Les actions des centres sociaux
Nom | Département | Année |
---|---|---|
Accueil seniors | Territoire de Belfort | 2020 |
Journée Citoyenne et Républicaine édition 2019 : mobilisation contre l'endoctrinement et la radicalisation. | Territoire de Belfort | 2020 |
Agissons pour notre santé | Loire | 2020 |
Tiers lieu numérique | Maine-et-Loire | 2021 |
ACM 13-17ANS | Lot-et-Garonne | 2021 |
"Les canards du confinement" | Lot-et-Garonne | 2021 |
LE LYANNAJ DES SOURCES | Guadeloupe | 2021 |
Les paroles de la Maison Montesquieu : recueil de témoignages d'habitantes sur le thème de la vieillesse | Lot-et-Garonne | 2022 |
Accompagner les familles pour l’acquisition et l’utilisation d’outils numériques dans le cadre du travail scolaire à domicile | Loiret | 2022 |
Actions
Accueil seniors
- Structure organisatrice
- OÏKOS - CENTRE CULTUREL ET SOCIAL DE LA PEPINIERE MICHEL LEGRAND - Territoire de Belfort
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Solidarité
- Viellissement
- Intégration
- vacances / loisirs
- Mixité sociale
- Résumé
Certains retraités rencontrent des difficultés économiques et/ou sociales et/ou en situation d’isolement.
L’avancée en âge de la personne est souvent accompagnée de la question du nouveau sens donné à son projet de vie.
Dans le diagnostic réalisé par les structures Oïkos (CCSRB, MQJJ CCSP et CCSBN), les retraités ont exprimé leur volonté d’être actifs, tout en restant autonomes et en bonne santé.
La démarche participative menée dans le cadre du contrat de projet a permis d’organiser une nouvelle commission de travail thématique, ayant pour but de répondre aux préoccupations exprimées par les usagers séniors.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Lutter contre les phénomènes d’isolement des seniors.
Proposer des animations favorisant la convivialité.
Proposer des ateliers de prévention et de bien-être (diététique, gymnastique d’entretien, randonnée, marche nordique).
Proposer des sorties à caractère culturel.
- Public
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Les éléments révélés par les différents diagnostics sont alarmants et reflètent, notamment dans le secteur « Pépinière 2 », une paupérisation économique, mais aussi une grande fragilité sociale et culturelle. Ces chiffres soulignent la fragilité du sous-quartier, avec des problématiques très nombreuses : vieillissement, dépendance économique et sociale, isolement et difficultés en matière d’emploi, de formation et d’accès aux droits et à la santé. Bien qu’implanté dans un territoire ne relevant pas des Quartiers prioritaires de la Politique de la Ville, le CCSP doit faire face aux mêmes problématiques que les équipements situés en zone sensible. L’adéquation des ressources de la structure avec le contexte contraint le projet de développement d’éducation populaire visant la lutte contre les inégalités sociales. La permanence de ce contexte a pour effet induit une orientation de l’approche généraliste vers la « fonction d’accueil ».
Mise en place d’une coordination entre les centres culturels et sociaux et maisons de quartier de l’association OÏKOS
Organisation de réunions de concertation et partage d’un programme d’action entre les centres OÏKOS prenant par à ce projet.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Usagers, équipes et bénévoles des stuctures partageant le projet d'inclusion des publics seniors.
Cela concerne pour l'anialtion de l'action au CCSP les membres de la commission thématique "vieillissement" soit 12 personnes.
- Résultat sur le territoire
Intervention transversale en concertation avec les partenaires.
Initiation d’une réflexion sur la thématique d’inclusion des publics « âgés »
- Résultat pour le centre social
La mission du centre socieal tient compte des publics particuliers et du contexte territorial (Pépinière 2). Le nombre de personnes en situation de fragilité et handicap et/ou d’isolement dans le quartier de la Pépinière justifie la considération de ses problématiques dans la fonction d’accueil de proximité de notre centre social. « Travailler à mettre en œuvre l’inclusion, c’est investir pour une société plus juste pour un mieux vivre ensemble. »
- Résultat pour les habitants
Chaque personne ne sera pas accueillie en tant qu’usager ou client d’un service proposé, mais comme habitant du quartier ou du territoire et partenaire potentiel du projet du centre social. L’accueil du centre est aussi un observatoire nous permettant d’identifier les ressources propres des habitants.
- Suite de l'action : Limites
Aniamtion necessitant des connaissances médico-sociales.
- Suite de l'action : Perspectives
Perenité et développment de l'action visant l'accueil et l'inclusion des personnes en situation d'isolement.
Actions
Journée Citoyenne et Républicaine édition 2019 : mobilisation contre l'endoctrinement et la radicalisation.
- Structure organisatrice
- ASSOCIATION CULTURE LOISIRS EDUCATION (CLE) - Territoire de Belfort
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Journée citoyenne et républicaine du vendredi 18 octobre 2019.
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- discriminations
- Résumé
Vendredi 18 octobre 2019
Journée Citoyenne et Républicaine
Mobilisation contre l'endoctrinement et la radicalisation
de 9h à 23h
Salle de spectacle de la Pépinière
13, Rue Georges Danton - 90000 BELFORT
Cette journée a été co-animée par ROST, chroniqueur, réalisateur et Assad MOKHENACHE, Directeur de la CLE d’Offemont.
ROST est un artiste, réalisateur aux multiples facettes : Conseiller au sein du Conseil économique, social et environnemental, Président de l'association Banlieues Actives. Depuis une vingtaine d'année, ROST est très engagé sur les questions de citoyenneté, de prévention des violences et de la délinquance, d'exclusion, de la jeunesse, des quartiers populaires et plus globalement les personnes les plus fragiles.
Sa propre vie, dans la promiscuité, la violence et l'extrême pauvreté, l'ont obligé à être très attentif aux autres. Grâce à sa détermination à fuir le déterminisme, il a toujours trouvé l'énergie nécessaire quelques soient les obstacles pour aller au bout de ses combats.
Présentation du projet.
ROST : un réalisateur engagé.
