque les chiens d'aveugle, un repas dans le noir. Pour terminer la saison, le groupe a participé à un spectacle en langue des signes intitulé "traversées".
- Ressources financières mobilisées pour cette action
2 895 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 professionnels
- Résultat sur le territoire
Pas d'impact sur le territoire
- Résultat pour le centre social
montrer notre savoir-faire en terme de projets avec les jeunes et de partenariats
- Résultat pour les habitants
- les jeunes souhaitent poursuivre ce projet, notamment continuer l'apprentissage de la langue des signes. Le jeune aveugle souhaite s'inscrire aux activités du centre socioculturel, lorsque cela est possible.
- Suite de l'action : Limites
Il est compliqué pour le centre socioculturel d'intégrer systématiquement ce jeune à toutes les actions, car il a besoin d'un accompagnateur de la MDPH. Nous pouvons dire que nous avons créé une envie chez ce jeune, alors que nous ne pouvons pas toujours l'accueillir.
- Suite de l'action : Perspectives
Organiser un atelier régulier de langue des signes
Actions
Semaine lutte contre les discriminations
- Structure organisatrice
- CENTRE D'ANIMATION SOCIAL ET FAMILIAL - Bas-Rhin
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
action ponctuelle reconduite sur une semaine chaque année
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- discriminations
- Mixité sociale
- Résumé
Il s’agira de fédérer différents partenaires associatifs et institutionnels du territoire dans la mise en place d’une semaine d’éducation populaire sur la question du racisme. Il apparait en effet que les mécanismes du racisme sont un obstacle parfois important à la cohésion sociale du territoire. Comment bien vivre ensemble lorsque je suis méfiant de certains de mes voisins en raison de leur origine culturelle ? Comment bien vivre ensemble lorsque je ressens cette méfiance ? En complémentarité des actions essentielles visant à favoriser les liens interculturels sur le territoire, il s’agit ici de prendre le temps de la réflexion, d’une prise de recul pour mieux appréhender les dimensions théoriques de cette problématique. Comment naît le racisme ? Comment et quand devient-il discrimination ? Quels leviers, outils et droits existent pour lutter contre ? Ses manifestations sont-elles les mêmes actuellement que celles des décennies précédentes ?
Cette semaine sera à destination de différents publics, et comporte par conséquent des temps dédiés et adaptés aux différentes catégories. Ainsi, un temps d'échanges sera réservé au public jeune, un autre aux différents intervenants sociaux bénévoles ou salariés. Ces échanges seront élaborés sur un modèle interactif, avec du théâtre-forum et une conférence gesticulée.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Dans une période de repli sur soi, la lutte contre le racisme apparait comme un enjeu important pour maintenir et développer la cohésion sociale sur le territoire de Bischwiller.
Bischwiller est un territoire d'une grande diversité culturelle;
Objectifs : cohesion sociale, mixité, ouverture culturelle
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
De janvier à juin 2017
- 6 temps de rencontres entre partenaires
Il s’agit dans un premier temps d’identifier et de solliciter les différents partenaires associatifs et institutionnels susceptibles d’être intéressés par le projet (conviction commune de la nécessité d’une action collective sur cette thématique, partage de la dimension « prise de recul » souhaitée par le CASF). Puis de construire collectivement le programme de la semaine en fonction des différentes sensibilités, des besoins et des attentes des publics respectifs.
De septembre à octobre 2017
- 2 temps de rencontres entre partenaires
Il s’agit ici de finaliser l’organisation de la semaine. Programmation, communication…
- La semaine (entre 3 et 6 actions en fonction des partenariats)
Cette semaine sera à destination de différents publics, et comporte par conséquent des temps dédiés et adaptés aux différentes catégories. Ainsi, un temps d'échanges sera réservé au public jeune, un autre aux différents intervenants sociaux bénévoles ou salariés. Ces échanges seront élaborés sur un modèle interactif, avec du théâtre-forum et une conférence gesticulée. (Mes identités nationales, coopérative Le vent debout).
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
6 professionnels, 2 bénévoles , une dizaine de partenaires associatives
- Résultat sur le territoire
xxxx
- Résultat pour le centre social
consolidation de liens partenariaux , sensibilisation aux comportements discriminants dans nos pratiques
- Résultat pour les habitants
temps de croisement entre différents publics et échanges sur des thèmes "sensibles" sur le territoire
- Suite de l'action : Limites
une formation au niveau des professionnels et des acteurs associatifs sur la thématique est prévue mais grosse difficulté à trouver un accord en termes de calendrier
- Suite de l'action : Perspectives
reconduction en 2018
Actions
SEUL(E) ON VA PLUS VITE, ENSEMBLE ON VA PLUS LOIN...
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL FOYER DES TROIS AGES, STIRING-WENDEL - Moselle
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
DANS LE CADRE DU REAAP INTERCO, PLUSIEURS STRUCTURES SOCIALES SE SONT RÉUNIES POUR CONSTRUIRE ENSEMBLE UN PROJET RÉPONDANT AUX ATTENTES ET AUX BESOINS DES FAMILLES. LES TERRITOIRES CONCERNÉES SONT TOUCHÉES PAR LES MÊMES PROBLÉMATIQUES FAMILIALES. L'OBJECTIF PRINCIPAL ÉTAIT DE PERMETTRE AUX FAMILLES D'ÉCHANGER SUR LEURS DIFFICULTÉS ET DE PROPOSER DES MOMENTS DE PAROLES OÙ LES LANGUES SE DÉLIENT ET LAISSENT PLACE À DES ÉCHANGES CONSTRUCTIFS (ÉDUCATION, DIFFICULTÉS SCOLAIRES DES ENFANTS, SOUTIEN PARENTAL, AIDE ET ACCOMPAGNEMENT...). AIDÉES ET SOUTENUES PAR DES PROFESSIONNELS DU TERRAIN ET DE L'ACTION SOCIALE, LES FAMILLES ONT PU TRAVAILLER LA NOTION DE COMPÉTENCES, EN VALORISANT LEUR PROPRE EXPÉRIENCE. TRAVAILLER SUR LE CONCEPT DE RÉSILIENCE ET FAIRE FACE À L'ÉCHEC. L'ACTION EST TERMINÉE. ELLE EST RECONDUITE SOUS LA FORME DE REAAP TRADITIONNEL (CHAQUE TERRITOIRE S'EST ENGAGÉ DANS SON PROPRE TERRITOIRE, À MENER DES ACTIONS SIMILLAIRES).
