Emergence d'une cohésion de territoire

Projet mouvant sur différents lieux des différents quartiers (proximité avec les habitants)

S'appuyer sur les questionnements et les vécus des parents afin d'affiner ses propositions en termes d'accueil parents enfants et de toutes les actions autour de la parentalité

La participation des habitants n'est malheureusement pas toujours au beau fixe, nous expliquons cela à la fois par le temps du samedi matin et par les lieux tournants qui nous permettent à la fois d'être au coeur des quartiers mais qui ne permettent pas forcément de rendre ce temps visible pour tous.

Nous souhaitons continuer la dynamique mise en place autour des Causeries du Samedi.

Nous allons essayer de développer cette action auprès d'un nouveau public actuellement absent sur ces temps.

Etant donné que l'action est en cours et a simplement débuté en septembre 2017, les effets et impacts sont difficilement évaluables. Pour autant, une fréquentation diverse et variée est à noter. Les multiples entrées  permettent une mixité des publics.

Comme l'animateur et le service civique intègrent aussi bien l'animation du pôle numérique que la communication du CSC, il est clair qu'à ce jour l'impact sur le centre estd éjà mesurable. La création du site internet  et son suivi (cscbarbezieux.com) ezst en est déjà un élément concret. Le fablab et promeneur du net permettent également de faire des passerelles. Des actions autour du Cyber café avec les LASH et accueil jeunes ont permis également de travailler ensemble

Les limites sont celles de la pérénisation du poste à l'issue des trois années. Les collectivités et autres partenaires devront consolider le stravail qui aura été entrepris depuis ces trois années.

Rapprochement Numérique Culture

Développement antenne de mobilité avec animations diverses (transport solidaire)

Animation du site et ouverture à d'autres acteurs asssociatifs

Notre action ne se cantonne pas à un simple apport de connaissance linguistique par un bénévole mais souhaite promouvoir un véritable échange culturel qui constitue une vraie richesse pour la vie du quartier et du CSC.

Depuis avril, en plus de l’accompagnement individuel, deux accompagnements collectifs de deux heures ouverts à une dizaine de personnes viennent renforcer les apprentissages. Ces accompagnements sont mis en place pour renforcer les besoins des migrants déjà accueillis et pour accompagner de nouvelles demandes sur le quartier notamment avec l’arrivée des Roms. Ils sont réalisés avec la collaboration de trois bénévoles du GREF (Groupement des éducateurs sans frontières) qui nous font bénéficier de leur expérience dans le domaine.

L’accueil des jeunes femmes sur cette action reste une difficulté car nous sommes confrontés au mode de garde de leurs enfants.

Des passerelles avec les autres actions du Centre notamment les Ludiminis et l’appel à du bénévolat sur le temps d’apprentissage peut être une solution pour leur rendre accessible l’apprentissage du français.

Implication de la commune dans le champs de l'égalités des chances et des droits entre les hommes et les femmes.

Action qui a complété les autres actions relevant de la citoyenneté sur la commune.
 

Centre social repéré comme acteur du territoire par les habitants.
 

Action ponctuelle

Thématique qui sera retravaillée puisque l'égalité des droits et des chances n'est pas encore effective.

Cette action, si on fait exception du côté social (rencontres intergénérationnelles, lien sociel dans le village, etc.) représente le moyen pour le territoire de garder une trace de son passé via les souvenirs de ses habitants.

Des bornes avec les vidéos seront en libre accès dans les villages durant le premier semestre 2018. Pour faire connaître le projet encore un peu plus et pour valoriser les habitants qui ont livré les souvenirs. Nous nous sommes fixés un certain niveau de qualité pour ces vidéso afin qu'elles valorisent vraiment la parole des habitants.

Cela pourrait être les prémices d'un "écomusée numérique participatif".

C'est un projet tourné vers la transmission intergénérationnelles. Ceci afin que les villageois se connaissent mieux, que des liens se créent. Et qu'au final ils soient plus attentifs aux personnes âgées qui vivent seules.

C'est juste le premier frémissement du prémice d'un réseau de solidarité entre les villageois.

l'accès aux nouvelles technologies et Internet fait aussi partie des objectifs de notre projet social et notamment auprès des personnes âgées qui en sont encore éloignées.

Nous recherchons aussi la proximité avec les habitants en organisant des animations dans les villages et non pas toujours au centre social. Notre territoire est vaste (60km de long, 15 de large), l'habitat dispersé étalé sur 27 communes. Dans notre projet social, l'itinérance et la rencontre des habitants dans les villages est pointée comme un facilitateur de participation des habitants.

L'histoire et surtout les petites histoires du village peuvent être un frein à la rencontre entre les habitants...

Cette action est le prémice d'un réseau informel dans les villages autour de l'échange de services, de savoirs et d'entr'aide. Réseau propice au développement de projets collectifs d'habitants.

