Il y a beaucoup de familles étrangères sur le Port Boyer qui fréquentent notre ludo-bibliothèque. L'accès aux jeux étaient faciles, c'était moins évident pour les livres.

Certains constats sont faits depuis quelques années par la Maison Pour Tous et dans le cadre d'un travail en commun mené avec la CAF.  

- Femmes en difficulté d’insertion professionnelle

- Jeunes mères seules     

- Jeunes filles et femmes enceintes dont  le fait d’être mère leur permet d’exister socialement et d’obtenir un statut qui peut génèrer des  difficultés tant au niveau   de l’insertion sociale que professionnelle.

- Femmes souffrant  d’un problème d’estime de soi

- Femmes en situation d’obésité morbide

- Femmes subissant des violences physiques et/ou psychologiques

- Jeunes filles et jeunes femmes peu présentes sur l’espace public ou au sein des actions développées au sein de la Maison Pour Tous.

- Femmes qui se retrouvent "assignés" à domicile pour s’occuper des enfants, des tâches ménagères...

...

Le projet  mis en œuvre se déclinera en plusieurs axes de travail et sera coordonné par le collectif Place des Femmes initié par la Maison Pour Tous en septembre 2015.

Ce collectif  a pour principal but en s’inscrivant dans le champ de l’égalité femme/homme a pour principal objectif  de : 

• Réinterroger la place des femmes et la condition féminine sur le territoire en se positionnant  dans le champ de l’Education Populaire qui vise, en permanence, à ce  que les actions menées s’inscrivent dans une logique de transformation sociale en réinterrogeant  les rapports déterminés dans lesquels nous sommes sans en avoir conscience et qui assignent à des places sociales.

Ce collectif ouvert, auquel participent à l’heure actuelle des associations agissant sur le quartier, le territoire communal et/ou départemental (CIDFF, Centre Social de Lanester, MPT, CSF, FOLCLO, Centre Social du polygone, Mission Locale...), des acteurs institutionnels (Ville de Lorient, Etat, CCAS...) et des habitants et/ou artistes sensibles à cette problématique, s’est fixé comme objectifs de :

• Identifier plus finement les missions des associations et institutions,  afin de pouvoir imaginer les platebandes à défricher dans un premier temps afin de pouvoir les cultiver en commun dans un second temps. 

• Construire de la relation et une meilleure interconnaissance génératrice de relations de confiance entre les acteurs et les différentes associations et institutions. 

• S’informer sur les projets et/ou dispositifs mis au sein des différentes organisations.

• Donner de la lisibilité aux actions mises œuvre dans le cadre de la promotion de l’égalité femme/homme au sein des quartiers et sur le territoire.

Pour  au final :

• Etre plus efficient dans nos réponses faites aux demandes des femmes sur le territoire.
• Mieux travailler en complémentarité, coopérer et mutualiser dans le cadre des actions mises au service des habitantes.
• Etre en capacité de les orienter, de les mettre en relation, voire de les accompagner dans leur démarche auprès des  associations et institutions les plus pertinentes dans les réponses qu’elles peuvent apporter aux demandes des femmes

Les changements sociétaux ne font qu’accentuer et aggraver les situations des plus en difficultés.

En effet, dès l’ouverture des permanences administratives en 2014, le médiateur social/socio-culturel a accompagné et suivi le dossier de 33 personnes sous un délai de 2 mois.

Il est bon de préciser que sur l'année 2015, nous avons assuré le suivi de 233 personnes dans tous les domaines de la vie courante (scolarité, emploi, santé, logement, budget, alimentation, consommation etc…).

Favoriser les relations parents/enfants, les relations entre les familles.

Développer par les actions autour de la ludothèque les relatons intergénérationnelles et interculturelles.

Impliquer les habitants dans la vie du centre

Cette action a été mise en place suite au constat fait que nos actions antérieures ne permettaient pas l'investissement des jeunes et les considéraient simplement comme des "consommateurs d'activités". Grâce à cette action, des groupes de jeunes s'investissent au sein de la structure tout au long de l'année. Ce type de démarche permet pleinement la prise d'initiative et l'autonomisation des jeunes tout en participant à l'animation du territoire. Par ailleurs, cette action s'inscrit dans une logique de continuité de l'accompagnement des publics du plus jeune âge jusqu'à l'âge adulte.

