Les actions des centres sociaux
Actions
Départ Vacances Familles
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL L'ODYSSEE DE SAINT AGRÈVE - Ardèche
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Nous avons réalisé cette action deux années de suite (2014 et 2015), il semblait nécessaire de faire une "pause" les participants (familles) ne présentant plus des garanties d'implication optimum comme cela a été le cas en 2014. Nous gardons par contre l'espoir de renouveler cette expérience dans les années futures notamment autour de départs vacances seniors et également familles à nouveau
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Solidarité
- Résumé
Accompagner le départ en vacances (individuelle ou collective au choix des familles), pour des familles n'étant jamais partis en vacances. Sur 9 mois, à raison d'une seance de 2h par mois, l'accompagnement est fait par la CESF du centre et d'une assistante sociale du département. Autour de la création du projet, choix du séjour, les dépenses sur place, les activités, le transport. Une épargne est établie chaque mois avec les familles. Le projet a reçu le soutien de la CAF, du département et de l'ANCV. Un soutien spécifique pour le centre social a également lieu pour le centre social de la part du département.
La recherche des familles sur un territoire très rural et assez grand, s'est fait en relation avec les associations d'entraide, les travailleurs sociaux, le cias et les ccas. Une réunion de bilan a lieu à la fin de chaque action.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Nous avions fait le constat que des familles ne partaient pas en vacances, soit par manque de moyens financiers mais pas que. En effet, certaines ont un véritable frein pyschologique, des difficultés également pour s'organiser, pensant que le fait de partir en vacances, cette notion même n'est pas pour eux. le changement attendu concerne un processus d'émancipation de ces familles, il s'agit ici de leur donner un coup de pouce pour l'organisation, l'élément financier est un plus mais n'est sans doute pas le frein principal. L'idée est que ces familles, suite à cette expérience, puisse renouveller l'expérience d'elles-mêmes.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Une préparation en amont avec les partenaires pour définir les objectifs, s'appuyer sur les travailleurs sociaux, associations locales pour le ciblage des familles. Ensuite, rencontre individuelle avec les familles puis lancement de l'action (entre oct 2013 et août 2014 pour le bilan). Une séance par mois de décembre 2013 à juin 2014, le départ des familles en vacances se faisant surtout en juillet, un bilan général en août 2014.
Des temps de travail sur les séances en collectif sur le budget, choix des vacances, les transports, l'épargne, l'organisation sur place.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
En tout environ 10 000€ pour 6 familles qui sont parties
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 professionnelles sur l'action en suivi (préparation, action collective, bilan)
4 à 5 professionnels sur l'organisation au départ et le suivi
- Résultat sur le territoire
6 familles, 16 personnes en tout (avec les enfants) qui sont parties pour la première fois en vacances. Un partenariat effectif entre la caf, le département et le centre social, une mobilisation des acteurs associatifs d'entraide, les ccas et le cias. Un projet sur presque 10 mois qui a mobilisé des energies et a eu un effet positif sur les personnes qui en ont profité.
- Résultat pour le centre social
Reconnaissance du travail effectué par le centre auprès des partenaires et des habitants
- Résultat pour les habitants
Premier départ en vacances pour les familles
Emancipation avec d'autres départs de celles-ci mais sans accompagnement prolongé lors de vacances les années après.
- Suite de l'action : Limites
la principale limite consiste à l'appropriation des familles au projet, leur investissement quelque fois trop faible même si les absences cette année 2014 ont été très faibles et toujours justifiés. Malgré tout on se rend compte que des familles n'ont pas la vonlonté de s'intégrer dans un projet de longue durée (6 mois minimum)
En 2015 lors d'une seconde édition, nous avons eu plus de mal à mobiliser les familles dans le suivi et quelques loupés sur les vacances en elles-mêmes (une annulation par exemple)
- Suite de l'action : Perspectives
pas d'action en 2015-2016 mais un projet en cours autour d'un départ vacances seniors et sans doute une relance du projet départ vacances familles en 2017 avec l'appui à nouveau d'un cias en plein développement qui interviendrait dans le projet plus fortement.
Actions
Cafés Blabla et Blabla Mobile
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIO-CULTUREL LE PALABRE - Ardèche
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- Mixité sociale
- Résumé
Organisations de 3 espaces de rencontres dont 1 au centre socio-culturel et deux dans des écoles une fois par semaine.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action à été mise en place pour répondre à la problématique de la mixité sociale sur le territoire et principalement dans les écoles élémentaires. Dans le but d'amener les habitants à proposer des solutions et des initiatives à l'interieur de ces espaces d'échanges et d'écoutes.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
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Partenaires d'action:
- Association locale
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Il y'a eu deux groupes de travail, la mairie et le conseil général.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le budget de l'action s'élevait à 9000€.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 salariés, 2 bénévoles.
- Résultat sur le territoire
De nombreuses personnes sur le projet, ainsi qu'une volonté croissante de proposer des solutions avec comme objectif le développement du lien social sur le territoire.
- Résultat pour le centre social
Des habitants qui fréquentent le centre socio-culturel se sont investit plus profondemment dans le centre et font maintenant partie du conseil d'administrations.
- Résultat pour les habitants
Une nette amélioration de la cohésion sociale entre les habitants, les parents d'éleves ...
- Suite de l'action : Limites
L'action à plus fait évoluer le lien social entre les habitants et n'a pas créé une véritable dynamique collective.
- Suite de l'action : Perspectives
Une volonté de faire évoluer le projet avec la création d'un Blabla Truck se déplaçant sur l'ensemble de l'intercommunalité (39 communes) avec le soutien d'un financement intercommunal.
Actions
café associatif
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIOCULTUREL DE TOURNON - Ardèche
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
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- intergénérationnel
- Culture
- Mixité sociale
- Entrepreneuriat social
- Résumé
Un collectif de 7 associations a porté ce projet - 6 mois de travaux portés exclusivement par les bénévoles avec des matériaux de récupération - 7 000h de bénévolat. 50 personnes impliquées.
Le lieu est un café associatif avec une scène équipée pour concerts/théâtre/conférence
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Suffisamment de personnes se sont mobilisés sur le projet. Le degré d'implication démontre l'envie de voir ce projet émergé.
Envie d'avoir sur Tournon un lieu ou on se retrouve, on peut proposer des initiatives, rencontrer des gens de tous âges et de tout milieu.
C'est un projet de lien social et d'éducation populaire
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Création d'un comité de pilotage avec 7 associations.
2 années de travail pour accorder les différentes asso sur un projet commun, les attendus du projet, définir la gouvernance, la relation avec le centre, trouver des financements.
8 mois de travaux de juin 2018 à janvier 2019.
Ouvert depuis le 28 janvier 2019
- Ressources financières mobilisées pour cette action
investissement : 28 000€.
A noter: nous avons transformé un local dont nous sommes propriétaires
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
50 personnes pour le chantier
et aujourd'hui autant pour le fonctionnement
1 professionnel dédié à la coordination du projet
- Résultat sur le territoire
Les effest sont attendus pour 2019 avec l'ouverture...(après 4 mois: 1300 nouveaux adhérents)
- Résultat pour le centre social
Participer à notre rayonnement et à nous identifier comme étant initiateurs de projets innovants pour le territoire
- Résultat pour les habitants
Ils ont un lieu sympa à leur disposition...et gérés que par les habitants..
- Suite de l'action : Limites
Le café voisin qui a des craintes pour son propre business
- Suite de l'action : Perspectives
faire évoluer le projet...
Actions
Broc et Troc ton savoir
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIO-CULTUREL JOSY ET JEAN-MARC DOREL - Ardèche
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Démocratie & citoyenneté
- Mixité sociale
- Résumé
A l'initiative des jeunes dans le cadre d'un projet autour de la citoyenneté "aux actes citoyens", un collectif de jeunes et de seniors ont organisé une journée festive autour de l’échange de savoirs et de compétences.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place dans le cadre d'un projet globale autour de l'engagement des jeunes sur le territoire.
Cette action nous permet de mixer les publics et accompagner un collectif de jeune dans l'organisation d'un temps fort
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Un groupe de jeunes est à l'initiative de l'action.
Un collectif d'habitants (jeunes et seniors) a construit ensemble cette journée. (2 réunions de préparation)
Une partie de l'équipe salariés et certains bénévoles ont aidé ce collectif à organiser cette journée (soutien matériel et manuel le jour J)
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Charges Produits Achats matériel 383.00 € CD 07 1178 .00 € Réalisation documents 87.00 € DDCSPP 1000.00 € Frais de déplacement 50.00 € Mairie 342.00 € Intervenants 262.00 € FONJEP 235.00 € Charge de personnel 2003.00 € TOTAL CHARGES 2785.00 € TOTAL PRODUITS 2785.00
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
6 jeunes
25 scolaires primaires
2 enseignants
20 séniors
6 bénévoles
4 salariés
- Résultat sur le territoire
Des partenariats inédits
Une volonté de continuer des actions intergénérationnelles et interculturelles
- Résultat pour le centre social
Une action conviviale et festive
Une image intergenerationnelle du centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
Attention à la redondance d'une année sur l'autre
Une adhésion des publics différents qui n'ont pas les mêmes objectifs et méthodes.
- Suite de l'action : Perspectives
Nouvelle édition sur 2018 avec l'ensemble des secteurs du centre social (de la petite enfance jusqu'au seniors)
Actions
Solidaires pour accompagner les habitants : suite au séisme du 11 novembre 2019
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIO-CULTUREL CLEFS (culture loisirs enfance famille solidarité) - Ardèche
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
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- Solidarité
- Culture
- Démocratie & citoyenneté
- Logement
- Précarité
- Résumé
Le 11 Novembre 2019, le Teil est l'épicentre d'un séisme d’une magnitude de 5.4 sur l’échelle de Richter. Les dégâts sont considérables et impactent 1/3 de la population. Dans cette épreuve collective, le centre socioculturel fait preuve d'une solidarité plurielle :
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des locaux impactés qu’il s’agit de partager, l'accès à deux de nos plus grandes salles étant interdit
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des salariés disponibles et réactifs pour répondre aux besoins : accueillir, écouter les gens, remplir des demandes d’aides, occuper les enfants dans les gymnases les premiers jours.
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des bénévoles présents à la Maison des solidarités, aux côtés des autres associations (Secours populaire, Croix rouge, Secours catholique et Arc en ciel) pour réceptionner les dons et les redistribuer aux personnes ayant dû être évacuées, rendre visite aux familles relogées provisoirement dans les campings. Salariés et bénévoles ont, avec le Secours populaire, trié et distribué des jouets et des colis gourmands du Département offerts aux sinistrés.
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un accueil loisirs délocalisé car il n’est plus possible dans les locaux habituels. Après avoir fermé le mercredi 13 novembre, nous accueillons matin et soir les enfants au centre socio-culturel puis partons en sortie à la journée. Depuis fin décembre et jusqu’à fin juin 2020, l’accueil de loisirs est installé dans une partie de l’école du Teil centre.
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le réveillon solidaire qui s’est tenu exceptionnellement en salle Paul Avon, nos locaux n'étant pas accessibles.
