4 à 6 bénévoles du centre socioculturel animent des ateliers réguliers au sein de l'EHPAD de la commune. Ces bénévoles sont acteurs d'ateliers d'échanges de pratiques au sein du centre socioculturel. Ils ont, un jour décidé de les exporter à l'EHPAD à la grande joie des résidents. Ce sont des ateliers "tricot" et "arts plastiques" qui ont pour but le maintien du lien social et la réalisation de projets collectifs.

- Le  Defi Sans Ecrans  consiste à se passer d'écran ou du moins se limiter aux écrans intelligents durant une période donnée.

- Le  « Défi 8 jours pour voir autrement » consiste à proposer à l'ensemble des enfants du territoire de s’engager à essayer, pendant 8 jours, de ne plus – ou de moins – passer de temps, à la maison, devant la télévision, l’ordinateur ou les consoles de jeux vidéo.

Pendant cette période, les télévisions et ordinateurs peuvent continuer à être utilisés à l’école soit dans le cadre des activités pédagogiques habituelles, soit en tant qu’outils utilisables par les enfants pour raconter et faire connaître le Défi dans lequel ils se sont

engagés.

- Il consiste en un travail partenarial appronfondi entre divers acteurs du territoire, aussi bien dans les diagnostics que les actions à mener vers les publics cibles:  Inspection Académique, (directeurs-trices d'écoles maternelles et élémentaires,équipes éducatives ) et colléges, Collectivité territoriale, monde associatif sportif, culturel, ludique...de Saverne et région, associations de parents d'élèves, associations familiales, monde de la santé...

- Il se décline concretement par:

> une formation à l'intervention en milieu scolaire pour les 'intervenants, une sensibilisation aux enjeux pour les équipes éducatives (dans chaque école ) ( cela passe aussi par la mise à disposition de "crédit formation" par l'Inspection à ses enseignants.)

> La mise en ouvre du Défi se fait, au sein de chaque école  et aupres des usagers et habitants, en 3 temps, répartis sur plusieurs mois par les intervenants du CSC et d'Eco Conseils, structure pilote de l'action.

• préciser, avec les enseignants, la démarche pédagogique à mettre en oeuvre,

• présenter aux représentants des parents d’élèves puis aux parents le Défi et les faire adhérer à la démarche,

• informer et « pré-mobiliser » les partenaires de proximité potentiels (centre socio - culturel, associations…).

2- Préparation au défi

Cette deuxième phase vise à :

• amener les enfants, via des interventions en classe, à prendre conscience de l’impact de la télé et des jeux vidéo et avoir envie de s’engager dans le Défi puis les aider à préparer les activités qu’ils feront pendant les 8 jours du Défi ( échanges, discussions, supports ludiques, dynamique de match à jouer contre les écrans,...)

• mobiliser les parents pour qu’ils s’engagent à accompagner leur(s) enfant(s) voire qu’ils proposent des activités,

• mobiliser les partenaires de proximité pour qu’ils proposent des activités aux enfants durant la période du Défi,

• préparer la communication autour du défi avec un objectif central :mettre en valeur l’action des enfants et des adultes autour, et générer des courriers de soutien aux enfants des écoles.

3- Mise en oeuvre du Défi

A l’issue de la phase de préparation, le Défi est lancé pour une durée de 8 jours (à cheval sur 2 semaines afin qu'il y ai un w-end compris ).

Pendant cette période de 8 jours :

- les enseignants accompagnent les enfants au travers d'activités scolaires,

- les parents sont mobilisés collectivement pour encadrer les activités « alternatives » préparées à l’étape précédente,( après l'école, durant le week end, le mercredi apres midi )

- les partenaires de proximité interviennent dans le cadre des activités qu’ils proposent (idem ).

Une première expérience d'ateliers photos au sein du centre social en 2014 avait révélé un intérêt par les adhérentes de révéler une partie de leur vie (intime) par le biais de la photographie.

une proposition leur a alors été faite de travailler sur leur autoprotrait avec plusieurs supports média, dont la photographie et l'expression orale

ainsi durant 4 mois, 6 adéhrentes du centre social ont réfléchi sur les questions du quotidien en proposant de retranscrire leurs "petits bouts" de vie au travers de la photographie et d'enregistrement audio

accompagnées tous les 15 jours par de stechniciens de la photo et de l'audiovisuel, elles ont découvert et exploré tous les possibles au travers de ces médias

Accompagnement de personnes éloignées de l'emploi ou désinsérées.

Jeunes et adultes.