Depuis une vingtaine d'année, ROST est un artiste, rappeur très engagé sur les questions de citoyenneté, de prévention des violences et de la délinquance, d’exclusion, de la jeunesse, des quartiers populaires et plus globalement les personnes les plus fragiles. Sa propre vie, dans la promiscuité, la violence et l’extrême pauvreté, l'ont obligé à être très attentif aux autres. Grâce à sa détermination à fuir le déterminisme, il a toujours trouvé l'énergie nécessaire quelques soient les obstacles pour aller au bout de ses combats.
Il définit son action comme suit : “Je suis intimement convaincu que chacun d'entre nous peut apporter sa petite pierre à l'édifice pour qu'ensemble nous fassions, bouger les choses, évoluer les mentalités et faire place à plus de justice sociale afin d'éviter ce sentiment d'exclusion et de rejet qui conduisent parfois certains de nos jeunes vers des dérives ou l'obscurantisme”.
Genèse du projet : un projet militant pour redonner de l’espoir à une jeunesse.
ROST explique que lors des attentats de Charlie Hebdo, certains de ses amis se sont faits assassinés et touchés, dont CHARB et son garde du corps ainsi que le gérant de l’Hyper Cacher. Ce dernier et son frère ont été les deux personnes qui lui ont permis de s’en sortir 20 ans plutôt. Puis, lors des attentats du 13 Novembre, sa maquilleuse se faisait assassiner en prenant plusieurs balles sur la terrasse de « La Belle Equipe » un mois à peine après leur retour de tournage de son précédent court-métrage « Et si on s’en sortait ». Ce court métrage, qui était déjà à l’époque une réponse aux attentats, avait pour but de réenchanter la jeunesse et de ne pas la stigmatiser. En effet, l’histoire raconte le périple de quatre amis, issus d’un quartier populaire, qui ont été fragilisé par la vie et qui essaie de s’en sortir. Ce film pose les questions suivantes : quel chemin emprunteront-ils, est-ce que l’échec est une fatalité ?
Cette journée citoyenne et républicaine a comporté 3 temps forts (ateliers) :
1. Temps de formation, échange – débats autour notamment du travail d'enquête, d'investigation et de réalisation du film court métrage "Tu iras au Paradis" de 9h à 12h avec les professionnels intéressés par la problématique notamment de l’endoctrinement et de la radicalisation.
Ce temps de formation a intéressé plus de 150 personnes, professionnels de tout horizon, étudiants de l’IUT carrières sociales, citoyens, élus…
ROST a pu exposer sa démarche, expliquer son engagement militant, associatif et le combat qu’il mène depuis des décennies contre l’obscurantisme, le totalitarisme et l’extrémisme religieux.
2. Rencontre et échanges avec des lycéens du LP DIDEROT à Bavilliers : Echange – débat à partir du film court métrage "Tu iras au Paradis".
Afin d’initier le travail de prévention, d’information et de lutte contre l’embrigadement, l’endoctrinement et la radicalisation nous avons mis à disposition des équipes éducatives toute une série de modules pédagogiques. Ce support pédagogique a fait l'objet d'un travail inter disciplinaire par les équipes éducatives du Lycée Professionnel Diderot.
L’échange s’est organisée cette année sous la forme de deux débats d’1h avec à chaque session, près d’une centaine d’élèves.
Au final, les deux sessions ont été très riches, de nombreuses questions ont été posées, cela traduisait bien les interrogations et autres réflexions qui demeurent celles de ces adolescents, adolescentes. Ce nouveau format a été grandement apprécié par l’ensemble des partis investis et impliqués dans la démarche de dénonciation de l’endoctrinement et des processus de radicalisation.
3. Diffusion du film court métrage "Tu iras au Paradis" à partir de 20h à la Salle de spectacle de la Pépinière à BELFORT.
Synopsis du film : Tu iras au Paradis.
Embrigadé dans une entreprise maléfique, RÉMI, un jeune garçon de 17 ans, fait partie d’un commando terroriste qui lui demande d’attacher autour de sa taille une ceinture d'explosifs afin d’exécuter un plan : ALLER AU PARADIS.
Il sort des toilettes d’une brasserie bondée de monde, prêt à mettre en exécution le plan qui est de se faire exploser en faisant le plus de victimes possibles. C'est alors que NABIL (joué par le comédien SMAÏN), un monsieur exubérant d'une cinquantaine d'année, le reconnaît. Il s'invite alors à la table de Rémi sans que celui-ci ne puisse y faire quoique ce soit et le compte à rebours est lancé …IMPACT DANS 20 Minutes.
Ce film n'est pas une analyse du terrorisme religieux. Il ne prétend pas expliquer, ou détenir la vérité. Avec « Tu iras au paradis », son co-auteur et co-réalisateur Thomas
KEUMURIAN et ROST ont voulu faire une œuvre courte, coup de poing, qui vient interpeler, interroger, interloquer. Le film vise à susciter le débat autour de la question de l'embrigadement. Si le terrorisme islamique est abordé, jamais aucun d'amalgame avec la religion musulmane qu’est l’'Islam n’est fait.
La touche humoristique qui sous-tend le film permet de dédramatiser par la forme un sujet lourd et sensible afin de mieux capter l’attention des jeunes avant les échanges.
Un débat autour du film : La radicalisation n’est pas une fatalité (une tournée du film à travers la France a démarré depuis mars 2019).
Lors de ces différentes actions et interventions, ROST démontre que pour lutter efficacement contre le fléau de la radicalisation, il faut combattre les préjugés.
En effet, à travers ses rencontres avec des personnes radicalisées en prison et son association Banlieues Actives, il s’efforce de faire un travail de citoyenneté, de prévention de la violence, de la délinquance et surtout, de redonner de l'espoir, de la motivation et une ambition saine aux jeunes issus des quartiers populaires qui ne croient plus en l’avenir.
Les films qu’il a pu tourner dont “La Rue des Anges” ainsi que “Et si on s’en sortait”, ont servi de support pour aller vers ces jeunes pour échanger avec eux sur les conséquences parfois dramatiques de la délinquance partant du postulat suivant : aucun d’entre eux n’est condamné à l’échec et que chacun a le potentiel et les ressources pour s'en sortir et dépasser sa condition sociale.