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une solidarité pour nous permettre de poursuivre nos missions : un minibus gratuit, les intercommunalités ARC ou Montélimar prennent en charge les entrées des sorties de l'ALSH, le pôle cirque accueille les enfants pour un atelier...
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des soins aux personnes par des thérapeutes solidaires : 50 séances bien-être dispensées gracieusement par des professionnels
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Le Teil, un film-témoignage d'Anaïs Girard Blanc
Commandé par CLEFS, un film documentaire donne la parole aux personnes sinistrées et/ou bénévoles, qui expriment leurs ressentis. Il montre à ceux qui n’ont pas conscience, les dégâts engendrés, fait témoigner des habitants de 6 à 91 ans. Les premières diffusions ont été bien accueillies. -
la publication FB qui bat le record : 11 100 vues, 593 clics sur la publication et 257 partages
Le 16 novembre, le centre socioculturel relaie la demande de l’école du centre : recherche des balles de tennis anti-bruit pour les pieds de chaises des 180 enfants installés dans la salle des fêtes pour 5 semaines minimum.
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- Qui est à l'initiative de l'action ?
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- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
suite à la catastrophe naturelle = séisme
- une population éprouvée, dont le quotidien devient un parcours du combattant
- près de 3 000 personnes devant être relogées, provisoirement ou définivement (campings, hôtels, mobil-home...)
- des rues barrées, des commerces fermés, des transports qui ne circulent plus
- des écoles détruites, des élèves dans des préfabriqués (où l'on n'entre plus qu'à 9 élèves pendant le confinement)la solidarité des experts bâtiments, pompiers, cellule d'écoute pendant 3 semaines... puis plus rien.
le sentiment d'être invisible (couverture médiatique faible), d'une épreuve collective incomprisele stress post traumatique des petits et grands déboussolés par la situation,
l'accentuation de la précarité, du chômage, de la déscolarisation
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
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Partenaires d'action:
- Association locale
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
voir plus haut
- Ressources financières mobilisées pour cette action
seul le film a fait l'objet de cofinancement. Budget film (réalisation, montage, sous-titrage, médiation) = 8 463 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
30 bénévoles à la maison des solidarités
7 thérapeuthes solidaires
la moitié (5) des salariés
- Résultat sur le territoire
des mercis, "ça fait du bien" (film, actions bien-être),
marques de soutien suite aux communications et actions solidaires du centre socioculturel
- Résultat pour le centre social
- une visibilité nouvelle pour les partenaires, les habitants
- l'élargissement de nos missions, la réactivité et créativité face à l'urgence (qui sera très utile lors de la crise sanitaire... 4 mois après !)
- le travail associé bénévoles/salariés soudés et mobilisés, présents sur tous les fronts, pour répondre par la solidarité aux besoins
- un réseau de bénévoles "actions" décuplé
- Résultat pour les habitants
des mercis, "ça fait du bien" (film, actions bien-être),
marques de soutien suite aux communications et actions solidaires du centre socioculturel
la volonté de s'associer pour avoir plus de poids : ex 1 - le collectif des sinistrés du 11 novembre 2019 compte près de 600 membres mi-2020, et permet de peser face aux assureurs et à leurs experts bâtiments. Accompagné et accueilli par le centre socioculturel, il engagera peut-être des actions en justice. Ex 2 - le monde d'après, les teillois ont commencé à l'imaginer...dès fin 2019, pour reconstruire leur ville et la faire (re)vivre.
l'adhésion aux initiatives solidaires de collectifs d'habitants, comités de quartier, centre socioculturel, comme les nombreux groupes ayant réalisé des masques de protection en tissu
- Suite de l'action : Limites
risque d'être perçu comme le CSC de l'urgence.
pas d'autre cata !
- Suite de l'action : Perspectives
la vie du film "le Teil" stoppée net par le covid, à poursuivre sous forme de projections-débats dans les établissements scolaires,
centres sociaux-culturels, festivals, de la région Auvergne Rhône Alpes et d'ailleurs.l'intégration d'un volet "bien-être" dans la programmation de saison 2020-2021
le développement de notre rôle de "porteur de paroles" et de notre communication : savoir faire, faire, faire savoir
Actions
Ateliers sociaux linguistiques
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL L'ODYSSEE DE SAINT AGRÈVE - Ardèche
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
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- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Création d'ateliers animés par des bénévoles (14), à raison d'environ 10 ateliers par semaine d'une durée moyenne d'une heure. Avec l'installation d'un CADA sur la commune de Saint-Agrève, il était intéressant de proposer aux demandeurs d'asile mais aussi aux primo-arrivants sur la commune, des ateliers sociaux-linguistiques, qui permettent de favoriser l'intégration des personnes au sein de la collectivité. Ce sont des habitants déjà impliqués dans l'accompagnement des demandeurs d'asile, qui sont venus solliciter le centre socioculturel qui bénéficie de locaux fonctionnels et rénovés, du matériel nécessaire (paperboard, vidéo projection, photocopieuse, salles, internet) ainsi que des ressources humaines pour la coordination des activités (planning, réunions des bénévoles etc...)
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Pour intégrer au mieux les nouveaux arrivants sur la commune, l'apprentissage de la langue étant primordiale. Le nombre de cours/ateliers est très important, avec une fréquentation moyenne de 6 personnes par ateliers. Il faut noter qu'il ne s"agit pas de proposer ces ateliers aux seuls demandeurs d'asile présents sur la commune, mais aussi aux primo-arrivants qui sont en moyenne 3 à 4 par an. Les personnes bénéficiant (gratuité) de ces ateliers s'intégrent mieux au sein du village en participant aux activités du centre, de la municipalité (téléthon, ardéchoise). Le fait que les ateliers se déroulent au centre socioculturel est un plus, la bâtiment est au coeur du village et est très fréquenté pour les diverses activités et services qui y sont proposés. Les demandeurs d'asile qui obtiennent leurs papiers, peuvent ainsi s'insérer plus facilement avec ce genre d'ateliers.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
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Partenaires d'action:
- Association locale
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
L'action a débuté en septembre 2017, 10 ateliers par semaine (1h/atelier), les bénévoles se soutiennent entre eux (parrainage et doublon pour démarrer avec un/e "ancien). Le centre socioculturel assure la coordination de l'activité, son animation et son suivi. Des réunions régulières sont organisées avec les bénévoles et les partenaires. Des temps de bilan/échanges sont prévus également avec les bénéficiaires des ateliers. Chaque bénévole est responsable de la "pédagogie" qu'il emploie et qu'il peut partager lors des réunions régulières avec ses pairs (une tous les deux mois). Des formations sont prévues également à moyen-terme pour les bénévoles (actuels et futurs)
- Ressources financières mobilisées pour cette action
C'est un budget relativement modeste, environ 3500€ /an, soutenu par le departement de l'ardèche (1500€). Les charges de personnel représente environ 70% du total, le matériel (photocopies, achat de livres) et la communication complétent le budget.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 salariés (directeur pour le pilotage, agent de développement pour la coordination et animation), ainsi que 14 bénévoles
- Résultat sur le territoire
Une activité de plus pour notre commune, une mobilisation importante de bénévoles, moteur et force de proposition. Surtout un outil d'intégration pour un nouveau public souvent désemparé en arrivant en France (demandeurs d'asile). Le retour du public (bénéficiaires et habitants) est plutôt largement positif.
- Résultat pour le centre social
Une fréquentation accrue dans les salles du centre, encore plus de passage et de la vie dans les salles du centre, ce qui est vraiment positif. Une reconnaissance aussi pour le centre dans son rôle de vecteur de développement de l'animation locale, un centre-ressource et un appui pour le développement de nouvelles activités et services et le soutien aux initiatives d'habitants comme c'est le cas ici
- Résultat pour les habitants
Une intégration facilitée pour les bénéficiaires qui en "maîtrisant" mieux la langue française; peuvent évidemment prévoir une installation durable sur la commune ou même ailleurs. Le ressenti de la population locale semble positif, de même que celui des partenaires du centre (commune, département, associations locales)
- Suite de l'action : Limites
Les ateliers se poursuivent, il y a cependant des demandeurs d'asile (quelques hommes surtout) qui refusent pour le moment de participer aux ateliers, nous en cherchons actuellement les raisons. De même, le délais de traitement des dossiers de demande d'asile, qui se raccourcient, font que quelque fois même avec les réponses favorables, le temps de participation aux ateliers est trop court pour un apprentissage efficace.
- Suite de l'action : Perspectives
Les bénévoles sont très motivés et les demandes pour participer aux ateliers (bénévoles ou bénéficiaires) se poursuivent. Le soutien du département même pour un montant relativement modeste, reste primordial pour assurer la suite de l'activité qui est relativement chronophage pour l'agent de développement. Avec le turn-over important au sein du CADA mais aussi avec de nouveaux primo-arrivants sur le territoire, l'action devrait perdurer dans les années futures. Le partenariat au niveau local (commune/ccas/cada/associations d'entraide) est aussi très important pour la réussite de l'action actuellement mais aussi pour sa poursuite.
Actions
jardins partagés
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL MULTISITES - Ardèche
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Emploi, économie
- Précarité
- Intégration
- Résumé
Accomapgnement d'habitants des quartiers politique de la ville dans la création des jardins partagés.
Pluisieurs réunions pour réfléchir aux états de la mise en oeuvre de ce projet, en partenariat avec la collectivité, les bailleurs sociaux et des habitants
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Projet important pour les personnes habitants un immeuble, pas d'espace pour eux, cela va permettre que des familles puissent vivre de leur récoltes, de faire jouer l'entraide sur cet espace de vie, de mieux connaitre son voisins, et de mixité sociale et de territoire.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
plusieurs temps de réunion pour définir les différentes étapes du projet...avec des objectif à chaque réunion..au total nous avons eu 15 réunions sur 1 an...cela à permis l'implication des habitants dans leur projet de A à Z....
- Ressources financières mobilisées pour cette action
35 000
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
55
- Résultat sur le territoire
meilleurs image du quartier
respect du travail des familles par les jeunes
solidarité entre voisins
- Résultat pour le centre social
implications des habitants au conseil d'administartion ou bénévolat
projet qui se reproduit dans d'autres quartiers QPV
- Résultat pour les habitants
meilleurs alimentation
économie
vivre ensemble
- Suite de l'action : Limites
comme toujours les limites sont financières...
