Historique

Date du 1er agrément : 01/01/1953
Population de la zone de compétence : 3000

Créée en 1953 à Besançon, la MJC DE BESANCON est une association de loi 1901 d’éducation populaire. L’association s’est développée sur le quartier bisontin de Montrapon, puis les bénévoles ont souhaité développer des activités de plein air dans le Haut Doubs. L’association s’est délocalisée au Loutelet, à quelques kilomètres de Métabief. La MJC a continué son développement en acquérant une ancienne ferme que les bénévoles ont restaurée pour créer une maison d’accueil pour les familles, groupes ou individus qui souhaitaient profiter du cadre et des activités de pleine nature. L’association a continué son développement par l’acquisition d’un chalet au pied des pistes de Métabief puis par l’achat d’une base nautique à Malbuisson, proposant ainsi une palette d’activités tournant autour de la neige (ski de fond, descente, luge...), de l’eau (kayak, voile…) et de l’environnement (randonnée, découverte du patrimoine local …), tout au long de l’année. En 2001, la ville de Besançon a souhaité confier l’animation de la vie locale et le développement social du quartier de Clairs-Soleils au milieu associatif. Les discussions avec la Ville et la Caf ont débouché sur une contractualisation pour développer un projet social qui sera deux ans plus tard agrée « centre social ». L’association reprenait pied à Besançon et se retrouvait à la tête de deux pôles d’activité, (Clairs-Soleils et le Loutelet). L’enjeu pour l’association étant de développer le lien entre ces deux sites. De sorties à la journée au Loutelet pour les jeunes et les familles, l’association est passée à des séjours familiaux, camps pour les jeunes et projets autour du sport et des loisirs de pleine nature. En 2010 dans le cadre du dispositif « séjours familles » coordonné par la ville avec les structures d’animations et travailleurs sociaux, le centre du Loutelet réalisait près de la moitié de l’accueil des bisontins, en cela favorisé par une équipe compétente et un projet « participatif » (participation aux tâches quotidiennes, choix des activités…) qui correspondait aux besoins des familles. Jusqu’en 2011 l’association a compté 15 salariés permanents (13 équivalents temps plein) et une dizaine de salariés en CDD (en fonction de la saison). En 2013, la MJC suite à des difficultés financières à du se séparer de son patrimoine du Haut Doubs, depuis elle agis principalement dans le quartier des Clairs-Soleils sur le territoire Bisontin.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Action Sococulturel
• Axe 2 : Action Education et Parentalité
• Axe 3 : Médiation social par le sport
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 13/09/2006
Population de la zone de compétence : 20000

ASEP - présidente Patricia Fleury

Directeur : Jean-Damien TERREAUX

www.asep.fr

Fondée en 1965, « l’Association Sportive et d’Education Populaire du Foyer des Jeunes Travailleurs», est, au départ, une association essentiellement réservée aux résidents du Foyer des Jeunes travailleurs des Oiseaux, association créée en 1957. Durant les 30 premières années (1965 à 1995), c’est d’ailleurs le directeur du FJT, François Jacob, qui assurera sa présidence.  Un an après sa création, 47 résidents, étaient adhérents de l’association. 

Fac Similé - déclaration de l'ASEP au JORF - 25 juin 1965

L’ASEP se positionne dans la filiation des mouvements et des « valeurs » de l’éducation populaire. Dès l’article 1 des statuts de l’ASEP de 1964, le cadre est posé :  l’association cherche « à promouvoir et favoriser les œuvres d’éducation populaire sous toutes leurs formes et pour tout ce qui peut s’y rattacher dans les domaines physique, intellectuel et moral ». Puisque l’ASEP proposait essentiellement un cadre pour développer la pratique des loisirs par les jeunes de la FJT, on peut penser que les initiateurs de l’association défendaient l’idée que les jeunes deviennent « acteurs de leurs loisirs », et que ces loisirs actifs soient outil de transformation et d’émancipation sociale.

En 1985, l’association s’ouvre sur le quartier. Elle devient « l’Association Sportive et d’Education Populaire du Foyer des Jeunes Travailleurs et du quartier des Cras ». Elle propose cette année là une dizaine d’activités, enfants et adultes confondus.  Les 10 années suivantes marquent une période de forte croissance, essentiellement due au développement de l’offre de loisirs tous publics. L’ASEP atteint alors puis dépasse le millier d’adhérents. Les adhérents sont majoritairement issus des quartiers des Cras et des Chaprais, mais déjà également des quartiers voisins (ville centre, Palente, Saint Claude).

En 1993, elle s’installe au 22 rue Résal, au pied de la barre d’immeuble des Oiseaux (dont une partie accueille le FJT) dans des locaux qui contribueront à forger son identité associative et qui conforteront un  ancrage territorial élargis aux quartiers Cras et Chaprais. Le 22 rue Résal se situe à égal distance de la rue des Cras et de la rue de Belfort, qui structurent le quartier d’est en ouest, desservant les secteurs Rotonde, Chasnot, Cité parc.

Le 15 mai 1995, le conseil municipal de la ville de Besançon valide la signature d’une première convention triennale avec l’ASEP, au titre de « l’animation de quartier et de la Ville » ; l’association compte alors 1687 adhérents. L’attractivité et la notoriété de l’ASEP dépassent désormais les limites de son quartier d’implantation.

La mise en place d’une dynamique « culture urbaine » à partir de 1996 puis la création du centre de loisirs de l’ASEP en 1998 conforteront l’essor de l’association.