Les vidéos pourront servir de support dans plusieurs occasions et continueront à valoriser les souvenirs des habitants

Visibilité plus importante de nos actions sur le quartier

Liens plus forts entre les bénévoles Doulon et Perray et entre les professionnels

Partenariat avec les associations du quai des chaps

Plus de visibilité, évènement fédérateur et "pourvoyeur" de nouveaux usagers, mixité sociale plus lisible

Limites budgétaires !

Renouveler l'action tous les 2 ans simplement et mobiliser davantage d'acteurs du quartier, utiliser les réseaux culturels pour progresser dans nos propositions

Aller vers les habitants d'un quartier

 le recueil du niveau de satisfaction a la sortie des familles est extremement fort. Pour la maison de quartier, son  identité culturelle s'affirme, son rayonnement également.  certaines familles découvrent l'offre de la maison de quartier, la ludothèque en particulier et reviennent.

Rayonnement qui dépasse le quartier de proximité. renouvellement de la fréquentation de la ludothèque en particulier.

chaque année nous changeont les spectacles et nous intégront d'autres compagnies.

l'action sera renouveller tant qu'elle ne s'éssouffle pas .

L'organisation d' animations festives ouvertes sur le quartier permet :

- Aux habitants d'y venir, de passer un temps convivial, de connaître le centre social et leur donner envie de participer puis s'impliquer,

- Aux adhérents (ados, adultes et séniors) de s'impliquer dans ces moments collectifs (en tenant des stands d'animation, en préparant des repas, des animations, en organisant des actions de solidarité, etc..), mais aussi de participer à l'élaboration de projets sur le territoire avec d'autres habitants, ainsi qu'avec des partenaires associatifs et institutionnels.

-Faire connaître le centre social et ses activités, 

-Répondre aux besoins d'écoute et de soutien à la parentalité,

Faire reconnaître le centre social quant à ses manières de faire, d'associer les habitants et les partenaires à l'élaboration de projets collectifs,

=Une augmentation du nombre d'initiatives d'habitants, une augmentation du nombre de parents dans les comités de parents, le développement des relations avec les partenaires pour le soutien à la parentalité.

L'accompagnement de ces groupes et le développement des initiatives nécessitent de la disponibilité des animateurs.

Cette action se développe et se structure chaque année en fonction de l'arrivée et du départ de nouveaux parents dans ces comités.

Nouvelle dynamique et effets mobilisateurs dans l'ensemble des actions du csc, réécriture du projet social, une meilleure reconaissance du cscs en tant qu'acteur social sur le territoire. Engagement et participation des usagers

Projet balisé dans le temps, à l'échelle d'une année, exigeant en terme de mobilisation et d'engagement.

Besoins de financements spécifiques difficiles à obtenir

Eléments fédérateurs, base de la mise en oeuvre du projet social.

Développement d'un temps fort autour de l'éducation populaire

cet espace permet une réelle mixité des publics, une reconnaissance du territoire, environnement plus agréable
 

reconnaissance du centre social, un plus grande diversité dans les adhérents, un environnement très agréable

diminution des salariés

renouvellement du bénévolats difficiles

faire de ce lieu un espace beaucoup plus ouvert en proposant à la fois des activités autour de la culture maraichère tout en y associant plus d'activités culturelles...

Meilleure information constatée. 

Reconnaissance du pôle santé du Centre Social

Difficulté à toucher le grand public avec une journée en semaine

Reconduction de la manifestation en 2018

nous avons fait le choix de sortir de nos murs et d'implanter la gratiféria sur un des territoires les plus éloigné de notre centre social (quartier en politique de la ville), afin de capter une mixité des publics, et non pas seulement notre public d'habitués.

Beaucoup d'habitants méconnaissaient ce concept, et par exemple repartaient chez eux pour apporter quelques chose à donner.

les commerçants proches de la manifestation ont salués cette initiative, qui redonne vie au quartier?

Ce concept d'échange gratuit à souvent crée la surprise chez les habitants.

rencontres avec un nouveau public

nous avons continué à initié ce nouveau concept en proposant une givebox à l'accueil et une "givebook". ces deux supports sont aujourd'hui très utilisés, cela commence à entrer dans les habitudes

nous renouvellons cette action en 2018, toujours en partenariat avec la carène. La mise en place d'ateliers tout au long de la semaine ne pose pas de difficulté, car au fil des années nous élargissons le partenariat et repérons facilement des intervenants extérieurs.

par contre la mobilisation des bénévoles sur la gratiféria à ses limites, si l'on veut diversifier les ateliers de recyclage

au regard du succès de l'édition 2017, nous renouvelons l'action sur le meme principe

On constate une amélioration du climat dans les cours d'école et moins d'incivités sur les espaces urbains.

