Historique

Date du 1er agrément : 01/01/2011
Population de la zone de compétence : 18000

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : animation de quartier
• Axe 2 : famille
• Axe 3 : cadre de vie
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 20/02/2012
Population de la zone de compétence : 16520

En Mars 2014, une annexe de la maison de quartier du cyprié a été ouverte sur une nouveau quartier de la commune "le vidailhan". Cette annexe est appelé la maison de quartier de vidailhan.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : ACCOMPAGNEMENT A LA PARENTALITE
• Axe 2 : LIEN SOCIAL ET BIEN ETRE
• Axe 3 : DYNAMIQUE DE RESEAU
• Axe 4 : ACCOMPAGNEMENT A L'ACCES DROIT ET AU NUMERIQUE
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 02/11/2013
Population de la zone de compétence : 4136

Cinq Maisons de quartier sont réparties sur le territoire de Grande-Synthe. 2 annexes permettent de répondre aux besoins des habitants sur les lieux excentrés de la Ville. 

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Mieux vivre ensemble au moulin
• Axe 2 : Une jeunesse citoyenne et engagée
• Axe 3 :
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/1992
Population de la zone de compétence : 3385

1992, la maison de quartier du Pavement a été construite sur une ancienne grange .

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Développer le pouvoir d'agir des habitants
• Axe 2 : Inscrire la maison de quartier du pavement dans sa dimension d'insertion sociale, professionnelle et culturelle
• Axe 3 : Mettre en place/Accompagner des actions collectives familles
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/2014
Population de la zone de compétence : 11469

La municipalité d’Ivry-sur-Seine a inscrit dans son programme de mandat 2008 – 2014 la volonté de créer dans les quartiers de la Ville des centres sociaux agréés par la CAF. En 2011, la Maison de la Citoyenneté Monmousseau s’est ainsi transformée en « Maison de Quartier du Plateau-Monmousseau », agréé centre social. Dans le même temps, deux autres quartiers, Petit-Ivry et Gagarine, ont été retenus par les élus comme les prochains projets à mettre en œuvre.

Le processus de réflexion pour transformer le Centre Socioculturel et Sportif Pierre et Marie Curie (PMC) en Maison de Quartier/centre social a été validé lors du Bureau municipal du 2 mai 2011.

De 1989 à 2011, le centre PMC est un équipement sportif et culturel géré par la Direction des Sports qui porte le nom du quartier. Il a joué un grand rôle sur l’éducation et l’animation de proximité auprès des habitants et des professionnels. Lors de notre évaluation, notre diagnostic et notre rencontre publique du 1er semestre 2021, il a été évoqué en effet les bienfaits ainsi que les rôles qu’ont joués les équipes du centre sportif.

La genèse du centre social commence en 2011/2012 avec une forte volonté politique suite à la nomination d’un chef de projet qui prend le soin d’associer tous les partenaires gravitant autour du centre PMC (les services, associations partenaires et les collectifs d’habitants). Un important travail de prospection et de diagnostic mis en place avec le directeur a été observé dans le 1er agrément, dans le respect des orientations fixées par la CAF et en appui de la circulaire CNAV de 2012.

Zoom sur le fonctionnement sur l'année 2021: La crise sanitaire due au Covid 19 s’est traduite par des répercussions concrètes sur l’accueil des usagers et l’organisation des activités de la Maison de Quartier. En effet, nous avons priorisé la mise en place d’un accueil téléphonique et physique uniquement sur rendez-vous afin de répondre aux besoins des usagers. L’équipe en place déjà réduite a été impactée par cette période. La mise en de renfort d’agents des autres services de la ville a été opère par notre direction générale afin d’assurer la continuité des services  et pour venir en aide aux familles, de plus une grande mobilisation des habitants bénévoles (30 pers en tout) et renforcer l’équipe pour les portage de colis...

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : LA MAISON DE QUARTIER : UNE IDENTITÉ FORTE, UN FOYER D’INITIATIVES CITOYENNES
• Axe 2 : LA MAISON DE QUARTIER : UN LIEU DE PROMOTION DU VIVRE ENSEMBLE
• Axe 3 : POSITIONNER LA MAISON DE QUARTIER AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT SOCIAL LOCAL
• Axe 4 : UNE EQUIPE AU SERVICE DU PROJET DE LA MAISON DE QUARTIER
• Axe 5 : LA FAMILLE, PÔLE MAJEUR DU PROJET DE LA MAISON DE QUARTIER