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Résumé
LESLE ACTIONS AUTOUR DU SOUTIEN À LA PARENTALITÉ. INTERVENTION DU THÉÂTRE-FORUM POUR ABORDER LA NOTION DE COMPÉTENCES ET DE RÉSILIENCE AUPRÈS DES PARENTS EN DIFFICULTÉ FACE À SON ENFANT OU SON ADO. L'OBJECTIF ÉTANT DE TRAVAILLER AVEC LES PARENTS ET LEURS ENFANTS SUR LA RÉAPPROPRIATION DES COMPÉTENCES ET LE SOUTIEN PARENTAL.
LES FAMILLES ONT PU ÉGALEMENT DÉCOUVRIR D'AUTRES PERSONNES SUR LES AUTRES TERRITOIRES (4 AU TOTAL).
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
ATTENTES ET BESOINS DES FAMILLES SUR L'ENSEMBLE DES TERRITOIRES CONCERNÉS PAR L'ACTION.
ON VISE ICI, LE CHANGEMENT D'ATTITUDES ET DE COMPORTEMENTS DES FAMILLES VIS-À-VIS DE LEUR ENFANT OU DE LEUR ADOLESCENT(E).
TROUVER DES SOLUTIONS À PARTIR DE LEUR PROPRE COMPÉTENCE ET LES AMENER À VERBALISER LEUR FRUSTRATION FACE À L'ÉCHEC.
- Public
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
AU DÉPART, LA MISE EN PLACE D'UN DIAGNOSTIC SUR CHAQUE TERRITOIRE AVEC LES FAMILLES PARTICIPANTES.
SOULEVER LES QUESTIONS QUI DÉRANGENT : ALCOOL, ÉDUCATION, PARENTS, SCOLARITÉ...
FAIRE ÉMERGER DES ÉCHANGES À PARTIR DE CES PROBLÉMATIQUES ET TRAVAILLER ENSEMBLE DES PISTES.
À PARTIR DE CES PISTES, AMENER LES FAMILLES À PARTICIPER AUX ÉCHANGES AVEC LES PARTENAIRES, PROFESSIONNELS...
IL NE S"AGISSAIT PAS D'UNE CONFRONTATION MAIS D'UN DÉBAT SUR CE QUI MOTIVE CES PARENTS À VENIR ÉCHANGER AUTOUR DE CES RENCONTRES ?
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Café des parents
- Structure organisatrice
- LA BOBINE MJC / CENTRE SOCIOCULTUREL DE PFASTATT - Haut-Rhin
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Résumé
Des réunions de parents avec un intervenant extérieur (éducateur, assistante sociale, psychologue, pédagigue...) sont organisées chaque trimestre en partenariat avec les établissements scolaires. Nous abordons des thématiques différents selon la demande des parents:autorité des parents, les méthodes d'éducation, la scolarité, les dépendances qd il s'agit des plus grand, le soutien aux devoirs, la justice, etc.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Précision ( si autre )
Les établissements scolaires, primaires et maternelles et le Collège.
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Notre long partenariat avec les enseignants dans des actions diverses, nos contacts avec les familles ont facilité le fait de se rendre compte des besoins exprimés de certains parents démunis face à certaines problématiques éducatives. Le but ici est de créer un lieu ressource et de dialogue en toute confiance. Celleci est venue petit à petit car les parents avaient peur du jugement. Il a fallu avec les réunions succéssives au départ travailler sur la confiance et la confidentialité mutuelle.
- Public
- Enfance
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Chaque trimestre, nous organisons une rencontre de 2h par site scolaire, groupe Fehlacker et groupe du centre (maternelles et primaires pour les 2 groupes) et le collège. Le thème abordé est en lien avec le lieu d'accueil :
- Petite enfance pour la maternelle avec des questions sur l'autorité parentale, les méthodes d'éducation, le bien-être de l'enfant avec l'intervention d'une éducatrice de jeunes enfants et d'une psychologue clinicienne,
- La scolarité et le soutien à apporter à l'enfant, l'autorité parentale, l'alimentation, pour les interventions dans les primaires avec entre autres la psychologue clinicienne,
- Les dépendances (mal être, réseaux, toxicomanie), la justice, la sexualité, le soutien aux devoirs pour le collège, avec des associations relais et un éducateur spécialisé.
Chaque rencontre est ouverte à tous les parents, avec un retour également avec le corps enseignant, informels, et lors des conseils de classes auxquels nous assistons.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
La référente famille et l'intervenant extérieur pour les professionnels et l'action elle-même accueil 15 parents en moyenne.
- Résultat sur le territoire
Les familles apprennent à se connaitre car nous avons sur la commune de nouveaux quartiers et cela facilite les relations entre voisins. les sorties d'école sont animées et de réels liens se créent.
- Résultat pour le centre social
Les parents sont reconnaissant des actions menées et certains s'investissent dans nos différents projets ou participent plus volontairement à nos actions ou nos activités Donc le travail de rencontre et de lien continue au-delà de cette action
- Résultat pour les habitants
Favorise la rencontre et le mieux vivre ensemble par le projet partagé
- Suite de l'action : Limites
La mobilisation n'est pas toujours facile, les parents ont souvent de petits enfants et il eur est difficile de les faire garder pour mieux participer...
- Suite de l'action : Perspectives
Cette action est essentielle à tous, aux futurs parents aussi donc sa pérennité est viable. Ce sont des moments d'échanges forts, et cette relation est constructive pour tous parents et professionnels éducatifs.
Actions
Université Populaire de Parents Pays de Montbéliard
- Structure organisatrice
- ASS GEST ACT SOC CULT BAVANS - Doubs
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
L’UPP du Pays de Montbéliard … une première expérience en Bourgogne Franche-Comté
La parentalité est l’objet de toutes les attentions, mais force de constater que l’on ne donne pas d’occasion aux parents de s’exprimer, de remonter leurs difficultés, leurs besoins et leur donner la possibilité d’être acteurs, d’où l’intérêt des universités populaires de parents.