- Suite de l'action : Perspectives
continuité d'accompagenement jusqu'à la création d'une association avec les jardiniers pour prendre le relais
Actions
Ateliers socio-linguistiques
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL L'ODYSSEE DE SAINT AGRÈVE - Ardèche
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Intégration
- alphabétisation & apprentissage du français
- Résumé
Des ateliers socio-linguistiques à raison de 10 par semaine, concernant 35 personnes. Ces ateliers sont ouverts aux primo-arrivants et aux résidents du centre d'accueil de demandeurs d'asile (CADA) présent à Saint-Agrève depuis 2013. Une dizaine de bénévoles, souvent d'anciens instituteurs, animent ces ateliers, ils sont coordonnées par un animateur du centre socioculturel.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
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- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La présence d'un CADA sur notre territoire a provoqué une mobilisation de partenaires sociaux pour assurer le meilleur accueil possible de cette nouvelle population. L'intégration au sein d'une société se fait nécessairement par l'apprentissage de la langue. De nombreux demandeurs d'asile ne connaissent que très peu la langue française et quelque fois pas l'anglais non plus. La difficuté est accentuée par le fait que certains relèvent également de l'illetrisme dans leur langue maternelle. La présence régulière aux ateliers est significative, les résultats sont très bons d'autant plus que l'assuidité est importante. Certaines familles sont restées sur la commune de Saint-Agrève après leur passage au CADA, et ils se débrouillent très bien pour la grande majorité en français.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
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Partenaires d'action:
- Association locale
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
l'action a démarré en septembre 2017. Pilotée par le centre socioculturel avec le partenariat du CADA (public et communication) et de la bibliothèque (logistique). Un comité technique se réunit régulièrement consituté des bénévoles qui interviennent dans les ateliers. un comité de pilotage existe aussi avec des partenaires institutionnels (département, commune) et des partenaires locaux (cada, bibliothèque)
- Ressources financières mobilisées pour cette action
le budget prévisionnel de l'action est de 4500€ par an
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 salariées du centre socioculturel, le directeur et l'animateur coordinateur, les 12 bénévoles à l'année, animateur des ateliers
- Résultat sur le territoire
facilite l'intégration et le maintien sur le territoire des primoarrivants et des demandeurs d'asile
- Résultat pour le centre social
un partenariat s'est engagé avec le Cada au-delà de la diffusion des programmes d'activités, le cada devrait prochainement intégrer le CA du centre. Les ateliers établissent une certaine reconnaissance du centre sur le territoire
- Résultat pour les habitants
les demandeurs d'asile fréquentent assîdument le centre socioculturel pour y trouver des services ou des activités. c'est un lieu central sur la commune, cela facilite leur intégration. Les habitants de la commune "s'habituent" à ce nouveau public, les deux se rencontrant naturellement au sein de l'association
- Suite de l'action : Limites
pour l'instant, le centre bénéficie d'un soutien financier du département, permettant de financer l'achat de matériel (livres, fournitures administratives tableaux...). Il n'est pas toujours évident de gérer des bénéficiaires souvent différents de par leur culture. Les bénévoles sont très motivés, leur nombre est important (une dizaine chaque année), leur "gestion" demande de la diplomatie
- Suite de l'action : Perspectives
l'action devrait se poursuivre en 2020 notamment si le financement continue... Le cada ne devant pas fermer ses portes et l'existence d'un fort "turnover" des demandeurs d'asile, entraînent forcément des besoins toujours plus importants.
Actions
Manchest'Art
- Structure organisatrice
- Centre social Manchester - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Action ponctuelle dans le cadre de la Nuit des Musées
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Culture
- Mixité sociale
- Résumé
Dans le souci d’associer les jeunes dès l’élaboration du projet, une première phase de sensibilisation aux pratiques artistiques et culturelles a été prévue : rencontres avec des artistes divers (sculpteurs, peintres, dessinateurs, musiciens…), autour d’ateliers de créations artistiques, visites d’expositions, de musées.
Au fur et à mesure des rencontres, des réunions et des échanges,nous avons impliqué les jeunes au coup par coup en fonction de leurs envies : certains ont préférés s'impliquer dans la mise en place de sorties, d'autres sur la mise en place des ateliers artistiques, et d'autres pour l'installation de la manifestation.
- La conception de plaquettes d’information, d’affiches en direction des habitants
- L’organisation de sorties, de spectacles et d’un temps fort en direction de tous les habitants du quartier.
- L’élaboration d’une exposition « vivante et interactive » dans le quartier (Art éphémère, visite guidée).
- La Participation à « La nuit des musées ».
Les jeunes ont été encadrés et/ou accompagnés par des adultes référents, qui ont joué un rôle prépondérant dans la mobilisation des publics en créant des conditions favorables à leur implication et à leur participation active dans la mise en œuvre du projet
- Un animateur a été chargé de l’encadrement des jeunes tout au long du projet. Il s’agit d’une personne déjà en poste sur la structure qui a assuré le lien et la coordination du projet et a été là en soutien de toutes les démarches et initiatives des jeunes. De manière plus globale, la responsable du secteur jeune a eu un rôle de coordination du secteur et de toutes les actions s’y référent.
- Un réseau de partenaires a été constitué et associé au projet (Club de Prévention, collège, Service culturel de la ville, Musée de l'Ardenne...) et tout autre partenaire agissant dans les domaines culturels ou en milieu artistique et qui ont souhaité accompagner les jeunes dans ce projet).
- Les habitants et associations de quartier qui sont souhaité être associés à l’organisation des actions culturelles et à l’animation globale du quartier.
Ce projet aussi issu d’une volonté de recréer une dynamique partenariale sur le quartier et développer une politique commune en faveur de la jeunesse. Ont été associés les partenaires de l’insertion (Mission Locale, CIO…), les partenaires culturels (un représentant du Service culturel de la ville de Charleville-Mézières, un représentant de l’ORCCA, le directeur du musée de l’Ardenne…), les associations d’habitants (qui organisent aussi des manifestations culturelles et/ou festives sur le quartier), l’ACEPA, le collège Scamaroni…
Des liens permanents ont été établis au sein du Centre Social entre les différents secteurs (qui organisent aussi, chacun à leur niveau, des actions d’éveil artistique et de promotion de la culture).
En partant d’un projet de jeunes, c’est le développement social et l’animation globale du quartier qui ont été principaux objectifs à travers cette action.
C’est aussi une manière de mettre en valeur leurs compétences artistiques et de mettre en avant leurs aspirations culturelles, autant d’entrées permettant la mise en évidence de compétences et la valorisation des jeunes du quartier.
C’est durant l’Organisation du temps fort que l’implication des habitants du quartier a été la plus forte. Ils se sont mobilisés dans toutes les étapes de mise en place de cette manifestation sur leur lieu de vie.
Date : le 17 mai 2014(Nuit des musées)
De 18h00 à 24h00
Lieu : Quartier de Manchester
Présentation de l’évènement :
- Une structure posée sur la place de Manchester
- expositions interactives des œuvres réalisées dans le cadre des ateliers artistiques (depuis septembre 2010)
- visites guidées du musée et ateliers artistiques participatifs avec les habitants du quartier
- présence d’artistes et expositions d’artistes locaux (ORCCA…)
- Une animation musicale (groupe) en soirée
- Un espace restauration et buvette
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La loi de lutte contre les exclusions du 29 juillet 1998 stipule que "L'égal accès de tous, tout au long de la vie, à la culture, à la pratique sportive, aux vacances et aux loisirs constitue un objectif national. Il permet de garantir l'exercice effectif de la citoyenneté". L'accès à la culture placé au même titre que l'accès aux droits fondamentaux que sont le travail, le logement ou encore la santé ne doit pas rester une déclaration d'intention, et l'accès à la culture des populations les plus en difficulté pourrait être une priorité.
Le centre social veut participer à susciter dans ce sens l'intérêt de la société et des pouvoirs publics en oeuvrant pour l'accès et la pratique d'activités culturelles comme un moyen de lutter contre les exclusions. Non pas seulement dans le sens d'une appropriation de la culture classique mais d'abord pour offrir aux personnes en difficulté la possibilité d'exister autrement dans le regard des autres. Ce dont les personnes exclues souffrent le plus, ce n'est pas du manque de ressources, même si elles en parlent souvent en premier, c'est le manque de relations amicales avec d'autres et l'occasion de montrer qui elles sont réellement. Ce qu'elles pensent et ce qu'elles savent faire. En outre il faut du courage pour sortir d'un environnement que l'on maîtrise pour aller vers quelque chose dont on ne connaît pas les codes.
La dimension culturelle est une réelle amorce pour sortir de l'exclusion, se remobiliser et se projeter dans la vie. Par exemple, le simple fait d'aller au musée, permet de sortir de son entre soi, et de son environnement familier.
Loisirs et culture ne doivent pas être un luxe. Il s'agit de les faire entrer dans les quartiers populaires puis leur permettre d'intégrer des expressions nouvelles. La culture doit aussi être considéré comme un plus dans la vie (dans les relations avec les autres, dans un métier, dans un entretien d'embauche).
Les pratiques artistiques ( constituent les formes d'expression qui prennent appui sur un art, théâtre, danse, arts plastiques, écriture...et font appel à la créativité individuelle ou collective))et culturelles (ensemble des formes de diffusion, de mise en circulation, d'échange et de partage autour des biens culturels : fréquentation des musées, cinéma, monuments, écoute de la musique...) des jeunes sont un maillons essentiels de l'accès à l'autonomie, à la socialisation et à la responsabilité.
C'est à travers les activités artistiques et culturelles pratiquées dans des périodes clés d'apprentissage que sont l'adolescence et la jeunesse que chaque génération peut réinterpréter le monde, inscrire sa marque et apporter sa contribution au dialogue entre toutes les cultures: savantes, populaires et de toutes origines.
Seuls ces échanges et confrontations avec toutes les cultures dans l'espace public, permettent la reconnaissance des cultures des jeunes par les autres, autant que la reconnaissance des cultures des autres par les jeunes.
Même si les jeunes voyagent à travers la Webplanète, chambre close, ils ne grandissent pas seuls mais en harmonie avec leur entourage humain. Les adultes doivent les aider à activer un esprit critique, leur apprendre à argumenter, étayer et réfléchir pour que cela deviennent constructif et non plus négatif. Nous devons créer la rencontre Adolescents-Culture pour provoquer la protestation, ou tout du moins la réaction.
Tant que les jeunes protesteront contre "la musique de leurs parents" il y aura de l'espoir.
C'est pour cela que Manchest'art existe.
Les objectifs :
- Susciter les initiatives de jeunes du quartier en favorisant leur prise de responsabilités
- Favoriser leur autonomie en les associant à l’élaboration d’actions culturelles
- Sensibiliser les jeunes du quartier à différentes pratiques artistiques et/ou culturelles, et au-delà à la vie locale et à l’animation du quartier
- Participer à l’éveil artistique des jeunes tout en privilégiant les moments de partage intergénérationnel et de convivialité familiale.
- Aménager des espaces culturels et élaborer des moments de rencontres autour des pratiques artistiques.
- Travailler à la mise en réseau des acteurs du quartier (Centre social, Acepa, collège...)
- Inscrire le projet à l’échelle du quartier et en direction de tous les habitants
- Favoriser l’apprentissage de la vie sociale et la responsabilisation
- Permettre aux jeunes de découvrir le processus de création en privilégiant les rencontres conviviales avec les équipes artistiques et techniques
- organiser un temps fort autour des créations réalisées.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Par l'implication des jeunes dans le cadre de ce projet, nous avons recherché un réel investissement des jeunes mais également des habitants du quartier sur tous les évènements festifs qui se sont organisés durant l’année sur le quartier.
Les jeunes ont engagés toutes les démarches nécessaires à l’organisation des ateliers artistiques et culturels, à l’information, à la planification des moments forts. Les habitants ont été conviés à participer à la mise en place de ces temps forts (Nuit des musées).