Sur l’impulsion de la Fondation de France et de la Fondation des 3 Cyprès un groupement d’acteurs associatifs relevant des champs culturel, social et sportif s’est mobilisé autour de la problématique « Jeunes » en Pays d’Apt : il s’agit de la MJC d’Apt, l’ANPEP, Le Goût de Lire en Pays d’Apt, Le Vélo-Théâtre, Apt School Boxing, le Festival du Cinéma d’Afrique, le Centre Social et Culturel Lou Pasquié et le Centre Social Maison Bonhomme

L’idée étant de proposer un projet innovant qui met en œuvre les ressources et compétences des structures autour d’un objectif commun : l’accompagnement des jeunes de façon à ce qu’ils soient en capacité de faire des choix, de prendre des initiatives.

En effet, nous avons constaté que les jeunes ne fréquentent pas spontanément nos structures, ils y passent à l’occasion de stages, d’événements ponctuels… c’est-à-dire lorsqu’ils y sont obligés, le plus souvent par le système scolaire. Mais ils n’y reviennent pas , ne se saisissent pas des ressources que nous proposons car ils n’y ont pas d’intérêt propre, de motivation intrinsèque. D’où l’idée de la place que peut prendre l’adulte dans une posture d’écoute pour permettre aux jeunes d’identifier leurs besoins, leurs attentes et leurs envies, pour qu’ils soient en capacité de formuler des demandes propres et d’explorer leurs compétences et savoir-faire.

A ce stade de la réflexion, soit un an après son démarrage, une étape a été franchie dans l’harmonie qui nous unit. Nous voulons mettre au point une forme insolite qui déconstruise la vision habituelle de « guichet » où l’on vient chercher une réponse standard à une question qui renvoie à des problématiques singulières. Et cela  en concertation avec les jeunes.

Entre l’impératif de réussite matérielle et le risque de repli et de fragmentation, il est nécessaire de donner un espace à l’expérience de désirs singuliers et d’en rechercher la traduction en projets d’action.

Suite aux retours de parents qui fréquentent nos espaces d’activités et aux retours de parents qui fréquentent les animations collectives familles, le constat a été fait d’un manque d’actions parentalité pour les parents de très jeunes enfants sur le territoire. 

Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.

En fonction des besoins exprimés par les parents, l'action a pour objectif de:

- soutenir et valoriser les compétences des futurs parents et des jeunes parents,

- favoriser l'expression et proposer l'écoute,

- informer les parents,

- orienter les parents auprès de partenaires en fonction de leurs besoins

- permettre aux parents de partager des moments de partage avec leurs tout petits.

 Les différents acteurs associés sont :

• Les trois multi accueils du CSC Créaliance
• L’infirmière coordinatrice de l’Espace Enfance
• Le Conseil départemental et plus précisément la PMI
• Un pédiatre
• Une éducatrice de jeunes enfants de l’association Grandir à petits pas intervenant sur les séances de massages bébés et sur la communication gestuelle associée à la parole. 

Le quartier du Pin Sec est le 3ème quartier classé le plus pauvre au niveau national. Suite à un constat partagé avec de nombreux partenaires sur le territoire, qui faisait état d'une précarité importante sur ce quartier avec pour conséquence un isolement (un repli sur soi), des habitants qui n'ont pas accès à l'offre culturelle de la ville et qui necessitent un accompagnement de la part des professionnels.