Sa notoriété, en tant que rappeur, sa médiatisation mais avant tout son parcours personnel qui fut mouvementé, ont eu un impact sur les jeunes qu’il a pu rencontrer. Ces films, et en particulier celui-ci, les interroge, interpelé pour engager une réflexion sur eux- mêmes.
Le sujet du terrorisme contemporain est très complexe et sensible et ROST, par son implication et son engagement, s’en est emparé pour pouvoir ouvrir le débat avec ces jeunes. Se retrouver face à des personnes directement touchées par ces drames rend immédiatement le débat bien plus concret et une approche des jeunes beaucoup moins fantasque.
Sa devise “Je suis convaincu que les rencontres peuvent changer une vie, qu'une personne rencontrée au bon moment peut faire la différence dans une existence”.
La diffusion du court métrage a été suivie d’un échange – débat entre ROST, M. MOKHENACHE et les nombreux spectateurs présents.
Nous avons pu compter la présence de nombreuses personnalités, M. RANOUX, Président du Conseil d’Administration de la CAF du Territoire de Belfort, M. FERRAIN, conseiller départemental, M. KRANTZ, Directeur académique des services de l'Éducation nationale, DSDEN, M. THIERRY, Délégué du Préfet, des représentants du Conseil Régional…
Une participation active d’un groupe de plusieurs adolescentes, d’étudiantes de l’IUT Carrières Sociales de Belfort, des volontaires Service Civique dans le cadre de l’organisation et de la tenue de cette journée citoyenne et républicaine a permis de diffuser l’information via des affiches, mailing et autres flyers.
Publics bénéficiaires ou cibles :
Pré-adolescents, adolescents, jeunes adultes et parents issus des QPV : près de 550 personnes dans le cadre de la Journée Citoyenne et Républicaine, édition 2019 : conférence-débat, échange avec du public étudiant, visionnage du court métrage "Tu iras au Paradis" suivi d'un débat avec le public.
Grand public et autres professionnels de l'animation, de l'éducation et de la prévention de la délinquance intéressés et sensibilisés par ces questions : 160 personnes.
L'ensemble des actions, projets développés et mis en œuvre au cours de l'année 2019 a touché près de 750 personnes. Cette journée citoyenne et républicaine a fait l’objet d’une interview croisée de ROST et d’Assad MOKHENACHE, enregistrement, par Thibault QUARTIER, journaliste auprès de « le Trois », média local (décrypter le Nord Franche Comté) qui a pris la forme d’un article publié en ligne intitulé « Ce que nous combattons au quotidien, c’est l’ignorance ».
Indicateurs – évaluation :
Présence, régularité, investissement du public dans sa diversité, des jeunes particulièrement,
- La qualité des échanges et des débats suscités lors et à l'issue des séances et autres débats avec des intervenants, des spécialistes, des professionnels.
- La motivation lors de la conférence, diffusion du documentaire « Revenantes ».
- Une meilleure compréhension du concept du vivre ensemble, de la tolérance, de l'égale dignité humaine.
- L'acquisition d'un répertoire de connaissances et de références aux valeurs républicaines et citoyennes, humanistes et universelles.
- La prise de conscience de la dangerosité et de la haine de l'humanité que ces groupuscules djihadistes véhiculent de par leurs canaux de communication, de vulgarisation du principe de "théorie du complot".
Finalités recherchées :
Le projet visait également à susciter la réflexion, le questionnement, à lutter contre certains clichés, stéréotypes et autres représentations et à inviter au dialogue dans des conditions sereines et empreintes de sérénité, valeurs républicaines.
Il s'agissait de fait de permettre, faciliter une meilleure ou plus juste appréhension du monde par nos publics pré adolescents et adolescents en dénonçant notamment les injustices, la théorie du complot véhiculée sur la toile, contribuant par la même à faire évoluer les mentalités dans un esprit, espace citoyen pour tendre vers une compréhension du monde, des contextes géopolitiques qui ne soit pas biaisée, altérée par de la frustration, de la démagogie, de l'ignorance.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Action majeure de prévention contre l'endoctrinement et la radicalisation. L'objectif étant de vulgariser un certain nombre de concepts, de présenter au plus grand nombre les mécanismes et autres stratégies mises en oeuvre par des entités ou groupuscules fondamentalistes.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Un groupe de travail a été mis en place, il comportait des membres de l'équipe éducative et d'animation de la CLE d'Offemont, ainsi que des membres du conseil citoyen d'Offemont.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Plusieurs demandes de subventions ont été adressées aux partenaires financiers et institutionnels : Préfecture du Territoire de Belfort, CAF du Territoire de Belfort, Conseil Départemental et Conseil Régional.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
L'ensemble de l'équipe éducative et d'animation, des membres du conseil citoyen, des adhérents et autres membres des secteurs jeunes et pré-ados de la CLE d'Offemont. L'équipe enseignante de l'IUT Belfort - Montbéliard filière carrières sociales et les Volontaires Service Civique.
- Résultat sur le territoire
Cette action est une déclinaison locale d'une politique de prévention nationale, elle vise a dénoncer un certain nombre de clichés et autres représentations.
Elle ambitionne également de lutter contre la théorie du complot et du grand remplacement.
- Résultat pour le centre social
La journée Citoyenne et Républicaine met en exergue la politique éducative, de prévention et d'accompagnement vers une citoyenneté conscientisée et apaisée du centre social. Elle s'inscrit dans la continuité d'actions, de projets visant à promouvoir les valeurs républicaines, les principes de démocratie.
- Résultat pour les habitants
Ces temps d'échanges, de réflexion, de débats et autres conférences ambitionnent l'aculturation, la vulgarisation d'un certain nombre de concepts et autres connaissances qui au final permettent aux habitants, bénéficiaires de porter un regard critique et objectif sur les bouleversements majeurs que ces idéologies ont amenés au cours de la dernière décennie.
- Suite de l'action : Limites
La journée Citoyenne et Républicaine n'est pas une fin en soi, elle ambitionne d'être reconduite chaque année afin d'apporter un regard, un éclairage singulier sur la lutte et autres mobilisations contre l'endoctrinement et la radicalisation. La multiplication des approches, analyses, présentations, compréhensions de cette problématique permet de démystifier toute une série de cliches, représentations, visions surannées...