L'action a débuté en janvier 2014 mais des éléments ont été construits en amont précédemment. Des rencontres conviviales ont été organisées entre les équipes artistiques et techniques.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
56428 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Intervenants - en interne (équipe mobilisée)
coordinateur secteur adultes et familles
coordinatrice secteur jeunesse
animatrice secteur jeunesse
coordinatrice secteur enfance
responsable halte garderie
responsable insertion
responsable multimédia
Nombre d’intervenants participant à l’action :
1 artiste en résidence, 10 artistes (plasticien, peintre, sculpteur, graveur..) et 1 plasticien pour la mise en espace du musée
un technicien, groupe de musique...
- Résultat sur le territoire
Loisirs et culture ne doivent pas être un luxe. Il s'agit de les faire entrer dans les quartiers populaires puis leur permettre d'intégrer des expressions nouvelles. La culture doit aussi être considéré comme un plus dans la vie (dans les relations avec les autres, dans un métier, dans un entretien d'embauche).
- Résultat pour le centre social
Le centre social veut participer à susciter dans ce sens l'intérêt de la société et des pouvoirs publics en oeuvrant pour l'accès et la pratique d'activités culturelles comme un moyen de lutter contre les exclusions. Non pas seulement dans le sens d'une appropriation de la culture classique mais d'abord pour offrir aux personnes en difficulté la possibilité d'exister autrement dans le regard des autres.
- Résultat pour les habitants
C'est à travers les activités artistiques et culturelles pratiquées dans des périodes clés d'apprentissage que sont l'adolescence et la jeunesse que chaque génération peut réinterpréter le monde, inscrire sa marque et apporter sa contribution au dialogue entre toutes les cultures: savantes, populaires et de toutes origines.
Seuls ces échanges et confrontations avec toutes les cultures dans l'espace public, permettent la reconnaissance des cultures des jeunes par les autres, autant que la reconnaissance des cultures des autres par les jeunes.
Même si les jeunes voyagent à travers la Webplanète, chambre close, ils ne grandissent pas seuls mais en harmonie avec leur entourage humain. Les adultes doivent les aider à activer un esprit critique, leur apprendre à argumenter, étayer et réfléchir pour que cela deviennent constructif et non plus négatif. Nous devons créer la rencontre Adolescents-Culture pour provoquer la protestation, ou tout du moins la réaction.
- Suite de l'action : Limites
Pas de difficultés rencontrées
Tous les partenaires ont donné le meilleur d'eux même pour que le projet réussisse.
Chacun a trouvé sa place et a participé activement.
Les jeunes se sont impliqués de la conception a la réalisation du projet.
Les habitants se sont mobilisés dans les divers ateliers en amont mais également le jour de la manifestation.
Des habitants sont venus nous aider au montage ainsi qu'au démontage. D'autres étaient parfois guides ou surveillants du Musée
L'ensemble des habitants ont une réelle envie de faire des sorties culturelles et ils nous l'ont montrer lors des sorties, ils sont déjà mobilisé dans les différents ateliers. Une forte implication de leur part lors du temps fort du 17 mai 2014. Ils sont déjà venu nous demander si il y aurait une autre édition.
A ce jour, Manchest'art et la manifestation de la Nuit des Musées est toujours dans toutes les têtes.
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Accès à la santé
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Santé
- Résumé
- Élaborer des programmes de santé adaptés au niveau local avec la participation des habitants.
- Réduire les inégalités sociales et territoriales en matière de santé en s’appuyant sur une dynamique partenariale.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence :
Ce sont souvent les mêmes populations, les moins favorisées (faibles revenus, peu diplômés) qui cumulent les expositions aux différents facteurs de risque pour la santé, que ce soit dans l’environnement professionnel (exposition au travail physiquement pénible, au travail de nuit, aux produits toxiques, etc...) ou dans l’environnement familial (pollutions affectant le logement comme le bruit, la mauvaise qualité de l’air ou de l’eau, etc...). Ce sont elles aussi qui ont le plus souvent les comportements défavorables à la santé (notamment en matière de nutrition, d’activité physique, de prévention, etc...). Les inégalités s’inscrivent dès le plus jeune âge : les enfants d’ouvriers, de même que les enfants scolarisés en Zone d’Education Prioritaire (ZEP)
Sources :
En termes de mortalité prématurée, la situation de la France n’est pas bonne (décès liés à tabac, alcool, accidents, suicides)
Livre des plans de santé publique (www.santé.gouv.fr)
Objectif stratégique :
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire
Objectifs généraux :
- Élaborer des programmes de santé adaptés au niveau local avec la participation des habitants.
- Réduire les inégalités sociales et territoriales en matière de santé en s’appuyant sur une dynamique partenariale.
Objectifs opérationnels :
Adapter et renforcer les services existants.
- Éviter la survenue des maladies en diminuant les facteurs de risque.
- Améliorer le pronostic vital et fonctionnel en dépistant et en traitant précocement les maladies.
- Eviter les rechutes, complications ou séquelles liées à la maladie.
- Améliorer les comportements alimentaires, l’activité physique, l’hygiène de vie.
- Prévenir le surpoids et l’obésité.
- Lutter contre les addictions (tabac, alcool, drogues, jeux vidéo, association de médicaments).
- Prévention et sensibilisation aux accidents de la vie courante.
- Former un groupe de jeunes et d’adultes à la création d’outils d’informations pour sensibiliser un large public à la prévention des conduites addictives.
- Mise en place d’accompagnants santé chargés d’orienter et d’accompagner les publics précaires au bilan de santé.
- Organisation de conférences, de séances d’informations sur la santé et les dépistages, avec des professionnels de santé, pour les habitants de Sedan.
- Animer des ateliers pratiques pour découvrir une alimentation équilibrée et favoriser la consommation de fruits et légumes.
- Permettre aux participants de découvrir différentes pratiques sportives et d’avoir une activité de bien-être permanente.
- Apporter des méthodes pour la gestion d’un budget.
- Créer des outils de comparaison, rapport qualité et prix pour les achats alimentaires.
- Créer des outils avec les parents d’élèves des écoles du quartier du Lac pour diffuser des messages de prévention et d’information sur le sommeil et l’hygiène de vie des enfants.
- Former des adolescents et des habitants aux messages de prévention autour des conduites addictives.
- En transversalité avec l’équipe du secteur adolescent du Centre Social Le Lac, les jeunes, mis en situation d’acteurs, réaliseront un clip vidéo. Cet outil aura un impact supplémentaire, tout en valorisant les jeunes.
- Permettre au public accueilli de visualiser concrètement les dangers domestiques vécus par les jeunes enfants, pour mieux les prévenir.
- Permettre aux jeunes enfants, au travers d’un outil ludique, interactif et adapté à leur âge, de prendre conscience des dangers de la maison de façon concrète.
- Renforcement de la politique de dépistage des cancers du sein et du côlon.
- Faire connaitre les structures de dépistage auprès des publics en difficulté.
- Développer une politique d’information, via les Ateliers Santé Ville, pour associer les partenaires sociaux, médicaux et de l’éducation.
- Développer le dépistage organisé (du sein et du colon) en termes de taux de participation : pour le dépistage du cancer du sein, passer de 60 à 70 % de participantes et pour le dépistage du cancer du côlon, de 50 à 60 % pour les personnes de plus de 50 ans.
- Créer des outils pour diffuser l’information à un large public.
- Organiser des conférences avec la Société Ardennaise de Cancérologie pour sensibiliser et inciter les jeunes à diffuser l’information auprès de leur entourage, pour les inciter à une bonne hygiène de vie pour réduire les risques de la maladie et pour leur donner les moyens de mieux comprendre et mieux gérer la maladie de leurs proches.
- Organiser des débats interactifs pour la population concernée et ainsi permettre de mieux comprendre les enjeux, la démarche et briser les tabous.
Adapter les discours en fonction des thématiques, des cultures, des demandes, des besoins et ainsi parler de la maladie librement et sans a priori.
Résultats attendus de l’action :
- Un diagnostic local de l’état de santé portant sur les publics en difficulté ou en situation de précarité.
- Une programmation locale de santé qui doit permettre une organisation cohérente d’actions, autour d’objectifs définis pour une période donnée.
- Création d’un comité de pilotage, comité technique, groupes de travail, interfaces entre partenaires et projets.
- Création d’une procédure précise d’évaluation comportant un volet qualitatif et quantitatif.
- Une prise de conscience des dangers domestiques de la part des adultes qui leur permettra de prévenir des dangers et de réaménager leur intérieur.
- Une réponse aux questionnements des parents sur l’attitude de leurs enfants.
- Une prise de conscience des enfants pour limiter leurs gestes dans la prise de risques et la compréhension des conséquences de leurs actes.
- Au travers d’une mobilisation avec nos partenaires, permettre une information de connaissance des structures de dépistage, de la maladie et des modalités d’accès aux soins, pour un large public.
- Permettre une prise de conscience des publics et une augmentation des dépistages organisés.
- Tout au long des quatre années de l’action, les partenaires évalueront, rectifieront et adapteront. Selon ces différentes analyses, un bilan commun sera réalisé dans l’objectif de continuer cette campagne au long cours.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Moyens mis en œuvre :
- L’ensemble des salariés du centre social travaillera en transversalité sur cette thématique.
- Relancer les Ateliers Santé Ville pour permettre une organisation cohérente d’actions au bénéfice des publics en difficulté et en situation de précarité.
- Identifier, au niveau local, les besoins spécifiques des publics en difficulté et le déterminant de l’état de santé liés aux conditions de vie.
- Mobilisation de différents intervenants internes et externes par la relance et le soutien à des réseaux médico-sociaux.
- Diversifier les moyens d’intervention en fonction de l’analyse des besoins.
- Rendre effectif l’accès aux services publics sanitaires et sociaux de droit commun.
- Développer la participation de la population à toutes les phases des programmes (diagnostic, définition des priorités, des programmations, mise en œuvre et évaluation).
- Développer la concertation avec les professionnels et les différentes institutions du secteur sanitaire et social concernées par ces programmes.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
5 salariés - 20 bénévoles -
- Résultat sur le territoire
- Améliorer les comportements alimentaires, l’activité physique, l’hygiène de vie.
- Prévenir le surpoids et l’obésité.
- Lutter contre les addictions (tabac, alcool, drogues, jeux vidéo, association de médicaments).
- Développer une politique d’information, pour associer les partenaires sociaux, médicaux et de l’éducation.
- Résultat pour le centre social
- Relancer les Ateliers Santé Ville pour permettre une organisation cohérente d’actions au bénéfice des publics en difficulté et en situation de précarité.
- Mobilisation de différents intervenants internes et externes par la relance et le soutien à des réseaux médico-sociaux.
- Développer la concertation avec les professionnels et les différentes institutions du secteur sanitaire et social concernées par ces programmes.
- Résultat pour les habitants
- Améliorer le pronostic vital et fonctionnel en dépistant et en traitant précocement les maladies.
- Suite de l'action : Limites
Difficultés à mobiliser l'ensemble des partenaires dans le cadre du dispositif Ateliers Santé Ville
- Suite de l'action : Perspectives
Créer une dynamique autour des problématiques de la santé à travers la mise en oeuvre d'actions collectives (Forum santé...)
