Historique

Date du 1er agrément : 01/01/1975
Population de la zone de compétence : 9802

Le centre social a été géré par la Caf du Lot jusqu'en 2021. Depuis, la commune de Figeac a pris gère le centre social et bénéficie du soutien de la Caf et du Département.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : L'implication des habitants
• Axe 2 : L'accueil, un service inconditionnel pour les habitants
• Axe 3 : Le projet famille
• Axe 4 : La prévention spécialisée
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/10/2002
Population de la zone de compétence : 15000

Positionnée depuis 1998 sur le territoire Centre-Ville et des quartiers sud de la ville d’Annecy, Archipel Sud est née d’une volonté de la Ville d’Annecy d’implanter une structure socioculturelle en locaux éclatés au sein des quartiers sud de la Ville en pleine expansion (constructions nouvelles et arrivée de nouvelles familles).

L’éclatement des locaux pose une problématique de visibilité. Il n’en reste pas moins, à contrario, qu’il permet de toucher les publics au plus près de chez eux.

Les quartiers sud historiques et le centre-ville revêtent une diversité de population.

Agréée Centre Social depuis 2002, Archipel Sud a pour objectif de permettre à l’individu de trouver sa place dans la cité et de s’épanouir par son implication et sa participation aux actions collectives. Archipel Sud a pour vocation d’être un équipement de quartier au service de la population en agissant pour le développement et la consolidation du lien social, du « mieux vivre ensemble » pour toutes les familles et contre toutes les formes d’exclusion ou d’inégalités économiques, sociales et culturelles.

Depuis septembre 2013, l‘équipe d’Archipel Sud a repensé ses modalités d’actions et son fonctionnement pour être au plus près des habitants, notamment en développant les actions hors les murs

Archipel Sud s’est dotée au fil des années et par conventionnement avec la ville d’Annecy d’un outil culturel « La parole en mouvement ».

Depuis l’obtention de l’agrément « Centre Social » par la CAF, Archipel Sud met tout en œuvre pour développer des outils permettant de croiser aspect culturel et lien social.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Favoriser le lien social : "le vivre-ensemble devient une réalité absolue dès lors que l'on assimile que l'autre est une partie de nous-même"
• Axe 2 : Encourager la citoyenneté : "L'homme est pleinement homme dans le citoyen"
• Axe 3 : Accompagner les familles : "L'éducation forme, l'expérience forge"
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 23/11/2024
Population de la zone de compétence : 2500
1969: création du comité du grand Kerber. Le comité dépend alors de l'AGESE et a pour but d'être un agent d'animation et de liaison entre les différentes activités, d'organiser et créer ses propres activités en réponse aux besoins du quartier 1971: construction du batîment 1976 fondation de l'association 2008 agrandissemnt du batîment 2010 Changement de statut (gouvernance collégiale et changement de nom "Couleur Quartier"

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Un accueil qui permet la participation des habitants
• Axe 2 : Lutter contre les discriminations par les mixités
• Axe 3 : La Coéducation : pour une cohésion éducative et citoyenne
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/1984
Population de la zone de compétence : 37400

Le Relais 59 a été créé en août 1980, suite au projet de réhabilitation de l’Îlot Chalon. Il est né de la volonté d'habitants et d'associations du quartier, lesquels voulaient veiller à l'accès aux droits des habitants dans le cadre de la transformation urbaine en cours et du processus de relogement. L'accès aux droits est l'objet premier du Relais 59.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : La Jeunesse, actions d'émancipation et d'accompagnement à l'engagement des jeunes
• Axe 2 : Lutte contre la précarisation des familles, des seniors
• Axe 3 : L'accueil des nouveaux habitants du fait des transformations urbaines engagées sur l'arrondissement
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/2004
Population de la zone de compétence : 3500

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Un centre social qui consolide la dynamique autour de la jeunesse
• Axe 2 : Renforcer l'animation en consolidant les dynamiques partenariales
• Axe 3 : Un centre social qui favorise les liens sociaux et l'intergénérationnel
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/03/2010
Population de la zone de compétence : 15756