Accompagnement dans le cadre d'emplois aidés et mise en place systématique d'un parcours de formation en lien avec la mission locale o Pôle emploi:

tutorat, suivi et accompagnement.

Sur deux ans : une quinzaine de personnes formées avec succès (diplômes diversjusqu'au niveau BPJEPS)

THÈME        Parentalité, partenariat et réseaux

FINALITÉ     Développer une activité parents-enfants
        Soutenir les parents dans leur fonction parentale
        Développer les échanges entre parents et assistants maternels

CONSTAT    Pas d’activité au CCSL à destination des enfants de 0 à 4 ans

Les parents et assistants maternels déposent leurs enfants aux activités mais échangent peu.

OBJECTIFS    Proposer aux assistants maternels et aux parents un lieu d’échanges

Rompre l’isolement de certains assistants maternels et de certains parents

Accompagner le parent dans sa fonction parentale

        Proposer aux enfants des activités d’éveil dans un lieu neutre

Contribuer à la socialisation de l’enfant

Favoriser son autonomie tout en respectant ses rythmes d’acquisition et ses difficultés

        Reconnaître l’enfant comme une personne à part entière capable de s’exprimer

Assurer bien-être et sécurité de l’enfant

PUBLIC        Enfants 0-4 ans, parents, assistants maternels

CONTENU DE L’ACTION    

L’atelier de motricité libre n’est pas un mode d’accueil ; les enfants restent sous la responsabilité des parents ou des assistants maternels. Les animatrices aménagent un espace d’activité sécurisé, repérable et diversifié pour les enfants.

FRÉQUENCE     2 atelier par mois, le mercredi matin durant une heure et demie

MOYENS MIS EN OEUVRE

1 animatrice du Relais Parents Assistantes Maternelles de la CCPR        

1 encadrant personnel CCSL

1 salle d’activité du CCSL

tapis de karaté du CCSL

matériels d’activités du RPAM

La coopérative des habitants a pour principales activités, la gestion d'un café vestiaire solidaire, l'organisation d'animations, la tenue de stands restauration partagée lors de manifestations et la mise en place d'ateliers de production autour de la confection de petits objets destinés à la vente.

Elle a pour but de soutenir l'initiative des habitants et de permettre l'attribution de bourses pour le financement de projets de solidarité. L'organisation, sa gestion et son fonctionnement sont entièrement gérés par les coopérateurs lors de réunions bimensuelles. Le désintéressement personnel, la solidarité et la démocratie en sont les moteurs.

Accompagnement de jeunes de 12 à 15 ans à la réalisation d'une exposition sur la question de l'altérité et sous le signe de la mémoire et du rassemblement. A partir du personnage de Jean Zay, les jeunes ont mis en oeuvre leurs protraits, leurs écrits, leurs regards et leurs vérités. Tout au long du projet, ils ont participé activement aux animations de sensibilisation sur la notion d'altérité et de la vie de Jean Zay, avec des visites de lieux culturels ( musée Charles Péguy et galerie du Lion), d'ateliers d'écritures, de portraits photos et de la découverte d'auteurs et d'artistes. Ce projet a émergé dans le cadre d'un partenariat entre le comité des fêtes d'Orléans la Source, le théâtre Gérard Philipe de la ville d'Orléans, l'association de la Musique de Léonie et l'association Libre de mots. Cette exposition "Jean Zay et nous" s'est déroulée sur le centre social Sainte-Beuve, conjointement avec deux autres expositions présentées au théâtre G.Philipe. L'une, intitulée "Jean Zay 1904-1944" réalisée par l'association des amis de Jean Zay et la seconde, "la musique dans les camps de Beaune la Rolande et Pithiviers" prêtée par le CERCIL. Ceci, conjointement avec un concert de la Musique de Léonie , "Mademoiselle Louise et l'aviateur allié" de Julien Joubert et chanté par les enfants des écoles du quartier.                                                                                                                                                                                                 

Nous proposons aux habitants une progression et un suivi dans l’utilisation des outils numériques. Ceci se traduit par la mise en place de stages d’initiation et de perfectionnement autour des outils tel que la tablette, PC, réseaux sociaux.....Ceux-ci sont complétés  par des stages de niveaux  intermédiaire et avancé. Cette organisation permet d’avoir des groupes plus homogène et pour chacun (et chacune) une meilleur  progression.

Au vu des bilans des stages passés nous faisons appel au même intervenant qui a su s’adapter au public et a tissé une relation  d’aide et d’écoute.