On assiste alors à une forme de bipolarisation de l’ASEP.  En même temps que se renforce  une orientation « d’animation sociale et culturelle » tournée vers la jeunesse, le très fort développement d’une offre de « loisirs tous publics » modifie en profondeur le « public » de l’ASEP : adhésion d’habitants plus âgés, souvent retraités, disposant de beaucoup de temps et en demande de distractions et de liens sociaux. Ainsi, sur la saison 98-99, l’ASEP propose 37 activités différentes pour les adultes et 25 activités « jeunesse ».

En 2005, l’association dépasse les 3000 adhérents. La « géographie de l’adhésion » dépasse clairement les limites du quartier d’implantation de l’ASEP.

En 2008, une troisième polarité s’est imposée au sein du projet de l’ASEP : l’animation sociale de proximité, au sens de la caisse d’allocation familiale. De ce fait, l’ASEP dépose en 2007 son premier projet social et reçoit de la CAF un agrément « centre social » pour les années 2008 à 2010.  Cet agrément entérine une évolution importante : désormais, en plus des quartiers historiques Cras et Chaprais, le territoire d’action sociale de proximité de l’ASEP inclus le quartier Viotte.  Nous y reviendrons dans le chapitre suivant : « le territoire ».

Initiatrice du projet, l’ASEP hérite naturellement du rôle d’animateur/coordinateur du CCUB.  Mis à disposition par la ville de Besançon et entièrement aménagé par les pratiquants, cet espace de 2000 m2, cette nouvelle étape induit un nouvel élargissement du territoire d’action de l’ASEP.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Horizon associatif : Administrateur, salariés et adhérents portent ensemble un projet associatif d’éducation populaire
• Axe 2 : Horizon vie des habitants : Les habitants prennent activement part à la vie sociale de leur territoire et partagent des temps ensembles.
• Axe 3 : Horizon vie des familles : Les familles du territoire reconnaissent l’ASEP comme un espace ressource sur la parentalité.
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/2012
Population de la zone de compétence : 116775

La structure est positionnée dans des anciens bains-Douches municipaux, construits en 1911 par la Caisse d'Epargne, et qui ont été réhabilités pour devenir une structure d'animation et de développement local, qui a ouvert ses portes le 1er mars 2008

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Maintenir, développer et enrichir le lien social afin de lutter contre la précarité et l'exclusion
• Axe 2 : Favoriser et valoriser la synergie des dynamiques du quartier, des associations et des habitants
• Axe 3 : Accompagner, orienter et proposer des animations et projets innovants adaptés au public Jeunesse
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/1996
Population de la zone de compétence : 5000

Le comité de quartier de Rosemont Saint-Ferjeux est une association de loi 1901 créée « officiellement » le 1er avril 1977. Il est composé d’une équipe de bénévoles qui constitue le conseil d’administration et d’une équipe de salariés. Ces bénévoles administrateurs représentent le « terreau » de l’association et leur engagement a une valeur spécifique pour le comité de quartier.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Famille
• Axe 2 : Personnes âgées
• Axe 3 : Insertion
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/1998
Population de la zone de compétence : 2500

L’association est née en 1999 de la fusion, à l’initiative de la mairie de l’époque, de 3 structures. Depuis sa création, l’association a connu 3 périodes de crises financières dont la dernièire en 2014. A la suite de cette 3ième crise l'association a été en redressement judiciaire. Depuis février 2017 l'association a été en plan de redressement et est sortie du RJ en janvier 2022 (TGI). 

La gouvernance de l'association fonctionne aujourd'hui en Bureau (et non plus en Comité de présidence) qui se réunit mensuellement. Le recrutement d'administrateur.trice.s reste difficile. Toujours en recherche de bénévoles, l'association recrute tout au long de l'année. Ces administrateurs sont accompagnés par une équipe de 12 salariés. 

Depuis 2017 l'association s'appelle La Lizaine. Elle organise un Accueil de mineurs (ACM) 3 - 17 ans et a en projet de mettre en place un Accueil Jeunes. Elle accueille les familles et les habitants dans des actions. Elle mène des temps forts en direction des habitants tels que la fête de l'été (aout), le Téléthon, la fête de l'enfance qui sont des RDV plutot récents et dont les habitants sont au coeur de l'action.  Elle poursuit l'action "paroles d'habitants". Elle propose des cours de français dans le cadre des ASL. Action fortemnet plébiscitée. Elle conduit également le dispositif CLAS et travaille en lien avec les écoles.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Améliorer la vie quotidienne des habitants, des familles en développant l'intergénérationnel
• Axe 2 : Encourager les dynamiques locales par la participation des habitants, des familles et de la jeunesse.
• Axe 3 : Renforcer la citoyenneté
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/2018
Population de la zone de compétence : 5700

liquidation de TRAME, l'AOE devient l'association référent au Centre social en 2015 et une fusion entre AOE et les Francas du Doubs au 1er janvier 2018

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : ALSH enfance - jeunesse : Accès à des loisirs au plus grand nombre
• Axe 2 : LAEP/CLAS soutien à la parentalité
• Axe 3 : Donner le pouvoir d'agir aux habitants
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/1995
Population de la zone de compétence : 9000

Structure créée en 1983

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Favoriser l’expression et la créativité des enfants et des adolescents, favoriser leur autonomie et leur réflexion
• Axe 2 : Favoriser la mobilité et le regard vers l’extérieur du quartier
• Axe 3 : Favoriser le bénévolat, l’engagement et la citoyenneté des habitants
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/2016
Population de la zone de compétence : 2500