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : AGIR SUR LES CONDITIONS DU FAIRE VIVRE ET DU MIEUX VIVRE ENSEMBLE
• Axe 2 : AGIR AU CÔTE DES FAMILLES POUR SOUTENIR L’EXERCICE DE LA FONCTION PARENTALE
• Axe 3 : AGIR SUR LA CONNAISSANCE ET LA RECONNAISSANCE DU CSCSO COMME UN EQUIPEMENT STRUCTURANT DE PROXIMITE A L’ECHELLE DU TERRITOIRE
• Axe 4 : Soutenir l’engagement et les initiatives des jeunes au sein d’un collectif pour favoriser leur ouverture culturelle et contribuer au développement de leur citoyenneté et de leurs compétences à l’autonomisation
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/2008
Population de la zone de compétence : 16370

1er agrement 1er janvier 2008

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : favoriser le lien social, la solidarité et l'entraide
• Axe 2 : favoriser une démarche participative des habitants
• Axe 3 : faciliter l'accès aux droits et à la citoyenneté
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/10/2001
Population de la zone de compétence : 26119

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Le centre social, une intersection à dimension humaine
• Axe 2 : Le centre social, un accès aux droits et au numérique
• Axe 3 : Le centre social, un lieu d’accompagnement d’initiatives des habitants pour l’habitant
• Axe 4 : Le centre social, le tremplin de la parentalité
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 04/01/2012
Population de la zone de compétence : 7600

Le bâtiment est construit en 2002 par la ville et inauguré en juillet 2003. D'abord géré par une association jusqu'en 2010, l'équipement est ensuite repris en gestion directe par la mairie qui décide de "municipaliser" l'ensemble de l'action sociale sur la commune. Les projets AGC et ACF versions municipales sont déposés auprès par la CAF de la Moselle par la nouvelle équipe et agréés depuis  le 1er avril 2012...

prochaine échéance agrément projet social en  mai 2024 

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Socle commun : écocitoyenneté, éveil à la culture, accompagnement de tous les habitants, organisation d'événements
• Axe 2 : animations globales et coordination : participer au développement du territoire, favoriser l'entraide et la cohésion sociale, accompagner de nouvelles formes socio-économiques
• Axe 3 : Actions collectives familles : accompagner un espace de détente et d'échange, favoriser le bien-être et la gestion des émotions, favoriser l'échange intergénérationnel
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/07/1969
Population de la zone de compétence : 11500

association fondée en 1969 pour développer l'animation en direction des Rochelais. centre social en 1986 au regard de l'évolution des besoins, centre social à dimension intercommunale de puis 2012.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : communiquer pour agir mieux
• Axe 2 : la MCL un lieu de vivre ensemble
• Axe 3 : la MCL un lieu de participation citoyenne
• Axe 4 : renforcer la dynamique associative
• Axe 5 : etre au plus pès des habitants

Historique

Date du 1er agrément : 04/01/2009
Population de la zone de compétence : 10000

La MJC Aimé Césaire existe sur le quartier depuis 20 ans

Centre social depuis 2009, elle a fusionné avec les 2  autres MJC de la ville, pour créer la MJC les Passerelles

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Renforcer notre action d'éducation citoyenne, en particulier auprès des adolescents et des jeunes adultes
• Axe 2 : La fonction accueil de la MJC-CS, instrument de la cohésion sociale et d'un meilleur vivre ensemble
• Axe 3 : La parentalité
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 23/11/2024
Population de la zone de compétence :
Créé en 1977, le Centre Social Familial et Culturel Fresnoy-Mackellerie est affilié à la Fédération des Centres Sociaux et Socio-Culturels du Nord. Se plaçant dans le mouvement de l’éducation populaire, les centres sociaux et socio-culturels fédérés réfèrent leur action et leur expression publique à trois valeurs fondatrices : la solidarité, la démocratie et la dignité h Cette association est laïque et se réfère pour ses valeurs aux déclarations des droits de l’homme et de l’enfant. Elle est un outil de participation des habitants à la vie de la cité au plus près de leur vie quotidienne. Elle a pour but dans le cadre d’un agrément centre social de : - Développer les solidarités de quartier ; - Mener une action de promotion des habitants tant sur le plan culturel que social ; - Essayer de répondre aux besoins sociaux de la population ; - Mener une action de prévention et d’insertion en direction des populations en difficulté.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 :
• Axe 2 :
• Axe 3 :
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/1982
Population de la zone de compétence : 15000