Actions
"ATELIER MÉMOIRE - PEP'S EURÊKA"
- Structure organisatrice
- Centre Social et Culturel André Dhôtel - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Viellissement
- Santé
- Résumé
Outiller les seniors pour bien vieillir et en bonne santé chez soi. Les 12 "alliés" du bien vieillir :
Activités intellectuelles, physiques, nutrition, patrimoine génétique,moyens financiers, sommeil, environnement famillial, affectivité, vision et audition, loisirs et projets, environnement social, équilibre et logement.
Lors de ces ateliers nous allons initier les séniors participants aux 7 stratégies (discrimination, catégorisation, contextualisation, répétition, imagerie mentale, indiçage et association) mais également les aider à identifier les différentes formes de mémoire (mémoire de travail, mémoire topographique, mémoire des chiffres et des noms) dans le but de pouvoir s'organiser plus facilement au quotidien et à leur donner ou redonner confiance en eux.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Autre
- Précision ( si autre )
La Mutualité Sociale Agricole
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Vieillissement de la population sur le quartier (cause nationale)
- Prévention des maladies dégénératives cérébrales
- Action de prévention santé
- Public
- Seniors
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Des séances sont organisées sur une demi journée à raison de 3 heures par semaine (1 fois par semaine) pendant un trimestre. Les participants aux séances se familiarisentavec la méthode (stratégies, les différentes formes de mémoire, exercices de solliciation et stimulation de la mémoire).
Ces exercices ont aussi vocation à crééer du lien, lutter contre l'isolement...
En 2018, 36 personnes ont suivi ces ateliers (3 sessions de 12 personnes)
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 professionnels
- Résultat sur le territoire
- Le Centre Social et Culturel André Dhôtel est la seule structure sur l'aglomération a proposer ce type d'action
- Résultat pour le centre social
- Toucher de nouvelles personnes
- Ces ateliers mémoires ont été le vecteur de la création d'autres actions seniors autour de la santé
- Résultat pour les habitants
- Autonomie, confiance en soi, lien social, solidarité de la part de séniors envers d'autres séniors
- Suite de l'action : Limites
- Pas de limite particulière constatée. Nous avons pratiquement un an d'attente pour les personnes qui souhaiteraient y participer
- Suite de l'action : Perspectives
- L'action va se poursuivre sur 2019 et la possibilité de "délocaliser" les ateliers est envisagée pour être au plus près de la population (contact avec des EPAHD)
Actions
Restaurant éphémère en faveur de l'emploi
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL OUEST AVENUE - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Emploi, économie
- Résumé
Le Centre Social Ouest Avenue est situé en Quartier Prioritaire de la Ville. Un nombre important de la population est en situation de recherche d'emploi, et ne parvient pas à obtenir un entretien d'embauche avec des employeurs. Un groupe de travail constitué des partenaires du service public de l'emploi et des partenaires en contact direct avec le public a été constitué. Le principe est de repérer les personnes en recherche d'emploi issus des quartiers, de contacter des employeurs intéressés par la démarche et de mettre en application les apprentissages appris pendant l'atelier cuisine du Centre Social en proposant l'outil en faveur de rencontres entres employeurs et demandeurs d'emploi sous forme de "Restaurant épéhémère". Les partenaires du SPE et ceux en contact avec les habitants en recherche d'emploi les informe des entreprises présentes, les orientent vers l'action et les accompagnent le jour de l'évènement pour faciliter les échanges avec les entreprises. Le jour de l'action, la salle polyvalente est transformée en Restaurant avec une table ronde pouvant accueillir 8 personnes (important car plus convivial que table carrée ou rectangle). Chaque table représente un secteur d'activité sur laquelle sera installée un employeur, un partenaire, et 6 personnes en recherche d'emploi maximum. A chaque table, les personnes se présentent mutuellement, expliquent leur parcours, ... L'employeur échange avec les personnes sur le secteur d'activité de l'entreprise, les besoins en main d'oeuvre, le mode de recrutement, le savoir être, le savoir faire et la motivation. Suite à quoi chaque personne entretient un échange avec l'employeur pour se faire connaître. Pendant ces échanges, le repas préparé par l'atelier cuisine est servi sur assiette à table. A la fin du repas, une pochette est remise à chaque entreprise avec les profils. Chaque candidat sera ensuite recontacté pour de plus amples informations par l'entreprise. Le premier échange aura permis une première approche, et de se rendre au prochain entretien de manière plus détendue.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Pour réduire les inégalités et permettre aux habitants des QPV de rencontrer des employeurs, réduire ainsi le taux de chômage en QPV.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Ombres chinoises pour Noël
- Structure organisatrice
- Association Thiérache Ardennaise Animation - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Renouvelable chaque année
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Mixité sociale
- Résumé
Les habitants du village de Liart regrettait qu'il y avait si peu d'animations dans leur village à Noël. C'est ainsi qu'ils ont proposé de créer des ombres chinoises (technique facile qui consiste à créer des ombres qu'on colle sur du papier calques sur des vitres et on met une lampe derrière). Ces ombres sont créées par différents groupes et l'activité en elle-même créée déjà du lien entre différentes générations. Les ombres sont collées sur des vitres partout dans le village et une balade contée est proposée lors d'une soirée d'inauguration. Cette soirée festive et animée permet de découvrir les réalisations des habitants. Toutes les vacances de Noël, les ombres peuvent être admirées par tout un chacun qui passe. Cette activité crée du lien, de l'animation et valorise les habitants dans leurs compétences de créer un spectacle et une animation de qualité
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Avoir un village animé le temps de Noël. L'action a été mise sur pied car elle était demandée par les habitants qui trouvaient que le village était mort à cette époque.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
A partir de septembre, les habitants sont invités à se mettre en petits groupes et de développer des ombres. Ils peuvent laisser agir leur créativité ou les habitants peuvent aussi partir d'une histoire de Noël pour la représenter par des ombres. La technique est simple et abordable pour tout le monde.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Papi Mamie Racontez nous
- Structure organisatrice
- OFFICE ANIMATION DES CRETES PREARDENNAISES - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Résumé
Dans le cadre des actions intergénérationnelles vis à vis des jeunes et des publics adultes et séniors, l'OACP a créé un livre autour du receuil de "mémoires" avec un livre interactif qui interpelle et questionne les papis et mamies sur leurs histoires de vie et souvenirs. Ce livre a été conçu avec les séniors et s'appuie sur les échanges à créer entre jeunes et moins jeunes. Cet outil sert également à mettre en place des rencontres sur des lieux divers et variés: temps périsoclaires dans les écoles et collèges etc...
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Autre
- Précision ( si autre )
notre EVS
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Ce projet a été mis en place pour lutter contre l'isolement et donner du sens à notre recueil mémoire sur le territoire. Par un livre "ouvert", c'est aller vers la cosntruction d'une identité locale. C'est aussi se livrer sur des anecdotes, des souvenirs qui se sont perdus, enfouis ou cachés. Le but est aussi d'aller provoquer les échanges et confrontés les réalités de nos vies rurales avec l'évolution de notre mode de vie aujourd'hui.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Le travail s'(est fa
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le travail s'est fait sur des réunions collectives et sur des temps d'écoutes organisés lors d'animations OACP: ateliers séniors, journées d'animations, actions évènementielles, temps d'acceuils puiblics...
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
430
- Résultat sur le territoire
Recueil mémoires et liens sociaux intergénérationnels
- Résultat pour le centre social
Participe à l'histoire de vie locale; accompagne les familles dans le recueil des souvenirs et des échanges; crée une dynamqiue collective
- Résultat pour les habitants
Un eaction qui valorise l'histoire et qui rapproche les liens entre petits, moyens et grands....
- Suite de l'action : Limites
Continuer en propsoant un livre ouvert auprès des jeunes......
- Suite de l'action : Perspectives
Continuer en valorisant les échanges mémoires et vie d'aujourd'hui
Actions
Atelier cuisine et santé: oxygéne et Partage.
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL C.A.F. - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Santé
- Résumé
Ateliers mensuels, animés par l'association Groupe d'Entraide Mutuelle et la CESF du centre social. A partir des souhaits du groupe d'usagers, réalisation d'un menu, des courses et élaboration des plats en commun dans la cuisine du centre social. Le repas est ensuite partagé.
Il s'agit de valoriser les savoirs des participants et de rechercher leur implication au sein de l'atelier. Des notions d'équilibre alimentaires, de budget quotidien sont données. Une ambiance conviviale prévaut.
La limite de l'action réside dans la fluctuation de la particiaption des usagers directement liée à leur état de santé psychologique.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L'action a été mise en place à la demandes des usagers de l'assocaition, ces usagers présentant des problémes de santé d'ordre psychologique.
Public ciblé en lien avec l'association "Groupe d'Entraide" .
Le centre social a proposé de s'associer à l'action d'accompagnement de ce groupe d'usagers.
Le principal résultat attendu est à la fois de rompre l'isolement de ces participants et les aider à mieux évoluer dans la vie locale.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Action démarrée en juin 2013 et prolongée toute l'année 2014.
Travail de concertation avec l'association ( 1er étape), rencontre et échanges avec les usagers pour préciser le contenu du projet. Les usagers ont exprimé le souhait de pratiquer une activité cuisine en proposant le choix des réalisations . Le partage des repas leur est apparu essentiel pour mieux se connaitre.
Mobilisation des locaux du centre social , de la professionnelle CESF;
Le budget est supporté par l'association, une participation financiére minime est demandée aux participants.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Une animatrice de l'association, monitrice-éducatrice,
La Cesf du centre social.
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
Effets positifs sur le groupe.
- Suite de l'action : Limites
Action reconduite en fonction de la demande des usagers.
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Journée d'Information pour futurs retraités en invalidité.
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ESPACE INTERGENERATION - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Solidarité
- Résumé
Au mois de mai et novembre a eu lieu au centre social une réunion d'information organisée par la CARSATen direction des personnes en situation d'invalidité et qui vont faire valoir leurs droits à la retraite. Les participants à l'atelier cuisine ( bénéficiaires du secours populaire, habitants du quartier ) ont organisé un déjeuner-buffet pour accueillir un groupe de futurs retraités et les intervenants de l'information collective.
Ces repas ont rassemblé respectivement 44 et 38 personnes. Tous les participants se sont très bien impliqués dans la réalisation du repas, la décoration de la salle, le service, le rangement... l'expérience a été une réussite pour chacun, l'expérience doit être renouvelée en 2015.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Action mise en place pour une meilleure information des fuutrs retraités et qu'il n'y ait pas de rutpure de droits les concernant.
Information des bénéficiaires sur le reseau social local, souci de bien les accueillir.
Pour le groupe de cuisine, il s'est agi d'un défi pour être en capacité de réaliser un telle manifestation, recherche de reconnaissance du groupe.
Echanges enrte des personnes qui ne se connaissaient pas.
- Public
- Seniors
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Action débutée en mai 2014.
Rencontres préparatoires avec le service social et le service retraite CARSAT, Mairie, Secours Populaire.
Requête des bénéficiaires potentiels sous la responsabilité de la CARSAT.