En cours : extension de l'action vers le public collégien

A venir : extension vers un public de jeunes adultes et d'adultes

evenement fort sur le quartier 

renforce l'axe culturel du projet social 

mise en relation avec les autres maisons de quartiers de la ville 

renouvellement dans l'année

Le Centre a été salué unanimement pour cette initiative et le sous préfet a proposé que cette initiative soit reprise dans d'autres villes de l'agglo, dans d'autres quartiers car ce genre d'actions peut permettre de lutter contre les extrèmes mais aussi contre la radicalisation.

Le Centre est reconnu maintenant comme un acteur engagée pour promouvoir les valeurs de la laïcité. en 2018, c'est Patrick KESSEL et le Comité Laïcité Republique qui sont venus animer un débat sur la Laïcité.

Il est nécessaire de bien faire comprendre axu défenseurs de la laïcité que ce genre d'initiative sert à promouvoir la Laïcité, comme il est nécessaire que ce genre d'initiative soit suivie par un autre débat qui donne la parole à des athées, des agnostics également car il ne faudrait pas que l'on croit que nous faisons la promotion de telle ou telle religion, d'où l'idée au départ de ne pas inviter qu'un seul représentant d'une seule religion pour ne pas stigmatiser.

Le Centre organisera encore des débats sur le thème de la Laïcité comme par exemple en 2018 avec la venue de Patrick KESSEL qui est venue défendre la Loi 1905.

Les familles sont ravis :"je me suis senti en vacances avec mes parents cet été et c'était super", "merci au centre car gràace à vous, on a eu de vrais vacances et ça n'était pas arrivé depuis longtemps"... voici ce que l'on entends fin aout quand nous cessons le projet.

Cela complète parfaitement ce que la ville met en place dans le cadre des accueils de loisirs pour les enfants et ce que le CAJ met en place pour les ados.

Le Centre est reconnu comme étant l'acteur principal des actions, projets et activités qui sont mises en place pour notre public prioritaire à savoir : LES FAMILLES.

Le Centre doit pouvoir trouver des moyens (humains, financiers) pour poursuivre ce genre d'initiatives qui rencontre un réel succès auprès des familles.

Nous avons tenté l'été 2017, pour les 15 derniers d'août, de mettre en place un vrai accueil de loisirs Familial (avec habilitation DDCS, taux d'encadrement, etc...). Pour cela, nous avons même permis à 8 familles de pouvoir passer le BAFA en lien avec la Ligue de l'enseignement (voir action spécifique). Mais cela n'a pas pris car c'est une organisation trop rigide qui ne convient pas aux familles et nous allons donc poursuivre et qualifier encore notre organisation pour rendre les familles encore davantages actrices du projet car elles sont volontaires mais aiment la présence de l'équipe du centre... chaque chose en son temps

Confier à chaque famille l'organisation d'un loisirs, sans les mettre en compétition, mais pour pouvoir individualiser l'accompagnement de chaque famille sans la stigmatiser. Poursuivre les BAFA Parentalité pour que chaque parent devienne animateur de leurs enfants mais également du groupe de familles

Nous voyons chaque mois en moyenne 20 objets soit 200 objets par an.

Notre taux de réparation est de 50%, c'est pour nous 100 objets qui ne sont pas jeté à la poubelle : impact environnemental

En moyenne le repair café est fréquenté par 30 personnes à chaque ouverture soit 300 visites par an. Certains viennent pour le réparation d'autre pour le lien social l'objet est alors de lprétexte à la rencontre, à la discussion.

Il en est de même pour les bénévoles qui viennent pour se rendre utile : grace à leur présence, les habitants reparte avec leur objet, un café, un sourir : impact social

Le repair café permet de communiquer sur les actions du centre social et celles des associations : impact de communication

Nous venons d'être contacté par une commune pour mettre en place un repair café dans leur commune avec leurs bénévoles.

Nous allons donc accompagner une nouvelle initiative en favorisant la complémentarité des actions : une seule communication avec 2 dates par mois et des ateliers de réparations différents

Le centre social est repéré comme un accompagnateur de projet un faciltateur

Le groupe n'est pas compétent dans tous les domaines

Le repair est ouvert un fois par mois

Les locaux sont trop petits

Mise en place d'un 2ème repar café

changer de local

Identification  d'habitants ressources  auprès des habitants et des partenaires du quartier 

Une relation facilitée entre les habitants et l'institution

Identification d'un espace ressource pour les habitants

De par sa localisation centrale au coeur du Bois des Roches, son ancienneté et son caractère associatif, l'APES inspire confiance. Il s'agit pour nous d'être une porte d'entrée vers les autres services déjà existants sur le territoire en s'inscrivant dans une démarche de complémentarité.

Nous souhaitons que l'APES devienne un lieu ressource sur la commune de Saint-Michel-sur-Orge.