Dans le cadre de sa politique Enfance / Jeunesse et famille, la municipalité de Montbéliard confie à Léo Lagrange Centre Est la gestion de 3 sites sur la Ville: l’accueil de loisirs « La Farandole » - Batteries du Parc; l’accueil de loisirs Victor Hugo et l’espace Lamartine. Notre action a été renforcée par l’obtention de l’agrément Centre Social de la part de la Caisse d’Allocation Familiale (CAF) en janvier 2016. Cet agrément portait sur «l’Animation globale et la coordination », mais aussi sur «l’Animation collective famille ». Et nous a été délivré pour une période de 2 ans. Le Centre Social s’organise autour de six valeurs fondamentales portées par la Fédération Léo Lagrange qui sont : l’égalité, la liberté, la fraternité, la justice sociale, la laïcité et la participation de tous. Aujourd’hui «Être» Centre Social s’est poursuivre les actions que nous menons sur le territoire avec deux enjeux principaux :  Le travail sur l’articulation et le maillage des différents acteurs, important pour répondre aux attentes des acteurs et des habitants de nos 4 quartiers d’intervention.  La place des habitants et leur implication afin de donner la parole à tous ; et de les accompagner pour leur donner les moyens d’agir collectivement.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Réussite Educative
• Axe 2 : Lutte contre l'isolement des Séniors
• Axe 3 : Jeunesse
• Axe 4 : Participation des habitants
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 09/01/1993
Population de la zone de compétence : 212654

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : accompagner à la parentalité
• Axe 2 : animation et actions au plus proche des usagers
• Axe 3 : communication et coordination d'acteurs
• Axe 4 : accompagner et permettre l'implication des habitants
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 05/03/1994
Population de la zone de compétence : 1100

La Maison Pour Tous "Les Longs Traits" a été créée le 12 janvier 1979. C'est sous l'impulsion du comité de quartier existant que la municipalité de l'époque a construit le bâtiment actuel. C'est une association loi 1901 qui est adhérente à la Fédération Française des MJC (FFMJC). Elle est partenaire depuis 34 ans de la Ville de Pontarlier et depuis 18 ans de la Caisse d'Allocations Familiales de Besançon avec l'agrément « Centre Social ». Ses buts et ses valeurs Acteur de la vie du quartier, la MPT a pour but de permettre l'accès à la culture et aux loisirs au plus grand nombre, de développer la citoyenneté et de favoriser l'épanouissement des personnes. Elle défend certaines valeurs : tolérance, laïcité, solidarité, indépendance et pluralisme. En sa qualité de Centre Social elle s'appuie sur 4 missions constitutives : - Etre un équipement de quartier à vocation sociale globale : ouverture à l'ensemble de la population habitant à proximité, accueil, animations, activités et services à finalités sociales - Etre un équipement à vocation familiale et pluri générationnelle : lieu de rencontres et d'échanges intergénérationnels, développement des liens familiaux et sociaux - Etre un lieu d'animation sociale, prise en compte de la demande sociale et des initiatives, développement des initiatives - Etre un lieu d'interventions sociales concertées et novatrices basées sur le développement du partenariat Son financement La MPT est un partenaire de la Ville de Pontarlier pour l'animation du territoire. Leurs relations sont régies par une convention. L'association est installée dans des locaux municipaux. Ses ressources proviennent d'une part de subventions de la commune de Pontarlier, mais aussi de la CAF de Besançon, de l'Etat et de la Communauté de Communes Grand Pontarlier (CCGP). Une autre part de son financement provient des cotisations aux activités des adhérents et des actions qu'elle met en place. Son fonctionnement Comme toute association loi 1901, la MPT a un conseil d'administration représentant ses adhérents. Chaque membre de l'association est invité à participer à l'Assemblée Générale qui se réunit une fois par an. La MPT est gérée par une équipe de permanents ; chacun est responsable d'un champ d'action : la direction, le centre social, la jeunesse, l'accueil, le secrétariat, la communication, la comptabilité, les activités hebdomadaires, les spectacles, les expositions, les débats, l'espace ados, le centre de loisirs et les évènements. A ces permanents s'ajoutent les animateurs d'activités.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Favoriser et développer l’implication des habitants et des bénévoles
• Axe 2 : Poursuivre la lutte contre l’isolement
• Axe 3 : Développer l’accompagnement à la parentalité
• Axe 4 : Soutenir la vie associative et les relations partenariales
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 19/12/1994
Population de la zone de compétence : 2000

Fin des années 1980 le quartier des Pareuses connait une réhabilitation lourde (destruction d'une partie des vieux logements sociaux, réhabilitation de certains et construction de nouveaux). Cette réhabilitation du bâti s'accompagne d'une restructuration de l'intervention sociale sur ce quartier. De nombreuses associations travaillaient dans leur coin en direction de public bien spécifique et l'idée est de les réunir dans une même structure afin de proposer un programme d'actions cohérent à l'échelle du quartier Juin 1994 : Création de l’association de la Maison de Quartier des Pareuses qui compte dans son CA des habitants du quartier, des associations partenaires. Les principes de fonctionnement de cette structure sont: * être un lieu ouvert et de rencontre pour tous : jeunes enfants, adolescents et adultes * être le lieu d’animation et de coordination des activités sur le quartier * offrir des lieux d’accueil adaptés à certains publics (petite enfance...) * être un lieu d’information (logement, animation, santé...) et de ressources (panneaux d’affichage, permanences des services sociaux, PMI...) mais également un lieu relais des services et équipements existants à Pontarlier.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Travail en direction des adolecents
• Axe 2 : Accompagner la prise de décision des habitants
• Axe 3 : Etre un lieu de ressource
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/02/2000
Population de la zone de compétence : 2000

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Animations de quartier
• Axe 2 : Rompre l'isolement
• Axe 3 : Valorisation des personnes
• Axe 4 : Soutien à la parentalité
• Axe 5 : Accompagnement des usagers

Historique

Date du 1er agrément : 01/07/2016
Population de la zone de compétence : 3820

Une identité ancrée dans l’histoire de Sochaux et de Peugeot : Des années 50 à nos jours (in préambule projet associatif 2012)

"1ère période de 1957 à 1968, bénévolat et militantisme autour d'un projet citoyen.