A l’initiative des Centres Sociaux de Bavans et « L’Envol » Léo Lagrange de Montbéliard, un projet d’Universités Populaires de Parents prend vie en 2017, avec les soutiens de la Caisse d’Allocations Familiales du Doubs et de Pays Montbéliard Agglomération. A travers ce projet inscrit sur 3 années, les structures s’engagent à accompagner des familles pour améliorer le mieux-être et le mieux vivre dans leur rôle de parent.
Avec la coordination de l’ACEPP[1], la 5ème « génération » d’UPP recense une quinzaine de projets dans toute la France depuis le début de l’année 2017
Cette première expérimentation, dans le grand Est, a bien l’intention de donner des idées à d’autres groupes et d’autres structures dans le Département du Doubs. C’est également dans les projets de la CAF du Doubs qui l’a inscrit dans son Schéma Départemental des Services aux Familles 2017/2020.
D’autres partenariats avec des collectivités et des institutions se construisent pour garantir sa mise en œuvre.
L’UPP du Pays de Montbéliard … c’est qui, c’est quoi ?
C’est une sorte d’auberge espagnole de dix parents qui se retrouvent deux fois par mois, les lundi soir de 18h15 à 20h, pour échanger sur des questions liées à la parentalité, partager leurs attentes et leurs expériences ainsi que des questionnements selon le vécu de chacun.
Organisé par l’ACEPP, un séminaire national a d'ores et déjà réuni l’ensemble des générations d’UPP les 15, 16, 17 et 18 Mars à Marck-en-Calaisis pour un moment d’apprentissage et de convivialité fait de rencontre, d’échanges, de diversité.
Une grande richesse pour l’UPP du Doubs qui y a participé.
En septembre 2018, ils envisagent de recruter un universitaire afin que celui-ci leur apporte un soutien méthodologique pour construire une question de recherche collective, à partir de leurs interrogations et préoccupations, et une méthode pour l’approfondir.
Pour mener à bien ces travaux de recherche, le groupe a prévu d’aller à la rencontre d’acteurs locaux et d’autres familles pour mettre leur réflexion en débat l’objet de leur recherche pour en dégager des hypothèses. En vue de faire reconnaître leur place et leur rôle, évoluer le regard des institutions sur les compétences et les ressources des parents, différentes actions citoyennes sont programmées en 2018.
Un projet ouvert à tous
Le groupe constitué est en quête de mobiliser d’autres parents qui auraient envie de se lancer dans l’aventure en fonction des possibilités et du rythme de chacun.
Devenir Parents Acteurs, Chercheurs et Citoyens
[1] ACEPP Association Collectif Enfants Parents Professionnels
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Précision ( si autre )
action pilotée par les centres sociaux de Bavans et la Passerelle à Montbéliard
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Objectifs de l'action :
1 - Créer les conditions d’un espace d'échanges et de réflexion pour les parents
2 - Qualifier et légitimer les savoirs individuels et collectifs des parents et encourager la transmission des savoirs
3 - Faire émerger une réflexion collective sur une thématique liée à la parentalité et la croiser avec les institutions et les collectivités pour faire évoluer les dispositifs
4 - Renforcer le pouvoir d'agir des habitants-citoyens en leur permettant d'être reconnus et entendus auprès des institutions
Le Centre Social AGASC et le Centre Social l’Envol, avec l’appui de PMA, ont impulsé dès 2016 une réflexion sur l’opportunité de mettre en place « Une Université Populaire de Parents » (UPP) avec des parents et une vingtaine de partenaires du territoire. Les différents temps de réunions, déplacement à un colloque à Paris ont permis de confirmer l’engagement des 2 structures dans ce projet ambitieux et novateur.
L'action s'inscrit dans le schéma départemental des services aux familles et a été soutenue par la CAF du Doubs et de PMA en premier lieu.
Pour rappel, le projet « Université Populaire de Parents » regroupe des parents, issus de différents quartiers et/ou communes de Pays Montbéliard Agglomération, ayant pour ambition de mener des travaux de recherche sur un sujet ayant attrait à l’éducation et à la parentalité. Ils visent à croiser leur réflexion avec d’autres acteurs (écoles, travailleurs sociaux, autres parents, élus…) pour rechercher ensemble comment améliorer la vie quotidienne des enfants et de leurs parents et rendre compte de leurs travaux pour faire évoluer les pratiques et les politiques. Il s’agit de modifier les regards des parents en situation d’exclusion sur les institutions et des institutions sur eux.
Un projet en 3 phases :
En 2017, un groupe de parents s'est constitué et tendra à s'étoffer en poursuivant la mobilisation de familles au sein de structures dans les quartiers, des interventions au collège, conseils citoyens, événements ... par les parents eux-mêmes.
Les prochaines étapes en 2018 sont pour le groupe le passage des questionnements individuels à la construction d’une problématique commune puis le démarrage du travail de recherche, accompagnés par les animatrices et l'universitaire en fin d’année.
L’année 2019 sera consacrée aux travaux de recherche et d’écriture ainsi qu’une présentation des travaux à Paris avec les autres groupes de parents investis dans des UPP en France.
Pour ce faire, un partenariat a également été acté avec l’ACEPP (Association des collectifs enfants parents professionnels), mouvement parental, éducatif et citoyen, centré sur la promotion du rôle et de la place des parents, en vue de bénéficier de leur expertise, d’échanges inter-UPP au niveau national et de la formation des professionnelles animant l’UPP localement.
Le pilotage du projet est assuré par les deux centres sociaux et l’animation sera confiée aux deux animatrices « référent famille » issues de celles-ci. Un chercheur sera recruté au printemps 2018 pour accompagner les parents dans leur travail de recherche.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Réseau d'écoute, d'appui et d'accompagnement à la parentalité
- Structure organisatrice
- Le Trait d'Union - Tarn
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Fin d'agrément en juin 2018
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Mixité sociale
- Résumé
réalisation par les parents d'un blog/site d'échange pour les parents : -recensement de toutes les informations concernant les enfants, leur éducation, leur scolarité, leur développement personnel, leur usage et pratiques, leur passion,...
-Format : blog, forum, "posts", + ateliers thématiques d'information/sensibilisation (ex : contrôle parental et dangers du net, transition CM2-6ème dialogue sur les évènements dramatiques récents et outils pour les expliquer aux enfants, vie professionnelle et garde d'enfants,...)