Le centre social et culturel d’Heyrieux a été créé en 1978 à l’initiative de sept femmes dont l’objectif était de répondre à des besoins non couverts notamment les besoins d’accueil des enfants et des adolescents, la mise en place d’activités culturelles et la création d’actions à vocation sociale. Depuis lors, le centre social et culturel d’Heyrieux a su s’adapter aux demandes des usagers et aux besoins des habitants de la commune d’Heyrieux principalement mais aussi des communes environnantes.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Un centre social qui facilite la vie quotidienne des habitants
• Axe 2 : Un centre social qui agit avec et pour les familles
• Axe 3 : Un centre social ouvert et acteur du partenariat local
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/10/1998
Population de la zone de compétence : 7500

L’histoire du centre social du centre ville peut se comparer à l’histoire d’un enfant allant du désir de ses parents à son émancipation. Au départ, on y trouve un couple d’enseignants, habitant et exerçant dans le quartier alertés par des problématiques de retard scolaire, d’enfants livrés à eux même. Parallèlement, ils sont militants dans le Club Léo Lagrange, une association culturelle d’éducation populaire installée dans le même quartier. C’est en 1992 qu’ils vont impulser l’idée d’ouvrir les locaux de l’association aux enfants du quartier autour d’une aide aux devoirs et de la pratique de loisirs. La graine est alors semée et la « gestation » durera 6 ans. Durant cette période, ce qui se voulait être un « centre de vie » va grandir et se confronter à d’autres enjeux : celui de la jeunesse, des adultes, des familles. Il se structure donc l’ossature de ce qui deviendra, en 1998 un centre social autonome sous le parrainage de la CAF de Cambrai, de la DTPAS et de la Ville qu’il aura fallu convaincre, lentement par la création d’une association éponyme chargée de gérer le nouvel équipement. La naissance passée, tout une période de construction de l’identité de l’association et de l’établissement s’opère, c’est la période du développement et le premier projet s’attache à développer son offre d’activités en direction des habitants. Essor des accueils de loisirs, création de 3 postes en emplois-jeunes pour animer ces nouvelles activités, accroissement constant des adhérents, professionnalisation et stabilisation des équipes sont autant de chantiers qui témoignent de cette effervescence sous l’œil bienveillant des partenaires institutionnels de proximité. Puis, vint le temps des turbulences marquées par des changements de présidence de l’association toujours brutaux, l’instabilité des contrats aidés (dispositif dont le centre social est toujours dépendant de par sa fragilité financière) et la vétusté des locaux du 12 rue de selles combinée à son exiguïté compromettant le développement de ses activités. L’ensemble de ces facteurs, la dépendance aux appels à projets ponctuels et aléatoires pour subventionner les actions existantes ont obligé un resserrement des ressources humaines au plus juste. Cette réduction des effectifs des salariés n’a pas été sans incidence sur les capacités d’accueils de certains publics (notamment des accueils de loisirs pour mineurs) mais le centre social a réussi à maintenir l’existant. Son emménagement dans des locaux neufs et plus spacieux lui offre aujourd’hui ces perspectives de développement pour s’adresser à un nouveau public d’usagers.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Agir Ensemble
• Axe 2 : Vivre Ensemble
• Axe 3 : Découvrir Ensemble
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/1992
Population de la zone de compétence : 8073

Le centre social a été crée en 1991 

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : La Cascade, pour tous, tout public, tout âge
• Axe 2 : La Cascade, une attention particulière à la parentalité
• Axe 3 : La Cascade, un carrefour de la vie locale
• Axe 4 : La Cascade, génératrice de citoyenneté
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/2005
Population de la zone de compétence : 9960