- Suite de l'action : Perspectives
Le concept de la journée Citoyenne et Républicaine commence à faire des émules sur le territoire national, à savoir concentrer sur une journée plusieurs temps de réflexion, d'échanges, de débats, un volet conférence de sorte à toucher toutes les franges de la populations. Un ambition challenge que celui de vulgariser autant que faire se peut ce champ complexe de l'endoctrinement et des processus de radicalisation.
Actions
Agissons pour notre santé
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL & CULTUREL PASSERELLE - Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Fin du projet
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Santé
- Résumé
Accompagnement d'un groupe d'habitantes dans leur envie " deseprendre en main" pour améliorer leur état de santé, leur image.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place, pour accompagner les habitantes à aller plus loin que le fait d'exprimer une idée, une envie.
Pour démontrer aux habitants que le centre social est un facilitateur et peut accompagner les projets sans que les initiateurs soient dépossèder de leur idée de départ.
Et enfin, pour accompagner un projet lié au domaine de la santé
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
L'action a été conduite par une animatrice adultes relais, accompagnée de la référente familles
Le projet s"est déoulé sur une saison et un programme établi avec les participantes.
Une première phase consacrée au corps ( image de soi, sport, bien être et relaxation) cette première phase a été jalonnée par lintervention d'un coatch sportif, d'une conseilère en image, d'une intervenante Yoga du rire
Une seconde phase consacrée à l'alimentation ( intervention de la référente famille, d'une diététicienne, concours de cuisine)
- Ressources financières mobilisées pour cette action
2000 euros
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 professionnelles du centre social
4 intervenants extérieurs
3 bénévoles
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
Les habitants sont plus enclins à solliciter le centre social pour exprimer leurs envies, idées de projet
- Résultat pour les habitants
Amélioration de l'image et de la confiance en soi
Amélioration de l'état de santé ( perte de poids importante )
Valorisation au sein des familles
- Suite de l'action : Limites
Les participantes ne savent pas si elles vont tenir sur la longueur ( démotivation, difficultés de mobilité pour accèder à une activité sportive )
Les participantes sont happées par leurs obligations familiales et on du mal à se libérer ( ou à être libérées) pour consacrer du temps régulièrement à leur bien être.
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Tiers lieu numérique
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL HORIZON - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Solidarité
- Intégration
- Mixité sociale
- Résumé
La finalité du projet consiste en la création d’un « tiers lieu » dédié au numérique de type « Fablab ». Celui-ci s’étalera sur l’ensemble du projet social 2021/2024.
Un « tiers lieu » est un espace convivial où les habitants peuvent se rencontrer, se réunir, échanger de façon informelle. Il permet l’expression de la solidarité, le partage libre de ressources, de compétences et de savoirs et est source d’innovations sociales. Celui que nous souhaitons mettre en place sera essentiellement tourné vers le numérique.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Le numérique prend aujourd’hui une place de plus en plus centrale dans l’organisation et la transformation de la société. Cette « transition numérique » est perçue comme une opportunité de développer de nouveaux outils au service de tous. Cependant le numérique peut-être facteur d’exclusion s’il y a une absence d’accompagnement dans les usages. On évalue en France que 13 millions de personnes rencontrent des difficultés avec le numérique.
- Cette « transition du numérique » est accélérée par l’ambition gouvernementale d’une dématérialisation à 100% des démarches administratives à l’horizon 2022. Cette échéance donne un coup d’accélération à la nécessité d’une médiation numérique pour accompagner tous les individus dans ce nouveau modèle de société.
- La fracture numérique se mesure tant d’un point de vue de l’outil, que de l’usage. Il ne suffit pas de pouvoir se payer un ordinateur et une connexion internet, mais aussi d’être capable de s’en servir.
- L’utilisation d’Internet révolutionne notre mode de fonctionnement quotidien, les moyens de communiquer, les liens sociaux. Il en découle des questions de prévention : quelles sont limites, comment utiliser les applications Internet de façon lucide, à partir de quand passe-t-on trop de temps devant les écrans… ? Ces questions se posent principalement pour le jeune public.
- La fracture numérique entraine l’exclusion sociale. Faire ses démarches administratives, inscrire ses enfants à des activités sportives, payer la cantine scolaire…avec la multiplication des démarches en ligne et la dématérialisation des services publics, avoir accès à internet est indispensable. Pourtant les freins sont nombreux et pour beaucoup de personnes, la barrière de la langue pour les personnes d’origine étrangère, l’âge, la situation économique, sont autant de facteurs discriminants.
- Le confinement que nous venons de vivre récemment, démontre l’importance du numérique dans la communication avec nos proches, mais également avec les institutions.
- Nous avons régulièrement des demandes d’habitants pour leurs démarches administratives, faire un CV, imprimer des documents reçus depuis leur smartphone.
- Les seniors qui fréquentent le Centre Social sont très demandeurs pour apprendre à utiliser leur ordinateur. Comment envoyer des mails, comment envoyer ou lire les photos envoyées par la famille, comment naviguer sur le net… ? Ils ont également certaines appréhensions avec l’outil numérique, peur de se faire pirater, peur de ne pas savoir l’utiliser correctement.
- Les enfants que nous accueillons dans le cadre du CLAS notamment ne sont pas tous équipés d’ordinateurs à la maison. Cela creuse les inégalités et l’accès à l’apprentissage.
- Les familles qui fréquentent le Centre Social exprime ne pas être à l’aise avec l’informatique. Les causes les plus souvent exprimées :
La méconnaissance de l’informatique, la complexité des sites : les sites qui se ressemblent (j’ai des difficultés à trouver le bon site), les mots de passe pour chaque compte, le blocage des comptes, la difficulté des tâches numériques, peur de perdre le réseau, ne pas avoir le bon matériel numérique, ne pas avoir un outil informatique, ne pas maîtriser la longue française, le langage administratif est difficile.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Dans un premier temps, nous allons mettre en place une quinzaine autour du numérique pour sensibiliser nos différents publics (enfants, jeunes familles, seniors) à l’usage numérique. Celle-ci est programmée en avril 2021 soit une semaine avant les vacances scolaires de printemps et la première des vacances. Cela dans le but de pouvoir travailler en amont avec les écoles et pour donner envie aux familles de venir sur la deuxième semaine.