En 1957, alors qu'il n'existait qu'une seule MJC en Franche-Comté, est né à Sochaux, le Centre Récréatif et Culturel de Sochaux (CRCS). Il s'est affilié à la Fédération Française des MJC, dès 1958. Le boom économique des années 55-60 dans le nord de la Franche-Comté entraine un apport de main d'œuvre important de France et de l'étranger, et en particulier en faveur de Peugeot et de ses filiales. Les ouvriers célibataires furent logés dans les « Hôtels Peugeot », puis dans les « foyers de jeunes travailleurs », les couples dans les « grands ensembles ». Et c’est dans les hôtels Peugeot qu'un groupe de jeunes, aidé par quelques adultes et le Maire de Sochaux, Monsieur Maurice Thiévant, décide de se structurer pour créer le CRCS, notamment grâce au don du Père Duval. Ce centre qui fonctionnait dans différents locaux prêtés, sentit vite la nécessité d'avoir ses propres locaux. Peugeot, sollicité par Mr Peltier (président du CRCS), donne deux bâtiments préfabriqués. La municipalité de Sochaux finance alors l’installation de ces deux bâtiments. En même temps, le CRCS prend contact avec la seule MJC existante en Franche-Comté, à Besançon. Il décide de devenir une MJC. La MJC de Sochaux fut donc la première du nord Franche-Comté. Bien entendu, elle allait susciter une émulation et Montbéliard décida de créer elle aussi une MJC. A cette époque, l’association est composée de deux groupes (5 membres cooptés : 3 ingénieurs, 1 médecin et 1 dessinateur qui n'habitent pas les hôtels Peugeot et l’autre de 5 membres élus par l'AG: 2 dessinateurs habitant les hôtels Peugeot, 3 ouvriers dont l'un habite les hôtels. L'esprit général du Centre est avant tout un esprit de bonne camaraderie, d'entente, d'entraide, de bonne humeur » (extrait du règlement intérieur de 1959). Il est clair que la vie de la MJC est étroitement liée aux établissements Peugeot puisque les personnes qui la créent appartiennent à l'entreprise, que le besoin est lié aux conditions de vie et que les moyens sont directement ou indirectement fournis par Peugeot. Mais, Peugeot n'intervient jamais directement. En 1961, la FFMJC nomme un directeur, formé par elle, à la tête de l'équipe de bénévoles. Les préfabriqués de l'époque avaient été démontés et remontés à l'endroit actuel. La MJC possédait une petite salle de cinéma d'une centaine de places, un foyer, un bureau, un labo photo, une salle de réunion et un petit atelier poterie. Le directeur dirigeait les MJC de Sochaux, Montbéliard et Audincourt. Le directeur de l'époque ne reste qu’une année. En 1962, la nomination d'un nouveau directeur uniquement pour Sochaux: Yves Deschamps. Jusqu'en 1968, tout fonctionnait avec le bénévolat. Les actions étaient essentiellement centrées sur la citoyenneté. Il n'y avait pas particulièrement d'activités structurées mais une excellente ambiance. La MJC était surtout un lieu de rencontres et d'échanges. À l'époque, la MJC a un club photo, un ciné-club, elle organise des sorties tous les week-ends, des conférences, elle a un orchestre et un foyer. Petit à petit, les activités de la MJC se structurent. Vers 1963, la mise en place des stages « connaissance de la France » donne un plus grand rayonnement et une meilleure notoriété à la MJC. Pour ces stages, une cinquantaine de personnes venaient de France et de l’étranger. La MJC était chargée de leur faire découvrir les environs et de leur accueil global. En 1964 naît le projet d'une nouvelle MJC. Il s'agit alors d'une structure importante, comprenant une MJC avec un foyer d'hébergement de 170 lits. Au cours des années 1965 et 1966, tous les efforts sont centrés sur ce projet de réalisation, mais celui-ci n'avance pas.

2ème période : de 1968 à 1982, début de la professionnalisation et de la structuration en « activité régulière »

En 1968, Albert Matocq-Grabot arrive après sa formation de directeur, ferme temporairement la MJC pour remettre en état les locaux avec des jeunes. Les activités reprennent avec la réouverture de la maison, les premiers animateurs salariés sont embauchés. Le nombre d'adhérents augmente immédiatement. (De 150 à 316 - 50 enfants de 6 à 14 ans). En novembre 70, après de longs compromis une nouvelle activité est créée, la reliure de livres. Elle obtient tout de suite un grand succès. En 1976, Gaston Simonin est nommé à la direction de la MJC. A partir de 1976, la MJC a une histoire plus linéaire et deux problèmes apparaissent : l'essentiel de la MJC est constituée d'activités avec des « adhérents consommateurs » et apparaît la dualité du public « jeunes » et « activités ». 1980, la modification du bâtiment sur la base de 4 espaces : foyer, administration, deux espaces polyvalents l'un pour des activités ménagères et familiale et l'autre pour des activités physiques et culturelles.