Parcours culturels

Depuis plusieurs années, la MJC Centre social Victor Hugo de Meythet (Haute-Savoie) organise des « parcours culturels ». L’objectif est simple : il s’agit de faciliter l’accès au plus grand nombre au spectacle vivant en proposant des sorties dans des salles de spectacles ; au Rabelais à Meythet et à Bonlieu Scène nationale à Annecy notamment, à des tarifs très préférentiels.

Mais plus que le tarif, cette action est surtout mise en place pour inciter des personnes qui ne se rendent jamais – ou que très rarement – à un spectacle pour diverses raisons, de s’ouvrir à la culture par ce biais.

Ce public visé ne va pas au spectacle, parce que :

• c’est une pratique culturelle qui n’existe pas dans la famille ;
• on aimerait bien aller au spectacle, mais ce n’est pas facile d’y aller seul ;
• on a envie de partager des sorties culturelles, mais on ne sait pas à qui s’adresser ;
• on n’a pas de moyen de locomotion ;
• on ne sait pas quel genre de spectacle aller voir ;
• les billets d’entrée coûtent cher…

Autant de bonnes raisons qui nous ont donc incités à poursuivre cette initiative lancée auparavant par la précédente structure centre social – La Meythésanne – implantée sur la commune et dont nous avons repris l’intégralité des activités pour les conjuguer aux nôtres dans la mesure où cette association a cessé son activité.

Ainsi chaque saison, depuis 2013, c’est 8 à 10 spectacles qui sont proposés sur ce modèle et force est de constater le succès croissant de cette formule. Bien entendu, le nombre de places disponible est limité de 10 à 20 selon le spectacle et la salle de spectacles. C’est au total près de 400 personnes qui ont bénéficié de ces parcours.

La plupart des participants partagent l’état d’esprit proposé, mais certains ne voient que l’avantage financier et ne jouent pas le jeu du temps de partage avec les autres autour du spectacle qu’ils viennent voir. Nous devrons être encore plus pédagogues et plus précis dans la présentation de ces parcours culturels à l’avenir afin que chaque participant en tire le meilleur bénéfice social et culturel. En tout cas, cette formule, même si elle mérite certaines améliorations tant dans le choix des spectacles que dans la façon de les « consommer », a parfaitement sa place dans notre structure qui défend l’accès à la culture pour tous. Concernant le choix des spectacles intégrés dans ce parcours, il est fait, en partant des propositions des deux salles de spectacles partenaires, de la façon suivante. Notre structure reçoit les informations de la saison à venir. Un groupe de bénévoles, accompagné par les responsables de secteur de la MJC Centre social, « épluche » les programmes et essaie d’établir au mieux un choix suffisamment large en termes de public visé (tranches d’âge) et de diversité artistique (musique, danse, théâtre, clown, chanson…). Ce même groupe de bénévoles se répartit l’accompagnement des participants aux spectacles retenus.

Pour bénéficier de cette offre culturelle, il suffit de :

• être usager ou adhérent de la MJC Centre social Victor Hugo ;

• avoir envie de rejoindre un groupe de personnes désireuses de partager un spectacle… et de pouvoir en parler encore après ;

• se faire connaître auprès de l’accueil.

Création d'une junior association avec un groupe de jeunes du quartier agés de 11 à 16 ans. 

Mise en place des statuts et de la vie de l'assocation , via un réglement, un vote, des réunions.

Définition des objectifs de l'association (pour les jeunes, pour la maison de quartier).

-Pour les jeunes: Se donner les moyens de faire aboutir un certain nombre de projets de loisirs

Définition des moyens à mettre en oeuvre: quelles actions sont à mettre en ouvre pour récolter de l'argent et quelles sont les règles à respecter et comment?

-Pour la maison de quartier: rendre les jeuens acteurs de leurs projets et donner une image positive aux autres générations

Mises en ouvre de ces derniers

La pause-café est un temps d'accueil convivial, ouvert à tous. Elle se déroule le mercredi matin. C'est la porte d'entrée idéale pour découvrir le centre social. Les personnes sont accueillies autour d'un petit déjeuner composé de boissons et pâtisseries fournies par le centre social et les habitants.

- C'est un lieu de rencontre et d'échange où se cotoient des habitants de différents quartiers, différentes générations, différentes cultures.

- C'est un temps d'information sur les actions du centre social, de l'association (qui comprend 3 centres sociaux), de culture du coeur.

- C'est un lieu de construction de projets initiés par les habitants et/ou l'équipe du centre social.

