L’implication des familles (29 nouvelles familles participantes aux actions) montrent que ces projets correspondent à leurs attentes. Les actions proposées ont répondu à des besoins exprimés par les familles que ce soit au niveau de l’alimentation et de son impact sur la santé, la relation éducative (via l’activité partagée), la communication au sein de la famille, ou la création de lien entre les familles du territoire.

Les acteurs locaux ont été impliqués que ce soit dans le partenariat au niveau de la communication afin de toucher le public ciblé, ou leur présence et leurs savoirs spécifiques.

Pour les familles, j’ai pu observer différents impacts :

• Création de liens entre familles
• Evolutions de leurs pratiques éducatives et préventives
• Constance des demandes en emprunt de documentations et livres
• Augmentation des demandes face à une situation rencontrées (échanges, documentation, orientation…)
• La participation aux ateliers est intégrée dans le rythme familial comme moment de convivialité et de rencontres attendu par tous
• Ouverture des parents à de nouveaux modes d’accueil collectif pour leur enfant

Cette année les parents ont été sollicités pour se mobiliser concernant le renouvellement de l’agrément du centre social de façon globale et moins spécifiquement sur l’animation collective famille.

. Actuellement, c’est un noyau de parents (« toujours les mêmes ») qui gagnerai à se développer.

Une commission a été proposée en début d’année pour élaborer ensemble les perspectives 2019/2020. Les ateliers parents/enfants et cuisine en familles fonctionnent très bien donc à priori il n’y a pas de raison de les arrêter.

Pour l’instant, les familles d’adolescents sont minoritaires. Il serait intéressant de développer le partenariat avec l’Espace Accueil Jeunes pour développer des actions avec ces familles.

Des orientations ont été élaborées lors de la commission de parents et, selon les besoins, elles seront évaluées de façon plus large via questionnaire, pour un intérêt collectif de leur mise en œuvre.

Ces ateliers favorisent les echanges et creent du lien social.

Ils valorisent les personnes car celles ci  sont placés sur un mode d'echange et de transmission vers d'autres personnes.

 Sur le plan economique les personnes s'y retrouvent .

Les participants ont une meilleure maitrise  du contenu des produits et cela les sensibilisent au respect de l'environnement.

Une ouverture interessante sur d'autres modes de consommation .

Cet atelier permet de lancer d'autres services comme la "give box" et du troc- service.

Poursuivre cette dynamique en ouvrant a d'autres publics.

La fréquentation des ateliers est variable. Elle est liée à la mobilisation que font les parents auprès des autres parents. Le "bouche à oreille" est un vecteur de communication efficace permettant à des parents des écoles du quartier de découvrir le Centre Socioculturel et ses actions.

Intérêt des parents sur le fonctionnement du centre socioculturel.

Implication des parents dans les instances associatives.

Le "bémol" à cet outil est qu'il requiert de la lecture et de l'écriture. Un travail de réflexion a été réalisé par les parents organisateurs pour rendre cet outil accessible à tous les publics. Aucun changement n'a pu être envisagé. C'est pour cette raison que quelques parents n'ont pas poursuivi les ateliers.
 

Mise en place d'ateliers de parents pour les parents d'adolescents.

Un lieu de rencontres pour lutter contre l'isolement

Cette action est une réponse aux missions du Centre Social de création de lien, dans un contexte d'intergénération et de mixité sociale.
 

- des difficultés à recruter de nouvelles personnes, le groupe est restreint, fermé, et exclusivement féminin

- des difficultés à développer la notion d'échanges : être acteur et pas seulement consommateur

- innover en terme de communication pour assurer une plus large participation des habitants

- délocaliser les ateliers dans les lieux de vie des usagers

- renforcer le RERS

Les habitants se réapporprient le centre social et mettent en place des activités qui répondent au plus près des besoins d'autres habitants puisqu'ils sont habitants au même. 

Plus d'adhésion au centre social et davantage d'implication des habitants dans le projet social. Engagement +++ dans la structure et dans les temps fort

Plus d'adhérents et des usagers qui s'y retrouvent plus dans les actions et participent davantage aux temps de concertation

pour le moment aucunes limites que du plus

développement des ateliers du vivre ensemble. Les porteurs des ateliers deviennent des habitants ambassadeurs auprès d'autres habitants. La salarié ne fait plus beaucoup d'accompagnement puisque les bénévoles ont pris le relais.

Les habitants se sont vite emparés de l'atelier et sont de plus en plus nombreux à s'inscrire. Ceci crée une belle dynamique autour de ce projet.