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/1976
Population de la zone de compétence : 4000
Le Centre social est géré par la Ville de Chalon sur Saône depuis 1986. Il était auparavant associatif. Son premier agrément date de 1976.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 :
• Axe 2 :
• Axe 3 :
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/2011
Population de la zone de compétence : 14000

Le centre social municipal a été inauguré en mars 2011. La municipalité d'Ivry sur Seine a souhaité créer son premier centre social sur le quartier du Plateau Monmousseau afin de transformer un équipement où étaient superposées plusieurs services. La volonté des élus a été de mettre en place une équipe dédiée pour mettre en œuvre un projet social cohérent qui puisse s'appuyer sur les leviers et atténuer les freins du territoire révélés dans le cadre du diagnostic social partagé.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : RENFORCER L'ACCES AUX DROITS, PREVENIR LES FRAGALITES LIEES A LA VIE QUOTIDIENNE ET LUTTER CONTRE LES SITUTIONS POUVANT MENER A L'EXCLUSION.
• Axe 2 : PROMOUVOIR L'ENGAGEMENT ET LA CITOYENNETE A LA VIE SOCIALE DU QUARTIER.
• Axe 3 : FAVORISER L'ANIMATION SOCIALE ET CULTURELLE DU QUARTIER.
• Axe 4 : SOUTENIR LA PARENTALITE TOUT EN FAVORISANT LES LIENS FAMILIAUX ET ACCOMPAGNER LES PARENTS DANS LEURS MISSIONS EDUCATIVES.
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/1980
Population de la zone de compétence : 5700