Un temps de rencontre mensuel sur des thématiques de santé est proposé aux familles, particulièrement à celles pour lesquelles des difficultés sont repérées au niveau de la santé et de l'alimentation des enfants soit par les enseignants , soit par les travailleurs sociaux mais aussi dans le cadre des actions de dépistage bucco dentaire réalisées par la ville dans les écoles.

Mise en place de temps d information collective à destination d'un public en apprentissage du francais autour de l'accès aux droits

La sortie familiale à Paris a eu lieu le samedi 3 décembre 2016. Cette journée s'est déroulée en 4 temps, le matin les familles ont visité Paris en bâteau mouche, la Tour Eiffel, les monuments, pique nique à midi, visite libre l'après -midi, puis récapitulatif de la journée autour d'un goûter

Améliorer l’accès aux droits

 Améliorer l’accès à l’éducation pour la santé et à la prévention

Améliorer l’accès aux soins

 Améliorer l’accès  aux accompagnements médico-sociaux

organisation d'une après midi récréative sur le we de la fête des mères, pour une temps privilégié entre mère fille, dans une proximité mère fille avec un support favorisant le lien: fabrication de cosmétiques et nail art.

Des ateliers de Techniques de recherche d'emploi sont proposés sur de grandes communes aux alentours, mais du fait de difficultés liées à la mobilité, certaines personnes ne peuvent y avoir accès. Par conséquent, le Centre social s'est associé à un partenaire pour proposer sur la commune un atelier collectif régulier de Techniques de recherche d'emploi, afin d'apporter une aide technique aux personnes en recherche d'emploi.

La médiathèque et le centre social conduisent fréquemment des projets communs. La directrice de la médiathèque a proposé au groupe cuisine des animations collectives familles (ACF) de préparer et servir le budget pour l'inauguration de l'exposition sur le Maroc qui se tiendrait à la médiathèque pour un mois.

L'animatrice collective familles était en arrêt début septembre, et ce début d'année scolaire marquait l'arrivée d'une directrice adjointe au niveau du centre social. Les personnes participant aux ACF étaient demandeuses de la reprise des activités. Aussi, la directrice adjointe a pris le projet en main et a conduit l'action. Il a été envisagé une conception plus large du projet, à savoir, un travail global sur le Maroc, plutôt que le "simple" buffet :

* information au groupe cuisine de l’évènement et proposition d’y participer

* choix des recettes à la médiathèque - présentation de ce lieu pour ceux qui ne le connaissaient pas

* visionnage d'un DVD sur le Maroc

* préparation des mets marocains (atelier cuisine) + réalisation de fiches recette pour le vernissage

* vernissage : service des mets (rencontre avec le président de la communauté de communes et présentation du groupe par la directrice adjointe, félicitations des personnes présentes...)

* discussion autour d’un café sur la préparation et le vernissage (ce que ça a apporté aux personnes,  les difficultés,  éventuellement sur quoi ils aimeraient aller par la suite)

* visite de l'exposition et contes berbères

* livret-recette souvenir avec photos et article paru dans le journal (travaux manuels)

* repas couscous avec invitation des personnes de la médiathèque ayant fait visiter l'exposition / lu des contes berbères, et remise d'un livret souvenir

- Proposer aux ados (11-14 ans) et aux jeunes (14 ans et +), à chaque période de vacances scolaires, la découverte de métiers différents pour les aider dans leur choix  d'orientation scolaire ou professionnelle.

A travers plusieurs actions on propose aux usagers du centre et aux habitants du quartier d'être sensibilisés à la réduction des déchets, la protection de la nature et le développement durable en général.Plusieurs publics ont été mixés pour avoir le plus de monde possible d'univers différents.

1. Ateliers de créations d'objets à partir de déchets
2. Visite à la ressourcerie La gerbe
3. Ciné-club sur le développement durable
4. Ateliers de sensibilisation sur la biodiversité et la gestion des déchets
5. Nettoyage de quartier

Avec la Mission Locale, la maison de quartier met en place des permanences décentralisées sur le territoire, à destination des jeunes de 16 à 25ans.

L'objectif est de proposer un service de proximité, accessible en libre accès.

Mise en place de permanence sur le centre social en  partenariat avec la mission locale pour accompagner les jeunes en décrochage scolaire:

- dans la réalisation  de cv

-dans la réalisation de lettre de motivation

-dans la recherche d'emploi

-dans la recherche de formation

Ce partenariat tisse des liens entre des jeunes plus oisifs du quartier