Cette activité permet de proposer un espace aux habitants isolés (à court ou long terme), de s’intégrer ou de se réintégrer socialement

L'espace jeunesse de notre MJC / Centre Socioculturel et son accueil loisirs "traditionnel" était arrivé à une impasse - les initiatives de nos animateurs semblaient ne plus trouver d'écho auprès de jeunes ; le service municipal de la jeunesse se trouvait dans la même situation ; ainsi, en partenariat étroit avec la municipalité, puis avec le collège et d'autres partenaires institutionnels, la MLIJ et d'autres associations partenaires, nous avons conduit un diagnostic jeunesse partagé à l'échelle de notre territoire. Munis de ces données froides et du résultat d'une enquête qualitative ayant mobilisé la quasi totalité des collégiens et de nombreux licéens du territoire, le CA de la MJC / Centre socioculturel proposa au comité de pilotage de valider l'action décrite ici et une autre intitulée Esti'Ados" qui fera l'objet d'une autre fiche action ... Les attentes des uns et des autres étaient de conduire une action d'animation socioculturelle  interpartenariale en direction du plus grand nombre possible de jeunes de notre territoire ; concomitemment il s'agissait de produire un élan de co-éducation mobilisation des acteurs différents de manière complémentaire ; visée : une lisibilité plus grande du rôle et des fonctions de chacun pour ouvrir le champ des trajectoires au plus grand nombre de jeunes.
 

Action mise en place pour :

*faciliter la mobilité des personnes âgées ou en situation de hanidcap

*permettre la sortie d'isolement géographique et psychologique

*faciliter l'engagement de jeunes retraités qui retrouvent une utilité dans leur action à destination des plus ancien et/ou en perte d'autonomie

Être à l'écoute, favoriser la rencontre, l'échange et susciter la participation.

Informer et orienter vers les actions de la structure, les structures partenaires, vers le droit commun, vers les dispositifs sociaux

Lutter contre l'isolement, aider à l'autonomie

Des mères de famille éprouvent le besoin d'échanger et de partager leurs expériences en matière d'éducation de leurs enfants.

Des femmes ont parfois le sentiment d'etre isolées dans leur role de parent.

- l'action a été mise en place en partant du constat que beaucoup de jeunes fréquentant le local jeunes ne se parlaient pas en dehors de leur groupe d'appartenance , il y a peu de mixité sur les actions poposées 

- certains jeunes expriment le besoin de réaliser des ateliers " techniques" 

parents d'enfants 0-3ans isolés dont manque de repère concernant l'éducation des enfants. eloignement géographique de la famille, reprise de travail avec difficultés de garde et de rythme de vie. prise de congés parental choisi ou non

les changements attendus: consolildation des liens familiaux, apprendre à faire des chose ensembles, permettre l'échange d'expérience de parents entre eux

Cette action a pour but d’améliorer le cadre de vie des enfants et permettre l’apprentissage de la vie en collectivité tout en veillant au développement personnel de chacun. Nous recherchons, pour chaque enfant, l’épanouissement et l’estime de soi à travers les activités proposées.

Il s’agit aussi d’une offre de service aux familles dans l’attente d’un mode de garde.

Le P’Tit Bouillon permet d’offrir aux scolaires des ateliers pédagogiques, ludiques, complémentaires au programme scolaire, tout en renforçant le lien intergénérationnel entre les enfants et les bénévoles du Pax. Il s’agit d’instants de partages culturels et de jeux. Le P’Tit Bouillon ne se concentre pas uniquement sur l’accueil de scolaires mais permet également aux bénévoles de créer ou d’organiser des événements culturels ouverts à tous.

Dans ce projet, il s’agit de

• Donner envie aux jeunes de monter des projets et d’aller jusqu’au bout sans tenir compte du temps et de l’effort que cela prendra

• Motiver les jeunes dans l’élaboration de projets et réaliser de l’autofinancement pour les concrétiser.

• Développer leur rôle de citoyen, leur sens de la responsabilité, encourager la participation et la prise d’initiative des jeunes parfois dans un but de prévention de la délinquance.