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Autre
- Précision ( si autre )
Collège, école primaires du territoires et crèches
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place suite au renouvellement du Contrat Enfance Jeunesse (CEJ) en 2014 : carences d'actions "parentalité", le projet CLAS 2015-2016 a mis en évidence un besoin d'échanges des parents (éléments pratiques, partage d'expériences, etc...), de nouvelles familles se sont installées sur le territoire, un isolement géographique et/ou professionnel (milieu agricole notamment) des populations du territoire. Les objectifs sont de créer un temps/espace d'échange entre parents (au-delà des réseaux conventionnels), de mettre en place une plateforme d'information/soutien/..., et de permettre aux familles un apprentissage/approfondissement informatique (internet). Résultats attendus : Développement du lien social, localisation des échanges et création d'une dynamique d"appartenance" locale, bonne circulation de l'information.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
L'action a débuté en Novembre avec une après midi jeu coopératif entre parents et enfants lors de l'évènement A vous 2 jouer à la méditahèque de Villefranche d'Albigeois. Ensuite, présence pour ateliers déco parents/enfants lors des marché de Noel de Villefranche d'Albigeois et d'Alban.
L'EVS s'est associé au Pôle Territorial Albigeois Bastides pour lancer le Défi Famille Alimentation Locale sur le territoire à travers 3 ateliers (cuisine, visite à la ferme, jeux).
- Ressources financières mobilisées pour cette action
500 euros
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 professionnel
- Résultat sur le territoire
Trés peu d'effets sur le territoire car l'EVS débute et il est difficile de mobiliser la particpation des parents du faits de l'éloignement géographique parfois.
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
Pour les habitants, ces ateliers sont nouveaux et malgré une faible participation, les participants sont souvent demandeurs d'autres ateliers.
- Suite de l'action : Limites
Il y a beaucoup d'associations locales sur le territoire, les familles s'investissent beaucoup dans le tissu associatif et ils manquent de temps pour participer à des ateliers qu'ils ne connaissent pas encore. Ils ont des priorités.Et il y a un manque de relais d'information pour le moment.
- Suite de l'action : Perspectives
En 2019, nous relancerons le Défi Famille Alimentation Locale afin de faire visiter d'autres fermes et valoriser les circuits courts.
Un partenariat avec les médiathèques est engagé pour continuer les évènement A vous de Jouer
Actions
le Café des parents
- Structure organisatrice
- MJC DE SOCHAUX - Doubs
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Résumé
Une fois par trimestre, dans nos locaux, 60 élèves de CE2- CM1-CM2 de l'école du Centre de Sochaux échangent autour d'une thématique (mixité filles/garçons, les écrans,communication non violente, alimentation, sommeil) en présence de parents qui, eux, n'ont pas droit à la parole durant ce1er temps d'animation. Une fois que les enfants ont rejoint leur école, les parents -une dizaine par séance- se réunissent en groupe de paroles autour des intervenants spécialisés, de la directrice de l'école et de la référente-familles de la MJC. A partir des paroles des enfants, les adultes -chacun dans son rôle éducatif propre- explorent, témoignent et partagent leurs points de vue et ressentis sur la thématique abordée.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
permettre aux parents d'entendre et surtout d'écouter les enfants dont le(s) leur(sr), d'interroger leurs représentations et ressentis en matière d'éducation avec l'accompagnement d'intervenants extérieurs spécialisés, de les confronter et partager avec d'autres parents et les co-éducateurs que sont l'école et la MJC/CS
les résultats attendus sont la prise de conscience mutuelle des problématiques , le mieux-vivre individuel et collectif au sein de l'école
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
entre chaque séance, les enseignants des classes concernées, la directrice de l'école et la référente-familles de la MJC/CS se réunissent : évaluation de la séance réalisée, préparation du prochain Café avec choix du thème conjugant les demandes des enseignants et parents, recherche partagée des intervenants extérieurs
évaluation globale de la saison passée et projection n+1 courant octobre
- Ressources financières mobilisées pour cette action
frais d'intervenants extérieurs : en moyenne 500 € par saison
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
4 personnels enseignants et 4 de la MJC/CS
- Résultat sur le territoire
l'action, portée par la MJC/CS, est inscrite au CVU.
- Résultat pour le centre social
élargissement du public "parents" touché par le centre et approfondissement de la connaissance des problématiques liées à la parentalité
- Résultat pour les habitants
ouverture de l'école et du centre sur le quartier, et prise en compte des questionnements des parents et des enfants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
reconduction prévue de l'action en 2018/19
Actions
Les Parcours Diversité Culturelle by Au Foin De La Rue
- Structure organisatrice
- Association Au Foin De La Rue (53) - Mayenne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Culture
- Mixité sociale
- Résumé
L’association Au Foin De La Rue développe ces actions spécifiques (PDC) en mettant l’accent sur la diversité des propositions dans un seul et même parcours (rencontres, ateliers, visites, insertion dans les équipes bénévoles... Ils sont mis en place en partenariat avec les habitants, des structures médico-éducatives, de réinsertion, des établissements scolaires (du primaire au lycée), des services jeunesse, maisons de retraite... et sont la réponse aux besoins des structures d’accueil et d’Au Foin De La Rue.
L’objectif est de créer du lien sur le territoire et permettre d’échanger, expérimenter et pratiquer. L’interaction qui s’exerce entre les participants, les acteurs locaux pendant les actions renforcent ce en quoi l’association croit depuis ses débuts : générer une agitation créative dans la rencontre.
De quoi parlons-nous ?
« Parcours » : notion de chemins partagés qui répondent conjointement à des objectifs développés par les partenaires (structure(s) / Association Au Foin De La Rue)
« Diversité » : notion qui renvoie à un ensemble de personnes qui différent les unes des autres par leur origine géographique, socio-culturelle ou religieuse, leur âge, leur sexe etc. Ici le terme induit une volonté de « faire-ensemble », de tisser des liens inter structures et d’offrir plusieurs temps artistiques et culturels
« Culturelle » : notion qui vise à garantir à chacun la liberté de vivre son identité culturelle et d’assurer les individualités de chacun(e) dans le collectif
L’association Au Foin De La Rue a pour objet de promouvoir les pratiques artistiques centrées autour des musiques actuelles, des arts de la rue, des arts plastiques ; d’organiser des évènements et actions de sensibilisation sur ces thèmes auprès de tous les publics comme ceux qui pourraient en être éloignés.