Tout au long de ces deux semaines, nous allons proposer différents ateliers de découverte des soirées débats, des conférences, dont les contenus sont encore en cours d’élaboration. Ce projet est travaillé conjointement avec les Centres Sociaux Pasteur et le Verger de Cholet.
Quelques exemples toutefois d’ateliers que nous pourrions proposer :
-
- Accès aux droits et démarches administratives
- Découverte de l’outil numérique
- Découverte des logiciels libres
- Découverte des métiers liés au numérique
- Modélisation 3D
- Imprimante 3D
- Casques de réalité virtuelle
- Robotique
- Logiciels libres
- Brodeuse numérique
- Découpe laser
- Visite culturelle virtuelle
- Jeux vidéo
- Vidéo/audiovisuel
- Effets spéciaux
- Codage
- Liseuses numériques
- Conférences/débats…
-
- Ressources financières mobilisées pour cette action
en cours
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 salarié médiateur numérique
Une commission numérique composée de 5 bénévoles
- Résultat sur le territoire
Réduction de la fracture numérique
Développement des liens sociaux sur le quartier
- Résultat pour le centre social
Placer le Centre Social comme un acteur incontournable dans l'accompagnment des publics vers le numérique
- Résultat pour les habitants
Avoir un lieu ressources pour les démarches adminstratives et l'accès au numérique
- Suite de l'action : Limites
Pérennité des financments pour le poste du salarié
- Suite de l'action : Perspectives
Inscrire l'action dans la durée
Actions
ACM 13-17ANS
- Structure organisatrice
- Maison Pour Tous De La Masse - Lot-et-Garonne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- vacances / loisirs
- Résumé
L'ACM répond aux besoins,envies, aspirations des mineurs de 13 à 17ans.
L'équipe accompagne les jeunes dans le développement de projets.
L'action propose des activités de loisirs sur les thématiques culturelle, sportive, environnement. Ainsi que des mini-séjours.
L'ACM est ouvert les mercredis de 14h à 18h ainsi que les vacances scolaires. Ponctuellement les samedis et soirées selon les projets.
Les jeunes sont soumis a inscription mais l'organisation n'est pas "sous forme de mode de garde" comme un ACM traditionnel. Le planning s'organise en fonction des envies de jeunes.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Précision ( si autre )
L'ACM propose également :
*des projets croisés avec les VVV et le CLAS
* des projets spécifiques : journée contre les discriminations, tournois inter-centres ...
* des activités de loisirs traditionnelles : cinéma, tir à l'arc, ....
*des temps festifs organisés avec les différences pôles du centres social : fête de quartier, fête de fin d'année ...
* des mini-séjours
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La politique jeunesse au sein du territoire Nord-Est de la ville d'Agen, porte l'ambition de permettre aux jeunes de se construire et de trouver les moyans de se développer. Il s'agit aussi de prévenir les actes de délinquances.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
En tant qu'espace d'animation, soumit à la réglementation sur les ACM, son intervention peut être de deux sortes :
* certaines activités s'adressent aux inscrits les sorties extérieures notamment,
* d'autres s'adressent à tous, il s'agit d'animations présentant une facilité d'intervention et d'action en direct du public : animations de proximité ouvertes à tous (format local jeunes)
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Fonctionnement : 6500€
Masse salariale : 51560€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Equipe pôle jeunesse :
1 référent jeunesse (1 ETP)
2 animteurs socioculturel (2 ETP)
- Résultat sur le territoire
*Prévention des actes de délinquances
* Démarches participatives
- Résultat pour le centre social
Possiblité de mixer plusieurs dispositifs et travailler en partenariat avec des acteurs relais du centre social sur différentes thématiques auprès des jeunes : emploi, scolarité, accompagnement à la parentalité.....
- Résultat pour les habitants
Via des projets de démarches participatives, l'image des jeunes des quartiers "clichée" est atténuée auprès des habitants.
- Suite de l'action : Limites
Ouvrir l'ACM à partir de 12ans afin de faire le lien avec les jeunes inscrits au CLAS
- Suite de l'action : Perspectives
Recréer le comité de jeunes en interne de l'ACM.
Actions
"Les canards du confinement"
- Structure organisatrice
- Maison Montesquieu (Centre social centre-ville) - Lot-et-Garonne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Culture
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
A l’annonce du premier confinement le 16 mars 2020, La Maison Montesquieu s’est retrouvée fermée.
Equipe et bénévoles se sont alors questionnés pour inventer d’autres manières de maintenir le lien social entre les habitants du territoire.
Plusieurs initiatives ont vu le jour dans ce contexte qui reste, encore aujourd’hui, inédit :
- Plateforme téléphonique,
- Ateliers collectifs à distance,
- Initiatives solidaires et citoyennes : confection de masques, aide aux courses, entraide entre habitants, etc,
- Médiation et accompagnement numérique,
- Médiation éducative et accompagnement à la parentalité.
Les bénévoles de la Maison Montesquieu ont souhaité garder une trace de ce premier confinement, mais aussi de l’année 2020 et de l’évolution de la situation sanitaire.
Suite à un appel à contributions, une centaine de photos et de petits poèmes (appelés « haïkus ») ont été recueilli et mis en page sous forme de livrets en quatre volumes :
- « Le canard confiné »
- « Le canard déconfit »
- « Le canard retrouvé »
- « Le canard libéré »
A travers une démarche participative et citoyenne, ce travail de mémoire a été entièrement réalisé par les bénévoles du centre social. 10 d’entre eux se sont rencontrés à 9 reprises (dont parfois à distance) pour recueillir l’ensemble des photos et des poèmes, faire une sélection, réaliser la mise en page sur un logiciel libre, rédiger un dossier de demande de subvention auprès du Fond de Participation des Habitants, faire le lien avec l’imprimeur, etc.
Afin de conserver ce témoignage pour les générations futures, les quatre « canards du confinement » seront remis au pôle archives et mémoire de la Ville d’Agen à la Médiathèque Lacépède.