La plus belle réussite de l’association a été son évolution constante durant 40 ans. Cette évolution a permis à l’association de grandir, de se développer et de devenir aujourd’hui un acteur incontournable du quartier du Chemin de l’Ile. Ainsi en 1977 elle naissait sous l’appellation « Nanterre 2 Acacias » autour d’activités sportives avec notamment la boxe. Puis dès 1981, l’association change de nom et devient « Le Club des Acacias » (sa plus longue période). Avec ce changement, se dessine également l’élargissement de ses actions : aide aux devoirs, soutien aux français pour les adultes, activités de cuisines et de couture, sorties, séjours, actions familiales et de convivialités… Dès 1984, l’association se développe encore avec la mise à disposition des locaux actuels au 1, rue des Sorbiers, soit 240 m². Ensuite dès 2005 le club des Acacias devient avec le soutien de la Ville et de la CAF et surtout la volonté des administrateurs le Centre Social et Culturel les Acacias. Depuis Octobre 2014, le Centre Social se décline en deux espaces : Espace Sorbiers (site historique) et Espace Hoche (nouvel espace)

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Rencontrer et échanger
• Axe 2 : Renforcer le lien social et le bien-être collectif
• Axe 3 : Encourager la découverte et l'action
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 23/10/1989
Population de la zone de compétence : 8218
Création : 23 octobre 1989

Axes du projet en cours :

• Axe 1 :
• Axe 2 :
• Axe 3 :
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/2007
Population de la zone de compétence : 9000

Arts et Loisirs d'Arlac, Association d’Habitants (900 familles adhérentes) qui pilote depuis 1974 : • Un projet participatif, solidaire et citoyen pour développer la vie sur le territoire d’Arlac (9000 habitants) • Installé dans la Maison des habitants c'est un lieu de proximité ouvert à tous proposant un accueil inconditionnel convivial, un accompagnement des initiatives individuelles et collectives, des projets de solidarité, intergénérationnels, culturels associant bénévoles et salariés…allant à la rencontre des habitants Le projet est agréé « centre social » par la C.A.F., depuis 2006 et partagé avec les partenaires. L’association participe activement au réseau fédéral départemental et national des centres sociaux et socioculturel. L'association coopère au sein du collectif des 10 centres d'animation de Mérignac pour un projet cohérent et du faire ensemble sur le territoire communal.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : 1- ENFANCE - JEUNESSE - PARENTALITE - Développer le pouvoir d'agir des enfants, jeunes et parents et accompagner les parents dans leur rôle éducatif
• Axe 2 : 2-ACCES aux DROITS - Développer de l’action collective pour favoriser l’accès aux droits.
• Axe 3 : 3- DEMOCRATIE et CITOYENNETE - ECOUTER les habitants du territoire, COMPRENDRE les questions sociales, AGIR pour transformer.
• Axe 4 : 4- SOLIDARITE et DEVELOPPEMENT DURABLE - Contribuer à l'amélioration du Vivre Ensemble en développant des Solidarités entre les habitants et en participant à la transition écologique et à la protection de notre environnement…
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/1959
Population de la zone de compétence : 7500

Passage en association créée en 2008 suite à gestion caf déménagement dans locaux municipaux en 2011

 centre social implanté dans un quartier prioritaire 

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : axe autour de l'accompagnement des habitants sur la question de l'aménagement de leurs quartiers : besoins, propositions des habitants en ien avec la municipalité, le centre social accompagne les initiatives, met en relais auprès des institutions
• Axe 2 : axe autour des préoccupations des familles pour conjuguer travail/garde d'enfants/mobilité : demandes singulières des familles. relais auprès des partenaires, informations dispositifs, accompagnement vers le permis de conduire
• Axe 3 : axe autour de l'équilibre scolarité/loisirs en familles : accompagner les besoins des familles en terme d'aide autour de la scolarité ( aide devoirs, orientations, rencontre parents/enseignants...) et les loisirs accessibles pour les enfants, la famille (
• Axe 4 : axe auour de la sensibilisation écologique, environnementale : analyse des pratiques internes au CS et ouvertes aux habitants ( jardin partagé avec l'école, accueil AMAP, achats groupés, recyclage en interne, réparation vélo des enfants et parents
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 10/05/1992
Population de la zone de compétence :