3ème période : de 1983 à 1997, la MJC devient un pôle d'excellence en danse.

En 1983, la MJC ouvre les portes de ses nouveaux locaux à ses adhérents. L’activité danse se développe, pour devenir « pôle ressources Danse ».

4ème période : de 1998 à nos jours,

La période de réorganisation Ange Jouan et André Bochard sont alors arrivés. En 1998, sont apparues des difficultés financières. La MJC n’obtient pas de soutien de son financeur principal. Une réorganisation s’impose et l'équipe est maintenant constituée de 4 salariés. C'est à cette période que l'activité danse disparait. Les années qui suivirent ont été essentiellement caractérisées par une rigueur budgétaire, l’arrêt d'activités et une baisse du nombre d'adhérents. Un pôle multimédia a été mis en place en 2002 dans les locaux de la MJC. Le pôle est géré par la ville de Sochaux. La signature du Contrat Territorial Jeunesse soulagera les finances de la MJC et donnera des moyens au secteur Jeunes. En novembre 2007, André Bochard part en retraite et il est remplacé par Éric Alison, la situation financière est alors saine. En Juin 2008, la MJC de Sochaux fête ses 50 ans avec toutes les associations sochaliennes. C’est aussi une longue période d’absence de direction. En octobre 2010 la MJC a une nouvelle directrice, Mme xxxxxx. La dynamique repart. Puis, la directrice quitte la structure et lui succède notamment Sébastien Gonzales. Des projets de restructuration sont à l’œuvre. En 2011, la MJC décide de s’engager dans un travail de refonte de son organisation et de refonte de son projet associatif. Pour ce faire, elle décide de se faire accompagner et obtient l’aide du DLA (Dispositif Local d’Accompagnement). Cet accompagnement a pour objectifs de « mettre en exergue les points forts et points faibles de la structure et de rédiger un projet associatif après consultation des adhérents et des habitants ». Les conclusions sont transmises en décembre 2011. Ainsi, après des réunions où participaient le Conseil d’Administration, des animateurs bénévoles et le personnel permanent, ressort-il que la MJC est reconnue comme une structure d’activités pour les jeunes et les adultes : il est donc indispensable de remettre le projet à l’ordre du jour en tenant compte des valeurs de l’éducation populaire, et transformer l’image de la maison. Les projets, pour ces trois prochaines années, devront toucher tous les secteurs de la maison ainsi que tous les adhérents ». La réécriture du projet est donc finalisée en 2012. Bernard Popieul prend la direction de la MJC à partir de 2014.

5ème période : la MJC demande l’agrément Centre Social à la CAF et l’obtient en 2016."

Agréement en cours pour la période 2022-2025

Après avoir retrouvé en 2020 les moyens de ses ambitions (renforcement de son équipe de professionnels, nouveaux supports de communication, élargissement de ses dispositifs CAF à destination des familles), et l'arrivée de sa nouvelle directrice Myriam DAFRI, la MJC-CS a su renouveler en 2021 son agrément centre social pour 4 ans.

Acteur essentiel du développement social local, la MJC-CS propose, en interaction avec son réseau, de poursuivre en grande partie ses axes de travail en cours, relatifs d'une part aux problématiques territoriales, en poursuivant notamment la décentralisation de ses actions au sein du QPV, et d'autre part aux problématiques éducatives et sociales, en contribuant à la mobilité et la mixité sociale par la culture, à la qualité de la relation parent/enfant, à la réussite éducative des enfants et des jeunes et en devenant un partenaire privilégié de l'ensemble des familles et de la jeunesse sochalienne.

Pour ce faire, la MJC-CS a d'or et déjà ré-ouvert en grand ses portes aux acteurs et partenaires de proximité, en instaurant un café partenaires bi-mensuel, en acceptant le portage du Conseil Citoyen sochalien et en devenant le siège social de la Maison pour Elle. Mais aussi, en investissant stratégiquement dans la réhabilitation de sa cuisine pédagogique, dans l'installation d'un Point Accueil CAF et dans la numérisation de sa salle polyvalente (écran de cinéma et audio/vidéo).

La MJC-CS, investie en 2021 auprès de ses 425 adhérents et 1500 usagers peut se réjouir des perspectives de fréquentation observées à la hausse pour 2022 : les familles sont toujours plus nombreuses, le nombre de jeunes adhérents dépasse alors la barre des 100 et les sollicitations de mise à disposition de ses locaux par ses partenaires de PMA pour l'accueil de groupes, de conférences et d’événements ont donné lieu à de nombreuses réservations en 2022.

Cette dynamique collective est prometteuse de belles initiatives dans les années à venir. la MJC-CS a su aussi  renforcer son instance de gouvernance. Avec l'arrivée de nouveaux administrateurs ambitieux, elle s'assure du renouvellement de la force de son organe politique et confirme l'intérêt véritable de son projet associatif d'éducation populaire.

A l'heure des renégociations budgétaires de la Branche Famille, l'association a participé à une réflexion et non des moindres, autour de l'évaluation de son impact social, pilotée par la CAF du Doubs pour l'ensemble des structures AVS de Pays de Montbéliard Agglomération.  A l'automne 2022, la MJC-CS de Sochaux a accueilli le congrès annuel de la CAF du Doubs, rendez-vous rassemblant l'ensemble des structures AVS et EVS du département (25) pour mener collégialement une réflexion en ce sens.