Le partenariat avec la Médiathèque Lacépède a également permis de proposer une exposition entièrement élaborée par les bénévoles intitulée « Le canard confiné s’expose ». Cette exposition sera itinérante dans différents lieux de la Ville d’Agen à partir du mois de mars 2021.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Immortaliser la période de confinement, dé confinement et reprise des activités sur le centre social,
- Créer une trace pérenne pour les générations futures sous forme de livrets, mais aussi sous forme d’exposition,
- Maintenir le lien entre habitants et avec la Maison Montesquieu
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
- Prise de vue de la ville lors du confinement et du dé confinement.
- Écritures de textes sur cette même période, avec découverte de Haïkus. Ceci a permis un certain nombre d’adhérents de rejoindre ce projet.
- Lancement d'un appel à contributions (photos + textes) via une plateforme numérique collaborative.
- Mise en page du journal au travers d’ateliers à distance (skype) puis lors des ateliers en présentiel.
- Mise à disposition du livret à l’ensemble des agenais et remise officielle aux archives municipales.
- Exposition à la médiathèque ouverte aussi à tous publics.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Coût total du projet "Canards du confinement" : 5 194€
Coût total du projet "Le canard confiné s'expose" : 2 269€
Action ayant bénéficié du soutien du Fond de participation des habitants à hauteur de 1 000€ et de la participation de la Direction de l'Action Culturelle de la Ville d'Agen à hauteur de 829€.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Equipe de la Maison Montesquieu : 1 directrice + 1 référente démarche participative et citoyenne
- 10 adhérents/bénévoles
- Direction de l'Action Culturelle de la Ville d'Agen : 1 directrice + 1 médiatrice
- Communication : 1 chargée de communication + 1 imprimeur
- Résultat sur le territoire
- Création d'un travail de mémoire collectif.
- Développement de partenariats culturels.
- Résultat pour le centre social
- Favoriser la visibilité du centre social.
- Résultat pour les habitants
- Maintien des liens sociaux en période de confinement.
- Valorisation de la place des habitants dans la réalisation d'un projet citoyen.
- Permettre l'échange et le dépôt de paroles face aux périodes vécues.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
L'exposition "Le canard confiné s'expose" a vocation a être itinérante sur l'ensemble du territoire d'intervention du centre social.
Différents acteurs du territoire souhaitent accueillir l'exposition : acteurs institutionnels, équipements culturels, associations locales, etc
Actions
LE LYANNAJ DES SOURCES
- Structure organisatrice
- LE CARBET - Guadeloupe
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Solidarité
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
L'association LE CARBET propose depuis des années, dans le cadre du Contrat Local à la Scolarité de la CAF, un accompagnement scolaire à 30 enfants scolarisés issus des quartiers prioritaires du bourg de la ville de CAPESTERRE BELLE EAU.
Au fil du temps, un lien s’est tissé avec les habitants de la Cité des Sources 2, quartier prioritaire situé à proximité de plusieurs établissements scolaires, de nombreuses habitations individuelles et collectives avec une population d’origine et d’âge très diverses.
L’association LE CARBET se propose d’aménager et d’animer le parc qui se trouve au centre de la Cité des Sources 2 en plusieurs phases :
- PHASE 1 : Clôture de l’espace avec les jeunes du quartier et création d’un jardin participatif
Il s’agit de sécuriser l’espace pour les usagers du parc et éviter que les voitures y stationnent. Ensuite une zone sera délimitée pour créer un jardin participatif. Les jeunes du quartier seront associés à la réalisation de la clôture et l’amour des plantes donnera la possibilité aux séniors de passer du temps dans le jardin.
- PHASE 2 : Création d’un Carbet pour mettre en place des animations régulières avec les habitants.
Les jeunes seront aussi associés à la construction du carbet qui aura pour vocation de d’être un lieu de rencontre et de partage entre les habitants du quartier. Des activités régulières leurs seront proposées (artisanat, créations florales, récupération, troc,..) tout au long de l’année et ouvert à tous pour favoriser les liens intergénérationnels.
- PHASE 3 : rénovation du plateau sportif pour faciliter l’accès à la pratique sportive
Le plateau sportif sera rénové avec la participation active des jeunes du quartier. Du matériel sera installé pour la pratique des sports collectifs. Les enfants inscrits à l’association LE CARBET pourront faire du sport et le terrain pourra être mis à disposition d’autres associations sportives.
Des séances de Fitness et de remise en forme sera aussi accessible aux habitants du quartier.
Des rendez vous culturelles et artistiques seront organisées pour facilité l’accès à l’art et à la culture.
L’association va recruter un Adulte Relais pour piloter le projet qui devrait s’étaler sur une période de trois ans.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Elle a été mise en place pour :
-
-
- Favoriser les liens intergénérationnels
- Permettre l’accès aux loisirs pour les enfants résidents du quartier.
- Proposer des projets favorisant la participation active des habitants
-
-
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Plusieurs rencontres avec les parents d’élèves ont eu lieu pour exposer la situation actuelle du site. Nous avions convié par la suite, l’ensemble des riverains à assister à une réunion d’échange et d’information afin que nous puissions les aviser de notre concept d’EVS. Pour cela, des affichettes leur sont distribuées par l’intermédiaire de nos élèves inscrits à l’association (porte-à-porte) pour mettre en avant cette proximité avec les habitants du quartier. A travers nos échanges, nous avons pu constater une certaine réticence des habitants, en l’occurrence celle des personnes âgées pour la plupart, à vouloir se positionner sur l’idée de ce concept EVS. La crainte de sortir aux côtés des jeunes logés sur le parc et de nombreuses interactions et marques d’incivilités avec ces derniers sont à l’origine de cette méfiance accrue en matière de sécurité. Seule une dizaine d’habitants s’étaient alors déplacés pour l’occasion.