Pour répondre aux besoins des jeunes du quartier, dès 1955 des militants chrétiens du Soleil avaient mis en place un club de jeunes qu’ils animaient sous l’égide de la paroisse qui mettait à leur disposition un local situé 1 rue de Monteil. Ce club sous la responsabilité de Marc VINCENT était un lieu ouvert aux garçons du quartier. Son but essentiel était de permettre aux jeunes de se rencontrer et de se prendre en charge en mettant à leur disposition un local équipé d’un baby foot, d’un billard et en organisant des sorties au cours des week-end. Ce club ne connut une existence officielle qu’en 1962, année au cours de laquelle furent déposés des statuts en Préfecture qui lui permirent alors d’obtenir l’agrément de Jeunesse et Sports bénéficiant ainsi de subventions d’équipement et de fonctionnement mais également de répondre aux critères indispensables à l’organisation de camps de vacances pour les adolescents. C’était également un passage obligé pour pouvoir intégrer la toute nouvelle « Fédération des Foyers de Jeunes » et de bénéficier des services du SMAC (Service Municipal d’Action Culturelle). Sous l’autorité de ce service un animateur municipal fut détaché pour assurer l’animation et la gestion du bâtiment mais également de proposer aux bénévoles des formations répondant à l’évolution de l’activité de ces nouvelles structures. Au fil des ans, après Albert Chanut et Roland Roche, ce furent Gérard Dufour, Nicole Courbon, Alain Chapuis,… qui assurèrent cette fonction. C’est également au cours des années 1962-1963 que le Foyer s’ouvrit aux filles du quartier. En 1969 la municipalité Durafour obtenait la création de « 7 Mille Club » dans les quartier stéphanois… alors que huit Foyers de Jeunes souhaitaient bénéficier de ces nouvelles installations. Les administrateurs du Foyer des Jeunes du Soleil sous la présidence de Georges Gratessole acceptèrent de se retirer de cette opération après avoir obtenu l’engagement de la Municipalité stéphanoise d’étudier les besoins de ce quartier et de prendre en charge la construction d’un bâtiment répondant à ses besoins. Cette promesse se concrétisât par la construction en 1971 d’un bâtiment communal 9 bis bd Fauriat avec le mise à disposition d’un animateur municipal (Alain Chapuis) Le centre de loisirs sans hébergement a été ouvert, avec une tentative de travail en commun avec celui de l'amicale laïque du soleil ce qui, encore à cette époque, faisait figure d'une révolution. C’est également à cette époque que le « foyer » s'ouvre aux adultes. La transformation en maison de quartier vient donc prendre en compte cet état de faits. Déclaration en Préfecture du changement d'adresse avril 1972 La Présidente Dominique Rochette signera la convention de mise à disposition le 21 décembre 1973 Cette évolution permit d’élargir le champ des activités. Avec la mise en place d’un atelier mécanique et d’un ciné-club les ateliers de poterie, vannerie, et labo photo virent le jour ou prirent un nouvel essor. Des animations culturelles, soirées cabaret furent également organisées régulièrement. C’est à partir de cette époque que les activités sont proposées aux familles ; centre de loisirs ; accueil de tous publics dans différentes activités : manuelles, artistiques, musicales Le 23 juin 1976 le foyer des jeunes change de nom et devient « Maison de Quartier du Soleil » avec comme Président M. Pierre ARDORE accompagné par Alain Chapuis, animateur municipal. En 1977 à l’initiative du Comité de Quartier « CARAMATRAN « renaît de ces cendres, cette tradition populaire connaitra tous les ans une nouvelle apothéose dans les rues et sur la place du Soleil. A partir de la seconde édition nous reprenons l’animation de Carnaval à notre compte en lien avec les écoles et les centre de loisir du quartier. A noter la création du ciné club dans les locaux de l’amical laïque Cette même année les bénévoles de la Maison de Quartier en partenariat avec le Comité de Quartier organisent une grande fête populaire du 22 au 25 juin 1977 sur la place du Soleil. la première édition de la fête sur la place projet d'animation ambitieux de faire revivre la fête dans un quartier qui a gardé les apparences et les traditions d'un village. En effet quatre jours de spectacles en tout genre du théâtre pour les enfants, de la pop musique aux chanteurs auto-compositeurs, de la musique folklorique s'y succèderont sans oublier les ateliers pour enfants. En 1979 ouverture d’un Club de Jeunes pour les 15/18 ans avec l’embauche d’un animateur à mi-temps (jean paul verdier) en lien avec les éducateurs de l’AGASEF au programme ping pong, sorties vélo et sorties ski, séjours en période de vacances . En 1980 création d’un collectif de travailleurs sociaux sous l’impulsion de l’équipe d’éducateurs de prévention de l’Agasef et des animateurs de la Maison de Quartier C’est à cette période que la Maison de Quartier est agréée centre social par la Caisse d’allocations Familiales Dans les années 1980 de nombreuses activités se développent c’est le cas pour le centre de loisir du mercredi qui fonctionne pendant les vacances scolaires et aussi l’été. Le centre de loisir ouvre une antenne à Méons dans les locaux du centre social de Reveux géré par les éducateurs de l'AGASEF. Cette initiative a connu un beau succès tant il est vrai que dans ce quartier, il n'y avait rien de très attractif pour les enfants et les jeunes. Des animations sont proposées en direction des écoles et du collège Jules Vallès : prévention des accidents domestiques, ateliers péri scolaires, soutien scolaires, La maison de quartier développe dans les années 1980 à 1990 des animations culturelles, expositions, soirées cabaret, soirée débat, ciné club, en utilisant les locaux de nombreux partenaires (Paroisse, Sonacotra, la Fraternité, l’Amicale, le Centre Culturel de Creusot Loire) en 1982 le bluesman John Lee Hooker est l'invité vedette pour fêter les 20 ans de la création du foyer des jeunes. En 1982 la maison de quartier obtient le financement du poste de direction par la municipalité suite au retrait de l’animateur municipal. Est retenu pour ce poste l’animateur jeune jean paul Verdier. C'est en 1984 que l'informatique apparaît sous forme de stage « d'initiation au basic » à la maison de quartier. Après de nombreuses années l'informatique se démocratise et devient en 2007 un atelier commun ouvert à toutes les générations sous le label Espace Public Numérique. En 1987 parution du journal de quartier « le P’TIT Soleil », bi mensuel d’information diffusé sur le quartier et financé par la publicité. Ce journal reflète la vie du quartier, associative, économique, sociologique et historique il eu un franc succès et s'arrêta en octobre 1989 avec le dixième numéro. Les manifestations diverses et variées se succèdent à un rythme soutenu, expositions sur les accidents domestiques, sur les abeilles, sur les instruments à cordes, de masques de carnaval, sur l'Amérique Latine, sur la mine et les puits de mine, spectacles de musique, représentations théâtrales, commémoration du bombardement de Saint -Etienne, Téléthon, Nouvel An Chinois, Semaine de lutte contre le racisme, cinéma en plein air, concert Talents cachés etc.... Depuis la Maison de Quartier agréée Centre Social présente tous les 4 ans son projet sous forme de dossier unique aux trois financeurs principaux : Commune, Conseil Général et Caisse d'Allocations Familiales. Ce projet met en valeur la place de la Maison de Quartier comme acteur de développement local et promoteur de la participation des habitants en s'appuyant sur un diagnostic de territoire. La Maison de Quartier est un équipement de proximité, d'accueil et d'animation globale. C'est un lieu d'écoute, d'échange et de rencontre des habitants. La Maison de Quartier cherche à développer une politique globale de « vivre ensemble et de lien sociale » en s'appuyant sur la transmission de la mémoire des habitants entre les générations. Maurice Avon, Président de la Maison de Quartier met en place un atelier rencontre échange autour de la transmission de la mémoire des habitants. Cette initiative est couronnée de succès et plébiscitée par les habitants jeunes et moins jeunes du quartier et se poursuit encore aujourd'hui. Le groupe mémoire s'étoffe chaque années et présente des expositions, des diaporamas et participe en septembre 2010 à l'édition d'un livre sur le quartier du Soleil en partenariat avec l'unité Art et Histoire de la Ville et les archives municipales. La Maison de Quartier propose de nombreuses manifestations et fêtes de quartier tout au long de l'année. Depuis l'année 2000 avec les bénévoles, les services municipaux nous avons travaillé à la création d'un nouveau bâtiment nous permettant de répondre au développement de notre structure. En attendant cette construction nos activités sont relogées en septembre 2003 dans les locaux de l'Amicale. L'architecte Gérard Tinland, les techniciens du service animation de la Ville ont travaillé en collaboration avec les bénévoles et les salariés de la Maison de Quartier pour prendre en compte les besoins des différentes activités. Cette approche partagée a été une démarche volontaire impulsée par le Président Maurice Avon permettant à chacun de s’exprimer et de s'approprier collectivement ce projet. La pause de la 1ère pierre à lieu le 2 septembre 2007, l'inauguration de la nouvelle Maison de Quartier du Soleil le 11 octobre 2008. ce bâtiment de 880m2 très attendu dans le quartier fait l'unanimité, spacieux, clair et fonctionnel il répond aux attentes du personnel et des bénévoles.