En septembre 2022, La MJC-CS de Sochaux est en deuil, avec le decès de Claire VAPILLON, sa présidente, personnage emblématique reconnue pour son engagement indéfectible depuis plus de 20 ans au sein du réseau des MJC de France, pour la jeunesse et la culture. Présidente active de la MJC de Sochaux de 2016 à 2022, elle était fière d’y voir aujourd’hui une équipe renouvelée et plus d’une centaine de jeunes de retour… parce que ce qui comptait beaucoup pour la militante associative qu’elle fût, c’est que les jeunes deviennent acteurs citoyens à part entière d’une démocratie vivante.

France Acquart lui succède, en réaffirmant que la culture reste un puissant levier pour permettre l’émancipation des jeunes et des moins jeunes. "Faire une place de choix à la culture au sein de de la MJC-CS de Sochaux, c’est rendre favorable la construction de nouveaux récits, la transformation des imaginaires et des représentations du monde".

www.mjc-sochaux.fr

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Vie sociale et citoyenne des quartiers
• Axe 2 : Soutien à la parentalité
• Axe 3 : Culture et mixité
• Axe 4 : Education Jeunesse
• Axe 5 : mobilité et mixité sociale

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/1998
Population de la zone de compétence : 2600

Le Centre Social a vu le jour en 1978 à l’initiative de l’Association des Résidents Des Buis avec une orientation claire : coordonner la vie associative et développer la vie sociale. L’Association deviendra en 1998 le Centre Social.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 :
• Axe 2 :
• Axe 3 :
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 09/02/2017
Population de la zone de compétence : 9700

Crée en 2008, l'équipement fait partie dans ensemble immobilier construit en partenariat avec le bailleur social Alcéane. il a développé un projet de pôle de vie social et se voulait d'être un lieu structurant de la vie locale. Son projet initial arrivé a maturité, il se devait d'évoluer. La ville du Havre en collaboration étroite avec la CAF s’est s’engagée dans une démarche globale en vue d’obtenir un nouvel agrément centre social sur le territoire des quartiers sud pour l’équipement du Parvis. En effet, le territoire, situé en géographie prioritaire de la politique de la ville, présente de nombreux indicateurs de fragilité. Il se caractérise par un tissu associatif peu développé et un maillage partenarial en recherche de structuration et de coordination. L’équipement socio-culturel du Parvis bénéficie d’un ancrage territorial intéressant et présente un potentiel de développement à considérer notamment au regard de nombreux enjeux partagés et plus particulièrement lié au nouveau projet de renouvellement urbain sur le secteur Graville – la Vallée. Le centre social, équipement de proximité, constitue un outil de développement social privilégié qui permet à la population, avec l’appui de professionnels et dans une logique de coopération, de trouver des réponses à de multiples questions de la vie quotidienne.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Promouvoir l'implication citoyenne auprès des associations de proximité et des habitants
• Axe 2 : Accompagner les habitants vers l'appropriation ou la réappropriation de leur environnement et améliorer leur épanouissement
• Axe 3 : Travailler avec les parents le développement des compétences parentales du quotidien
• Axe 4 : Améliorer l'insertion socio-professionnelle et l'épanouissement des habitants
• Axe 5 : Travailler avec les parents le développement des compétences parentales du quotidien

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/2017
Population de la zone de compétence : 22219

L'association L'ATELIER a été créée en 2005. Son activité a commencé par la mise en place d'une épicerie solidaire en 2009. En 2011, un agrément EVS (espace de vie sociale) a été validé. L'agrément EVS a été un tremplin pour préfigurer le centre social... En janvier 2017, un agrément de préfiguration de 1 an a été validé par la CAF de Seine Maritime. En octobre 2017, un agrément pour 3 ans a été validé (2018/2019/2020).

En 2020, compte tenu de la crise sanitaire, le renouvellement d'agrément a été repoussé d'un an, suite à une demande de prorogation qui a été acceptée. 

En 2021, un nouveau projet social sera construit. 

En 2022, développement du pôle parenatlité 

En 2022, développement des activités hors les lieux et tout la dynamique d'aller vers, notamment avec l'Anim tRucl épicerie itinérante

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Faire connaître et reconnaître le centre social comme un lieu de rencontres, de partage et d’activités pour tous
• Axe 2 : Agir sur plusieurs déterminants médico-sociaux des habitants du territoire d’influence du centre social…
• Axe 3 : Apporter une attention particulière aux plus fragiles et contribuer à la mixité sociale
• Axe 4 : Accompagner les parents dans l’exercice de leur fonction parentale
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/2015
Population de la zone de compétence : 1892

2013 : Premières interventions de l’association ALIS sur la cité des Coutures suite à la proposition de la Ville de Limoges d’accompagner les habitants dans la création d’un jardin partagé. Nous arrivons sur la Cité des Coutures dans un contexte favorable de réhabilitation des espaces extérieurs qui nous permet d’entrer en contact et de travailler avec les habitants et le bailleur social autour de l’amélioration du cadre de vie : création d’un collectif d’habitants, animations en pieds d’immeubles et autour du thème du jardin, conseil de vie citoyenne… Dès notre implantation, nous constatons : - une vie associative présente sur le quartier mais qui manque de cohésion inter-associative, de lien avec les acteurs institutionnels, d’espace fédérateur, - une diversité importante de publics qui vivent les uns à côté des autres sans vraiment se comprendre et sans se connaître (chocs culturels, problématiques intergénérationnelles…). 2014 : Accompagnement d’un groupe d’habitants dans la réalisation d’un diagnostic de territoire qui confirme la présence de problématiques sociales importantes. Ces habitants sont déterminés « à faire bouger les choses » pour améliorer la qualité de vie au sein de leur quartier et travaillent à l’élaboration d’un projet social qui sera validé par les acteurs institutionnels.