Grâce au soutien financier de la m2A (Communauté de communes l’agglomération mulhousienne), nous avons pu mener à bien durant l’année 2014, le projet Dis maman, tu m’emmènes au Pestakl ; projet, qui avait pour objet de faciliter l’accès au spectacle vivant pour les familles du LAEP. Il s’agissait d’accompagner un certain nombre de familles, souvent éloignées des pratiques culturelles à découvrir des spectacles spécialement conçus pour la petite enfance, cela dans l’idée de favoriser des moments d’échanges et de rencontres propices à renforcer le lien parents-enfants. Ce projet s’est inscrit dans deux des axes forts de notre Contrat de projet qui visent notamment à soutenir la parentalité et faciliter l’accès à la culture pour tous. Cette démarche a remporté un réel succès auprès des familles qui ont, au fil des rencontres avec les artistes et de la découverte des spectacles avec leurs enfants émis le souhait de pourvoir s’approprier quelques techniques liées à l’art du conte. Ainsi durant l’année 2015, les parents ont partagé un projet avec d’autres familles visant à stimuler l’imaginaire et la créativité de leur enfant, pour parvenir à inventer ensemble un conte.

L’idée est venue 3 ans auparavant, de deux mamans, suite à la lecture dans une revue d'un article dans lequel une mère de famille avait ouvert une boutique pour enfants pour en faire son activité professionnelle.

C’est pourquoi le projet d’ouvrir une boutique d’articles d’occasions pour enfants à titre permanent leur a paru intéressant, d’autant que sur le territoire cette activité était peu développée.

Les enjeux étaient principalement, la recherche de bonnes affaires, pouvoir déposer et acheter régulièrement des articles d'occasion pour enfants mais aussi pouvoir échanger avec les familles, leur permettre un lieu de rencontre, d’informations. 

1. Mettre en pratique une citoyenneté active, apprendre à faire ensemble et à échanger entre personnes différentes, en ayant un vrai pouvoir d’agir :

Ce projet nécessite une participation active des habitants du départ du projet (choix de la cabane de jardin, écriture des règles de fonctionnement du jardin…), à sa mise en œuvre, puisque la démarche participative se poursuivra lorsque le jardin aura été créé, avec une gestion elle aussi participative (mise en culture, récoltes, organisation d’évènements…).

Le jardin sera un lieu de développement des liens sociaux entre habitants du quartier puisque des temps forts au jardin seront créés (repas partagé, temps festifs et culturels…).

Ce jardin se doit d’être aussi un lieu de développement de la vie locale, identifié sur le quartier et travaillant en lien avec le tissu associatif local, les écoles du quartier, club de séniors, ainsi qu’avec les institutions existantes sur le territoire.

1. Favoriser la coopération intergénérationnelle et la transmission de savoirs :

Ce projet a pour objectif de faire évoluer les comportements et les pratiques alimentaires en cultivant la diversité des légumes. Le jardin se doit être un outil permettant d’apporter des connaissances sur le plan nutritionnel et sur le plan de la santé.

1. Permettre au jardin d’être un vrai lieu de vie développant des activités de sensibilisation et d’éducation à l’environnement et au développement durable :

Mettre en place ce projet c’est répondre à des besoins, notamment  la création d’un lieu de vie, un lieu convivial pouvant rassembler les habitants autour d’une dynamique : l’activité jardinière, permettant une bonne intégration sociale.

Ce jardin a une forte vocation pédagogique. En effet un espace du jardin sera réservé aux enfants pour des actions d’éducation à l’environnement et au développement durable, ainsi que des ateliers d’éveil au goût.

• Offrir un espace et un moment de paroles afin de permettre de faire émerger et discuter des heurts, des conflits, des plaintes, des demandes et des questions des enfants

• Parler collectivement des problèmes rencontrés, échanger et confronter les points de vue

• se repérer dans le groupe et peu à peu y trouver sa place avant d'en comprendre et de s'en approprier les règles

Le centre social accueille sur différentes actions (accompagnement à la scolarité, animations familles) des enfants d’âges primaires. Les encadrants : animateurs et bénévoles ont constatés des difficultés relationnelles entre certains enfants. Des remarques sexistes, racistes ont été prononcées « je ne parle pas avec toi, tu es une fille », « tu ne t’assoies pas à côté de moi, je n’aime pas les noirs »…Ces comportements se retrouvent également au sein de l’école primaire Buffon située à côté du centre social. Le directeur de cet établissement faisait part lors du dernier groupe-pro du quartier de ses observations et inquiétudes quant aux relations développées entre les élèves. Les cris, les coups semblent être leurs modes de communication privilégiés. Nous sommes également de plus en plus sollicités par des familles déstabilisées par les relations entre les enfants de la fratrie ou les enfants habitants le quartier. Certains parents ont également des problèmes de voisinage du au comportement de leur enfant. Nous sollicitons de plus en plus le dispositif de réussite éducative ou la permanence éducative de la maison des solidarités.