Depuis cette date, la Maison de quartier du soleil continue son développement au service des habitants. Les services proposés se multiplient pour répondre aux besoins repérés : relais petite enfance, insertion professionnelle, périscolaire, socialisation etc...

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Faire vivre l'espace public avec les habitants
• Axe 2 : Passer d'une logique de consommateurs à une posture d'acteurs
• Axe 3 : Favoriser la participation et la représentation des habitants
• Axe 4 : Accompagner le changement
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 15/03/1995
Population de la zone de compétence : 27000

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Favoriser le mieux vivre ensemble
• Axe 2 : Accompagner les habitants dans les situations de la vie quotidienne
• Axe 3 : Permettre l'accès à l'éducation pour tous
• Axe 4 : Soutenir et accompagner les familles au quotidien
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 27/10/2005
Population de la zone de compétence : 13919

Directeur: CAMACHO Sylvain

Référent famille: BOUZENZEN Malika

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Favoriser le lien social
• Axe 2 : Accompagner les habitants dans les situations de la vie quotidienne
• Axe 3 : Permettre l'accès à l'éducation pour tous
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 05/10/1978
Population de la zone de compétence : 1860

1er janvier 1994: intégration dans l'Association de gestion des centres sociaux de la Ville de Reims

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Développer les pratiques citoyennes en vue de dynamiser la vie sociale du quartier
• Axe 2 : Renforcer l’accès à la culture, à l’information et aux droits vecteurs de socialisation et d’insertion
• Axe 3 : Soutenir les familles et accompagner les parents dans l’éducation et la vie sociale de leurs enfants et des jeunes.
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/2009
Population de la zone de compétence : 11503

Centre social municipal ouvert suite à la fermeture d'un centre social associatif ASSOFAC 1er agrément en 2009 Rebaptisé Espéranto suite au 1er agrément

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Permettre l'épanouissement des individus
• Axe 2 : C'est par le bien-faire que se crée le bien être
• Axe 3 : Maison de quartier : Lieu d'émergence, foyer d'initiatives et de pouvoir d'agir sur le territoire
• Axe 4 : Mobiliser les habitants et renforcer le pouvoir d'agir
• Axe 5 : Valoriser et renforcer les actions de solidarité entre les habitants

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/2007
Population de la zone de compétence : 16526

Maison de quartier depuis 1982, agréé centre social depuis 2007

Axes du projet en cours :

• Axe 1 :
• Axe 2 :
• Axe 3 :
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/1995
Population de la zone de compétence : 23000