La volonté de l’association est de faire vivre et valoriser ces expressions culturelles en milieu rural en contribuant à l’engagement citoyen de ceux et celles qui y participent, quelques soient leurs origines ou leurs particularités. Le choix a été fait de mobiliser un emploi salarié consacré aux actions culturelles qui assure leur développement et leur mise en oeuvre.
Aussi, l’association Au Foin De La Rue s’engage dans un travail de partenariat avec différentes structures du territoire mayennais s’adressant à divers publics. Le partenariat se déroule en étapes de novembre à juillet et en fonction du projet convenu entre les participants. Malgré plusieurs évènements annuels, la plupart des parcours trouvent le point d’orgue est le festival Au Foin De La Rue.
L’association s’engage alors à accompagner le projet des participants, fournir un soutien technique et/ou pédagogique et s’assure de la communication du projet auprès des acteurs du festival (bénévoles, partenaires, festivaliers, etc.) afin de réunir les meilleures conditions d’accueil aux publics concernés et valoriser leurs implications.
Les objectifs d’un « Parcours Diversité Culturelle » :
• Fédérer les participants autour d’un projet global de spectacle vivant
• Viser une ouverture dans le domaine culturel d’une association et de son festival et notamment sur celui des Musiques Actuelles par le biais de la création artistique
• Partir des capacités de chacun pour produire une oeuvre collective
• Appréhender l’espace par la gestion de volumes importants (si projet scénographique)
• Permettre aux participants de disposer d’un lieu d’exposition (site du festival, site de L’Etang, centre-bourg ou ailleurs)
• Créer du lien social à petite et grande échelle
• Accompagner pour mener à l’autonomie pour que chacun soit considérer à part entière
Au Foin De La Rue s’engage à :
• Fournir aux participants un local de travail («La Déco», «Le Cube - studios de répétition» ou d’autres lieux à Saint-Denis-de-Gastines) afin de construire son projet en amont si besoin
• Etudier avec chaque structure la faisabilité de son projet et en assurer un suivi
• Placer un cadre structuré et être un soutien pour les structures participantes, habitants
Le déroulé d’un Parcours Diversité Culturelle :
#1 Novembre - Rencontres avec l’ensemble des partenaires potentiels pour échanger sur la co-construction d’un projet annuel partagé entre l'association, le collectif d'habitants, citoyens, etc. en vue de signer une convention déclinant les étapes souhaitées et défendues dans ce Parcours Diversité Culturelle.
#1 bis Novembre à janvier - Mise en forme et écriture du projet par les participants avec soutien de l'association et signature d'une convention (dès lors qu'il s'agit d'une structure juridique)
#2 Début février - Dépôt du projet qui devra impliquer la notion de parcours avec un début et une finalité sur un événement ou non
#3 Février à ...- Visites / présentations, concertations, ateliers, rencontres diverses (faire-ensemble) au local de l’association ou au sein de l’établissement d’accueil
En parallèle - Selon les envies et les possibilités, participation au cours de l’année aux évènements de l’association afin de prendre connaissance du travail de l’association à échelle réduite. Permettre à chacun de s’approprier la dynamique de l’évènement, rencontrer les bénévoles et démystifier ce qu’il peut représenter
#4 Selon «évènement support choisi» - Conclusion du partenariat par la participation au «montage / démontage» du projet (sur un des évènements de l’association) afin de concrétiser le travail effectué pendant l’année
#5 Fin de saison (juillet ou plus tard) – Au Foin De La Rue fait le bilan avec chacun(e) des participants et appuie sur la projection pour l’année suivante.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
150 personnes sur les ateliers et 300 personnes sur la conclusion des parcours
20ène de bénévoles à l'année
1 professionnelle
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
Difficulté à répondre aux nombreuses demandes d'intégrer ces parcours et d'être accompagnés sur tel ou tel projet, artistique ou non.
- Suite de l'action : Perspectives
Faire perdurer l'action qui se renvouelle et créée chaque année de la nouveauté puisque les PDC sont denses par les publics qui les composent, les partenaires (professionnels, collectivités, etc.), les objectifs défendus et les ramifications que peut offrir l'association via ses autres évènements, compétences.
Actions
Aide à l'aide aux devoirs
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIO-CULTUREL JEAN WAGNER - Haut-Rhin
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Résumé
Il s’agit de proposer deux temps d’accueil parent-enfant juste après l’école de 16h à 17h30. La première demi-heure serait dédié à un temps de détente collectif autour d’un goûter sain durant lequel les enfants seront encouragés à raconter leur journée d’école aux parents. A partir de 16h30, chaque parent s’installe avec son ou ses enfants autour d’une table pour démarrer le temps de la réalisation des devoirs. Le ou les bénévoles ainsi que la référente famille veillerons et encouragerons l’implication des parents dans la mesure des possibilités linguistiques et intellectuelles de chacun. Dans les cas les plus complexes, il s’agira par exemple de valoriser la simple présence du parent au côté de l’enfant sur le temps des devoirs et le regard qu’il y porte, de donner du sens à l’importance de cette présence pour l’enfant, de démontrer l’intérêt de l’école, l’importance de la place et de la responsabilité du parent dans le parcours scolaire de l’enfant, etc...
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Pourquoi :
- Suppression des CLAS
-Forte demande de la part des parents
-Certains parents ne se sentent pas concernés par la scolarité de leur(s) enfant(s) estimant que cela relève exclusivement de la responsabilité de l’école
-Les parents qui ont eu un parcours scolaire difficile ne se sentent pas légitime à accompagner la scolarité de leur(s) enfant(s)
Résultats attendus :
-
Un nombre de participant croissant
-
Une fréquentation régulière
-
Une satisfaction exprimée par les parents et les enfants
-
Une progression scolaire chez les enfants
-
Un meilleur rapport des parents avec l’institution scolaire (les parents répondent aux sollicitations de l’école, les parents sollicitent spontanément l’école si besoin, etc...).