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Encourager l’intégration et la cohabitation des habitants
• Axe 2 : Contribuer à rendre les jeunes et les seniors, acteurs de leur quotidien
• Axe 3 : Développer les partenariats sur le territoire
• Axe 4 : Accompagner les familles dans leur fonction parentale.
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/1975
Population de la zone de compétence : 7400

association créée en 1967 agréée centre social depuis 1975, ancien club de jeunes dans le cadre de l’opération 1000 clubs.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : la précarité alimentaire, mieux manger
• Axe 2 : l'accès aux droits
• Axe 3 : le numérique
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/02/2017
Population de la zone de compétence : 172

En 1945 est créé l’ICO (Institut de Culture Ouvrière) association de culture populaire qui devient par la suite « ICO Centre de Culture Ouvrière » puis Centre de Culture Ouvrière. Elle se fixe donc comme mission de contribuer au développement de l’accès à la culture et de la promotion personnelle et collective par le biais de formations professionnelles, de stages et conférences... Fondée en 1960 grâce à un groupe d’hommes et de femmes issus des milieux chrétiens et ouvriers, l'association Centre de Culture Ouvrière trouve ses origines dans les mouvements d’éducation populaire d’après guerre. L’éducation populaire est une éducation au sein du temps de loisirs par la pratique de la vie de groupe, la confrontation, le partage et la mutualisation des savoirs. Elle a pour but de donner accès à tous à toutes les cultures et de développer la citoyenneté ainsi que de promouvoir l’émancipation de tous les hommes quel que soit leur milieu social. C’est en ce sens que le C.C.O a débuté ses activités dans le domaine de la formation et de l’animation socio-éducative en prenant la gestion de plusieurs Maisons Pour Tous. Dès 1992 le C.C.O s'engage dans l’accompagnement social de façon plus spécifique en créant le premier Lieu d’Accueil RMI du département, puis il s'engagera dans l'accompagnement à l’emploi (avec le PLIE puis Pôle 13), dans l'aide au logement (ASELL) et auprès des populations immigrées. Les orientations de l’association sont portées par le Conseil d’Administration, dont le président est Rémi Cabon, et mises en œuvre par la direction et les équipements. L’association est affiliée au mouvement national « Culture et Liberté » depuis 1971 (participation au CA national, implication dans différentes commissions, implication dans la vie du mouvement – participation aux réunions de travail, congrès, journées d’automne…). La gestion administrative et financière est assurée par un comité de direction collégial ce qui garantit aux financeurs une rigueur de gestion et une efficience par rapport aux exigences institutionnelles.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Renforcer et réorganiser l’accueil dans le respect des usagers (la confidentialité et l’anonymat),
• Axe 2 : Accompagner les familles dans leurs démarches administratives et la fonction parentale (l’accompagnement social et l’autonomisation dans leurs démarches à partir d’un point wifi),
• Axe 3 : Favoriser l’accompagnement à l’éducation et aux loisirs pour tous,
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/1995
Population de la zone de compétence : 23000