La Maison de Quartier et de la Citoyenneté (nouvelle appellation depuis janvier 2018) Georges Brassens est une « Maison de Quartier » municipale implantée de 1970 à 2015 près de la cité du stade/cité des Fleurs - 3 allée des Pensées dans un des quartiers du centre-ville de Bondy puis à partir de 2015 au coeur du centre ville (près de l'Hôtel de ville) et dont l’histoire remonte aux années 1960. 1964-2012 : une longue histoire de la maison de quartier Brassens . En 1957, une commission de réflexion sur les « problèmes de la vie dans les grands ensembles d’habitation » est créée par le Ministère de la Construction qui, selon l’historien spécialiste de l’histoire du logement social et de la Politique de la Ville Thibault Tellier (2008 : 10), prend « la mesure du risque qu’il y aurait à ne pas « encadrer » socialement les nouvelles populations ». C’est dans ce contexte que les locaux collectifs résidentiels (LCR) ont vu le jour en juin 1960 à la demande de l’Etat qui impose aux constructeurs d’ensembles résidentiels de plus de 100 logements, de prévoir des « locaux spéciaux » pour des utilisations collectives. Plusieurs constructeurs, comme la société centrale immobilière de la caisse des dépôts et des consignations (SCIC) sous l’impulsion de son directeur M. Bloch-Lainé, ont souhaité associer à la gestion des logements sociaux des services (équipements socio-culturels, terrains de jeux pour les enfants, espaces verts…) pour accueillir les nouveaux habitants. Ils vont alors créer des associations ad-hoc employant des travailleurs sociaux. Pour la SCIC, il s’agit donc de louer à l’Association pour le Logement Familial et l’Animation des Grands Ensembles (ALFA) créée en 1955, agréée association d’éducation populaire et membre de la Fédération des centres sociaux, les LCR construits dans ses programmes de logements. L’ALFA mandate alors un animateur ou une assistante sociale qui étudie l’affectation du local avec les habitants, les municipalités et les représentants des administrations locales. A Bondy, un groupe ALFA se structure dès avril 1964 et prépare l’ouverture d’un « chalet » avec l’aide d’un permanent. Une note d’information de l’ALFA datée du 30 novembre 1965 précise le rôle des permanents : « dans chaque centre de quartier, les permanents ALFA aident les habitants à trouver des réponses collectives aux divers besoins qu’engendre la vie en société, par une utilisation adaptée et enrichissante des temps de loisirs, dans le cadre d’activités socio-culturelles et éducatives, intérieures et extérieures aux locaux disponibles. (…) La marche de ces activités est ensuite assumée de plus en plus complètement par des bénévoles qui se réunissent en comités d’organisation et constituent finalement des associations d’animation, structurées selon la loi de 1901 ». Le 20 mars 1970, une convention est signée entre l’association ALFA et la SCIC qui met gratuitement à disposition à compter du 1er novembre 1969 rétroactivement et pour une durée de trente ans des locaux de 1 300 m2, à usage de centre social situé en rez-de-chaussée bas d’un immeuble de 6 niveaux. De la vingtaine d’années de fonctionnement du centre ALFA, il a été trouvé qu’un seul rapport d’activité daté de 1986 . Dans ce document, nous relevons plus particulièrement l’existence d’un « comité d’animation » appelé Comité pour les Loisirs et l’Animation Socio-Culturelle (CLASC) composé d’une dizaine d’associations sur quatorze présentes sur le centre. Le CLASC « est une union d’associations et de groupes fonctionnant au centre ALFA. Son but principal est de participer en collaboration avec l’équipe ALFA à la définition de l’animation dans le centre ». En 1986, « Il cherche à réviser certains points de ses statuts pour répondre plus complètement à sa volonté première : réunir le plus de bénévoles possibles autour de l’animation globale du centre. Les statuts devraient donc permettre notamment à des bénévoles non représentants de groupes ou d’associations de s’intégrer dans notre structure. Parallèlement une information plus importante auprès des utilisateurs est prévue et particulièrement un accueil destiné aux nouveaux arrivants » . Nous pouvons ici faire un parallèle avec les instances de participation (Conseil d’animation, Conseil d’usagers et Conseil de maison) qui semblent avoir les mêmes fonctions et que nous souhaitons (re)mettre en place dans la continuité de notre démarche de renouvellement de projet social. Notons que l’accueil est cité comme étant « une grosse partie de l’animation globale », ainsi qu’un important travail de liens avec les partenaires : « Ces rencontres ont été riches d’enseignements pour la connaissance nécessaire de la ville. Ceci conjugué avec le travail quotidien du centre, la rencontre des associations participant à son fonctionnement et l’étude des dossiers et archives permet peu à peu d’avoir une idée plus précise des besoins des habitants et de poser des jalons dans l’élaboration du projet du centre social » . Sans qu’il soit nommé, nous reconnaissons ici un travail de « diagnostic partagé », indispensable à l’élaboration d’un projet social. En conclusion de ce rapport, nous pouvons lire : « la mise en place d’un comité d’animation représentatif des forces vives du quartier s’avère nécessaire et urgente afin de pouvoir déboucher par la suite sur une association de gestion qui soit réellement le moteur d’une action promotionnelle sur le quartier » . Il s’agit là de préparer l’avenir puisqu’il a été convenu avec la ville un désengagement progressif de la SCIC sur quatre ans pour une reprise en gestion par la ville. En effet, à la fin de l’année 1989, un article dans le journal municipal « Le Bondynois » , au titre évocateur « Centre ALFA : une nouvelle « Maison Pour Tous ». Des espaces de liberté et de rencontres », informe par la voix du maire de Bondy Claude Fuzier, que le centre ALFA a souhaité la reprise de la gestion de la structure par la ville. Il est précisé que « pour préserver l’avenir d’un établissement utile », « ce sont donc les associations de gestion de la ville (ABC et ABI ) qui prendront en charge le « Chalet » et assureront sa transformation en Maison de Quartier ». C’est la création de la deuxième maison de quartier municipale (après le centre Daniel Balavoine dans le nord de la ville ouvert en 1979 et municipalisé en 1989) qui semble s’inscrire dans la politique municipale : « A partir d’une surface géographique délimitée, le territoire de Bondy sera dans une première étape coupé en quartiers, chaque maison offrira des activités socio-culturelles décentralisées et permettra à la vie associative de disposer de moyens supplémentaires pour s’exercer ». Dans un contexte de développement urbain et de concentration des populations, il est impératif pour le maire de Bondy de « rechercher les moyens de créer de nouvelles solidarités et de nouvelles rencontres ». L’objectif est de créer dans chaque quartier une « maison pour tous » pour répondre à la lutte « contre les ghettos qu’ils soient d’origine sociale, démographique ou culturelle » et « contribuer sans cesse au brassage des origines et des convictions. (la communauté démocratique) doit apprendre à vivre ensemble, à partir de valeurs essentielles, le respect d’autrui, la compréhension réciproque, l’esprit de tolérance». Le 4 décembre 1989, l’exécutif municipal retient le nom de « Georges Brassens » . Un protocole d’accord stipulant que la gestion du centre sera assurée par la ville de Bondy est signé le 8 janvier 1990 avec la SCIC Gestion Ile-de-France. L’article 2 précise « la destination des lieux est celle d’un centre social. Il ne pourra être utilisé à d’autres fins ». Le projet social établi pour demander le renouvellement de l’agrément en 1990 fixe à l’équipe du centre une orientation autour de la participation des usagers aux projets du centre : « Cette équipe participera aux diverses activités en proposant des ateliers précis, mais aussi et surtout en favorisant la participation de chacun dans l’initiation et l’élaboration des projets. Elle devra toujours veiller à ce que l’individu ne devienne pas un consommateur mais l’artisan de son propre quotidien ». Notons que cette préoccupation semble s’être perdue avec le temps. Constatant le développement de prestations de services aux dépens du soutien aux initiatives des habitants, il a été jugé nécessaire de repenser la question de la participation dans le cadre du renouvellement du projet social 2014-2017. Dans un paragraphe de ce projet social de 1990 consacré à la « vie associative dans le centre », il est indiqué que « l’équipe du centre prévoit de sensibiliser les associations du centre au projet social, ainsi chacun pourra selon ce qu’il souhaite donner, participer au « développement social » du quartier ». Il est même précisé : « Nous devons travailler avec elles mais pas pour elles. La Maison de Quartier n’est pas la Maison des associations » ; ce qui fait écho avec la situation d’aujourd’hui. En 1994, un article dans Le Bondynois , nous apprend qu’une troisième Maison de Quartier s’est ouverte sur le quartier Blanqui (à ce jour annexe du centre Brassens) et qu’un « Espace Brassens » a été ouvert au 1, place Neuburger (aujourd’hui « Maison des Parents et de la Famille »). Le 16 décembre 1996, la ville décide d’intégrer la gestion de ses Maisons de Quartier et centres sociaux dans le service public communal à compter du 1er janvier 1997 et approuve le « nouveau contrat de projet » permettant le versement de la prestation de service CAF. Ce document d’une dizaine de pages, répertorie 17 activités suivies par 700 personnes sur l’année scolaire 1995/1996 : les cours de langues (anglais, macédonien, arabe et portugais) ont réuni plus de 300 personnes, 93 se sont inscrites aux cours de danses (de salon, moderne jazz, yougoslave). L’espace jeune a rassemblé 200 jeunes adolescents de toute la ville. Il est noté que le public provient essentiellement de cinq quartiers (Blanqui, De Lattre, Cité du Stade/cité des Fleurs, La Bruyère et Les Merisiers). En conclusion de cette première partie « environnement du centre social », il est indiqué que « le centre devient donc peu à peu un lieu de rassemblement des différents quartiers de Bondy. Aussi, il nous faut continuer à tout mettre en place pour que ces différentes populations se rencontrent et construisent ensemble leurs projets pour leur cité mais aussi pour eux-mêmes. Notre projet va prendre en compte cette réalité, et pouvoir s’orienter vers la construction commune, avec la population, de ce grand édifice qu’est ce Lieu de ressources et d’échanges ». Nous voyons ainsi se dessiner la prise en compte d’enjeux de lien social, d’autonomie, qui vont se traduire dans la partie « Nouveau contrat de projet » par un objectif de soutien et d’accompagnement à la création d’un « réseau de femme » : « Notre objectif (…) est de créer un réseau de femmes susceptibles de poursuivre l’action engagée dans leur quartier, dans leur ville ; leur permettre d’être un relais auprès de leurs voisines, de leurs amies ». Par ailleurs, il est indiqué qu’il pourra être fait appel à des bénévoles pour du soutien scolaire auprès des enfants. A la demande des plus grands de « leur donner des responsabilités mais aussi de les aider à s’autonomiser », l’équipe se fixe notamment l’objectif d’ « aide à l’émergence des ressources des jeunes ». Notons à nouveau dans la continuité du projet social de 1990, l’objectif de « Sensibilisation et participation des Associations au Projet Social ». Avant de conclure cet historique, relevons l’impossibilité de souligner quelques éléments significatifs de la dernière période de l’histoire du centre, puisque nous n’avons malheureusement pas retrouvé de documents (rapports d’activités, projets sociaux….) de ces années 1997-2004. Même partielle, cette description de l’histoire du centre donne à voir et à comprendre quelques enjeux d’une structure de proximité et de son évolution dans le temps.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Vivre ensemble et solidarité : "seul on va plus vite - ensemble, on va plus loin"
• Axe 2 : La culture : de l'éducation à l'émancipation
• Axe 3 : Accès aux droits et numérique : une visée inclusive des habitants - accès pour tous
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 23/06/2023
Population de la zone de compétence : 3000