Pour l'Espace de Vie Sociale, il s'agit d'un atelier phare : de nombreux participants s'y présentent et venant de Plouguerneau mais aussi des communes alentours. 

Il s'agit d'un réel vecteur de communication qui permet de faire découvrir l'Espace de Vie Sociale aux habitants. 

La capacité d'accueil dans la cuisine est de 8 personnes. Cependant, nous constatons bien souvent que les inscriptions dépassent les 10 convives, ceci implique de mettre à disposition l'espace central de l'Espace de Vie Sociale, pénalisant ainsi la mise en place d'autres activités.

Devant l'engouement généré par cet atelier, nous avons allons réunir les participants dans l'objectif de :

• revoir avec eux la régularité de ces ateliers
• envisager un dédoublement des effectifs
• proposer un atelier par semaine (au lieu d'un atelier par quinzaine)

Ces ventes hebdomadaires constituent pour le territoire un pôle de distribution régulier ou les habitants du quartier peuvent échanger et se rencontrer. Elles contribuent aux mixités sociales, générationnelles et culturelles.
 

Les ateliers linges drainent un public qui ne viendrait pas spontanément aux autres activités proposées par le Centre Social ; ils constituent ainsi une porte d'entrée interessante et permettent de rester à l'écoute des problématiques vécues par les habitants.

Cette action est conditionnée par la poursuite du partenariat efficient que nous entretenons avec les Restaurants du Coeur ainsi que par le maintien de l'engagement bénévole des usagers du Centre Social.

Cette action sera maintenue et même étendue à la distribution d'une aide alimentaire d'urgence en lien avec les travailleurs sociaux du secteur, toujours dans le cadre du partenariat avec les Restaurants du Coeur mettant également à notre disposition une livraison gratuite et régulière de denrées alimentaires (fruits, légumes,produits frais) et de produits d'entretiens  pour la maison.

Afin de ne pas être dans l'assistanat et à l'image de notre mode opératoire dans le contextre des ateliers linges, nous continuerons à privilégier le bénévolat pour la mise en place de cette action.

peu de postes informatique pour répondre à la demande

Effets et impacts sur les personnnes :

- prennent plus confiance en elle et en l'objet informatique.

- quelques personnes ont bien du mal mais s'accrochent tout de même (personnes plus âgées qui n'ont jamais pratiquées)

- fierté

- plaisir d'apprendre pour certain...

Le centre socioculturel répond à ces objectifs d'accueil, de rencontres des habitants et de montée en compétences, via l'outil numérique.

Mobiliser les liens de partenariat nécessaire pour répondre à certaines demandes spécifiques des habitants.

Nos limites concernant les demandes spécifiques administrative, au dela de mettre en réseau, c'est de pouvoir accompagner les personnes vers d'autres services, d'autres partenaires en fonction de leur situation.

C'est de pouvoir mesurer au plus juste la demande et nos possibilités en terme techniques, d'accompagnement, de suivi, des habitants.
 

Mobiliser un groupe d'habitants pour faire de l'échange de savoir à partir de leurs connaissances.
 

Des liens entre les familles se sont formalisés et une entraide se met en place au fur et à mesure des ateliers.

Des liens et des projets se sont mis en place gràce à ces ateliers.

Travailler sur des ateliers communs avec d'autres centres sociaux

Très bonne impact et ce public est en réelle demande sur notre territoire.

La mise en œuvre de ce projet permet aux populations primo arrivantes sur le territoire  ou non de bénéficier d’un accompagnement de qualité afin qu’il acquière une autonomie quant à  leur intégration sociale, mais aussi leur réinsertion professionnelle.

Pour le territoire, il s’agira d’offrir aux habitants quel que soit leur statut social, une offre de services leur permettant d’accéder  au statut de citoyen intégré, informé et soutenu et de mieux vivre leurs différents statuts sociaux (parent d’élève, salarié, consommateur, usagers des transports publics…).

La mise en pace de cette action permet au centre social d'agir pour et vers le public cible. Plus généralement de lutter contre l'isolement de certains habitants, de favoriser les liens sociaux, et la mixité sociale.

La barrière de la langue, le manque de mode de garde pour les mères, le manque d'investissement de certains  apprenants dans la vie du centre social hors de la mise en oeuvre de cette action.

Encourager et développer d'avantage la transversalité entre les ASL et les différentes actions et projets de la structure

L'atelier montre qu'avec de la récupération on peut faire dans le spectaculaire.

Des personnes touchant le RSA, peuvent fabriquer un costume et aller à Venise.