Envoi de courriers nominatifs aux bénéficiaires CARSAT.
Proposition par le centre social de faire de cette réunion d'information un moment de convivialité en le jumelant avec l'atelier mensuel de cuisine du centre social, en partenariat avec le secours populaire.
Préparation du menu avec l'atelier cuisine, achats et préparation.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Budget alimentation pris en charge par le Secours Populaire qui refacture aux trois partenaires : CARSAT , MAIRIE de FOIX, CAF 09 .
Une participation financiére des bénéficiares minime d'un montant de 2€.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Au total : en moyenne 20 bénéficiaires auxquel il faut ajouter 12 à 15 usagers du centre social ( atelier cuisine),et les intervenants.
- Résultat sur le territoire
Action essentiellement à portée individuelle:
Concernant les usagers meilleure connaissance de leurs droits au moment du passage de la pension invalidité à la retraite.
Information sur la vie associative du territoire.
Action menée dans un cadre d'intervention collective.
Reconnaissance des compétences des usagers de l'atelier cuisine
- Résultat pour le centre social
Connaissance du centre social par un public qui n'est pas habituellement usager de cet équipement.
Reconnaissance de la prestation des usagers par ce même public.
- Résultat pour les habitants
Notion de fierté après avoir réussi à accueillir, préparer,décorer, servir un repas dans une ambiance chalereuse et décontractée.
- Suite de l'action : Limites
Tous les bénéfciaires potentiels ne se saisissent pas de cette offre d'information et d'accueil.
- Suite de l'action : Perspectives
Action reconduite en 2015 sous forme de deux sessions.
Actions
Sensibilisation au développement durable et création d'un jardin partagé
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ESPACE INTERGENERATION - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- Solidarité
- Résumé
Les travailleurs sociaux du centre social accompagnent un groupe d'habitants du quartier qui s'est mobilisé autour du compostage des déchets ménagers.
Pour donner du sens à cette action les habitants mobilisés se sont transformés en jardiniers qui se retrouvent trois fois par semaine afin de cultiver le jardin qui jouxte le centre social. Cette activité est l'occasion d'échanges de pratiques autour de l'agriculture raisonnée ou de la permaculture. Les produits récoltés sont échangés entre jardiniers ou utlisés en atelier cuisine au centre social, ces produits devraient être utilisés pour la préparation d'un repas populaire dès que la récolte sera suffisante.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Prise de conscience de la quantité des déchets ménagers
Activité intergénérationnelle qui intéresse les habitants de la cité HLM et de plus en plus des habitants venus du centre ville
Possibilité d'avoir une activité dans un jardin alors que les logements de la cité n'ont pas de jardins
Transmission de savoirs faire
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Action qui a débuté en début d'année 2015 autour de la permaculture, les habitants ont été aidés par un jardinier, par le secteur jeunesse de la ville (mise en place d'une serre), les services municipaux ou le SMECTOM qui ont apporté une aide technique (livraison de terre, installation d'un point d'eau pour l'arrosage, élagage des arbres...)
Les jardiniers ont écrit une charte afin que chaque participant respecte "l'esprit du jardin partagé"
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
10 bénévoles, 1 élu, 1 stagiaire, 2 travailleurs sociaux
- Résultat sur le territoire
Le jardin suscite beaucoup de curiosité et de convivialité pour tout le quartier, les habitants qui ne participent pas de façon concréte dispensent très régulièrement des conseils de culture.
- Résultat pour le centre social
Bel environnement !
Questionnement de la part des usagers du centre social, mobilisation plus grande des habitants autour du compostage
Utilisation des fruits de la culture pour animer les ateliers culinaires
- Résultat pour les habitants
De plus en plus de convivialité
- Suite de l'action : Limites
Pour le moment les habitants mobilisés ne sont qu'une dizaine, il est difficile pour de nouveaux jardiniers de comprendre la philosophie du jardin partagé
- Suite de l'action : Perspectives
L'action prend de l'ampleur et est amenée à s'étendre, le but est d'organiser des repas populaires avec les récoltes du jardin.
Actions
FORMATION PARENTALE à LA CNV
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL C.A.F. - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Résumé
L'association de parents "monen'partagés" s'est mobilisée pour mettre en place une formation à la "communication non violente" dans le cadre de la parentalité à la demande des parents adhérents. Une recherche de financements ( reaap, Fondation de France, communauté de communes) soutenue par le centre social était le préaleable pour financer les intervenants qualifiés. Deux modules ont pu être proposés au parents, en mai et septembre (46 parents), suivie tous les 15 jours, de rencontres de groupes de pratique assidûment fréquentés .
L’association reste mobilisée pour la recherche de nouveaux financements pour les formations complémentaires et répondre à la demande de nouveaux parents intéressés.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cettte formation permet aux parents de consolider des repéres, de se sentir reconnus dans leur compétences .
Des temps d'échanges qui produisent des nouveaux projets.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Deux modules de formation hébergés au centre social,
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- 46 parents, un intervenat qualifié
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
jardins partagés
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL C.A.F. - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Intégration
- Mixité sociale
- Résumé
Ce projet a pour objectif principal de lutter contre l’isolement et les phénomènes d’exclusion. Il s’inscrit dans un processus d’accompagnement global. Le jardin collectif est utilisé comme support de remobilisation et s’adresse à des personnes fragilisés, n’arrivant plus à être acteurs de leur vie sociale car ils n’ont plus de désir ni de projet.
Le jardinage est une activité de plein air qui permet de se prouver mais aussi de montrer aux autres que l’on est capable de faire quelque chose de ses mains, c’est un outil favorisant la revalorisation des publics souvent stigmatisés par la situation de précarité dans laquelle ils se trouvent. Il permet de faire émerger et mettre en exergue des savoirs-faires peu mis en avant dans la vie de tous les jours.
La constitution d’un groupe qui favoriserait la mixité des publics, associé à la présence de travailleurs sociaux, a pour objectif de favoriser l’émergence de liens d’entraide et de solidarité.
Au delà du travail autour de la culture, cette action permet d’aborder et de sensibiliser le public à d’autres questions comme l’alimentation et le respect de l’environnement (en lien avec les modes de culture).
L’intérêt de cette activité réside dans le fait d’associer les participants à la globalité du projet à savoir de sa conception à sa réalisation (technique de culture, choix des plantations, entretien de la parcelle, cueillette etc...)
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Les objectifs généraux :
- Sortir de l’isolement
- Favoriser l’émergence de lien social, d’entraide et de solidarité
- Travailler autour de la revalorisation de soi et valoriser les savoirs faire au travers d’un autre mode d’accompagnement
- De façon transversale, aborder tous les domaines de la vie quotidienne et familiale (vie familiale, gestion du quotidien, alimentation, préparation des repas…)
- Permettre les liens avec les autres organismes, associations, particuliers qui disposent de parcelles au travers de temps collectifs partagés
- A terme, permettre aux personnes d’être à nouveau acteur de leur vie, de faire des projets, de se mobiliser autour d’une activité
-Les objectifs opérationnels :
Cultiver des légumes en fonction des saisons avec des méthodes respectueuses de l’environnement, cuisiner ces produits ensemble pour les partager autour d’un repas éventuellement.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
création d'un groupe de travail partenarial pour fixer les modalités d'intervention auprès du public visé
4 rencontres organisés avec des habitants potentiellement interressés et en situation d'isolement social : présentation générale de l'action, implication de ces habitants dans la mise en oeuvre de l'action (choix des denrées cultivées, fréquence de travail sur site et nombre d'intervenants en fonction des saisons)
début de l'action au mois de mars 2017 avec particiaption de travailleurs sociaux et l'appui de 2 personnes "resources" ayant des compétences poussées dans le jardinage
- Ressources financières mobilisées pour cette action
CHARGES
PRODUITS
Cotisation association
30.00
PDI Conseil Départemental : AFI collective
600.00
Achat de matériel
250.00
CAF
330.00
Achat de plans et graines
350.00
Denrées / cuisine
300.00
TOTAL
930
930
SUPPLETIF
SUPPLETIF
CAF
1000
Mise à dispo de personnel
3500
DSD
2500
TOTAL
4430
TOTAL
4430
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 professionnels travailleurs sociaux en alternance
2 bénévoles
21 habitants
- Résultat sur le territoire
rencontres entre habitants favorisant e lien social
échanges de savoirs faire et developpement de solidarités
dynamique collective et citoyenne contribuant à la revalorisation du territoire
- Résultat pour le centre social
participation d'usagers du centre social à l'action
mise en place au sein du centre social d'ateliers cuisine utilisant les produits récoltés
- Résultat pour les habitants
rupture de l'isolement (partages/échanges)
renforcement de l'estime de soi
redynamisation personnelle
- Suite de l'action : Limites
la superficie de la parcelle cultivée contraint à limiter le nombre de participants
Le renouvellement du public compte tenu du succès de l'action peut s'avérer difficile à opérer
- Suite de l'action : Perspectives
dans la perspective d'innover et de s'initier à la permaculture , un habitant projette de demander une parcelle supplémentaire mise à diposition du groupe .
Solliciter un chef cuisinier de la "Cité du gout et des saveurs" afin d' utiliser, mettre en valeur différemment et conserver les légumes produits. Un repas convivial sera organisé à cette occasion.
Actions
UN DEFI FAMILLE A ALIMENTATION POSITIVE (FAAP), en Aiège à St-Girons
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL C.A.F. - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Santé
- Environnement
- développement durable
- Résumé
Le principe du défi est simple : des équipes d’une dizaine de foyers (personnes seules, couples, foyers avec enfants) se regroupent pour relever le défi d’augmenter leur consommation de produits bio locaux tout en conservant un budget constant et en se faisant plaisir ! Il s’agit d’un accompagnement gratuit avec au programme : visites de ferme, échanges avec un diététicien-nutritionniste sur l’intérêt des produits bio locaux et leurs apports nutritionnels, cours de cuisine, trucs et astuces pour consommer bio et pas cher.
Pour sa deuxième année consécutive, le PNR Pyrénées Ariègeoises et le CIVAM Bio 09 , ont proposé ce concept au centre social pour le déployer, sur notre département. Un nouveau partenariat , des actions inédites pour interroger, voire déconstruire, l’idée selon laquelle l’accessibilité à des denrées saines serait déterminée par les conditions socioéconomiques de chacun.
Durant toute la durée du défi, des temps forts sont organisés (environ 1 fois par mois) :
- une soirée de lancement : pour expliquer le défi, créer de la cohésion entre les membres de l' équipe et donner le top départ du défi,
- une soirée d’échange avec un diététicien-nutritionniste pour parler de l’intérêt des produits bio et découvrir les protéines végétales, apprendre des recettes, de saison et locale,
- 5 cours de cuisine avec un chef cuisinier,
- une visite de ferme bio, d'un commerce bio, d'un marché de plein vent,
- une soirée de clôture,
- les relevés des achats alimentaires.