La Maison de Quartier et de la Citoyenneté (nouvelle appellation depuis janvier 2018) Georges Brassens est une « Maison de Quartier » municipale implantée de 1970 à 2015 près de la cité du stade/cité des Fleurs - 3 allée des Pensées dans un des quartiers du centre-ville de Bondy puis à partir de 2015 au coeur du centre ville (près de l'Hôtel de ville) et dont l’histoire remonte aux années 1960. 1964-2012 : une longue histoire de la maison de quartier Brassens . En 1957, une commission de réflexion sur les « problèmes de la vie dans les grands ensembles d’habitation » est créée par le Ministère de la Construction qui, selon l’historien spécialiste de l’histoire du logement social et de la Politique de la Ville Thibault Tellier (2008 : 10), prend « la mesure du risque qu’il y aurait à ne pas « encadrer » socialement les nouvelles populations ». C’est dans ce contexte que les locaux collectifs résidentiels (LCR) ont vu le jour en juin 1960 à la demande de l’Etat qui impose aux constructeurs d’ensembles résidentiels de plus de 100 logements, de prévoir des « locaux spéciaux » pour des utilisations collectives. Plusieurs constructeurs, comme la société centrale immobilière de la caisse des dépôts et des consignations (SCIC) sous l’impulsion de son directeur M. Bloch-Lainé, ont souhaité associer à la gestion des logements sociaux des services (équipements socio-culturels, terrains de jeux pour les enfants, espaces verts…) pour accueillir les nouveaux habitants. Ils vont alors créer des associations ad-hoc employant des travailleurs sociaux. Pour la SCIC, il s’agit donc de louer à l’Association pour le Logement Familial et l’Animation des Grands Ensembles (ALFA) créée en 1955, agréée association d’éducation populaire et membre de la Fédération des centres sociaux, les LCR construits dans ses programmes de logements. L’ALFA mandate alors un animateur ou une assistante sociale qui étudie l’affectation du local avec les habitants, les municipalités et les représentants des administrations locales. A Bondy, un groupe ALFA se structure dès avril 1964 et prépare l’ouverture d’un « chalet » avec l’aide d’un permanent. Une note d’information de l’ALFA datée du 30 novembre 1965 précise le rôle des permanents : « dans chaque centre de quartier, les permanents ALFA aident les habitants à trouver des réponses collectives aux divers besoins qu’engendre la vie en société, par une utilisation adaptée et enrichissante des temps de loisirs, dans le cadre d’activités socio-culturelles et éducatives, intérieures et extérieures aux locaux disponibles. (…) La marche de ces activités est ensuite assumée de plus en plus complètement par des bénévoles qui se réunissent en comités d’organisation et constituent finalement des associations d’animation, structurées selon la loi de 1901 ». Le 20 mars 1970, une convention est signée entre l’association ALFA et la SCIC qui met gratuitement à disposition à compter du 1er novembre 1969 rétroactivement et pour une durée de trente ans des locaux de 1 300 m2, à usage de centre social situé en rez-de-chaussée bas d’un immeuble de 6 niveaux. De la vingtaine d’années de fonctionnement du centre ALFA, il a été trouvé qu’un seul rapport d’activité daté de 1986 . Dans ce document, nous relevons plus particulièrement l’existence d’un « comité d’animation » appelé Comité pour les Loisirs et l’Animation Socio-Culturelle (CLASC) composé d’une dizaine d’associations sur quatorze présentes sur le centre. Le CLASC « est une union d’associations et de groupes fonctionnant au centre ALFA. Son but principal est de participer en collaboration avec l’équipe ALFA à la définition de l’animation dans le centre ». En 1986, « Il cherche à réviser certains points de ses statuts pour répondre plus complètement à sa volonté première : réunir le plus de bénévoles possibles autour de l’animation globale du centre. Les statuts devraient donc permettre notamment à des bénévoles non représentants de groupes ou d’associations de s’intégrer dans notre structure. Parallèlement une information plus importante auprès des utilisateurs est prévue et particulièrement un accueil destiné aux nouveaux arrivants » . Nous pouvons ici faire un parallèle avec les instances de participation (Conseil d’animation, Conseil d’usagers et Conseil de maison) qui semblent avoir les mêmes fonctions et que nous souhaitons (re)mettre en place dans la continuité de notre démarche de renouvellement de projet social. Notons