Derrière le costume vénitien, il y a une invitation à prendre conscience que la récupération ne rime pas avec misère, notamment dans l'habillement. On peut créer de très beaux  originaux à partir de presque rien.

L'atelier vénitien est une vitrine flamboyante qui étonne...

Dans une même action, on met en lumière les concepts de réemploi de matériaux, de mixité des publics, de codes culturels, et aussi le rêve et la fantaisie, dans une société un peu terne parfois.

L'atelier est limité en places 10 maxi. Il faut absolument trouver des partenaires pour développer l'action.

Développer un atelier couture récup' pour des vêtements du quotidien.

Implanter un carnaval interassociatif local, pour brasser les populations et faire travailler ensemble les associations.
 

une majorité des habitants du quartier ont été sensibiliser au handicap,

La sauvegarde de l'environnement,

-Sur le territoire:

Renforcement des liens sociaux

-Sur la structure:

développement de la structure, actions partenariales sur les développements de l'entraide des habitants du voisinage. (garde enfants, covoiturage, 'les bons plans'
 

-la fluctuation des co-financements

-le Turn Over des salariés (contrats aidés)

Développement d'auto financement par la création d'activité économique , sociale et solidaire.

Meilleure connaissance du territoire

Cette action sera poursuivie l'année prochaine avec de nouveaux partenaires.

Des thématiques spécifiques ont été abordées : travaux de démolition en lien avec le PNRU, la vie dans le quartier...

Cet espace n’est pas devenu un point de rendez-vous et personne ne s’est réuni sans salarié ou bénévole actif. C’est dans la rencontre fortuite et de façon imprévu que les personnes sont venues échanger et cela semble finalement le format le plus adapté. Pour autant, certaines personnes sont revenues nous voir quand elles repassaient.

La perspective, si l’action s’avère réussie, serait de la décupler sur d’autres quartiers et développer davantage d’actions hors des structures.

La parole libre de ces rencontres informelles pourra être entendue par le conseil citoyen, le centre socioculturel et autres partenaires afin de nourrir leurs réflexions et projets futurs. Le résultat des porteurs de paroles à ce titre peut s’avérer vraiment utile.

Une mobilisation progressive des partanaires publics et privés qui ont vu dans ce projet un moyen de toucher d'autres publics et d'être associés à une dynamique ve vie locale culturelle. C'est valorisant pour eux.

Nous avons pu tisser des liens avec des associations que nosu ne pensions aps pouvoir intégrer dès le début comme les APE par exemple.

Enfin, les chariottes de part leur mobilité ont permsi de toucher des publics très différents.

Une mobilisation de toute l'équipe se salréis et de bénévoles. Il s'agit d'une projet partagé et fédérateur qui permet d'atteindre accessoirement d'autres objectifs sociaux : rompre l'"isolement, toiucher des publics empêchés (personnes âgées...)

Ce tyope d'action nécessite d'avoir de sfinancement pérennes. ce qui n'ets pa sle cas au jour de l'écriture de cette présentation. Il faut en général avoir une vision à N+1 minimum. 

Le samedi midi n'est sans doute pas le jour le plus propice pour proposer dce type de rendez-vous. Il y a une vraie interrogation sur l'organisation des chariottes plutôt en fin d'après-midi suivi d'un apéro.

Ces chariottes musicales tendent à se développer en chariottes à ateliers, à chariottes à contes... bref on imagine explorer d'autres domaines artistiques propices à ce type de format. Nous souhaitons aussi construire un festival des vieilles chariottes. 

Cette animation permet:

• la découverte d'une activité nouvelle jamais proposée sur le territoire

• de proposer aux familles un lieu de rencontre au sein de leur quartier d'habitation.

Le centre socioculturel a touché de nouvelles familles par le biais de ces ateliers d'initiation aux arts du cirque et a développé un partenariat avec une association locale.

Les ateliers étant animés par des amateurs, cela limite la progression des participants. Les ateliers sont à destination des familles et de nombreux jeunes enfants viennent avec le reste de leurs familles or les ateliers ne sont pas toujours adaptés à leurs âges.

Il est envisagé que certains ateliers soient animés par des professionnels l'année prochaine afin de découvrir d'autres disciplines comme le trapèze et d'approfondir les techniques.

L'organisation d' animations festives ouvertes sur le quartier permet :

- Aux habitants d'y venir, de passer un temps convivial, de connaître le centre social et leur donner envie de participer puis s'impliquer,

- Aux adhérents (ados, adultes et séniors) de s'impliquer dans ces moments collectifs (en tenant des stands d'animation, en préparant des repas, des animations, en organisant des actions de solidarité, etc..), mais aussi de participer à l'élaboration de projets sur le territoire avec d'autres habitants, ainsi qu'avec des partenaires associatifs et institutionnels.