 Des problèmes de comportement se posent. Nous souhaitons améliorer cette situation.

Le centre social du planty a pour but d'amener chaque enfant à devenir un citoyen responsable. Dans cette optique, plusieurs activités seront menées afin d'éveiller et de sensibiliser chaque enfant à la démocratie, la solidarité, la tolérance.

Le but de ce projet est de favoriser le vivre ensemble : « C’est faire partie d’un groupe ou d’une société qui partage les mêmes valeurs, dans le respect de la singularité de chacun. C’est permettre l’épanouissement de l’enfant au sein du groupe, dans le respect et la tolérance. C’est construire une relation aux autres qui permet à l’enfant de grandir. »

A l’heure où l’accent mis sur la responsabilité de l’individu montre ses limites face à des situations de plus en plus difficiles, nous sommes convaincus qu’il est plus que jamais nécessaire de replacer la solidarité comme une valeur centrale de notre société et une possibilité de réponse collective aux crises contemporaines. La solidarité dans son sens 1er est une valeur sociale qui reconnait un destin commun à tous les hommes : une dépendance mutuelle. Cette valeur humaniste inscrit l’ensemble des hommes dans une même communauté d’intérêt.

La solidarité est liée à la valeur de la fraternité et aux concepts d’équité et de dignité de la personne. Elle permet de remédier à certaines inégalités de fortune, d’état de santé, de capacité physique ou intellectuelle de lieu d’habitation…. Etre solidaire, c’est reconnaitre à ses pairs les mêmes droits et devoirs que pour nous-mêmes. La solidarité, peut exister à différents échelles : nous sommes solidaires avec notre famille, avec notre ville mais aussi avec d’autres pays et de manière plus globale avec l’ensemble des êtres vivants, sans aucune distinction : à l’échelle de la planète.

Si nous souhaitons réduire les actes d’incivilité, recréer du lien entre les citoyens et restaurer le respect entre les individus, il faut que chacun puisse découvrir « l’autre » et, au-delà de ses différences, comprendre que nous avons des points communs et des intérêts collectifs. Il est également nécessaire de connaitre les institutions françaises et leur fonctionnement.

Suite à un constat des professionnels, les jeunes aspirent à plus de considération et de reconnaissance  de leurs capacités à s’organiser. En ce sens, ce projet a été mis en place afin de répondre aux attentes et aux demandes exprimées par les jeunes.

Les résultats :

-Mise en place d’un directoire

- Réalisation de projets portés par les jeunes et gestion financière de l’enveloppe attribuée à ce projet.

l'enjeu est de lutter contre les inégalités d'accés au numérique et donc aux droits et à la citoyenneté. Cette action répond à notre axe renforcer la fonction accueil du centre .

Au centre, les parents nous ont fait part de leur besoin d'être soutenus dans leur rôle éducatif. certaines familles qui fréquentent les ateliers sociolinguistiques nous parlent des difficultés relationnelles avec leur enfant. Ils souhaitent partager leurs expériences avec d'autres familles pour se sentir moins seuls face aux difficultés qu'ils rencontrent avec leurs enfants. Les parents nous disent aussi qu'ils aimeraient passer plus de temps avec leur enfant en dehors de la maison autour d'activités pour apprendre à mieux se connaître et à mieux communiquer.

L'objet est de renforcer les liens sociaux familiaux et faciliter l'accès à la culture en s'appuyant sur les activités du cirque.cette approche ludique permet d'enlever les complexes, les doutes, l'appréhension du corps chez les adultes : "on joue !", ça gomme l'âge et la gêne éventuelle, ça invite au "lâcher-prise".