-
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
voir description de l'action
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Charges : 2 750 €
Produits : 2 750 €
Subventions : CGET : 780 € - CAF : 870 € - Association : 1 100 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 personnes : la CESF et la Référente Familles
- Résultat sur le territoire
Un groupe de 6 élèves de CE1 a suivi l'accompagnement en 2017/2018.
- Résultat pour le centre social
Le centre social est repéré comme un équipement qui participe aux actions qui permettent un accompagnement dans la parentalité.
- Résultat pour les habitants
Implication des parents dans la scolarité de leur (s) enfant (s).
- Suite de l'action : Limites
- relations avec l'école pas toujours coopérative, assiduité des parents, mauvaise orientation des enfants...
- Suite de l'action : Perspectives
Reconduite de l'action en 2018/2019 en l'améliorant notamment en ce qui concerne le nombre d'enfants et l'implication des parents.
Actions
Création d'un secteur jeunesse
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIO-CULTUREL DE SAINT- LOUIS - Haut-Rhin
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- vacances / loisirs
- discriminations
- Résumé
L’ensemble des actions citées ci-dessous visent la création d’un secteur jeunesse au Centre Socio Culturel. Ces actions ont pour but de soutenir les jeunes dans leurs démarches, leur créativité et leurs initiatives. Afin de toucher un maximum de jeunes, les actions ont lieu à divers moments durant les temps extra-scolaires.
Le partenariat avec les membres du projet de l’Atelier permettra également d’apporter une plus-value aux jeunes en recherche de professionnalisation. L’intervention d’artistes ou techniciens du monde artistique permettra de développer la créativité des jeunes mais également de les rendre attentifs au monde de l’art.
« Créer un espace jeunesse (studio d’enregistrement, salle informatique, espace de détente et de discussion, soutien à la création de projets [initiés par les jeunes et mise en place d’actions d’autofinancement], d’écriture de projet et leur réalisation, …) géré par des animateurs jeunesse.
Proposer une aide aux devoirs, un soutien dans le parcours professionnel, aider dans les démarches administratives et recherches de stages ou d’employeur, … être un lieu de ressource et d’information sur les instances existantes pour soutenir le jeune dans ses démarches. »
Pour les collégiens :
CLAS collège une fois par semaine : Soutien à la scolarité par des activités artistiques et ludiques, aide aux devoirs. Mise en place d’une action de tutorat lycéens-collégiens.
Passerelle, Club 10-14 ans (collège), mercredis après-midi et vacances scolaires : activités de loisirs ou sorties pour les 10-14 ans. Le programme est construit avec les jeunes qui gèrent leurs sorties et leur budget.
Pour les 15 ans et plus
Club 15-25 ans (lycée/BTS/Licence/Apprentissage) :
Séjour jeunes : proposer à des jeunes de construire, financer et réaliser un projet de séjour dans une capitale européenne durant l’été. En commençant par des projets de sorties loisirs de proximité (Branches et Montagne, Europa Park, …) et de séjours en France.
Jobdating : organisation d’une journée d’information et de rencontre avec des entreprises pour faciliter la recherche de stages, d’apprentissage ou de job d’été
Pour tous les jeunes
Animation de quartier (12 ans et plus) : Tous les vendredis soirs les animateurs proposent des animations à destination des jeunes (hip-hop, rap, arts de rue, arts plastiques, art du cirque, sport, …). En période hivernale (du 15 octobre au 15 avril) ces ateliers se déroulent dans les locaux 10 rue des prés et l’autre partie de l’année les ateliers se passent directement en plein air dans le quartier de la gare (quartier prioritaire).
Créer un espace jeunes (12-25 ans):
Trouver, aménager et rénover un futur espace avec les jeunes du quartier où ils pourront se référer aux animateurs jeunesse pour toute démarche administrative, professionnelle, scolaire, personnelle…
Utilisation d’un gymnase pour favoriser les rencontres sportives et initiation aux sports associatifs sur Saint-Louis.
Susciter l’entraide et le bénévolat
Encourager le tutorat entre jeunes : les lycéens peuvent apporter leur soutien aux élèves de primaire et de collège dans le cadre du CLAS.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L’offre d’activités et d’accompagnement en direction de la jeunesse est globalement insuffisante. Actuellement, elle cible principalement les jeunes en difficulté, en situation de décrochage scolaire par exemple.
Il existe peu de soutien à la scolarité au collège et dans les projets professionnels. L’offre existante dans le domaine sportif et culturel n’est pas suffisamment repérée par les jeunes.
D’autre part, le local de la rue des Prés qui est utilisé actuellement n’est pas adapté à l’accueil de jeunes.
La situation géographique du CSC constitue un atout : la proximité du collège, du lycée et des équipements sportifs, ainsi que l’arrivée du tram, sont autant d’opportunités pour la rencontre avec les jeunes.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Rencontre avec les différents acteurs qui agissent en lien avec la jeunesse, création d'un comité de pilotage pour partager les pratiques et créer des liens partenariaux avec les acteurs.
Le comité de pilotage se rencontre une fois par trimestre pour faire le bilan des actions réalisées et des actions à venir.
Mise en place d'événements et d'activités pour les jeunes, sorties, intervention auprès des jeunes de la mission locale dans le cadre de la garantie jeune, ..