En groupe les personnes osent davantage interpeller un professionnel de la santé, se rendre sur un lieu inconnu, poser des questions...Toutes les personnes accompagnées sur cette question n'iront pas consulter ou se faire dépister à la suite de l'animation de prévention proposée mais certaines l'ont fait et ont été fières de nous le rapporter. Par la multiplication des animations de prévention, par la multiplication de leurs formes, nous interpellons, nous questionnons mais l'impact est difficile à mesurer.

Certaines actions mises en place allient les problématiques de santé à une animation dédramatisante ce qui marque davantage les esprits et libère la parole plus facilement: ex: assister à une pièce de théâtre sur le cancer du sein.

Des thématiques sont plus facilement abordables que d'autres. L'hygiène corporelle est par exemple une thématique difficile à aborder. Les personnes ciblées sont réceptives et appliquent rigoureusement les conseils prodigués par les professionnels lorsqu’elles sont accompagnées et maintenues dans une dynamique. Par contre, lorsque les séances s'espacent ou lorsque le projet se termine, beaucoup de personnes ne continuent pas sur leur lancée.

L'impact sur le territoire est difficile à mesurer lorsqu'il s'agit d'action liée à la personne et à sa situation propre. Pour certaines personnes, les actions mises en place autour de l'estime de soi ont été le petit coup de pouce qu'il leur manquait pour affronter de nouveau le monde du travail. Pour d'autres, les problématiques du quotidien les ont rattrapées et les bienfaits apportés par le projet se sont estompés au fur et à mesure. Néamoins elles se sont livrées, auprès des professionnels, auprès d'autres femmes, elles ont donc fait confiance ce qui est déjà un grand pas. Changer les habitudes et les comportements est très difficile, nous nous attachons à leur donner des clés.

Cette action permet d'aborder un nouveau volet avec les habitants. Mais cette action touche en général un public qui fréquente déjà le centre social, un public repéré avec qui certains liens sont déjà tissés.

Nous avons favoriser la prévention en incitant notamment aux dépistages des cancers, en travaillant l’équilibre alimentaire et en insistant sur la pratique d’une activité physique régulière. Il est aussi question de savoir rediriger aux partenaires compétents lorsqu’un problème est diagnostiqué.

Nos actions se déclinent  sous 2 formes : ateliers réguliers ou événements ponctuels/temps forts.

Ces actions touchent peu de personnes ne fréquentant pas le centre social. Un travail avec les partenaires du territoire est à intensifier sur cette question afin que le public accompagné sur ces questions ne soit pas exclusivement celui qui fréquente le centre social et avec qui un lien de confiance est déjà instauré.

Travailler autour de l'alimentation et l'équilibre alimentaire en prenant appui sur notre activité de boutique alimentaire.

Le réseau se structure, les partenaires s'associent, les actions montent en qualité, les jeunes sont plus mobilisés, plus informés.

Lancé en janvier 2018, le smodes se créés doucement, un gros travail de rencontres partenariales a été mis en place, la mobilisation des jeunes progresse bien.

Le centre Social grâce à cette action a pu s'investir autrement sur la problématique jeunesse, avoir une place prépondérante sur cette axe.

Les nombreuses rencontres avec les partenaires ont amené une plus value supérieure aux attentes et sur des domaines diféfrents.

L'action n'a pas vocation à s'arréter, son devellopement va se continuer sur les années à venir.

C'est l'investissement des partenaires, l'engagement des politiques en faveur de la jeunesse qui fera sont avenir.

Un rythme de croisière devrait être pris en 2019 et se poursuivre.

Véritable labaratoire à l'écoute des jeunes, cette action se poursuivra à leurs initiatives.

Une participation des bénévoles plus organisée, une communication plus fluide sur le quartier concernant le projet social. Un accueil famille revu et approprié pour les familles du Ramponneau.
Des jeunes du quartier plus impliqués sur des actions en lien avec le sport, la citoyenneté, la culture. Une image positive des jeunes investis sur le QPV auprès des partenaires, institutions et décideurs renforcée et légitimée.
Une image du Centre Social transversale auprès des partenaires investis sur cette action.

Contribuer à son image d'accompagnateur des initiatives citoyennes locales. Renforcer son image d'acteur référent de la politique de la ville. Soutenir ses fréquentations en permettant aux familles une meilleur lisibilité du projet social.

Par le biais des critères d'évaluation suivants, il faudra réadapter le projet si nécessaire :

- Nombre de rencontres avec les habitants
- Nombres de propositions d’organisations envisageables
- Nombre d'atelier
- nombre de temps de coordination
- nombre d'animations
- nombre de pratiquants, combien de familles (détermination par genre et âge)
- mise en place de point d’étape sur le déroulement des actions dans les murs et hors les murs.