Après un entretien avec l’artiste peintre Evanor natif de la commune et diplômé de l’Ecole des Beaux-Arts, il prend part au projet de réhabilitation du parc. Il est convié à se joindre à l’association lors de la rencontre avec les habitants. Lors de celle-ci, ils ont pu communiquer et surtout émettre leurs idées afin qu’ils puissent élaborer ensemble d’un plan d’action avec les différentes étapes et dates à venir pour débuter le projet. Une campagne de communication est réfléchie pour pouvoir attirer le plus grand nombre de personnes, L’objectif étant de pouvoir restructurer le site sans le dénaturer, nous entrevoyons de leur présenter, en intégrant leurs idées, leurs savoir-faire un atelier déco à partir de pneus usagés. Le 03 mars 2021, l’atelier de décoration débute avec dix habitants et six jeunes du quartier qui pendant toute la durée de l’action resteront à l’écart en faisant le va-et-vient et en observant leurs aînés. Les habitants sont au rendez-vous ce 10 mars 2021 pour la deuxième séance de travail. Ils finissent la décoration des pneus à la peinture et vernissent pour d’autres. Ils se projettent d’ores et déjà en se demandant après l’atelier de décoration sur quelle autre activité qu’ils pourront travailler.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
44 360€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 professionnels et 30 bénévoles
- Résultat sur le territoire
Cette action contribue à l'amélioration du cadre de vie des habitants
Le parc devient un espace ouvert et inclusif
- Résultat pour le centre social
Le centre social favorise les échanges intergénérationnels à travers ce projet
C'est une action que le centre social désire développer dans d'autres quartiers.
- Résultat pour les habitants
Les habitants font connaissance et apprennent à se connaître
L'action permet aux habitants d'être à l'initiative des actions menées dans leur quartier
- Suite de l'action : Limites
Les échanges entre jeunes et séniors sont encore limités..
Certains équipements dépendent de l'accord et du financement de la ville.
- Suite de l'action : Perspectives
A terme, le parc doit devenir un espace ouvert avec des activités possibles pour tous ( plateau sportif, jardin partagé, jeux pour enfants)
Cette action doit se déployer dans d'autres quartiers et surtout doit donner la possibilité à tous les habitants de se mobiliser et d'agir pour le bien-être de tous.
Actions
Les paroles de la Maison Montesquieu : recueil de témoignages d'habitantes sur le thème de la vieillesse
- Structure organisatrice
- Maison Montesquieu (Centre social centre-ville) - Lot-et-Garonne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Solidarité
- Démocratie & citoyenneté
- Viellissement
- Résumé
« Les paroles de la Maison Montesquieu » est un projet qui reflète la rencontre intergénérationnelle entre Camille, en service civique au centre social pendant 7 mois (du 1er février au 31 aout), et 12 femmes de plus de 60 ans, engagées et investies dans leur centre social. De cette rencontre est née la volonté, pour Camille et les participantes, de construire un projet audio pour valoriser la parole et la place des femmes au sein de notre société. Après plusieurs temps d’échanges, elles ont eu à cœur de porter 3 questionnements quant à la place des femmes :
- Le rôle de la grand-mère
- Etre femme et retraitée
- Le parcours de femme
Camille et les participantes se sont investies pendant presque 8 mois autour des actions suivantes :
- Enregistrement du témoignage des participantes pendant des entretiens individuels,
- 1 atelier au Florida pour découvrir le montage radiophonique avec un animateur multimédia
- 2 ateliers de montage ont été mis en place au centre social avec un bénévole du centre social
- 3 temps d’écoute ont été mis en place afin de valider l’ensemble du projet.
- Participation à l’émission « La Quotidienne » dans les studios de Radio Bulle.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Autre
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Lutter contre l'isolement des personnes fragiles
- Valoriser la place des femmes âgées au sein de la société et de leur territoire
- Favoriser les échanges et les rencontres intergénérationnelles
- Découvrir le numérique et le support radiophonique
- Mettre en lumière le parcours d'habitants-acteurs au sein du centre social
- Public
- Seniors
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
- Lancement d'un appel à participation auprès des adhérentes du centre social
- Recueil des problématiques/thématiques importantes auprès des femmes volontaires
- Rencontre avec les participantes du projet au cours d’entretiens individuels et enregistrements
- Constitution d'un groupe de travail composé de Camille (service civique), participantes volontaires et d'une référente du centre social
- Mise en place des ateliers radiophoniques et numériques liés au projet :
- Atelier : découverte du montage radiophonique avec Le Florida
- Atelier : Sensibilisation au podcast
- Atelier : Temps d’écoute des podcasts terminé
- Rencontres avec les associations locales pour une présentation des podcasts, en vue d'une diffusion pour mars 2022.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
15 euros pour le repas de valorisation du projet en présence des participantes, des bénévoles, des partenaires et de l'équipe du centre social.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 service civique
Equipe du centre social = 1 directrice + 1 référente du projet
12 habitantes
1 bénévole radio
1 animateur multimédias
- Résultat sur le territoire
Aspects qui seront évalués à la finalité du projet en 2022.
- Résultat pour le centre social
- Favoriser la visibilité du centre social
- Résultat pour les habitants
- Dépassement de soi
- Fierté des participantes et prise de confiance
- Mobilisation des participantes pour les activités de la Maison Montesquieu
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
- Diffusion des podcasts lors du mois de la femme en mars 2022 (modalités à définir avec le groupe de femmes participantes au projet et les radios locales).
- Poursuite du projet « Les paroles de la Maison Montesquieu » et du format podcast sur une autre thématique portée par les habitants du territoire.
Actions
Accompagner les familles pour l’acquisition et l’utilisation d’outils numériques dans le cadre du travail scolaire à domicile
- Structure organisatrice
- ASSOC. MONTARGOISE D'ANIMATION - Loiret
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
L'action a été totalement réalisée en 2021 et devrait être reconduite en 2022.
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Résumé
Le projet consistait à former des familles à l'utilisation d'un ordinateur et à l'utilisation des supports de l'Education Nationale (ENT et Pronote) puis à les équiper d'un ordinateur reconditionné et d'une imprimante.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Pendant le confinement, les enfants n’ont pas pu aller à l’école. Les cours ont donc eu lieu en distanciel par les enseignants. En ce qui concerne les écoles du quartier, les familles avaient la possibilité de récupérer les devoirs, en version papier, auprès de leur école. En parallèle et surtout à partir du collège, les enseignants ont utilisé les outils numériques pour envoyer les cours et les exercices à faire. Il s’agissait notamment :
- Sites dédiés type pronote où enfants et parents pouvaient se connecter pour savoir le travail à faire
- Echanges entre un enseignant et un ou plusieurs enfants par le biais de visio
- Envoi de mails avec le travail à faire
Cette situation a mis de nombreuses familles en difficulté :
- D’une part, les parents ont dû assurer le suivi scolaire mais également les cours alors que certains étaient déjà en difficultés (mauvaise compréhension orale et mauvaise maîtrise de l’écrit ; petit niveau de scolarisation voire en décrochage scolaire,…) pour aider leurs enfants dans les devoirs à faire
- D’autre part, la situation a fait apparaitre des difficultés pour beaucoup de familles en ce qui concerne l’utilisation des outils numériques. En effet, les familles possèdent souvent un smartphone qui peut permettre de communiquer avec l’établissement scolaire mais cette réalité cache de nombreuses lacunes :
- -) le temps que l’enfant a accès au smartphone peut être limité en fonction du temps de présence du parent qui l’utilise au sein du foyer. Des parents ont recopié des exercices de leur smartphone sur papier afin que leurs enfants puissent faire le travail demandé.