L'action a débuté en janvier 2018 avec une phase de repérage, d'évaluation des besoins avec les partenaires, de mise en place de petites actions ponctuelles/sorties et une phase de réalisation des actions quotidiennes à partir de septembre.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
35 000
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Une responsable Enfance - Jeunesse, une coordinatrice jeunesse, 3 animatrices jeunesses (2 mi-temps et une animatrice plein temps), un bénévole régulier
- Résultat sur le territoire
Création d'une dynamique jeunesse commune sur le territoire
- Résultat pour le centre social
Développement des activités et partenariats
Axe 1 : S’ouvrir à toutes les différences Axe 2 : Favoriser la rencontre, partager des idées, des connaissances et des projets Axe 3 : accompagner la dynamique sociale et culturelle globale du territoire
- Résultat pour les habitants
Élargir les horizons des jeunes de St-Louis à travers une offre de loisirs diversifiée et d‘accompagnement aux projets individuels et collectifs dans le domaine personnel, scolaire et professionnel
- Lutter contre l’isolement des jeunes et leur signifier qu’ils ont toute leur place au CSC
- Favoriser et valoriser la participation et l’initiative des jeunes
- Suite de l'action : Limites
Difficulté à attirer les jeunes et les rendre captif sur la durée. Manque de moyens (locaux pas adaptés, financiers, matériel et mobilité)
- Suite de l'action : Perspectives
Création d'activités et suivi des jeunes au quotidien, création de poste d'animateurs et coordinateur jeunesse
Actions
Guide des acteurs de la parentalité du Brivadois , pour les professionnels
- Structure organisatrice
- Centre d’animation de la vie sociale Déclic - Haute-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- Logement
- Résumé
Dans le cadre de notre mission de soutien à la parentalité , en 2017, nous avons réuni divers acteurs de terrain : associations, collectivités, institutions. Tous ayant en commun la parentalité comme domaine d'intervention sur le Brivadois. Très vite, la demande a été de mieux se connaitre pour travailler en complémentarité et proposer des services et accompagnements plus efficiants aux usagers des structures. Un diagnostic de l'existant a été posé . Ensuite est née l'idée de répertorier les missions et spécificités de chacun : cette motivation collective a conduit à la création d'un guide de la parentalité des acteurs du Brivadois à destination des professionnels. Il a fallu du temps pour collecter les informations qui semblaient primordiales au groupe ( constitué d'une 20 ene de structures) ; ce guide permet , grace à un code couleur, de trouver rapidement le professionnel qui correspond en fonction d'une question ou d'une problématique ou d'une thématique ( droit, budget, logement..). Un annuaire répertorie les structures en donnant accès à un référent.
Suite à ce guide, le groupe a souhaité continuer la démarche ; les rencontres ont eu lieu à chaque fois dans la structure d'un partenaire afin de mieux la connaitre et comprendre : les coulisses ! mettre un visage sur un interlocuteur..
Enfin , un autre projet se prépare : celui d'un "outil" à destination des familles concu pour les familles et avec des familles . L'offre de services est riche sur le Brivadois : il est important de la rendre lisible et visible des tous .
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un habitant
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Développer les complémentarités dans nos missions
Des professionnels qui se connaissent mieux pour orienter de façon plus, pertinente
Les usagers sont accompagnés et orientés plus efficacement
des projets communs et périphériques à cette action ont émergé grace à cette confiance et meilleure connaissance entre les structures ( projets petite enfance, Santé, Journée du logement , Accès au numérique)
Dynamique de territoire
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le budget est lié à l'investissement de tous ; les participants ont été missionnés par leur hiérarchie
1500 € représente le cout d'édition de ce guide édité à 500 exemplaires
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
environ 21 structures avec parfois 2 à 3 professionnels présents : CAF, UDAF, SESSAD, IME, MSA, EN, Département, PEP 43, Planning Familial, Rézo CAMSP, RPE, LAEP, Creche, EN, Justice et Partage, Maison des ados, CCAS, ADMR, ALIS trait d'Union (CHRS), PMI et le centre social DECLIC
- Résultat sur le territoire
une dynamique pertinente avec des actions communes et une orientation plus efficace des publics rencontrés
Une action originale valorisant les structures engagées: donner de la lisibilité aux acteurs
une reconnaissance de la diversité et de la mutualisation d'actions ou domaines de compétences
- Résultat pour le centre social
Tête du réseau Parentalité
Sollicitation pour continuer ce travail de mise en relation et de concertation locale
Le centre social est devenu légitime dans cette mise en relation
Nombreuses sollicitations des acteurs du territoire pour des projets communs ou pour coordonner des réseaux
Reconnaissance de l'utilité sociale du centre dans sa capacité à mener une action avec une diversité de partenaires ayant des gestions différentes
- Résultat pour les habitants
Accompagnement et orientation plus efficace , plus pertinente
moins de perte de temps
plus de lisiblite sur l'existant
Se sentir rassuré et soutenu: le professionnel sera en capacité d'orienter ou d'apporter une solution
- Suite de l'action : Limites
Le temps nécessaire à la concertation: les disponibilités de chacun : maintenir une dynamique motivante pour tous
Faire concensus dans le projet à mener : ne laisser personne hors du réseau, veiller à ce que chacun trouve sa place et légitimité
- Suite de l'action : Perspectives
Avec le réseau de professionnels
Une B BOX pour les familles ( format papier avec les contacts les plus importants )
un site pour les familles répertoriant l'exisatant sur le territoire et les contacts
Avec des familles issues des structures : croiser les idées et la pertinence des contenus : role de veille et de co construction
Actions
Collectif "Faites du Vivre Ensemble" - Fête de quartier St Jacques - Le Viguier
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ET CULTUREL JEAN-MONTSARRAT - Aude
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- Démocratie & citoyenneté
- Mixité sociale
- Résumé
Ce projet a été initié en juin 2017, suite à un petit déjeuner des acteurs du quartier St Jacques Le Viguier et la volonté commune de "faire ensemble" pour mieux se connaître. Ce projet est donc porté administrativement par le centre social Jean Montsarrat pour le compte d'un collectif où sont présents : 11Bouge, ALOGEA, l'Association Culturelle Arménienne, Association Cultuelle Musulmane du Viguier, La Boîte à Linge, le CADA, Carcassonne Viguier Futsal, le CHT (Centre d'Hébergement Temporaire), la CIMADE, CLCV, le Collège Alain, la Communauté Dominicaine de St Jacques, Le Conseil Citoyen, la crèche du Viguier, les Ecoles maternelles Ferry et Condorcet et les écoles élémentaires Ferry et Pagnol, Farandole, Gym Volontaire, Habitat Audois, les Jardins du Viguier, Les Petits Débrouillards, la Paroisse du Viguier , la Pastorale des Migrants, RCF Pays d'Aude, la Régie des Quartiers, Résidences Habitats Jeunes (ex FJT), Viguier Culture, Vivre Ensemble. Ce collectif est très largement complété par un groupe d'habitant(e)s réuni en "commission animation", qui ont proposé le contenu suivant pour cette journée festive en juin 2018 :
• Matinée organisation de tournois sportifs notamment de foot, pétanque, tir à l'arc, ...