Tout au long du défi, les participants peuvent évaluer l’évolution de leur consommation de produits bio et du coût de leur repas ! Pour cela, chaque foyer effectue des relevés d’achats pendant une période de 14 jours, et cela 2 à 3 fois durant le défi : T0 (états des lieux de la consommation), T1, T2. Seuls les résultats de l’équipe comptent. Les saisies des achats se font via le site internet "du défit faap". Très accessible, un accompagnement a été organisé au besoin.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Ainsi, en proposant aux familles d’examiner ce qu’elles font pour adapter leurs pratiques en fonction des objectifs qu’elles se donnent, le Défi FAAP a pour ambition, et pour originalité, de rendre ces citoyens acteurs de la transition alimentaire. Elles ont pu :
- Bénéficier d’un accompagnement gratuit vers une alimentation savoureuse et équilibrée
- Connaître les trucs et astuces pour consommer des produits bio locaux tout en maîtrisant son budget
- Faire des rencontres et des échanges conviviaux avec les autres familles participantes
- S’informer sur l’agriculture biologique
- Connaître les lieux d’achats de produits bio dans son quartier/dans sa ville
- Partager des recettes de plats bio locaux de saison peu coûteux
- Visiter des fermes, rencontrer des agriculteurs
- Participer à une aventure de groupe
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
De décembre à juillet, deux équipes d’une dizaine de foyers fédérées par une structure relai (une équipe centre social St-Girons et une équipe PNR constituée sur Foix) se regroupent pour relever le défi d’augmenter leur consommation de produits bio et locaux tout en conservant un budget constant.
Le plus important est de progresser en équipe et de partager de bons moments !
Plusieurs temps forts (un à deux par mois) sont proposés à chaque équipe, autour des villes retenues :
- Visite de deux fermes bio;
- Rencontre avec un nutritionniste pour apprendre à équilibrer ses repas;
- 5 Ateliers cuisine pour découvrir des recettes de saison savoureuses et peu coûteuses;
- Visite d'un magasin bio.
Sans oublier les soirées de lancement et de clôture de ce défi qui réuniront les deux équipes !
Deux périodes de suivi des achats alimentaires ont été programmées, en début et fin de défi, afin de voir la progression des équipes.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
L'action a été financée complétement par les deux partenaires le PNR Pyrénées Ariègeoises et le CIVAM Bio 09
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 salariés du Civam bio et du Pnr, la conseillère du centre social, des prestataires ponctuels (diététicienne, cuisinier)
- Résultat sur le territoire
- conforter l'acte d'achat local.
- Résultat pour le centre social
Ouverture sur un nouveau public et nouveaux partenaires
- Résultat pour les habitants
Au terme de ce long parcours, nous avons pu observer une amorce de changements chez l’ensemble des participants. Ainsi, répertorier leurs aliments a permis à ces volontaires de réaliser pleinement ce qu’ils consommaient et dépensaient, les amenant à réfléchir aux routines qu’ils souhaitaient conserver ou modifier.
Par ailleurs, les ateliers ont renforcé leur propre confiance pour cuisiner ou cultiver par eux-mêmes ; éveillé une attention plus grande à leurs choix en matière de points de vente, avec une préférence pour les circuits courts ou encore à l’égard des aliments achetés, où la part des produits locaux, bio ou en vrac a progressivement augmenté. Enfin, grâce à des échanges directs avec les producteurs, les participants, plus avertis, émettent désormais le souhait de soutenir certaines pratiques et productions plus en phase avec leurs nouvelles sensibilités : qualité des produits, meilleures conditions de travail et de rémunération des producteurs. Et même si leur budget est limité, ils s’estiment dorénavant être en capacité de choisir en toute conscience un aliment auquel ils sont prêts à consacrer de l’argent.
- Suite de l'action : Limites
La mobilisation et l'assiduité des personnes engagées.
Le financement de l'action par les partenaires
- Suite de l'action : Perspectives
Reconduction du défit avec une nouvelle équipe.
Actions
"Des usages des écrans au sein des familles : quel cadre ? quels risques ?Comment être en relation avec ses enfants ?"
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL C.A.F. - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Action ponctuelle
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Mixité sociale
- Résumé
3 temps sur un trimestre proposés aux parents enfants du territoire.
Objectif : - sensibiliser et informer les parents sur les risques pour le développement de l'enfant, à trop utiliser les écrans
- soutenir les parents dans leur rôle et leur posture éducative, modifié avec l'invasion des écrans au sein des foyers : comment poser un cadre et comment être en relation avec ses enfants.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Les différents professionnels intervenants auprès d'enfnats (crèches, écoles, collèges, travailleurs sociaux) constatent les effets nocifs de l'usage des écrans sur le développement des enfants.
Les parents peuvent verbaliser leurs difficultés à poser un cadre visant à restreindre l'usage des écrans et l'avantage des écrans dans la vie de tous les jours : les enfants paraissent plus calme devant un écran, ne se disputent plus ou moins, sont occupés.
Face à ce double constat, les professionnels partagent le besoin d'informer et de sensibiliser les parents sur les risques liés aux usages des écrans et de soutenir les parents dans leurs relations aux enfants.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Action menée en 3 étapes :
- une près midi "jeux" à l'attention des familles du territoire, afin de montrer comment être en relation différemment avec son enfant. Présence d'un clown réalisant des animations sur le thème des écrans et d'un lieu d'échanges avec les parents. Animation par des professionnels.
- une conférence - débat organisée à l'attention de tout public, animée par une psychologue. Objectif : expliquer les conséquences sur le développement de l'enfnat d'un usage non adapté des écrans (risque de myopie, troubles du sommeil, de l'attention, retard scolaire, retard dans le langage...) et de rappeler les règles à respecter (3-6-9-12)
- création de scénettes par des enfnats du primaire et du collège sur la thématique des écrans avec représentation des productions des enfants. temps d'échanges dans la salle avec les parents, les enfants, animé par des professionnels entre chaque scénettes.
Les actions constituant le projet, ouvertes à tous publics. Afin de mobiliser les familles les plus en difficultés dans leurs relations avec els enfants, il a été choisi de mettre en place des actions parents/enfnats et d'organiser, le temps de ces actions ludiques, des temps d'échange et de sensibilisation sur la thématique des écrans.
Les actions ont eu vocation de s'adresser aux enfants de 1 à 15 ans. Ce public étant le plus particulièrement en risque face à un usage inadapté aux écrans.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Projet partenarial avec un engagement financier de tous les partenaires. Projet financé dans le cadre du contrat de territoire (CGET).
Outre les mises à disposition de personnels, de salles, ont été financé les intervenants extérieurs
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
professionnels : 22
parents enfants : 250
- Résultat sur le territoire
Après midi jeux organisée lors de la journée des sports. Animation deans la ville qui a rencontré un franc succès.
- Résultat pour le centre social
Centre social porteur de projet d'une action action partenariale, mobilisant plusieurs professionnels d'institutions différentes. Usagers du centre et familles suivies dans le cadre de l'action sociale bénéficiaires de l'action.
- Résultat pour les habitants
Les parents les enfants ont apprécié ces temps d'animation, que se soit l'après midi jeux ou le théâtre. il sont pu mesurer l'intérêt du "faire ensemble", du partage. Nombreux parents nous ont sollicité afin de mettre en place d'autres expériences de ce type, sorties familles ou autre.
- Suite de l'action : Limites
Cette action était ponctuelle, a duré de septembre à décembre.
Bien qu'elle ait été bénéfique pour les familles, les effets sur le long terme sont difficilement mesurables.
- Suite de l'action : Perspectives
Au travers de toutes les actions parentalité mises en oeuvre au sein du centre social," l'éducation au numérique" est abordée, de façon claire ou détournée. Sont mis en avant les temps partagés parents enfants au travers d'activités communes, de sorties, de vacances....
Actions
DISPOSITIF PANIERS SOLIDAIRES
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL C.A.F. - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
L'action a été suspendue faute de financement pour organiser la distribution des paniers trop chronophage pour le centre social et les intervenants sociaux associés (MSA, Conseil Départemental)
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Santé
- Environnement
- Précarité
- Résumé
Développer de manière pérenne une politique sur la transition alimentaire pour favoriser l‘accès de tous à des produits de saison et locaux.
L’enjeu est double : inciter les familles à manger mieux pour préserver leur santé et les aider à adopter des gestes éco-responsables favorisant les circuits courts et le partenariat local.
Pour les bénéficiaires ou familles en difficulté : bénéficier d’une offre de produits frais permettant une alimentation saine et variée tout en faisant oeuvre utile en exprimant sa solidarité vis-à-vis du monde agricole. Il s’agit d’une offre « découverte » qui pourrait inspirer de nouvelles habitudes alimentaires et pratiques culinaires.
Pour les agriculteurs : leur permettre d’écouler leur production et/ou avoir de nouveaux réseaux de vente sécurisés.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Favoriser le changement des comportements en matière de consommation et d’alimentation.
Répondre à cette double solidarité et cette attention croisée entre des publics fragilisés et les agriculteurs assumant leur rôle nourricier avec une sensibilité à l’environnement, aux territoires et au lien social.
Mise en place d’un système de distribution de paniers solidaires pour permettre aux ménages ou familles en fragilité budgétaire d’accéder à une alimentation de qualité.
Critères d’attribution sont définis par les partenaires, tout comme les modalités de distribution (fréquence, valeur du panier, contenu...).
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Action développée de décembre 2020 à juillet 2021.
Distribution de paniers - constitués de produits bruts ou transformés issus de l’agriculture locale - vendus à prix solidaire dans le cadre d’un dispositif pérenne.
L’abondement d’un fonds inter-partenarial pour le dispositif permet aux producteurs une juste rémunération (convention 2020).
Pour éviter toute stigmatisation et préserver la dignité de chacun, la recherche de points de distribution classiques et ouverts à tous (point physique et/ou plate-forme d’achat en ligne) constitue également un principe fondateur.
Cette offre peut s’inscrire dans le cadre de la mise en place des parcours « attentionnés ».
Des actions collectives diverses ont été mises en oeuvre pour associer les bénéficiaires et leurs familles dans une dynamique de changement durable des comportements (ateliers cuisine, repas partagés, ateliers diététiques et de prévention santé, visite de fermes, sorties familiales...).En décembre 2020, l’action a pu être mise en oeuvre pour un test sur 100 paniers pour les deux secteurs définis.
Mobilisation d’un prestataire : l’épicerie mobile, «Le Château Ambulant ». Positionnée sur la vente de produits locaux, majoritairement bio, elle déploie son activité commerciale (entreprise individuelle créée en 2018) sur les petits marchés du Couserans, notamment celui de La Bastide de Sérou.
- Marché de La Bastide de Sérou : deux distributions de 25 paniers ont été réalisés. Afin de la soutenir dans ce surcroît d’activité, sollicitation d’un salarié en insertion issu d’un dispositif expérimental (PEP’S), encadré par l’association Casta (préparation et la distribution des paniers),
- Pour Saint-Girons : souhait d’une distribution à l’identique sur le marché. Une seule distribution de 25 paniers a pu être réalisée en fonction de la disponibilité de Mme Fleury qui n’est pas présente sur ce marché habituellement. La mobilisation des différents prescripteurs, a conduit rapidement à dépasser le seuil fixé par notre prestataire. Recherche dans l’urgence et choix d’un autre prestataire (Orgascic : société coopérative d’intérêt collectif à Montagagne) pour la constitution de 10 paniers distribués au centre social.