que l’accueil est cité comme étant « une grosse partie de l’animation globale », ainsi qu’un important travail de liens avec les partenaires : « Ces rencontres ont été riches d’enseignements pour la connaissance nécessaire de la ville. Ceci conjugué avec le travail quotidien du centre, la rencontre des associations participant à son fonctionnement et l’étude des dossiers et archives permet peu à peu d’avoir une idée plus précise des besoins des habitants et de poser des jalons dans l’élaboration du projet du centre social » . Sans qu’il soit nommé, nous reconnaissons ici un travail de « diagnostic partagé », indispensable à l’élaboration d’un projet social. En conclusion de ce rapport, nous pouvons lire : « la mise en place d’un comité d’animation représentatif des forces vives du quartier s’avère nécessaire et urgente afin de pouvoir déboucher par la suite sur une association de gestion qui soit réellement le moteur d’une action promotionnelle sur le quartier » . Il s’agit là de préparer l’avenir puisqu’il a été convenu avec la ville un désengagement progressif de la SCIC sur quatre ans pour une reprise en gestion par la ville. En effet, à la fin de l’année 1989, un article dans le journal municipal « Le Bondynois » , au titre évocateur « Centre ALFA : une nouvelle « Maison Pour Tous ». Des espaces de liberté et de rencontres », informe par la voix du maire de Bondy Claude Fuzier, que le centre ALFA a souhaité la reprise de la gestion de la structure par la ville. Il est précisé que « pour préserver l’avenir d’un établissement utile », « ce sont donc les associations de gestion de la ville (ABC et ABI ) qui prendront en charge le « Chalet » et assureront sa transformation en Maison de Quartier ». C’est la création de la deuxième maison de quartier municipale (après le centre Daniel Balavoine dans le nord de la ville ouvert en 1979 et municipalisé en 1989) qui semble s’inscrire dans la politique municipale : « A partir d’une surface géographique délimitée, le territoire de Bondy sera dans une première étape coupé en quartiers, chaque maison offrira des activités socio-culturelles décentralisées et permettra à la vie associative de disposer de moyens supplémentaires pour s’exercer ». Dans un contexte de développement urbain et de concentration des populations, il est impératif pour le maire de Bondy de « rechercher les moyens de créer de nouvelles solidarités et de nouvelles rencontres ». L’objectif est de créer dans chaque quartier une « maison pour tous » pour répondre à la lutte « contre les ghettos qu’ils soient d’origine sociale, démographique ou culturelle » et « contribuer sans cesse au brassage des origines et des convictions. (la communauté démocratique) doit apprendre à vivre ensemble, à partir de valeurs essentielles, le respect d’autrui, la compréhension réciproque, l’esprit de tolérance». Le 4 décembre 1989, l’exécutif municipal retient le nom de « Georges Brassens » . Un protocole d’accord stipulant que la gestion du centre sera assurée par la ville de Bondy est signé le 8 janvier 1990 avec la SCIC Gestion Ile-de-France. L’article 2 précise « la destination des lieux est celle d’un centre social. Il ne pourra être utilisé à d’autres fins ». Le projet social établi pour demander le renouvellement de l’agrément en 1990 fixe à l’équipe du centre une orientation autour de la participation des usagers aux projets du centre : « Cette équipe participera aux diverses activités en proposant des ateliers précis, mais aussi et surtout en favorisant la participation de chacun dans l’initiation et l’élaboration des projets. Elle devra toujours veiller à ce que l’individu ne devienne pas un consommateur mais l’artisan de son propre quotidien ». Notons que cette préoccupation semble s’être perdue avec le temps. Constatant le développement de prestations de services aux dépens du soutien aux initiatives des habitants, il a été jugé nécessaire de repenser la question de la participation dans le cadre du renouvellement du projet social 2014-2017. Dans un paragraphe de ce projet social de 1990 consacré à la « vie associative dans le centre », il est indiqué que « l’équipe du centre prévoit de sensibiliser les associations du centre au projet social, ainsi chacun pourra selon ce qu’il souhaite donner, participer au « développement social » du quartier ». Il est même précisé : « Nous devons travailler avec elles mais pas pour elles. La Maison de Quartier n’est pas la Maison