• Repas de midi : grillades/sandwiches proposés par les associations du quartier.
• Après-midi animations qui ciblent un public "Familles" autour de 3 parcours thématiques : La découverte des différentes cultures du quartier, la migration (accueillir des migrants : une richesse), environnement et écocitoyenneté.
• Repas du soir avec des prestations de différentes origines à un tarif similaire. Exemples : paëlla, plats orientaux, plats africains.
• Soirée : Bal "occitano-oriental" organisé par 11Bouge dans le cadre de son projet "Arab'Oc".Plusieurs niveaux de bénéficiaires pour cette action :
- les acteurs du quartier avec qui il s'agit de retrouver des habitudes de travail communes, de refaire réseau.
- les habitant(e)s bénévoles, qui s'impliquent ou s'impliqueront dans l'organisation de la fête. A ce jour c'est un groupe d'une dizaine de mamans habitantes du Viguier et de St Jacques qui sont le plus investies. Mais, au fur et à mesure de l'avancée de la préparation du projet d'autres habitant(e)s nous rejoignent. Nous souhaitons ainsi impliquer les enfants via les écoles, les adolescents, d'autres familles, mamans et papas, représentant le plus possible la diaspora du quartier, les plus ancien(ne)s,... dans l'organisation matérielle et la tenue des animations. Pour ce faire l'ensemble des acteurs du collectif est mobilisé.
- les participant(e)s le jour J : nous visons un public familial, toutes générations confondues, habitant(e)s du quartier, mais également les familles extérieures au quartier. Les animations de l'ensemble de la journée sont prévues pour cibler enfants, parents et éventuels grands parents. Les parcours thématiques permettront aux "visiteurs" de découvrir le quartier autrement.
La fête a donc eut lieu le 16 juin 2018. Nous estimons le public de la fête à environ 2000 personnes avec une très bonne mixité de public "venus d'ailleurs" et d'habitants du quartier. L'esprit "fête de village" et l'organisation en parallèle de l'action "Arab'Oc" par l'association "11Bouge" ont permis cette mixité sociale et culturelle. Plus de 600 repas ont été servis. Présence d'une quinzaine de stands d'habitants venus partager leur culture d'origine et d'associations du quartier. Les animations proposées l'après-midi, la qualité du spectacle en soirée qui a su marier cultures occitane et maghrébine (Arab'Oc) ont attiré un public familial avec beaucoup d'enfants. Ces publics ont partagé repas, danses et musiques.
30 élèves de l'école élémentaire FERRY (et autant de la Calendreta) ainsi que 40 enfants du quartier fréquentant le CLAS ont pu se produire sur scène afin de présenter des créations musicales préparées pour l'occasion, en présence de leurs parents et parfois de leurs grands parents.Le collectif est en train de préparer la Fête 2019.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Pour répondre à une demande des habitants, pour se rencontrer, pour mieux se connaître, pour transmettre et favoriser l'intergénérationnel.
- Pour favoriser la prise de conscience d'une communauté de quartier et "casser" la frontière entre Le Viguier et St Jacques. Pour ouvrir le quartier sur l'extérieur et modifier son image.
- Pour mieux vivre ensemble, pour faire ensemble, pour faire avec les habitants et l'ensemble des acteurs du quartier ..
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
L'organisation de la fête de Quartier St Jacques Le Viguier, "Faites du Vivre Ensemble", a nécessité la tenue de 6 Comités de pilotage (dont 1 de bilan), 5 comités d'animations et 2 comités techniques et administratifs. En outre, de nombreuses rencontres se sont tenues avec les habitants afin de préparer avec eux la tenue de stands présentant leur culture d'origine. De nombreux habitants et acteurs du quartier ont été associés à tous les temps de préparation de la manifestation. Les acteurs du quartier ont formé, pour cette occasion, le collectif "Faites du Vivre ensemble!".
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Outre l'ensemble de l'équipe du centre social (soit 10 personnes), environ 35 bénévoles (habitants + acteurs) ont été mobilisés sur l’événement et sa préparation avec une moyenne de 30h/bénévole.
- Résultat sur le territoire
La fête de quartier a répondu à l'attente des habitants qui regrettaient son absence depuis plusieurs années. Elle a permis aux plus jeunes comme aux plus anciens de se rencontrer autour d'un temps festif, de faire, jouer ,créer, voir des spectacles ...ensemble. Elle a permit aux habitants de partager avec leurs voisins et des personnes extérieures au quartier leur culture d'origine. Elle a modifier l'image que beaucoup de ces "extérieurs" se faisaient du quartier St Jacques / Le Viguier, véhiculant une image positive de ce territoire avant tout familial.
La fête de quartier a permis à certains habitants de devenir acteur de la vie de leur quartier, de s'impliquer positivement dans un projet collectif.
La fête de quartier a permis à l'ensemble des acteurs du quartier de se retrouver autour d'un projet commun, de faire à nouveau ensemble et de recréer certains liens qui s'étaient distendus. De nouveaux partenariats entre acteurs ont vu le jour à cette occasion (action 11Bouge et Petits Débrouillards; action 11Bouge et FJT, ...).
La fête de quartier a également permis aux actions labellisées contrat de ville de s'articuler lors de cette journée (actions d'11Bouge, des Petits Débrouillards, de la Régie des Quartiers du Carcassonnais et le CLAS porté par le Centre social) et de trouver une vitrine.
- Résultat pour le centre social
Repositionner le centre social comme tête de réseau des acteurs du quartier. Recréer du lien avec les partenaies locaux. Véhiculer une image dynamique du centre social auprès des habitants et des acteurs associatifs.
- Résultat pour les habitants
Evolution de l'image véhiculer à l'extèrieur du quartier et de ses habitants. Rencontres et partage entre habitants de communauté différentes lors d'un vrai temps festif qui leur appartient. Rencontres et partages avec d'autres publics venus d'ailleurs.
- Suite de l'action : Limites
Financement très dépendant du Contrat de Ville et du soutien des élus et de la préfecture.
- Suite de l'action : Perspectives
C'est reparti pour 2019 !!! Le collectif s'est déjà réuni 3 fois et l'organisdation de la fête est en cours avec pour ambition de mobiliser encore plus d'habitants. Rendez-vous le 22 juin 2019.