2015 : Création de l’établissement Entre Deux, agréé Espace de Vie Sociale pour une durée de deux ans par la Caisse d’Allocations Familiales. Le projet de jardin partagé est alors en « stand-by » car les travaux de rénovation du quartier ont pris un an de retard. Un groupe de femmes du quartier souhaitant « passer à l’action » est accompagné dans la création d’un collectif : le Collectif Populaire et Solidaire (COP’S), qui se concrétise en septembre par l’ouverture d’une boutique associative.

2016 : Création d’un collectif de jardiniers et ouverture du jardin partagé en avril (Le jardin Gonthier) Du fait d’une forte mobilisation du public, Entre Deux développe son activité. L’agrément Espace de Vie Sociale n’est plus suffisant pour répondre aux besoins de la population.

2017 : Entre Deux est agréé centre social au travers d’un projet sur trois années.

2020 : renforcement de la démarche d'aller vers pendant la crise sanitaire

depuis 2020 : maintien d'une mobilisation renforcée de l'équipe dans la démarche d'aller vers (présence et animations de rue, festivités sur l'espace public, jardinage en pieds d'immeubles

2021 : expérimentation d'un food truck, comme outils d'aller vers

2022-2023 : évaluation intermédiaire et finale du projet 2020 2023

2024 : suppression de l'activité food truck; projet social 2024-2027 agréé par la CAF

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Accueil et veille sociale partagée
• Axe 2 : Co-Animation du territoire
• Axe 3 : Inclusion-insertion
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/2018
Population de la zone de compétence : 8000

Le projet est né du constat que les populations rurales de Moret Seine et Loing n'avaient que peu d'accès aux activités de l'animation de la vie sociale proposées par le centre social Moret Seine et Loing, situé à Champagne sur Seine et donc géographiquement très éloigné pour les villages situés au sud du périmètre intercommunal. Les Elus ont décidé en février 2013 de lancer le projet d'une nouvelle structure au cœur de l'espace rural, à partir un bâtiment construit à cet effet. Un groupe d'habitants des zones rurales en collaboration avec des élus et des professionnels du centre social Moret Seine et Loing ont donc œuvrer pour construire le projet centre social.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Accueil de proximité
• Axe 2 : Animations collectives
• Axe 3 : Projet famille
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 09/01/2017
Population de la zone de compétence : 22000

Depuis plusieurs années, le CCAS a pour projet de créer un centre social. Ce besoin a été confirmé lors de l'Analyse des Besoins Sociaux de 2013. Lors des élections municipales de 2014, le projet a été inclus dans le projet politique de la nouvelle équipe. Septembre 2015, une chargée de mission est recrutée pour rédiger le futur projet social dans le cadre d'une 1ère préfiguration départementale. Un diagnostic territoriale est réalisé, plus de 100 personnes sont rencontrées et la commission délocalisée a lieu en juin 2017.

Le deuxième projet social 2021-2024  a été validé avec succès malgré une année compliquée.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : soutenir les familles dans leurs diversités
• Axe 2 : permettre à tous l'accès à la culture
• Axe 3 : promouvoir le centre socioculturel
• Axe 4 : favoriser et développer l'engagement citoyen
• Axe 5 : permettre à tous l'accès aux droits et à l'information

Historique

Date du 1er agrément : 13/10/2016
Population de la zone de compétence : 13500

Centre Social l'Escale porté par la MJC l'île aux trésors fruit de la fusion de la MJC-FJT espace culture citoyenneté le 1/07/16 avec l'association l'île aux trésors porteuse de la ludothèque de Valbonne.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : accompagnement à la parentalité - accompagnement à la scolarité
• Axe 2 : action jeunesse - insertion - accompagnement
• Axe 3 : Lien social - vie associative - mobilisation des habitants
• Axe 4 : médiation culturelle
• Axe 5 : valeurs de la République - euro et éco citoyenneté

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/1994
Population de la zone de compétence : 4265

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : ANIMATION SOCIALE LOCALE
• Axe 2 : ANIMATION FAMILLES
• Axe 3 : ANIMATION JEUNESSE
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 06/12/1975
Population de la zone de compétence : 6000

"C’était en 1962. Il y avait beaucoup de jeunes et d’enfants dans le quartier. Le problème était d’occuper tout ce monde. Alors il y a eu une réunion dans un café du coin où on s’est retrouvé, quelques personnes intéressées, surtout pour la prise en charge des jeunes et des enfants. On avait même envisagé d’acheter un wagon SNCF désaffecté et de l’implanter dans le quartier. Mais ça ne s’est pas fait. C’était l’embryon du centre culturel qui s’est fait avec les gens qui étaient à cette réunion. Ce qui nous a sauvé c’est d’avoir eu un appartement F4 par les HLM au 27 rue de Giromagny, et ça a été le début du vrai centre culturel." Extrait interview Pierre et Huguette Schuller

1962 : Création de l'Association Centre Culturel Dardel Méchelle

1975 : 1er agrément CAF

1979 : Agrément par la Fédération des Centres Sociaux et Socioculturels 

2000 : 1ère agrément Animation Collective Familles 

2001 : Création du poste Référente Familles 

2017 : Création de l'Association OÏKOS

2024 - 2027 : nouvelle période d'agrément. 