-Faire connaître le centre social et ses activités, 

-Répondre aux besoins d'écoute et de soutien à la parentalité,

Faire reconnaître le centre social quant à ses manières de faire, d'associer les habitants et les partenaires à l'élaboration de projets collectifs,

=Une augmentation du nombre d'initiatives d'habitants, une augmentation du nombre de parents dans les comités de parents, le développement des relations avec les partenaires pour le soutien à la parentalité.

L'accompagnement de ces groupes et le développement des initiatives nécessitent de la disponibilité des animateurs.

Cette action se développe et se structure chaque année en fonction de l'arrivée et du départ de nouveaux parents dans ces comités.

Pas concerné.

Cette action a été pour le centre social l'amorce d'une nouvelle dynamique de lancement de défis mensuels dématérialisés.
En effet, les habitants se sont saisis de la facilité d'usage de ce format et ont fait part de leur souhait de réitérer ce genre d'expérience.

Depuis cette action, chaque mois, le centre social lance un défi (illustration d'expressions de la langue française, défis photos diverses, défi de créations en période de fêtes...).
Les créations des habitants dans le cadre de ces défis sont mensuellement exposées sur les murs de l'entrée du Centre Social.

En temps normal, les actions du centre social sont anticipées au minimum entre un et deux mois en amont de leur mise en place.
La crise sanitaire a imposé à l'équipe une forme nouvelle d'organisation, avec davantage d'immédiateté, afin de répondre aux changements réguliers des mesures, mais aussi à l'absence de projection dans le temps de plus en plus constatée chez les habitants.

Cette action a été pensée et proposée à la mi-novembre, avec pour idée de permettre la finalisation du recueil pour la période des vacances scolaires (mi/fin-décembre).
Il a donc fallu "imposer" aux participants une temporalité limitée dans les étapes du projet.
Ainsi, le délai de rédaction imparti a été court. Des habitants qui auraient souhaité se joindre au projet ont exprimé avoir été freinés par ce délai.

Il pourrait être envisagé de lier les écoles ou les ALAE à un tel projet. Par éxemple, pour l'étape 3 (illustrations).

Un recueil imprimé pourrait être offert aux classes ayant participé au projet.

Un groupe conséquent de personnes s’est mobilisé sur le temps fort, certaines de ces personnes ont continué les échanges et les débats. En effet si le voyage était très présent dans les échanges, de nombreux sujets ont été évoqués lors des diverses discussions : la consommation de l'eau sur la planete, les mode de vie des habitants d'ailleurs........

Parallèlement à cette démarche un groupe "engagements citoyens" était constitué au CSC et a donné lieu certes à de nombreux échnges et prise de conscience et à abouti notemment à la diffusion du film « En quête de sens » le jour de notre Assemblée Générale, en présence de l'associaiton "colibris".

Puis d’autres personnes se sont mobilisés sur le projet d’organiser une fête populaire intergénérationnelle sur le territoire en début d'été.

De par son implantation, le CSC favorise l’accueil de tous les habitants de ce territoire rural.

Ainsi, nous rencontrons des habitants d’horizons divers. La question du Vivre Ensemble est largement questionnée en interne du CSC et sur le terriotire. Ainsi à l'échelle départemenatle nous avons participé à la mise en oeuvre d'un Forum Education Populaire piloté par la FDCS17 en 2016.

Puis en ce début 2017, l’équipe salariée du CSC a souhaité continuer la thématique « s’ouvrir aux autres », et plus particulièrement un projet de « mois de la différence » s’est imaginé au sein de l’association afin de lutter contre les préjugés et les stéréotypes. "le mois de la différence".

S'agissant d'un projet porté par des habitants qui poursuivre leur projet il y a un début et une fin. La limite  c'est les personnes relais !

Des personnes ont été sensibilisées apr ces échanges et des actions se conduisent en leine avec deux dimensions : le Développement durable et la lutte contre les dicriminations.

Les actions autour de la lutte contre les discriminations sont toujours à l’ordre du jour au CSC, les participants sont porteurs d’idées.

Ils s'associent de façon volontaire à des échelles variées sur de nouvelles actions. 

Structure mieux identifiée.

Mixité des publics plus importante.

Usager devient acteur.

Accueil pour l'instant accompagné. Certains usagers sont en mesure de se débrouiller. Difficultés d'organisation de l'accès libre.

Maintient du projet sur la durée du Projet Social.

Mise en place d'une variante itinérante avec des tablettes.