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Vivre ensemble Objectif général 1 : Améliorer les conditions de vie des habitants
• Axe 2 : Axe : Vivre ensemble Objectif général 2 : Participer à l'embellissement du cadre de vie
• Axe 3 : Axe : Rendre acteur Objectif général 3 : Renforcer la solidarité et l’entraide dans le quartier
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/1967
Population de la zone de compétence : 6977

centre alpha, 1967

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Education/parentalité
• Axe 2 : accès aux droits et à l'information
• Axe 3 : Prendre soin de soi
• Axe 4 : Temps festifs et rencontres
• Axe 5 : Vie de la maison et du quartier

Historique

Date du 1er agrément : 01/12/2009
Population de la zone de compétence : 11790

Nom de la directrice :

Départ le 14/04/2023 : Bahija Ferhat

Arrivée le 17/07/2023 : Aurélia Haller

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Lutte contre le non recours et prévention de toutes formes de discriminations
• Axe 2 : Projet famille et soutien à la parentalité
• Axe 3 : Prévention des exclusions et lutte contre l'isolement
• Axe 4 : Citoyenneté et participation des habitants
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/1985
Population de la zone de compétence : 30260

1er centre social construit sur la Ville en 1985, il répond à la demande des habitants du quartier d'avoir un lieu de rencontres et d'activités. Le nom choisi pour cette maison de quartier est Gaston Variot (1885-1930). Médecin, il fonda la "Goutte de lait", chargée de la prévention, de la surveillance, et du traitement des nourissons, à Belleville. Il est le précurseur de la puériculture.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : LE FAIRE ENSEMBLE "CAPACITE D'AGIR DES HABITANTS"
• Axe 2 : LE CENTRE SOCIAL AU COEUR DE L'ANIMATION DE LA VIE SOCIALE
• Axe 3 : ROMPRE L'ISOLEMENT - FAVORISER ET ACCOMPAGNER LA RELATION PARENTS/ENFANTS
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 09/01/2008
Population de la zone de compétence : 7720