des associations » ; ce qui fait écho avec la situation d’aujourd’hui. En 1994, un article dans Le Bondynois , nous apprend qu’une troisième Maison de Quartier s’est ouverte sur le quartier Blanqui (à ce jour annexe du centre Brassens) et qu’un « Espace Brassens » a été ouvert au 1, place Neuburger (aujourd’hui « Maison des Parents et de la Famille »). Le 16 décembre 1996, la ville décide d’intégrer la gestion de ses Maisons de Quartier et centres sociaux dans le service public communal à compter du 1er janvier 1997 et approuve le « nouveau contrat de projet » permettant le versement de la prestation de service CAF. Ce document d’une dizaine de pages, répertorie 17 activités suivies par 700 personnes sur l’année scolaire 1995/1996 : les cours de langues (anglais, macédonien, arabe et portugais) ont réuni plus de 300 personnes, 93 se sont inscrites aux cours de danses (de salon, moderne jazz, yougoslave). L’espace jeune a rassemblé 200 jeunes adolescents de toute la ville. Il est noté que le public provient essentiellement de cinq quartiers (Blanqui, De Lattre, Cité du Stade/cité des Fleurs, La Bruyère et Les Merisiers). En conclusion de cette première partie « environnement du centre social », il est indiqué que « le centre devient donc peu à peu un lieu de rassemblement des différents quartiers de Bondy. Aussi, il nous faut continuer à tout mettre en place pour que ces différentes populations se rencontrent et construisent ensemble leurs projets pour leur cité mais aussi pour eux-mêmes. Notre projet va prendre en compte cette réalité, et pouvoir s’orienter vers la construction commune, avec la population, de ce grand édifice qu’est ce Lieu de ressources et d’échanges ». Nous voyons ainsi se dessiner la prise en compte d’enjeux de lien social, d’autonomie, qui vont se traduire dans la partie « Nouveau contrat de projet » par un objectif de soutien et d’accompagnement à la création d’un « réseau de femme » : « Notre objectif (…) est de créer un réseau de femmes susceptibles de poursuivre l’action engagée dans leur quartier, dans leur ville ; leur permettre d’être un relais auprès de leurs voisines, de leurs amies ». Par ailleurs, il est indiqué qu’il pourra être fait appel à des bénévoles pour du soutien scolaire auprès des enfants. A la demande des plus grands de « leur donner des responsabilités mais aussi de les aider à s’autonomiser », l’équipe se fixe notamment l’objectif d’ « aide à l’émergence des ressources des jeunes ». Notons à nouveau dans la continuité du projet social de 1990, l’objectif de « Sensibilisation et participation des Associations au Projet Social ». Avant de conclure cet historique, relevons l’impossibilité de souligner quelques éléments significatifs de la dernière période de l’histoire du centre, puisque nous n’avons malheureusement pas retrouvé de documents (rapports d’activités, projets sociaux….) de ces années 1997-2004. Même partielle, cette description de l’histoire du centre donne à voir et à comprendre quelques enjeux d’une structure de proximité et de son évolution dans le temps.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Vivre ensemble et solidarité : "seul on va plus vite - ensemble, on va plus loin"
• Axe 2 : La culture : de l'éducation à l'émancipation
• Axe 3 : Accès aux droits et numérique : une visée inclusive des habitants - accès pour tous
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/1975
Population de la zone de compétence : 8145

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : le centre social espace d'acces aux droits, à l'info, la culture, favorisant le lien social particulièrement pour les publics fragilisés
• Axe 2 : centre social appui aux projets locaux et initiatives, favorisant le mieux vivre ensemble
• Axe 3 : lieu de soutien à la parentalité et de renforcement des liens familliaux
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/2019
Population de la zone de compétence : 23900

Le centre social de Rodez est né en 2019, de la fusion de deux centres sociaux, Saint Eloi et Gourgan qui etaient implantes depuis plus de 30 ans dans les quartiers. En gestion direct Caf, le directeur de la Caf a souhaité maintenir un équipement d'animation de la vie sociale au coeur d'un quartier de veille malgré la perte du co-financement de la commune.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Dynamique de travail
• Axe 2 : Faciliter le quotidien
• Axe 3 : Un espace d'épanouissement
• Axe 4 :
• Axe 5 :