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Consolider le pouvoir d'agir et l'implication des habitants
• Axe 2 : Consolider les rencontres intergénérationnelles
• Axe 3 : Renforcer la place du centre comme lieu fédérateur de la concertation partenariale
• Axe 4 : Rendre plus visible et plus efficace la communication du centre
• Axe 5 : Soutenir les parents dans leur rôle

Historique

Date du 1er agrément : 12/01/1971
Population de la zone de compétence : 4282

1952/53, un petit noyau d'habitants se retrouve après le travail et commence par fabriquer des skis en bois dans des salles de l'école en bois (appelée ainsi car en préfabriqué, stigmates de 1944). Ces habitants, par ailleurs parents d'élèves, s'organisent en coopérative scolaire et ils s'équipent en petites machines. Le 08 décembre 1953, les responsables de l'association, représentés par Michel LEGRAND déposent les premiers statuts en Préfecture du « Foyer Coopératif des Ecoles de la Pépinière, Maison de Jeunes et de cultures ». En 1955-1956, la ville fait construire les écoles maternelle et primaire d'application Hubert Metzger. Michel LEGRAND saisit l'opportunité de locaux vacants (les écoles en préfabriqué) pour y installer le centre culturel, (le premier sur Belfort) en 1959. Il propose aux enfants et aux parents du quartier du sport et des loisirs. Ainsi, on peut trouver dans l'école des filles des activités comme la fabrication d'avions de modélisme, de la musculation ; dans l'école des garçons : du judo, de la photo, du ping-pong. Les jeunes peuvent aussi pratiquer du rugby, du foot, du ski. Ces activités sont assurées par des bénévoles. De 1963 à 1966, le Centre culturel rue Danton se construit. En 1965 le centre est inauguré. Michel LEGRAND est détaché de l'Éducation nationale pour incorporer le service départemental de Jeunesse et Sports. Dans les années 60-70, avec la croissance économique, les centres sociaux deviennent socioculturels. Le « Foyer coopératif », après modification des statuts en mai 1965, s’appelle alors : « Centre Culturel et Social de la Pépinière ». Depuis les années 71, le Centre Social développe son activité et confirme son rôle d’action sociale et familiale. Il sollicite son premier agrément, date à laquelle la CNAF a mis en place l’agrément au bénéfice des centres sociaux, puis par la suite l’agrément «Animation Collective Famille » à la fin des années 90. Cet ancrage historique inspire les équipes dans la manière de conduire l’action socioculturelle de la structure. Depuis 2012, l’organisation est complétée par la mise en place de commissions d’habitants qui se réunissent régulièrement (familles, fêtes et manifestations, jeunes). Des lieux de concertation qui permettent de réduire le fossé entre les « élites » (politiques, financeurs, administrateurs) et les « citoyens ordinaire ». Dispositifs participatifs, ces commissions réunissent aussi bien des habitants que des salariés, partenaires institutionnels, associatifs, élus. Lieux d’échanges et de propositions concrètes pour nourrir le projet de structure, elles sont devenues forces de propositions. Le CCSP agit sur le quartier de la pépinière et plus largement à l’échelle de la ville de Belfort. La structure se veut être un équipement de proximité tourné vers les habitants. Par ces animations elle favorise le lien social, la vie en collectivité, le respect de soi et des autres.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Médiation culturelle
• Axe 2 : Accompagnement parentalité
• Axe 3 :
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/1997
Population de la zone de compétence : 4195

Le Centre Culturel des Résidences Bellevue est né le 3 Novembre 1962, à l’initiative de représentants des associations et avec le soutien de Jeunesse et Sport, en réponse aux besoins des habitants du quartier des Résidences, nouvellement construit (entre 1958 et 1973). Après une succession de localisations, le Centre s’implante en 1974 dans ses propres locaux construits par la Ville de Belfort et situés au 4 rue de Madrid. Jusqu’en 1996, il développe des activités sportives, sociales, culturelles et de loisirs et se structure avec une petite équipe de salariés. Suite à l'obtention de l'agrément « Centre Social » de la CNAF en 1997, il met en œuvre son premier Projet Social et devient le Centre Culturel et Social des Résidences Bellevue (CCSRB). En 1999, une restructuration des locaux rend la structure plus conviviale et plus fonctionnelle. Les années 2000 verront la naissance d’un Secteur Jeunes et d’un Collectif Familles portés par une équipe de salariés plus étoffée ainsi qu'un CA renouvelé. Fin mars 2017, une assemblée générale extraordinaire valide la fusion absorption de l’association du CCSRB par l'association OIKOS. Cette dernière a pour but le soutien, l'accompagnement et le développement des missions des projets de 7 Centres socioculturels de Belfort.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Accueillir les habitants et développer leur pouvoir d'agir
• Axe 2 : Développer des réseaux de solidarité humaine, environnementale et culturelle
• Axe 3 : Accueillir les jeunes et jeunes adultes : de l'accompagnement à l'émancipation
• Axe 4 : Accueillir et accompagner les familles dans leur rôle de parents.
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/2007
Population de la zone de compétence : 2400

L’association MQGC, loi 1901, a été créée le 09 décembre 2005, suite à la liquidation judiciaire du centre social et culturel

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Accueil et orientation
• Axe 2 : Famille et parentalité
• Axe 3 : Pouvoir d'agir et participation des habitants
• Axe 4 : Inclusion sociale
• Axe 5 : Citoyenneté