2008 premier agrément, puis renouvellement fin 2014 pour la période 2015-2018. la Ville de Béziers portée par le service des Espaces Municipaux d'animation a élaboré un projet d'animation dans lequel s'est effectué le développement des maisons de quartier. À partir d'un découpage territorial en cohérence avec celui du contrat de ville : Devèze, Iranget/Grangette et Centre-Ville/Faubourg/Pintat les Oiseaux, la Ville a restructuré, rénové ou construit des équipements de proximité adaptés à l'accueil des habitants, des usagers et des partenaires. La politique d'animation joue un rôle structurant dans la ville. Au travers des maisons de quartier, elle est le relais de nombreuses actions d'éducation, de prévention et de citoyenneté. Au carrefour du lien social, de l'ouverture culturelle et de la politique familiale, elle s'adresse à tous les publics, des enfants aux aînés en passant par les adolescents, les jeunes adultes, les adultes. Les animateurs permanents et bénévoles travaillent en étroite collaboration avec l'ensemble des acteurs du territoire : services de la ville, partenaires institutionnels et associatifs, usagers et habitants. Les maisons de quartier développent des composantes communes : accueils de loisirs extra-scolaires 6-17 ans, accueil des jeunes de 16-25 ans, accueil des familles, relais pour les habitants et les partenaires et des composantes spécifiques adaptées selon les contextes territoriaux, accueil ludothèque, point lecture, accueil de loisirs périscolaire, secteur seniors. Les projets, actions, activités sont préparés dans un cadre éducatif et citoyen. Une priorité est accordée à l'acquisition des savoir-être et savoir-faire. Les pratiques pédagogiques actives placent les publics en situation de prise d'initiative et de responsabilité, laissant s'exprimer la créativité."

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : DEVELOPPER UNE COHERENCE TERRITORIALE
• Axe 2 : PORTER UNE ATTENTION PARTICULIÈRE AU 11-17 ANS
• Axe 3 : FAVORISER LA PARTICIPATION DES HABITANTS POUR UN VIVRE ENSEMBLE MULTICULTUREL
• Axe 4 : ACCOMPAGNER LES FAMILLES ET LES PARENTS
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/2008
Population de la zone de compétence : 2349

Le centre social a été le premier à ouvrir sur le dunkerquois en 1967. Sa création a émané d'un groupe d'habitants piloté par le prêtre du quartier.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : LUTTER CONTRE TOUTES LES FORMES D ISOLEMENT
• Axe 2 : FAVORISER LA PARTICIPATION DES HABITANTS
• Axe 3 : DEVELOPPER LES LIENS ENTRE LES GENERATIONS
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/03/2007
Population de la zone de compétence : 4200

La maison de quartier de Grenoux est un équipement municipal construit en 2004/ 2005. Depuis 1997, une structure d'animation sociale de proximité était demandée et attendue par les habitants du quartier. Avant 2005, le secteur de Grenoux était géré par le centre social d'un autre quartier limitrophe. Après 18 mois de fonctionnement et d'observation, le premier agrément "centre social" a été attribué en début 2007. Depuis, la structure poursuit sa mission de développement social local auprès des habitants et au bénéfice du bien vivre-ensemble à Grenoux.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Education à l'environnement et au développement durable
• Axe 2 : Mieux (se) vivre
• Axe 3 : Animation collective familles
• Axe 4 : Communiquer
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 27/04/2024
Population de la zone de compétence : 8370

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Accompagner les habitants dans le cadre du projet de rénovation urbaine en lien avec le Contrat de Ville, la MOUS (Maîtrise d'Oeuvre Urbaine et Sociale). Maison du Projet
• Axe 2 : S'ouvrir à de nouveaux partenariats, de nouveaux publics, de nouvelles pratiques
• Axe 3 :
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/1985
Population de la zone de compétence : 15000

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Favoriser, renforcer les solidarités
• Axe 2 : Promouvoir l'intergénérationnel
• Axe 3 : Développer la citoyenneté de proximité
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/2004
Population de la zone de compétence : 9864

1er janvier 1994 : intégration de l'Association de Gestion des Centres sociaux de la Ville de Reims

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Replacer la citoyenneté au cœur de notre territoire
• Axe 2 : Lutter contre l’isolement et le replis sur soi
• Axe 3 : Inscrire la culture comme un outil d’émancipation, d’expression et d’affirmation des habitants
• Axe 4 : Promouvoir l’éducation et soutenir la parentalité
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 27/04/2024
Population de la zone de compétence : 21000

1er juillet 2007 : animation globale 1er mai 2008 : animation collective famille

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : accueil pour tous
• Axe 2 : émancipation de l'enfance et des jeunesses
• Axe 3 : recueil de la parole
• Axe 4 :
• Axe 5 :