A noter que nos deux prestataires, bénéficiaires du RSA, tentent de consolider leur activité professionnelle, comme 2 des 15 producteurs locaux impliqués dans cette action.
Contenu du panier pour une famille et pour 15 jours : produits de consommation courante, qui se cuisinent facilement avec du matériel de cuisine de base : équilibre de produits bruts et produits frais, épicerie issue de l’agriculture locale et/ou raisonnée ou bio.
Valeur moyenne du panier 50€ en 2020, revue à la baisse à 30 € en 2021 avec participation de 5€ du bénéficiaire.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
En 2020 : 87 paniers distribués, d’une valeur de 50 € soit un engagement financier de 4350 € dont une participation des bénéficiaires par panier à hauteur de 5 €, soit 435 €.
En 2021 : 323 paniers distribués, d’une valeur de 30 € soit un engagement financier de 9690 € dont une participation des bénéficiaires par panier à hauteur de 5 €, soit 1615 €.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Personnels CAF, MSA, DSD, Espace Séronais, CASTA, CCAS Saint Girons, la Bastide de Sérou : mobilisation et suivi des bénéficiaires à l’appui de supports de communication
1 agent PNR : soutien au projet, mise à disposition des outils créés pour précédent défi FAAP
2 agents CIVAM : proposition de faire le lien avec les producteurs répondant au choix du contenu du panier et animation d’un défi famille alimentation positive
2 agents CASTA : soutien au projet, mobilisation des salariés, aide à la distribution
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
Rencontre de nouveau public et nouveau partenariat.
- Résultat pour les habitants
En 2020 :
- 87 paniers distribués : 67 familles soit 87 adultes et 99 enfants
- 38 familles monoparentales et 37 foyers bénéficiaires du RSA.
- 10 partenaires impliqués ;
- 2 prestataires bénéficiaires RSA ainsi qu’un salarié en insertion – mobilisation du programme PEP’S ;
- plus de 15 producteurs sollicités dont 2 bénéficiaires RSA ;
En 2021 :
- 323 paniers ont été distribués à raison de 2 distributions par mois sur chaque territoire (153 à La Bastide de Sérou et 168 à St-Girons).
- 91 familles ont bénéficié de cette opération dont 117 adultes et 138 enfant.
- 59 ménages sont allocataires CAF, 30 MSA, 2 sont non allocataires.
- 49 familles monoparentales
- 52 foyers bénéficiaires du RSA
- Suite de l'action : Limites
Nous avons mesuré le fort investissement nécessaire dans la logistique de cette opération et par ailleurs la notion d’équité territoriale qui impose d’engager un budget plus conséquent dans le cadre d’appels à projet, ou manifestations d’intérêt que ne peuvent solliciter directement les institutions.
Réponse défavorable à l'appel à projet.
- Suite de l'action : Perspectives
Maintien des actions collectives des "défis à alimentation positive" sans distribution de paniers.
Actions
Chantier participatif d'un jardin aromatique en pierres séches
- Structure organisatrice
- LE LÉO LAGRANGE DE FOIX - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Santé
- Environnement
- développement durable
- Résumé
En novembre 2020, création collective d'un jardin aromatique en pierres séches sur une place du centre ville de Foix avec la technique du jardin nourricier dit "en trou de serrure" en utilisant la technique de la lasagne avec des couches de matériaux organiques divers. Ce chantier a duré 5 jours autour d'un we et a mobilisé une équipe de 12 bâtisseurs citoyens.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La démarche vise à créer un nouvel art de vivre en redynamisant les échanges locaux par le partage de comestibles cultivés par les habitants et offerts librement à tous. Elle entre dans une volonté de revégétalisation du centre-ville minéral.
En reconnectant les gens entre eux et à la terre nourricière, et en attirant très concrètement l’attention sur l’enjeu du manger sain et local, ces actions dynamisent les échanges locaux et les circuits cours, et agissent ainsi sur l'offre alimentaire locale. Ces actions permettent d’enclencher des dynamiques qui visent à mettre les territoires en marche vers l’auto-suffisance alimentaire.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
L'animatrice compostage partagé du SMECTOM du Plantaure est à l'initiative de cette action pour un avenir comestible en ville. Un groupe de travail a été connstitué avec des représentants du Léo de Foix, la Ressourcerie de Foix, l'association ariégeoise Montagnes et Patrimoine et Écorce, le jardinier botaniste de la préfecture, des membres du conseil citoyen et des usagers composteurs pour la préparation en amont. Le projet a été co-financé par la mairie de Foix et le Smectom du Plantaurel.
- Réunions préparatoires pour définir le type de jardin "en trou de serrure" pour son côté innovant et expérimental, déterminer le type de plantes à installer, le planning de réalisation, réfléchir à des supports pédagogiques et de communication.
- Participation au bâtissage en pierres sèches gratuite et sur inscription
- recrutement des participants par e-mailing, voies de presse, newsletter, affichage, distribution de flyers
- chantier sur le wkd du 17/18/19 octobre + 2 jours en semaine avec :
- un stand de L’association Montagne & Patrimoine avec exposition pour échanger autour du patrimoine pierres sèches
- une permanence de L’association la Ressourcerie de Foix pour parler compostage et distribuer des bioseaux aux passants qui souhaitent se lancer.
- la présence du du Smectom et du Léo de Foix pour parler du projet, de l’avenir comestibles et de toutes questions liées au jardinage, déchets verts et compost
- remplissage du jardin le 20 octobre avec des couches de matériaux organiques divers
- Achat et plantation par les participants et organisateurs 1 semaine plus tard
- reprise en main du jardin et nettoyage au printemps après le confinement
- le 05 mai balade botanique avec le jardinier de la préfecture sur les hauteurs de Foix pour une visite guidée de reconnaissance des plantes comestibles
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- 15 animateurs / bénévoles / salariés des associations partenaires
- 1 groupe de 12 bâtisseurs citoyens
- 1 bâtisseur encadrant
- Résultat sur le territoire
L'animatrice à l'intiative du projet a été sollicitée pour lancer un chantier dans un autre quartier de la ville et dans d'autres communes d'Ariège. La publication de reportage-photos sur les réseaux sociaux a suscité l'intérêt du public et d'associations sur cette technique de construction extérieures au département.
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
Le chantier et l'animation qui en a résulté ont permis des échanges entre les bâtisseurs, organisateurs, les passants et habitants du quartier. Certains se sont spontanément proposés pour aider, d'autres souhaitaient des renseignements sur l'usage des plantes.
- Suite de l'action : Limites
L'entretien régulier du jardin est problématique. Les confinements et couvre-feu ont coupé la dynamique créée autour de sa construction. Il est difficile de remobiliser les personnes.
- Suite de l'action : Perspectives
- ateliers culinaires
- plantation
- entretien
Actions
Caravane artistique
- Structure organisatrice
- MJC Jean Guillemin - Aube
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Culture
- Mixité sociale
- Résumé
Caravane artistique itinérante pour aller au devant de la population dans les différents quartiers de la ville (lutte contre l'isolement géographique et social, accès aux loisirs et à la culture pour tous).
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Les familles de certains quartiers de Romilly/Seine ne s'autorisent pas l'accès aux loisirs et à la culture et sont peu mobiles.
La caravane artistique itinérante permet d'animer ces quartiers "oubliés" et favorise la rencontre intergénérationnelle des habitants d'une même quartier.
De nouvelles solidarités se créent et des demandes de nouvelles animations émergent de la part de la population qui de fait devient acteur de son territoire.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
De Mars à Août et de Septembre à Novembre (lorsque la météo le permet), la caravane se rend chaque samedi après-midi dans différents quartiers de la ville et y propose des animations musicales, artistiques et ludiques.
L'implication des habitants y est forte puisque certains d'entre-eux co-animent ces temps de rencontre et de partage hebdomadaires.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 animateur et 2 bénévoles.
Environ 350 personnes y participent chaque année.
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
La MJC Centre Social est mieux identifiée par les habitants (de par les couleurs fluo du minibus et de la caravane).
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
Les sorties de la caravane sont soumises "aux aléas climatiques".
Certains quartiers ne sont pas accessibles, faute d'espace pour stationner et mener l'activité en toute sécurité.
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
CARAVANE ARTISTIQUE
- Structure organisatrice
- MJC Jean Guillemin - Aube
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- Mixité sociale
- Résumé
Animations de proximité grâce à un outil mobile (caravane).
Chaque semaine, nous nous installons dans un quartier différent de la ville et proposons aux habitants diverses animations culturelles, sportives et ludiques (éoliennes avec matériaux de recylage, arts du cirque, street golf, jardinage, percussions corporelles, jeux de société...).
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Constat :
Une faiblesse dans l'accès à la culture et aux loisirs sur notre territoire. Des familles, en difficulté sociale et économique, peu mobiles, qui se refusent l'accès aux équipements culturels et de loisirs.
Résultats attendus :
Transmettre des activités, des pratiques, peu onéreuses, que les familles peuvent refaire chez elles.
Accroître la visibilité de la MJC Centre Social et donner envie aux familles de venir à notre rencontre.
Instaurer une relation de confiance avec le public pour lui permettre d'exprimer ses envies et besoins.
Favoriser la rencontre entre habitants d'un même quartier et de toute la ville.
Changements attendus :
Un public qui fréquenterait plus les équipements culturels, les associations locales.
Des habitants qui seraient plus solidaires avec leur voisinage.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Le projet a débuté en 2013 : Stage "Graph" sur minibus et caravane avec une quinzaine d'ados et en partenariat avec "l'Espace Animations Jeunes" de la ville.
L'action "caravane itinérante" a débuté en Mars 2014 et est animée par les animateurs MJC et quelques bénévoles Ados.
Le choix des quartiers se fait avec nos jeunes qui y habitent ou sur invitation de nos partenaires (chantier d'insertion, club de prévention, écoles, association d'handicapés spychiques...).
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Budget total de 8 800 € :
dont achats : 2 500 €
dont services extérieurs : 300 €
dont autres services extérieurs : 1 000 €
dont charges de personnel : 4 000 €
dont bénévolat : 1 000 €
Partenaires financiers :
Politique de la Ville, Conseil Régional, CAF.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 coordinateur
2 animateurs
1 Service Volontaire Européen
5 bénévoles
- Résultat sur le territoire
La culture, les loisirs au plus près de tous les publics.
- Résultat pour le centre social
Une reconnaissance des partenaires locaux.
Une meilleure visibilité et communication de la MJC Centre Social.
Un nouveau public qui fréquente notre association.
- Résultat pour les habitants
Création de lien social entre voisins.
Meilleure relation parents/enfants par une valorisation des savoirs et compétences de chacun.
Des habitants acteurs de la vie de leur quartier.
- Suite de l'action : Limites
Action soumise aux aléas climatiques.
Des espaces non accessibles avec la caravane.
- Suite de l'action : Perspectives
Reconduction de l'action.
Implication de nouveaux jeunes bénévoles.
Diversifier nos lieux d'action.
Créer de nouveaux partenariats.