- -) la compréhension pour utiliser les sites dédiés
- -) la réalisation de tout travail écrit
- -) les conséquences sur le corps, la vue lors d’utilisation prolongée de petits écrans notamment ceux des smartphones
Le confinement a renforcé l’utilisation des outils numériques qui étaient déjà présent dans l’organisation scolaire. Il a mis en exergue la rupture numérique d’un public tant du point de vue de l’absence d’outils que de connaissances pratiques pour les utiliser.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Dans le cadre de cette démarche expérimentale, le projet serait donc d’aider 10 familles à acquérir les outils numériques nécessaires au travail scolaire mais aussi de former parents et enfants à l’utilisation de ces outils.
Etape 1 : aider les familles dans l’acquisition d’outils numériques
- Achat d’ordinateurs
Il s’agirait d’aider les familles à acquérir un ordinateur (+écran + clavier + souris) afin de répondre aux besoins décrits précédemment. Nous ne souhaitons pas axé cette démarche vers du matériel neuf coûteux mais plutôt de proposer du matériel reconditionné et sensibiliser par la même occasion, aux démarches de développement durable. Pour se faire, nous travaillerions en partenariat avec le chantier d’insertion ICARE de FAP.
Le matériel est vendu 80 €. Les familles auraient 50 € à prendre en charge avec éventuellement un échelonnement du paiement sur 5 mois maximum. Nous sollicitons le contrat de ville pour apporter une aide à l’acquisition de l’ordre de 30 € par famille.
L’achat d’ordinateurs comprendrait également l’installation des ordinateurs au domicile des familles pour celles qui auraient du mal à configurer, paramétrer le matériel bien qu’ayant suivi la formation décrite ci-dessous.
- Acquisition d’imprimantes : achats groupés
Ordinateur, tablette, smartphone sont nécessaires pour communiquer avec les établissements scolaires mais certains périphériques comme les imprimantes sont également indispensable dès que l’élève doit rendre un travail écrit (exercices, expo,…). Une action serait donc de proposer aux familles intéressées de réaliser un achat groupé et de négocier avec un distributeur.
Si cette démarche se concrétise, nous orienterons également vers le remplissage des cartouches au lieu d’en racheter de nouvelles, ce qui représenterait un autre aspect de sensibilisation au développement durable.
Etape 2 : former les parents et les enfants
Les parents sont plus en difficulté que les enfants dans l’utilisation des outils numériques. Face à ce constat, nous aimerions proposer une formation qui tienne compte de cette réalité.
Les familles seraient divisées en 2 groupes et chaque groupe bénéficierait du cursus suivant :
- 1 module de 5 séances pour les parents sur l’utilisation générale de l’ordinateur
- 1 module de 2 séances pour les parents sur l’utilisation de l’outil spécifiquement dans le cadre scolaire
- 1 module de 2 séances pour les enfants sur l’utilisation de l’outil spécifiquement dans le cadre scolaire
- 1 module de 2 séances pour une mise en commun parents et enfants
- 1 module complémentaire de 2 séances en lien avec la FRAPS pour prévenir les dangers issus des écrans
Le premier module serait encadré par un intervenant d’orange Solidarités, les 3 suivants par cette même personne et l’animatrice – référente famille de l’AMA et le dernier module par notre animatrice et la FRAPS.
Les séances seraient de 2 heures.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
5500 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 salariés et un intervenant en mécénat de compétence
10 familles soit 10 parents et 18 enfants
- Résultat sur le territoire
* des familles qui ne se connaissaient pas ou de vue ont appris à se connaitre et discutent désormais ensemble.
- Résultat pour le centre social
* création de supports de formation (initiation PC, la messagerie électronique, Pronote,…) pouvant être réutilisés
* répondre aux orientations de notre projet centre social
- Résultat pour les habitants
* public réceptif en attente de cette aide, content qu’une structure s’occcupe de lui et lui explique
* reconnaissant de lui fournir un matériel en bon état de fonctionnement et abordable financièrement
* apprentissage du Libre Office qui ne demande pas de mises à jour payantes
* capacité du public à créer une boite mail puis à rédiger, envoyer et recevoir un mail, utilisation de la copie carbone et de la copie invisible
* capacité des parents à utiliser Pronote grâce à des exercices pratiques
* développement du travail parents-enfants en utilisant Pronote comme un outil de travail commun et pas uniquement un moyen de contrôle des notes
* capacité des parents comme des enfants à rédiger et présenter un courier en traitement de texte
* prise de confiance. Un des papas qui avait des problématiques linguistiques était plutôt fermé. Les autres parents l’ont soutenu, une maman lui a traduit parfois en arabe les informations qu’il avait du mal à comprendre. Lors des temps collectifs, ses 2 filles l’ont beaucoup aidées et nous avons vu une réelle progression dans l’utilisation de l’ordinateur.
* apprentissage de l’écoute et notamment de celle du parent envers son enfant
* prise de conscience des risques liés aux écrans grâce à des vidéos de prevention et grâce aux ateliers de la FRAPS. Les discussions ont permis de libérer la parole, de prendre conscience de ce que les familles connaissent et surtout les situations auxquelles les enfants ont pu être confrontées. Ainsi en partant de ces constats, les parents ont pris conscience qu’ils devaient être plus attentifs à ce que leurs enfants regardant.
* forte entraide entre les participants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Cette action devrait être reconduite en septembre 2022.